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Le point sur la prochaine génération de consoles
Curieuse coïncidence mais, en début de semaine, beaucoup de langues se sont déliées en même temps et n’ont cessé de nous fournir de nouvelles rumeurs sur la prochaine génération de consoles. Bien entendu, on nous précise à chaque fois que les sources sont dignes de confiance, même si ça n’évite pas parfois les contradictions. Mais que voulez-vous, nous sommes à l’aube des arrivées de la Xbox 3, PS4 et Wii U, et toutes les informations sont bonnes à prendre, mais avec de bonnes grosses pincettes quand même.
Commençons par la prochaine Xbox, dont le nom de code est Durango. D’après VG247, qui a eu l’honneur d’avoir presque tous les scoops au passage, la future console de Microsoft est prévue pour Noël 2013 et embarquera un lecteur BluRay, ce qui est toujours pratique pour éviter de devoir changer de DVD en pleine partie. Niveau hardware, la Durango sera propulsée par deux GPU qui travailleront chacun indépendamment, et un CPU constitué de 4 à 6 cœurs, dont 2 seront dédiés à Kinect et à l’OS. L’information la plus croustillante est que, toujours d’après VG247, la prochaine Xbox demandera à être toujours connectée à internet afin de lutter contre le piratage. Cette mesure est franchement surprenante car on peut déjà en déduire que si c’est vrai, l’enregistrement des jeux sur le Xbox Live, afin de déjouer le marché de l’occasion, sera également mis en place. Mais surtout, cela créera une véritable contrainte pour les joueurs…
Xbox 720 will require an always-on internet connection as an anti-piracy measure.
Une nouvelle caméra Kinect, bien plus puissante, devrait être également directement inclue avec la console.
Sony n’est pas non plus épargnée par les rumeurs sur la PlayStation 4, nom de code: Orbis. Toujours bien informé, VG247 rapporte que Sony est actuellement très confiant quant à la future guerre des consoles qui l’opposera à Microsoft. Orbis est également prévu pour la fin d’année 2013 mais devrait sortir vraisemblablement peu avant la prochaine Xbox, histoire de couper l’herbe sous le pied de Microsoft. La console sera officiellement présentée à certains développeurs en mai et juin (à l’E3?) aux États-Unis.
“Sony are completely in the belief that they have the jump on Microsoft this time,” they said.
D’après sa source, VG247 précise que les spécificités techniques de la PS4 avaient déjà été décidées il y a 2 ans, et que certains développeurs triés sur le volet, dont UbiSoft, ont déjà été mis au courant. De plus, la PSVita aurait subi quelques changements techniques pendant sa production afin de filer le parfait amour avec la PS4 et proposera au moins les mêmes interactions que la Wii U et sa manette-tablette.
Enfin, terminons avec la Wii U, qui sera commercialisée d’ici la fin de cette année. Plusieurs développeurs auraient ainsi affirmé à gamesindustry.biz que la WiiU n’arrivera pas à tenir la dragée haute à la Xbox 360 ou la PS3 en terme de graphismes, notamment à cause des shaders.
« No, it’s not up to the same level as the PS3 or the 360, » said one developer who’s been working with the Wii U. What does that mean? « The graphics are just not as powerful, » reiterated the source.
La Wii U proposera également un défi particulier aux développeurs puisque la console de Nintendo ne devrait pouvoir gérer qu’une seule mablette à la fois. Ce qui signifie que pour les parties en multijoueur local, les invités devront se satisfaire de la Wiimote, dépourvue notamment d’un écran central.
Qu’on se le dise, avant la véritable officialisation des prochaines Xbox, PlayStation et la commercialisation de la Wii U, les rumeurs ne sont pas près de s’arrêter. Mais s’il semble difficile de repérer le vrai du faux dans toutes ces déclarations, il semble quand même de plus en plus probable que la PS4 misera beaucoup sur l’interactivité avec la PSVita, et que MicroSoft compte beaucoup sur la Kinect 2. Quid alors de Nintendo? Sa console sortira au moins 1 an avant la concurrence, mais risque bien d’être rattrapée par les deux autres constructeurs en terme de fonctionnalités et de graphismes. Bref, et une nouvelle fois, ce sont les jeux qui pèseront le plus dans la balance, mais malheureusement, nous n’avons pas encore de véritables indications sur ces derniers.
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Stone Simulator : vivre comme une pierre… désormais à plusieurs
Imagine un jeu où ton seul objectif est de ne rien faire. Et maintenant, imagine le faire avec des amis. Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, propose exactement cela : incarner une pierre, observer le monde changer autour de toi… en mode solo et maintenant multijoueur jusqu’à 4 joueurs.
Key Takeaways
- Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, te permet d’incarner une pierre, en solo ou en multijoueur jusqu’à 4 joueurs.
- Le jeu offre une expérience minimaliste et hypnotique, où l’immobilité devient fascinante grâce à des graphismes soignés.
- Le mode multijoueur permet de partager des moments absurdes avec des amis, rendant l’expérience encore plus amusante.
- Cependant, le gameplay est extrêmement minimaliste, ce qui peut dérouter ceux qui préfèrent l’action rapide.
- Stone Simulator est une curiosité à tester pour ceux qui cherchent une expérience zen et décalée.
Un concept minimaliste, mais singulièrement hypnotique
Sorti en août 2025, Stone Simulator t’invite à « juste être une roche ». Le temps passe, les saisons défilent, tu observes, sans bouger, avec une sérénité presque méditative. Le jeu se décrit comme une expérience zen… ou absurde, selon ton humeur.
Le rendu visuel, grâce à Unreal Engine 5, ajoute une vraie profondeur : l’eau, les montagnes, la végétation autour de ta pierre sont d’un soin esthétique qui rend l’immobilité fascinante.
Et maintenant… le multijoueur !
La grande nouveauté ? On ne reste plus seul dans sa roche : le mode multijoueur permet désormais à jusqu’à 4 joueurs de partager l’expérience. Tu peux créer un lobby privé ou rejoindre un public, et être une pierre avec des potes. Oui, c’est aussi drôle que ça en a l’air.
Tu peux même te téléporter, changer de position de repos et débloquer des succès absurdes (oui, “changer de place 10 fois pour un succès”, ça existe).
Pourquoi ce jeu vaut le détour
- Pour les amateurs d’expériences différentes : pas de grand affrontement, pas de rush, juste… le temps.
- Pour les streamers ou créateurs : un concept “meme” parfait : “Tu es une pierre”.
- Pour les communautés ou amis : le multijoueur repose sur un humour discret et l’absurde, mais ça fonctionne.
- Pour la technique : Unreal Engine 5 donne à ce jeu “assis dans une pierre” une vraie mise en scène.
Quelques bémols à noter
- Le gameplay est extrêmement minimaliste : si tu cherches de l’action non-stop, ce n’est pas ici.
- Le concept repose énormément sur l’humour ou l’absurdité : pour certains cela peut manquer de “substance”.
- Le côté contemplatif et lent peut être déroutant après des jeux hyper-dynamiques.
Verdict
Stone Simulator ne cherche pas à révolutionner le jeu vidéo traditionnel. Il revendique son statut d’expérience différente, légère et décalée. Le passage en multijoueur lui donne encore plus de charme : partager ce “être une pierre” avec d’autres rend l’immobilisme… communautaire.
Si tu es prêt à ralentir, à te poser, à observer… avec des potes, alors ce jeu est une belle curiosité à tester.
Ma note : 7/10
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Satisfactory : arrive cette semaine sur PS5 & Xbox Series
Bonne nouvelle pour les fans d’usines automatisées : Satisfactory débarque sur PS5 et Xbox Series cette semaine, le 4 novembre 2025. Le lancement console s’accompagne des améliorations déjà introduites par la mise à jour 1.1 : support manette peaufiné, mode photo repensé, optimisations de perfs et qualité de vie pour construire plus vite et mieux.
Une version console attendue
Après un long succès sur PC, Satisfactory s’ouvre enfin aux joueurs console. Objectif : proposer la même expérience d’automatisation géante, d’exploration et d’optimisation logistique — depuis son canapé, manette en main.
Ce qu’apporte la mise à jour 1.1
- Support manette complet (idéal pour PS5 & Xbox Series)
- Mode Photo retravaillé pour sublimer vos mégafactories
- Améliorations de performance et ergonomie de construction (outils, placements, logistique)
- Ajustements et optimisations pour un démarrage console plus fluide
Ce qu’il faudra surveiller au lancement
- Fluidité & chargements sur consoles next-gen
- Ergonomie des outils de construction à la manette
- Sauvegardes cloud / fonctionnalités en ligne et stabilité en coop
Verdict
Avec son mélange d’action, de planification et d’optimisation XXL, Satisfactory sur consoles a tout pour séduire une nouvelle vague de pionniers. La 1.1 pose des bases solides : si l’adaptation manette tient ses promesses, on tient un lancement de la semaine à ne pas rater.
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Sony tease la PS6 : premières infos prometteuses sur les technologies à venir
Sony vient d’ouvrir le bal autour de la prochaine génération PlayStation, sans pour autant prononcer le nom officiel « PS6 ». Une vidéo technique récemment publiée met en lumière de nouvelles technologies — Neural Arrays, Radiance Cores, Universal Compression — laissant entrevoir ce que pourrait être la console de demain.
Un teasing méthodique plutôt qu’une annonce officielle
Dans cette vidéo, Sony invite Mark Cerny (architecte PlayStation) à dialoguer avec un expert d’AMD. Ensemble, ils dévoilent les technologies censées être au cœur d’un Project Amethyst, supposée feuille de route pour une console future. Mais à aucun moment le terme PlayStation 6 n’est mentionné : le constructeur joue la carte du teasing bien dosé pour susciter l’intérêt sans s’engager définitivement.
Les technologies qui font parler
- Neural Arrays : unités de calcul dédiées à l’intelligence artificielle, probablement utilisées pour l’upscaling et des traitements visuels avancés.
- Radiance Cores : cœurs logiques axés sur l’amélioration du ray tracing et de l’éclairage, voire du path tracing.
- Universal Compression : technologie pour optimiser la bande passante, réduire les temps de chargement et transférer rapidement de grandes quantités de données.
Ces noms techniques pourraient sembler marketing à première vue, mais ils posent les jalons d’innovations visuelles et de performances qui pourraient placer la prochaine PlayStation dans une nouvelle dimension.
Ce que cela laisse entrevoir
- Une rétrocompatibilité renforcée, notamment avec la série PS5, grâce à la continuité technique.
- Une console qui pourrait pousser le graphisme en temps réel, avec des effets de lumière et d’ombre très poussés.
- Une focalisation sur la fluidité, les temps de chargement réduits, et une meilleure circulation des données entre mémoire, disque et rendu.
- Des interrogations restent : quel sera le prix ? Une version sans lecteur physique est-elle envisageable ? La compatibilité avec les supports physiques sera-t-elle sacrifiée à l’ère du dématérialisé ?
Pourquoi cette opération de teasing est stratégique
Sony prépare le terrain avant l’annonce officielle. En publiant un contenu technique mais non définitif, la marque capte l’attention des passionnés, alimente les discussions médias, et installe une attente sans prendre de risque. La PS5 fêtera bientôt ses 5 ans : c’est le bon moment pour commencer à esquisser ce que pourrait offrir la suite.
Mon ressenti : l’ombre d’une PS6 déjà palpable
On n’a pas encore de confirmation officielle, mais ce teaser met en lumière une ambition claire : pousser les limites techniques et visuelles. Je suis intrigué — ces technologies, si elles se concrétisent, pourraient transformer l’expérience PlayStation.
Pour l’instant, c’est un jeu de patience et d’observations. Mais le décor est posé, les promesses sont là.
