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Anniversaire : Quand Crash Bandicoot était l’anti Mario 64

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Dans les années 90, SEGA avait Sonic ; Nintendo, Mario. Mais chez Sony, qui était la mascotte? Personne. Du moins, officiellement. Car dans les faits, Crash Bandicoot a toujours été l’ambassadeur de la PlayStation. C’était un personnage haut en couleur, prêt à tout casser, et bien différent de son concurrent, Super Mario 64.

Crash Bandicoot célèbre aujourd’hui son 25ème anniversaire. Il est sorti le 9 septembre 1996 aux Etats-Unis, uniquement sur PlayStation. Depuis, l’animal n’a pas pris une ride. Il reste ce marsupial intenable, friand de fruits Wumpas. Sa renommée en a toutefois pris un coup avec le temps. Son âge d’or remonte à ses premières aventures ; une véritable tornade où avec ses propres armes, il a tenu tête à Super Mario 64.

Une alliance entre Universal, Naughty Dog et Sony

Au fil de son développement, Crash Bandicoot a évolué. Il a changé de nom (Willy the Wombat) mais aussi de visage. A l’époque, il était plus agressif. Pour le rendre plus mignon, ses yeux et son sourire carnassier ont été modifiés. Ces changements ont convaincu Sony. Le Japonais a alors contacté Universal, l’ayant droit. Il a discuté, puis sorti le chéquier. Et c’est ainsi que Crash est devenu une exclusivité.

A sa sortie, le jeu fait un carton. Ce titre repose sur des commandes simples, un gameplay efficace, et parvient à surfer sur la vague PlayStation. En un clin d’oeil, Crash Bandicoot est propulsé sur le devant de la scène. Il obtient alors les faveurs du public… quitte à éclipser Super Mario 64. Avec le temps, cela s’est toutefois inversé. Mario 64 a écrit l’Histoire du jeu vidéo ; Crash n’en est qu’un simple acteur.

Il s’agit en fait de deux jeux très différents. Crash Bandicoot a une culture américaine. Il s’inspire des Looney Toons, notamment pour ses animations. Et surtout, son concept est à l’opposé d’un Mario 64. Oui, ce sont deux jeux de plateforme. Mais ils ne se ressemblent en rien.

Crash Bandicoot et Super Mario 64 : deux philosophies opposées

A l’époque, la 3D est une nouvelle technologie. En découvrant Virtua Fighter, tous les studios s’accordent à dire qu’il s’agit du futur. Mais comment l’adapter à la plateforme ? Naughty Dog hésite. Il multiplie alors les expériences, mais reste indécis. Résultat, Crash Bandicoot repose sur 3 gameplay différents. Il y a ces niveaux bonus, façon 2D. Ces courses-poursuites où Crash court vers la caméra; l’occasion d’admirer le minois du marsupial. Et les niveaux classiques, tout en profondeur. On ne voit alors que son dos, raison pour laquelle Naughty Dog appelait ça « Sonic’s Ass Game ».

Concept art de Crash Bandicoot — Source : all-things-andy-gavin.com

Il y a en revanche un dénominateur commun : tous les niveaux sont des couloirs. Il n’y a aucune liberté, contrairement à un Mario 64. Lui repose sur un gameplay à 360°; c’est un véritable bac à sables, une ode à la liberté. Mais aussi un jeu vide.

Au contraire, un Crash Bandicoot en met plein la vue. Ses niveaux sont étroits mais denses ; c’est joli, coloré, et c’est là le principal. En soi, Crash est hyper classique. Il ne cherche pas à révolutionner un genre; il veut uniquement aller à l’essentiel.

Le jeu n’est toutefois pas très accueillant. Crash Bandicoot, c’est une difficulté mal maitrisée, un jeu punitif du début à la fin. Il n’y a pas de montée en puissance, pas de sentiment de progression. A l’époque, une seule personne était responsable de ces niveaux. Il s’agissait alors de son premier job dans l’industrie, la première fois qu’il s’essayait au game design. Il manquait de repères et voulait simplement que chaque saut soit une épreuve.

Jamais Nintendo n’aurait laissé passer ça sur un Mario. Pour Naughty Dog, c’était en fait une erreur de jeunesse. Il a rapidement rectifié le tir ; dès le deuxième Crash, une équipe a été mise en place afin de rendre la série plus accessible.

Des suites à un rythme effréné

Pour le studio américain, il était évident d’enchainer sur une suite. Là où Mario 64 est un one-shot —presque un intemporel—, Crash marque le début d’une franchise. Le premier épisode a généré d’importants revenus, et tout le monde a souhaité en profiter.

Entre 1996 et 1999, quatre épisodes voient le jour. Il y a Crash 1, 2 et 3. A chaque suite, Naughty Dog ajoute de nouvelles choses. Les animations sont plus travaillées ; des mouvements inédits font leur apparition ; et des modes de jeu sont ajoutés. Dans Crash 3, l’animal se retrouve aux commandes d’un avion, par exemple. C’est alors la première fois qu’il évolue dans un monde à 360°.

Intro annulée de Crash Bandicoot 1, produite par Universal Animation — Sony voulait pousser la 3D et refusait donc une intro façon cartoon.

Le contrat entre Universal, Sony et Naughty Dog portait sur 3 jeux. Il est finalement décidé de l’étendre sur 4, avec Crash Team Racing. Pour la première (et dernière?) fois, Mario Kart a alors un concurrent de taille.

Sans surprise, CTR est un succès. Celui-ci est toutefois inférieur aux jeux de plateforme, trois jeux qui se classent parmi les 10 meilleures ventes de la PlayStation aux Etats-Unis. Le premier épisode se positionne d’ailleurs sur la première marche du podium ; il devance Gran Turismo et Final Fantasy VII.

Quand Harry rencontre Crash

Crash Bandicoot était mignon, rigolo, facilement reconnaissable. C’était la star d’une série aussi populaire au Japon qu’en Occident. Le marsupial est donc rapidement devenu une mascotte PlayStation. C’était toutefois un rôle officieux. Jamais Sony n’aurait accepté qu’il le devienne pour de vrai.

Crash était même un problème pour le Japonais. Il n’avait aucun contrôle sur cette licence. Alors, en secret, il a voulu créer son propre Crash Bandicoot.

A San Francisco, en 1997, une équipe a ainsi travaillé sur Harry Jalapeno. C’était là aussi un jeu de plateforme, tout en profondeur. Le projet a été annulé quelques mois plus tard, le studio étant incapable de produire un moteur aussi complexe que celui de Naughty Dog.

Déjà à l’époque, les Californiens brillaient par leurs prouesses techniques ; ils maitrisaient le hardware PlayStation comme personne. Pour Sony, le rachat du studio est devenu une évidence. En 2001, le Japonais est passé à l’action. Il s’est offert Naughty Dog, et ensemble, ils ont sorti Jak & Daxter.

Crash Bandicoot a forcément souffert de cette séparation. Universal a alors confié l’animal à différents studios. Plusieurs titres ont vu le jour mais aucun ne sortait du lot.

Au début des années 2000, Crash est une star sur le déclin. Il ne fait plus les grands titres et un constat s’impose : son âge d’or remonte à ses débuts.

Encore et toujours la trilogie Naughty Dog

Par le jeu des fusions et acquisitions, Crash Bandicoot est passé entre les mains de Vivendi puis a atterri dans celles d’Activision. Crash n’était qu’une licence de plus au sein d’un catalogue dominé par Skylanders et Call Of Duty.

En secret, Activision a toutefois préparé le retour du Marsupial. Pas d’aventure inédite à la clé, mais plutôt un remake des 3 premiers jeux. Le but était de surfer sur la vague de la nostalgie. Et avec son joli lifting, il s’adressait également aux nouvelles générations.

A sa sortie en 2017, N.Sane Trilogy est acclamé par la presse et le grand public. Tout le monde retombe sous le charme de Crash et plus de 10 millions d’exemplaires sont vendus. Pour un jeu de plateforme non estampillé Mario, c’est une performance remarquable.

Au fil du temps, Crash Bandicoot aura perdu de sa superbe. Il a effectué un départ canon puis n’a jamais réussi à se réinventer. Les gens se sont lassés mais jamais ils ne l’ont oublié.

Même chose pour Naughty Dog. Depuis, le studio californien a complètement changé de registre. Mais quand il s’agit de fermer le chapitre Nathan Drake, il n’hésite pas à y glisser un clin d’oeil appuyé à Crash Bandicoot.

Il y a toujours eu une forme de tendresse à l’égard de ce héros si particulier. Son design a su traverser les époques et il a conservé ce côté cool qui faisait déjà autrefois la différence. Crash Bandicoot a eu une vie mouvementée. Beaucoup plus que celle d’un Mario. Sa renommée et ses succès sont également inférieurs à ceux du moustachu. Mais Crash reste associé à de nombreux souvenirs. Et c’est ainsi que l’on devient éternel.

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La PS6 en approche, mais pour quoi faire ?

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Le temps passe et on parle de plus en plus de la PlayStation 6. De premiers détails fuitent, et chacun se pose cette même question : a-t-on besoin d’une console next-gen ?

Cet article est écrit en collaboration avec la newsletter substack « le Résumé Jeu Vidéo par Xavier ».

Yoshi P jette un pavé dans la mare

Dans une interview donnée à Feed4Gamers, Yoshi P s’est exprimé au sujet de la prochaine génération de consoles. « Quand j’observe les choses avec le regard d’un joueur, je me dis que nous n’avons pas besoin de nouvelles consoles. A l’heure actuelle, les gens sont pleinement satisfaits de leur Xbox Series X, PS5 ou Switch 2. Et il faut bien le dire : les consoles coûtent vraiment chères.« 

Les propos du producteur de Final Fantasy XIV et Final Fantasy XVI sont clairs. Et pourtant, chaque constructeur a en ligne de mire la next-gen. Au sujet de Sony, pas mal de rumeurs circulent ces derniers temps. On parle notamment d’une PlayStation 6 accompagnée d’une version portable, forcément moins puissante. Aucune date de sortie précise n’est partagée, mais on évoque souvent 2028. Ce ne serait pas illogique. Une génération de console dure généralement entre 6 et 8 ans. La PS5 est sortie en novembre 2020, le compte est bon.

Du côté de Sony, ces rumeurs n’ont jamais été commentées. Aucune console next-gen n’a été officialisée, aucun indice n’a été donné. Hideaki Nishino, PDG de PlayStation, a toutefois confirmé lors d’une réunion avec ses investisseurs que sa société réfléchissait activement à l’avenir de sa marque et de sa plateforme.

Quel héritage pour la PS5 ?

La PlayStation 5 est un immense succès pour Sony. Malgré un prix qui ne baisse pas —et qui au contraire augmente—, en dépit d’une pénurie de composants et du COVID, la PS5 suit les traces de la PS4 avec 80 millions de consoles en presque 5 ans. Plus fort encore, cette génération est celle qui a généré des bénéfices records pour le Japonais. La PS5 fait même mieux que toutes les précédentes consoles… additionnées.

Extrait des comptes de PlayStation.

La PS2 avait autrefois le lecteur DVD ; la PS3 le Bluray ; la PS4 ce gain de puissance supplémentaire… La PS5 est quant à elle la console du confort. Elle permet de jouer en 4K à une époque où la plupart des foyers est équipée d’un téléviseur UHD. Et surtout, elle réduit à peau de chagrin les temps de chargement. Ceux-ci ne durent désormais qu’une poignée de secondes, et sont même invisibles sur certains titres. Ces deux arguments peuvent paraître légers, mais il est difficile de retourner en arrière quand on a connu cela. Et surtout, les chiffres parlent pour eux-mêmes : la PS5 porte la marque PlayStation.

Une course à la puissance désuète

Une nouvelle génération de consoles est souvent marquée par de meilleurs graphismes. Ce sera évidemment le cas avec la PS6 où on s’approchera un peu plus du photo-réalisme. Le problème est que la course aux graphismes et à la puissance a de moins en moins d’intérêt.

Il faut désormais beaucoup de travails pour de simples détails ; cela demande beaucoup de temps pour un gain qui est plutôt faible. On reprend notre exemple avec les remakes de Final Fantasy VII. Entre le premier et le deuxième épisode, Cloud a doublé son nombre de polygones. Le jeu est-il pour autant deux fois plus beau ? La réponse est non.

A gauche, Cloud sur PS4. A droite, Cloud sur PS5.

Une console plus puissante signifie également une machine plutôt chère. Or, on vit à une époque où 5 ans après sa sortie, la PS5 coûte 550€ avec un lecteur de disque ; la PS5 Pro est quant à elle proposée à 800€… sans lecteur physique. A combien faudrait-il alors s’attendre si une PS6 devait sortir d’ici deux ou trois ans ? On ignore la réponse mais on se dit que ce serait forcément très élevé.

Cette génération est également marquée par deux phénomènes. Le premier est des temps de développement qui dure parfois 5 ou 7 ans. Par exemple, un studio comme Naughty Dog n’a toujours pas sorti de jeux originaux sur cette génération —uniquement des remasters ou remakes. Le deuxième phénomène est la popularité des jeux-services, souvent sous la forme de Free-To-Play. Environ 30% des joueurs console jouent à Fortnite, et le top 10 des jeux-service représente environ 50% du temps de jeu sur PlayStation et Xbox. Or, il s’agit souvent de jeux ayant un certain âge et donc un certain rendu : Apex, Minecraft, Fortnite, GTA…

Pour faire simple, les nouvelles générations se fichent des graphismes. Et c’est pour cela que la PlayStation 6 et la Xbox Next-Gen auront un sacré défi à relever à leur sortie.

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007 First Light : James Bond dévoile son premier gameplay, sortie prévue en mars 2026

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007 First Light, le nouveau jeu vidéo James Bond développé par IO Interactive (Hitman) en partenariat avec Amazon MGM Studios, a révélé sa première séquence de gameplay lors du PlayStation State of Play.

Le titre sortira le 27 mars 2026 sur PS5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch 2 et PC, et il est déjà disponible en précommande.

Une histoire originale qui explore les débuts de James Bond

Dans ce nouvel opus, James Bond n’est pas encore l’espion accompli que l’on connaît. Le jeu proposera une histoire inédite, centrée sur les origines du héros.

Le casting vocal et motion capture a été dévoilé :

  • Patrick Gibson (Dexter: Original Sin, The OA) incarnera James Bond.

  • M (Priyanga Burford), Q (Alastair Mackenzie) et Miss Moneypenny (Kiera Lester) feront partie de l’aventure.

  • De nouveaux personnages apparaîtront, dont John Greenway (Lennie James, Fear the Walking Dead) et Miss Roth (Noemie Nakai).

Un gameplay pensé pour l’espionnage et la créativité

IO Interactive met en avant son Approche Créative, une philosophie de design qui laisse une grande liberté au joueur.

Spycraft

L’observation, la discrétion et l’infiltration seront essentielles pour atteindre ses objectifs.

Instinct

Une mécanique qui permet à Bond d’improviser, de piéger ses ennemis, de bluffer lors d’une détection ou d’améliorer sa précision en combat.

Gadgets de Q

Crochetage, piratage, diversions… Les outils emblématiques évolueront au fil du jeu et offriront de nouvelles options stratégiques.

Combats fluides et cinématographiques

Le système alterne entre tirs précis, combats rapprochés dynamiques et mises en scène spectaculaires, pour retranscrire le style unique de l’agent 007.

Des missions variées

La présentation a montré deux environnements emblématiques :

  • Une mission d’infiltration lors d’un tournoi d’échecs en Slovaquie.

  • Une séquence prestigieuse dans un gala londonien à Kensington.

Le jeu inclura également des séquences cinématographiques intenses : courses-poursuites, fusillades, affrontements dans un avion piraté ou encore sauts dans le vide.

Prix et bonus de précommande

Toute précommande donne accès gratuitement à la mise à niveau vers l’édition Deluxe.

007 First Light, la nouvelle référence de James Bond ?

Avec ce projet, IO Interactive ambitionne de créer l’expérience James Bond ultime.
Si la promesse est tenue, 007 First Light pourrait devenir pour 007 ce que la saga Batman Arkham a été pour le Chevalier Noir : une référence incontournable du jeu vidéo d’action et d’espionnage.

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PlayStation Plus : les jeux de septembre 2025 disponibles aujourd’hui

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Voici la liste des jeux offerts sur le PlayStation Plus Essential en septembre 2025.

C’est la rentrée pour tout le monde, et le PlayStation Plus donne envie de rester chez soi pour jouer. On a souvent connu des mois décevants. Septembre 2025 est différent. Il y a du bon et même du très bon… à condition de ne pas y avoir déjà joué.

Jeux PS4 et PS5 offerts sur le PS Plus en septembre 2025

A compter de ce mardi 2 septembre, tous les abonnés au PlayStation Plus peuvent télécharger sans surcoût :

  • Psychonauts 2 (PS4)
  • Stardew Valley (PS4)
  • Viewfinder (PS4/PS5)

Ces trois titres succèdent à Lies Of P, DayZ et My Hero One’s Justice 2 qui avaient été offerts en août.

La sélection est intéressante. Psychonauts 2 est un excellent jeu de plateforme qui trône fièrement à 87/100 sur Metacritic. Ce jeu a été conçu par Double Fine, un studio dont la maison mère n’est autre que Microsoft.

Stardew Valley est quant à lui un classique, un titre qui date de 2016. Comme quoi, être patient paye par moment. C’est un jeu de rôle où on doit notamment gérer sa ferme. C’est également une belle histoire, celle d’un homme, Eric Barone, qui a développé seul ce jeu pendant 5 ans. Cela a été compliqué, il y a eu des hauts et des bas, mais grâce au soutien sans faille de sa compagne, il a réussi. Eric Barone a même eu droit à un chapitre entier dans Blood, Sweat & Pixels, un livre passionnant revenant sur les coulisses de nombreux jeux, dont Stardew Valley.

Beaucoup feront remarquer que Stardew Valley s’est vendu à 40 millions d’exemplaires. De ce fait, nombreux sont ceux qui possèdent déjà le jeu. Certes. Son inclusion sur le PlayStation Plus permettra toutefois de toucher un nouveau public —ceux qui pensent ne pas être intéressés par ce type de jeu— mais aussi les plus jeunes, ceux qui, en 2016, jouaient peu. On notera également que ce titre n’est offert que sur PS4 alors qu’autrefois, il était cross-buy PS Vita.

Enfin, le troisième et dernier jeu est Viewfinder. Il s’agit d’un jeu d’énigmes à la première personne dans lequel vous pouvez notamment vous balader dans les clichés pris à travers un appareil photos. C’est pour le moins original et ça dure environ 4 à 6h.

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