Connect with us

Jeux Vidéo

Rainbow Six Siege: Les nouveautés de la MAJ 4.0 Skull Rain

Publié il y a

le

Ubisoft a révélé le contenu du patch de Rainbow Six Siege qui débarquera dans les prochaines heures. Celui-ci fera notamment passer le jeu en version 4.0 et ajoutera deux nouveaux opérateurs.

Troisième mise à jour majeure de Rainbow Six: Siege, Skull Rain a pour thème le Brésil et introduit à cet effet une map intitulée Favela et deux opérateurs, Capitao et Caveira, deux agents du BOPE. Cette carte additionnelle est gratuite, à l’instar de Yacht et de Frontière auparavant, tandis que ces deux personnages sont/seront disponibles à partir du 2 ou 9 août suivant que vous possédiez ou non le Season Pass; ils coûteront alors à partir de la semaine prochaine 25 000 points de renommée chacun.

Dédié à l’attaque, Capitao peut utiliser une arbalète tactique TAC Mk0 dont les carreaux libèrent du gaz asphyxiant ou de petites grenades fumigènes. Il peut aussi transporter des grenades frag ou flash, et se promène avec un pistolet PRB92, un fusil d’assaut Para-308 ou la mitrailleuse M-249, ce qui est plutôt étonnant puisque Capitao est un personnage ayant une faible armure (1/3), ce qui en fait au passage un opérateur rapide (3/3).

Caveira aussi est un personnage rapide disposant d’une armure légère. Cela se comprend néanmoins facilement puisque Ubisoft la présente comme une opératrice furtive. Elle dispose en effet d’un pistolet silencieux PRB92 équipé de munitions subsoniques et peut activer la capacité « Pas de velours » qui lui permet d’interroger les adversaires au sol afin qu’ils dévoilent la position exacte de leurs camarades pendant plusieurs longues secondes. Il est en revanche étrange qu’Ubisoft ait donné à Caveira un fusil à pompe SPAS-15 (ou un pistolet mitrailleur M12) et un explosif Nitro (ou des barbelés), des armes peu discrètes, avouons-le. De même, le nombre d’opérateurs ayant sur eux des mini-C4 ne cesse de grandir, ce qui rend très difficile de jouer avec Blitz et Montagne.

L’arrivée de la mise à jour Skull Rain pour Rainbow Six Siege coïncide aussi avec la mise en vente de nouveaux skins armes: Amazônia, Ceifador, Azulejos, Piranha et Skull Rain. Annoncé il y a quelques jours, le programme anti-triche BattlEye est quant à lui déjà disponible sur PC depuis plusieurs jours.

Au rang des véritables nouveautés apportées par cette version 4.0 de Rainbow Six Siege, on note l’apparition de l’accessoire « poignée inclinée » qui permet d’épauler plus rapidement son arme, mais qui ajoute toutefois du recul. Evoqué il y a quelques temps, le mode hardcore, uniquement pour les parties personnalisées, est également disponible sous le nom de « Réalisme tactique« . Ce dernier allège considérablement le HUD et supprime ainsi le marquage des ennemis et les confirmations d’élimination, tout en ajoutant une gestion réaliste (et logique) des chargeurs, la preuve avec ceux deux images. Un mode que l’on aurait aimé voir dès le lancement de Rainbow Six Siege en décembre dernier et qui nous fera sans doute regretter qu’il n’y ait pas de grandes différences visuelles entre les opérateurs offensifs et défensifs —les 4 agents du SAS se ressemblent beaucoup par exemple.

Outre l’ajout d’un système d’abandon en classé disponible au cours des deux premières manches, cette mise à jour de Rainbow Six Siege donne la possibilité aux joueurs PC de masquer le chat textuel, rend les caméras d’élimination plus fidèles à la réalité, améliore (normalement) le matchmaking en classé et revoit le système des collisions. Ubisoft précise qu’il ne devrait plus être possible de voir des pieds dépasser d’un mur via un système de « découpage dynamique. » Ces membres ne seront plus visibles mais ils pourront toujours subir des dégâts, indique Ubisoft avant d’ajouter que cette technologie est encore en phase de test. . .

Ce patch de Rainbow Six Siege revoit également l’interface globale du jeu. En pleine partie, le HUD a été légèrement modifié (la boussole indique le Nord en rouge, le niveau de protection a été supprimé. . .), le ping jaune dure plus longtemps et sa taille varie suivant la distance. L’écran de sélection des opérateur est également chamboulé. L’équipement des coéquipiers peut être affiché à l’écran, les cartes tactiques —au moment de sélectionner son point de respawn— sont plus détaillées et on peut choisir qui débutera avec le désamorceur dans le mode Bombes. Ubisoft indique aussi que la rotation des maps a été revue afin que les joueurs n’aient plus l’impression de toujours jouer sur les mêmes, que l’outil pour visionner en grand ses armes à feu permet de réaliser des zooms, ou que les possesseurs du Season Pass bénéficient de 10% de remise sur toute la boutique en ligne. En ce qui concerne le jeu en ligne, les rangs vont bien sûr être réinitialisés et les parties personnalisés seront moins pénibles puisque le départ (ragequit?) de l’hôte ne mettra plus un terme aux matchs.

Visiblement, cette mise à jour ne modifiera en rien le netcode de Rainbow Six Siege et aucun agent ne sera revu. Ubisoft précise néanmoins que d’autres patchs liés à l’équilibrage global du jeu seront diffusés plus tard, sans pour autant donner de dates ou d’indices sur les opérateurs concernés. Difficile de dire donc pour le moment si le gadget de Pulse restera aussi surpuissant à l’avenir. Enfin, ce patch Skull Rain corrige de nombreux bugs, notamment des problèmes de collisions avec les caméras de Valkyrie, les drones etc.

Via

Jeux Vidéo

Sony tease la PS6 : premières infos prometteuses sur les technologies à venir

Publié il y a

le

Sony vient d’ouvrir le bal autour de la prochaine génération PlayStation, sans pour autant prononcer le nom officiel « PS6 ». Une vidéo technique récemment publiée met en lumière de nouvelles technologies — Neural Arrays, Radiance Cores, Universal Compression — laissant entrevoir ce que pourrait être la console de demain.

Un teasing méthodique plutôt qu’une annonce officielle

Dans cette vidéo, Sony invite Mark Cerny (architecte PlayStation) à dialoguer avec un expert d’AMD. Ensemble, ils dévoilent les technologies censées être au cœur d’un Project Amethyst, supposée feuille de route pour une console future. Mais à aucun moment le terme PlayStation 6 n’est mentionné : le constructeur joue la carte du teasing bien dosé pour susciter l’intérêt sans s’engager définitivement.

https://dai.ly/x9s2xly

Les technologies qui font parler

  • Neural Arrays : unités de calcul dédiées à l’intelligence artificielle, probablement utilisées pour l’upscaling et des traitements visuels avancés.
  • Radiance Cores : cœurs logiques axés sur l’amélioration du ray tracing et de l’éclairage, voire du path tracing.
  • Universal Compression : technologie pour optimiser la bande passante, réduire les temps de chargement et transférer rapidement de grandes quantités de données.

Ces noms techniques pourraient sembler marketing à première vue, mais ils posent les jalons d’innovations visuelles et de performances qui pourraient placer la prochaine PlayStation dans une nouvelle dimension.

Ce que cela laisse entrevoir

  • Une rétrocompatibilité renforcée, notamment avec la série PS5, grâce à la continuité technique.
  • Une console qui pourrait pousser le graphisme en temps réel, avec des effets de lumière et d’ombre très poussés.
  • Une focalisation sur la fluidité, les temps de chargement réduits, et une meilleure circulation des données entre mémoire, disque et rendu.
  • Des interrogations restent : quel sera le prix ? Une version sans lecteur physique est-elle envisageable ? La compatibilité avec les supports physiques sera-t-elle sacrifiée à l’ère du dématérialisé ?

Pourquoi cette opération de teasing est stratégique

Sony prépare le terrain avant l’annonce officielle. En publiant un contenu technique mais non définitif, la marque capte l’attention des passionnés, alimente les discussions médias, et installe une attente sans prendre de risque. La PS5 fêtera bientôt ses 5 ans : c’est le bon moment pour commencer à esquisser ce que pourrait offrir la suite.

Mon ressenti : l’ombre d’une PS6 déjà palpable

On n’a pas encore de confirmation officielle, mais ce teaser met en lumière une ambition claire : pousser les limites techniques et visuelles. Je suis intrigué — ces technologies, si elles se concrétisent, pourraient transformer l’expérience PlayStation.

Pour l’instant, c’est un jeu de patience et d’observations. Mais le décor est posé, les promesses sont là.

Continuer à lire

Jeux Vidéo

Pourquoi le Game Pass a grandement augmenté ses prix?

Publié il y a

le

Par

Le prix du Game Pass a pris 50% en une annonce. C’est plus que l’inflation, non?

Mercredi dernier, coup de tonnerre pour tous les abonnés Game Pass : le prix de l’abonnement a augmenté. Ou plutôt explosé. Une hausse de 50%, ce n’est pas rien, et la barre des 20€/mois a largement été franchie. A quoi joue Microsoft ?

Quels sont désormais les avantages du Game Pass?

Oui, le prix du Game Pass a augmenté. Mais le service a avant tout évolué. Il se veut plus flexible —il introduit le Game Pass Premium— et il offre plus de choses dans son offre Ultimate.

Voici comment se décomposent désormais les offres :

  • Le Game Pass Essential à 8,99€/mois
    • jeu en ligne
    • accès une cinquantaine de jeux
  • Le Game Pass Premium à 12,99€/mois
    • accès à 200 jeux, mais les productions Xbox Game Studios / Bethesda / Activision ne sont disponibles que dans les 12 mois de leur sortie, et Call Of Duty n’est pas inclus
  • Le Game Pass Ultimate à 26,99€/mois
    • accès à 400 jeux dont tous les titres Xbox Game Studios / Bethesda / Activision en Day 1, dont Call Of Duty
    • Ajout de l’EA Play qui coûte séparément 5,99€/mois
    • Ajout de l’Ubisoft+ Classics qui coûte séparément 7,99€/mois
    • Ajout du Club Fortnite qui coûte séparément 11,99€/mois

A cela, il faut également ajouter le cloud gaming et des avantages sur les jeux Riot Games.

Sur le papier, l’offre Ultimate reste une affaire en or. Si on additionne l’EA Play, l’Ubisoft+ Classics et le Club Fortnite, on monte déjà à 26€. Les joueurs ne paieraient alors que 1€ pour accéder à 400 jeux dont Call Of Duty dès sa sortie dans le commerce.

Les choses sont toutefois plus compliquées. L’EA Play et désormais l’Ubisoft+ Classics et Club Fortnite doivent normalement agir comme des bonus. L’intérêt du Game Pass a toujours résidé dans son catalogue de jeux récents, dont les titres first party. Et désormais, pour profiter de cela, il faudra débourser 26,99€/mois contre 17,99€/mois auparavant. On passe la barre psychologique des 20€ et même des 25€.

Pourquoi une telle augmentation du Game Pass Ultimate ?

Selon Bloomberg, la branche Xbox est une nouvelle fois mise sous pression par Microsoft. A la suite de l’inclusion de Call Of Duty Black Ops 6 dans le Game Pass, les chiffres n’ont pas explosé —il n’y a pas eu une hausse significative des abonnés.

Au contraire, ce cadeau auprès des clients Game Pass aurait représenté un manque à gagner de près de 300 millions de dollars pour l’Américain ; les ventes de Black Ops 6 auraient chuté sur PC et Xbox, ne représentant que 18% du total. La direction de Microsoft aurait alors exigé à sa division Xbox de redresser la barre.

Et dans ces cas là, quand on ne réussit pas à attirer de nouveaux consommateurs, on fait davantage payer ceux existants. Comme le rappelle la newsletter Le Résumé Jeu Vidéo, cette stratégie est déjà appliquée par pas mal d’acteurs dont Sony. La manette DualSense Edge à 220€ et la PS5 Pro à 800€ s’adressent à une niche, mais une niche qui a des moyens pour sa passion et qui passe à la caisse.

Il en va de même pour le PlayStation Plus. Le nombre d’abonnés stagne autour des 40/45 millions, mais le chiffre d’affaires augmente. Comment ? A travers les nouvelles offres Extra et Premium qui confèrent différents avantages contre un prix bien plus élevé que celui du PS Plus Essential. Le Game Pass suit la même direction. Microsoft exige une meilleure rentabilité, Call Of Duty a échoué. Il faut alors trouver l’argent auprès des fans de la marque.

Continuer à lire

Jeux Vidéo

Battlefield 6 : un trailer live action qui se moque de Call Of Duty

Publié il y a

le

Par

Electronic Arts s’attaque à Call Of Duty à travers la bande-annonce live action de Battlefield 6.

Quelques jours avant sa sortie, Battlefield 6 accélère sa campagne marketing avec la diffusion d’une nouvelle bande-annonce. Pas d’images du jeu cette fois-ci. Il s’agit en effet d’un live-action, un trailer en prise de vue réelle avec de vrais acteurs . Et ce sacré casting n’a qu’un seul but : parodier Call Of Duty.

Battlefield 6 se moque de Call Of Duty

Battlefield 6 ne tire pas à balles réelles sur Call Of Duty, mais l’intention y est. Il reprend le même principe, à savoir un joli cast composé de Paddy Pimblett, Zac Efron, Morgan Wallen et Jimmy Butler. Chacun porte une arme au skin plus ou moins discret, et prend la pose avec une certaine arrogance. C’est Hollywood, c’est Call Of Duty ; ce n’est pas Battlefield.

Après une explosion, ce petit groupe est rapidement remplacé par de vrais soldats qui font face à la vraie guerre. C’est brutal et violent ; les explosions laissent place à des nuages de poussière. On voit aussi différents accessoires qui se veulent réalistes et bien sûr, des tanks.

A travers ce trailer live-action, Battlefield 6 montre sa différence et entend jouer la carte du pseudo-réalisme face à Call Of Duty.

Battlefield 6 fait-il le poids face à Call Of Duty Black Ops 7 ?

Dans ce duel, Battlefield 6 n’est clairement pas le favori. Call Of Duty est un mastodonte du jeu vidéo et chaque épisode continue de se vendre à plusieurs dizaines de millions d’exemplaires.

Battlefield revient en plus de loin. Il reste sur deux échecs successifs —BF V et BF 2042— et a vu son studio DICE perdre de sa superbe comme le rappelle la Newsletter le Résumé du Jeu Vidéo.

Electronic Arts place beaucoup d’espoirs dans cet épisode. Disponible à partir du 10 octobre, Battlefield 6 doit réellement relancer la série. Le but à moyen terme serait de rivaliser pleinement avec Call Of Duty avec des jeux annuels et un Battle Royale —ce dernier pourrait prochainement être révélé.

Pour arriver à ses ambitions, Electronic Arts a débauché l’ancien directeur de la franchise Call Of Duty et a établi Battlefield Studios, une unité composée de différentes équipes, dont DICE.

La beta de BF6 cet été laissait entrevoir un jeu plutôt solide qui ne prenait aucun risque; c’était dans la veine d’un Battlefield 3, un épisode datant de 2011.

Quant à l’aspect réaliste, il ne faut pas s’attendre à du ArmA. En revanche, il a d’ores et déjà été annoncé que chaque skin proposé devra respecter l’univers Battlefield. Même son de cloche d’ailleurs du côté de Black Ops 7 où Activision affirme avoir refusé des collaborations avec de grosses marques.

Continuer à lire