Séries TV
The Walking Dead s’élargit avec « The Ones Who Live »

La célèbre franchise de zombies, The Walking Dead, est sur le point de s’enrichir avec une nouvelle série très attendue, « The Ones Who Live ». Ce spin-off, prévu pour une première diffusion le 25 février 2024 sur les chaînes AMC et AMC+, marquera le retour des personnages emblématiques Rick Grimes et Michonne.
Après des années de suspense, la série promet de révéler le mystère entourant la disparition de Rick Grimes, interprété par Andrew Lincoln. Suite à un accident tragique dans la saison 9, Rick avait été capturé par une organisation mystérieuse, laissant derrière lui des proches le croyant mort. En parallèle, Danai Gurira, dans le rôle de Michonne, semblait partir à sa recherche, découvrant des indices de sa survie.
Le spin-off « The Ones Who Live » va non seulement explorer les parcours individuels de Rick et Michonne, mais aussi leurs retrouvailles, créant une dynamique intrigante dans un monde ravagé par une apocalypse zombie. Le synopsis promet une immersion dans un « monde construit sur les cendres d’une guerre avec les morts », offrant ainsi une perspective nouvelle et passionnante sur l’univers étendu de The Walking Dead.
L’annonce de cette série suscite de grandes attentes parmi les fans, notamment en France, où la disponibilité sur les plateformes de streaming reste à confirmer. La série pourrait potentiellement être diffusée sur Paramount+, qui a récemment diffusé la première série spin-off centrée sur Daryl Dixon.
Ce développement ne signifie pas la fin de l’expansion de l’univers de The Walking Dead. La série Daryl Dixon est actuellement en production pour une deuxième saison, et le showrunner Scott M.Gimple a évoqué la possibilité d’une douzième saison pour la série principale. Il espère voir toutes les séries dérivées converger d’une certaine manière, bien que l’idée d’un crossover direct n’ait pas encore été envisagée.
Avec « The Ones Who Live », la franchise The Walking Dead promet de continuer à captiver son public, explorant de nouvelles dimensions narratives dans son monde post-apocalyptique déjà richement développé.

Séries TV
El Refugio Atómico (Netflix) : une dystopie imparfaite mais captivante

Avec El Refugio Atómico (Billionaires’ Bunker), Alex Pina, le créateur de La Casa de Papel, signe une nouvelle série Netflix ambitieuse : un huis clos sous tension où des milliardaires se réfugient dans un bunker face à la menace nucléaire. Un concept fort, porté par une mise en scène intrigante, même si l’écriture reste parfois inégale.
Un point de départ prometteur
Le pitch avait tout pour séduire : enfermer des ultra-riches dans un espace clos et explorer leurs rivalités, leurs secrets et leurs failles. Le premier twist, qui révèle que le bunker n’est pas ce qu’il paraît, installe une atmosphère de méfiance et de manipulation digne d’un thriller. Cette idée de départ fonctionne et captive rapidement le spectateur.
Entre tension dramatique et clichés
La série multiplie les conflits : héritages, trahisons, romances interdites. Si certains passages tombent dans la caricature (le père machiste, la romance trop prévisible), l’ensemble reste efficace grâce à un rythme bien soutenu. L’écriture n’atteint pas la subtilité de La Casa de Papel, mais elle parvient à maintenir l’attention.
Certains personnages tirent leur épingle du jeu, comme la grand-mère Frida, qui apporte une profondeur inattendue et une vraie originalité au récit.
Une critique sociale en arrière-plan
El Refugio Atómico esquisse une critique des ultra-riches et du capitalisme, mais sans aller au bout de ses ambitions. Ce sous-texte, parfois trop discret, aurait mérité plus de force. Malgré cela, l’ambiance oppressante du huis clos et la tension dramatique compensent ces manques.
Verdict : imparfait mais prenant
Malgré des stéréotypes et une écriture parfois trop appuyée, El Refugio Atómico reste une série prenante. L’idée de base est solide, le rythme efficace, et certains personnages marquent les esprits. Si tu aimes les drames sous tension avec un parfum de dystopie, tu y trouveras ton compte.
Note : 7/10
Séries TV
Black Rabbit (Netflix) : un drame familial sombre qui intrigue et captive

Avec Jude Law et Jason Bateman en tête d’affiche, Black Rabbit s’impose comme l’un des événements Netflix de la rentrée. Mini-série dramatique et sombre, elle plonge dans une histoire de fraternité, de dettes et de secrets inavouables. Un récit imparfait, parfois confus, mais qui réussit à tenir en haleine grâce à son ambiance et son duo d’acteurs charismatiques.
Jude Law et Jason Bateman, un duo qui fonctionne
Le point fort de la série est indéniablement son casting. Jude Law incarne Jake Friedken, un restaurateur new-yorkais marqué par un passé trouble, tandis que Jason Bateman interprète Vince, son frère rongé par ses erreurs. Ensemble, ils livrent une prestation intense, faite de silences lourds et de tensions familiales palpables.
Visuellement, Black Rabbit soigne son esthétique. Entre plans nocturnes de New York et atmosphère de polar urbain, la mise en scène installe une ambiance captivante qui colle parfaitement au ton dramatique.
Une intrigue riche, parfois trop
Le scénario multiplie les pistes : dettes, rivalités, drames personnels… Cette densité peut parfois brouiller le rythme et perdre en clarté. Mais cette complexité narrative apporte aussi une profondeur appréciable, loin des formats trop simplistes.
La série réussit surtout à proposer des moments marquants, comme certaines scènes de rupture émotionnelle qui laissent un vrai impact. On sent que la mise en scène et l’écriture cherchent à provoquer le spectateur, quitte à le désorienter.
Une série imparfaite mais prenante
Black Rabbit n’est pas exempte de défauts : intrigue parfois confuse, personnages pas toujours attachants. Mais l’ambiance sombre, le soin visuel et le jeu habité de ses acteurs en font une série qui mérite le coup d’œil. Un bon thriller à rebondissement !
C’est un drame familial avec des touches de thriller qui, sans révolutionner le genre, parvient à tenir son spectateur jusqu’au bout.
Note : 7/10
Séries TV
Les 5 séries à ne surtout pas manquer en cette rentrée 2025

L’été touche à sa fin, mais la rentrée s’annonce bouillonnante côté séries. Entre thrillers haletants, univers post-apocalyptiques et retours très attendus, les plateformes de streaming dégainent leurs plus grosses cartouches. Voici notre sélection des 5 séries à binge-watcher absolument dès ce mois de septembre.
1. Daryl Dixon Saison 3 (Paramount+)
Disponible dès le 8 septembre
Après la France, Daryl poursuit son périple en Espagne. Accompagné de Carol, il devra affronter de nouveaux dangers, entre survivants hostiles et hordes de rôdeurs. Un spin-off de The Walking Dead toujours aussi sombre, avec une ambiance européenne inédite.
À voir si tu aimes : les univers post-apocalyptiques, la survie, l’action à l’européenne.
2. Task (HBO Max)
Sortie le 8 septembre
Un thriller psychologique qui frappe fort : un agent du FBI enquête sur une série de cambriolages ultra violents, orchestrés par un mystérieux père de famille. Tensions, mensonges et double vie… tout est là pour tenir en haleine jusqu’au bout.
À voir si tu aimes : les intrigues complexes, les twists inattendus, les ambiances urbaines tendues.
3. Gen V Saison 2 (Prime Video)
Disponible le 17 septembre
L’univers déjanté de The Boys revient avec une deuxième saison encore plus explosive. Les jeunes super-héros sont confrontés à des choix moraux difficiles, entre trahisons, manipulations et lutte pour la vérité.
À voir si tu aimes : les super-pouvoirs qui dérapent, les séries satiriques et violentes, les antihéros.
4. Alice in Borderland Saison 3 (Netflix)
Sortie le 25 septembre
Alors qu’ils pensaient avoir quitté l’enfer des jeux, Arisu et Usagi découvrent une réalité encore plus inquiétante. Disparitions, énigmes, et retour forcé dans un monde alternatif : cette saison s’annonce plus intense que jamais.
À voir si tu aimes : les énigmes, le suspense japonais, les univers dystopiques.
5. The Franchise (HBO Max)
Lancement le 22 septembre
Créée par Armando Iannucci (Veep), cette comédie suit une équipe de tournage catastrophique chargée de produire un film de super-héros. Entre egos surdimensionnés, problèmes techniques et production chaotique, on rit (beaucoup) jaune.
À voir si tu aimes : l’humour méta, les coulisses du cinéma, les anti-blockbusters.