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E3 – Preview: FIFA 17 veut faire sa révolution

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Electronic Arts voit grand pour son FIFA 17 et a ainsi opéré de nombreux changements avec cette nouvelle mouture, à commencer par son joueur vedette qui s’affichera fièrement sur les différents documents promotionnels du jeu en plus de la pochette: exit Messi, place à James Rodriguez, Colombien acheté à prix d’or par le Real Madrid après une bonne Coupe du Monde au Brésil, mais qui, depuis, cire le banc de touche de la maison Blanche. L’analogie est facile: à vouloir viser trop haut, FIFA 17 peut-il lui aussi se planter et perdre sa place de titulaire, un poste qu’il occupe depuis de longues années maintenant?

e3_preview_fifa_17_ps4_one_pc_9Avant de commencer à parler de FIFA 17, il est important de rappeler que nous avons seulement joué à une version preview du jeu. Cela signifie donc qu’il ne s’agit en aucun cas de la version finale et que de nombreuses choses sont amenées à évoluer d’ici le 29 septembre, date de sortie du jeu. L’an passé, par exemple, il y avait d’immenses différences entre le FIFA 16 essayé fin mai et le jeu commercialisé fin septembre. Le développement de FIFA 17 n’est toujours pas terminé et de nombreuses choses vont être modifiées au cours des prochaines semaines. On pense par exemple aux graphismes qui devraient, nous promet-on, faire un petit bond en avant avec un éclairage amélioré par rapport à ce que l’on a pu voir. On espère que cela donnera alors un petit coup de fouet au rendu global, car si on le juge sur son aspect visuel, ce FIFA 17, dans sa version preview, était décevant. La migration vers le Frostbite Engine, effectuée avec l’aide de DICE après plus de deux ans de travail, se remarque ainsi très difficilement et il y avait même un petit sentiment de régression à cause de cette pelouse qui n’apparaissait (presque) jamais lors des ralentis. On compte bien de nouvelles animations —EA indique en avoir ajouté énormément— mais au final, on retiendra surtout que l’évolution graphique entre FIFA 16 et cette preview de FIFA 17 était extrêmement mince.

Après avoir joué plusieurs heures à cette preview de FIFA 17, c’est d’ailleurs un petit sentiment général de déception qui dominait. Le jeu n’est pas mauvais —on peut même le juger plutôt bon—, mais il peinait à refléter la présentation orale/powerpoint d’Electronic Arts pendant laquelle le géant américain se montrait extrêmement ambitieux. «Le plus grand nombre de changements jamais effectués dans un FIFA» annonçait ainsi fièrement EA en ouverture. Mais l’utilisation du Frostbite Engine n’a apporté, pour le moment rappelons-le, aucun effet wow, et toutes les améliorations liées au gameplay ne sautaient pas non plus forcément aux yeux. Tout en gardant bien à l’esprit que cela est amené à évoluer, on retiendra principalement un rythme plus lent que dans FIFA 16, notamment influencé par des transmissions de balles à faibles allures si on ne maintient pas R1/RB et des joueurs qui, à l’arrêt, peinent un peu à tourner sur eux-mêmes. La construction en partant de loin était également facilitée par un pressing plus faible venant des attaquants adverses et défendre était aussi un peu plus difficile, les tacles debout étant plus rigides.

e3_preview_fifa_17_ps4_one_pc_3Il y a bien des nouveautés de gameplay dans FIFA 17, mais les changements n’étaient pas si évidents à voir en pleine partie. Electronic Arts a ainsi évoqué des joueurs qui prendraient davantage les espaces et multipliraient les appels et contre-appels. Concrètement, en jeu, il fallait marteler L1 – LB afin que les ailiers acceptent d’offrir des solutions et les fameux contre-appels ne se sont pas vus. Il est néanmoins important de noter que les joueurs continuaient leurs efforts sur plusieurs mètres, permettant alors de procéder à des 1-2-3 du plus bel effet qui avaient l’avantage de surprendre l’adversaire et de dynamiser les rencontres. Autre nouveauté bien sentie, la gâchette gauche qui permet d’imposer son physique en toute situation, chose déjà un peu vue auparavant cela dit en passant. Appuyer sur L2 – LT permet ainsi de mieux conserver la balle ou de mettre son corps en opposition lorsqu’un ballon arrive au sol ou depuis les airs. Le jeu épaule contre épaule a aussi été retravaillé et bénéficie à nouveau de la gâchette gauche, bien qu’à plusieurs reprises, on ait pu voir nos défenseurs faire valdinguer un adversaire d’une petite charge, sans même utiliser L2-LT.

De manière générale, on recensait un bon équilibre entre les attaquants et les défenseurs, ces derniers étant généralement bien en place et couvrant bien les espaces. Une chose très rassurante alors qu’EA a en fin de compte surtout insisté sur le jeu offensif au cours de sa présentation de FIFA 17. Les milieux créateurs peuvent ainsi délivrer des passes en profondeur enroulées, à la manière de Kakà pour Crespo lors de la finale de 2005 opposant le Milan AC à Liverpool, tandis qu’il est désormais possible de réaliser de puissantes frappes à ras de terre en appuyant une seconde fois sur le bouton de tir. Quant aux gardiens, alors qu’ils sont très bons sur FIFA 16 malgré encore quelques difficultés à bien capter un ballon filant au premier poteau, ils étaient ici capables du meilleur comme du pire, relachant parfois la balle bêtement avant d’enchaîner avec un magnifique arrêt réflexe.

e3_preview_fifa_17_ps4_one_pc_2La grande nouveauté de gameplay de ce FIFA 17 se trouve néanmoins lorsque l’arbitre met son sifflet à la bouche : les coups de pieds arrêtés ont été largement revus afin d’offrir plus de choix. Concrètement, au moment de tirer un corner, il est possible d’afficher une petite cible sur le terrain afin de savoir plus ou moins précisément dans quelle zone atterrira le ballon. Il en va de même pour les coups-francs qui peuvent cependant toujours se tirer comme autrefois, même si on note là une petite révolution : on peut prendre un plus grand élan et se déplacer autour de la balle afin de la frapper de l’extérieur du pied, tel Roberto Carlos. Cette fonctionnalité est aussi présente sur les pénos, permettant alors de faire de petits tirs placés ou, au contraire, de balancer une grosse mine sous la barre après une longue course. On a effectivement su reproduire cela, mais on a aussi vu des tirs partir n’importe car le joueur étant finalement très mal positionné au moment de frapper son tir au but. Avec un peu d’expérience, cela ne devrait pas poser de grands problèmes, mais lors de vos premiers matchs, attendez-vous à être parfois surpris. Enfin, on n’oubliera pas d’évoquer qu’il est maintenant possible de se déplacer légèrement le long de la ligne de touche lorsqu’il s’agit de remettre le ballon en jeu.

Outre l’introduction d’un nouveau moteur et d’un gameplay comme toujours revu, l’autre grand chantier de FIFA 17 se nomme le mode Journey, une sorte de mode histoire truffé de cinématiques dans lequel on suit le parcours d’Alex Hunter, un joueur anglais ayant l’ambition de percer en Premier League. Il s’agira naturellement de réaliser de solides performances lors des entraînements afin de taper dans l’oeil de l’entraîneur et de grapiller quelques minutes de jeu à chaque rencontre. Electronic Arts nous promet de l’émotion et une expérience immersive, certaines séquences se déroulant dans les vestiaires, les couloirs du stade, l’avion ou les buraux des dirigeants. De ce que nous avons pu découvrir, c’était réussi. Voir José Mourinho —tous les entraîneurs de PL sont modélisés et Hunter avait rejoint Manchester United dans cette partie—, réclamer notre entrée en jeu alors que les Red Devils sont tenus en échec par Liverpool, avait son charme. Après le match, un écran détaillait nos statistiques et revenait sur nos objectifs, puis il fallait répondre aux questions des journalistes, FIFA 17 offrant alors plusieurs types de réponses différentes, chacune ayant normalement une influence sur le reste de l’aventure. Au moment d’évoquer notre satisfaction pour ce premier match officiel en PL, nous avons ainsi renforcé notre popularité sur les réseaux sociaux.

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Le mode Journey de FIFA 17 est donc une sorte de Deviens Pro en plus évolué, en plus scénarisé mais aussi avec visiblement quelques restrictions. Il semblerait ainsi qu’il soit uniquement possible de jouer dans le championnat anglais où on nous promet toutefois une expérience différente dans chaque écurie, tous les clubs n’ayant pas les mêmes ambitions. De plus, seul Alex Hunter devrait être jouable —inutile d’espérer pouvoir se glisser dans la peau de jeunes joueurs ayant encore beaucoup à prouver (Martin Odegaard, Hachim Mastour) ou ayant déjà montré d’immenses qualités (Gianluigi Donnarumma) à leur âge— et on peut se demander s’il sera possible d’évoluer à un autre poste qu’en attaque.

e3_preview_fifa_17_ps4_one_pc_4Sur le papier, ce FIFA 17 s’annonce extrêmement ambitieux : un nouveau moteur, un gameplay qui revoit de nombreux points et un nouveau mode de jeu scénarisé pour les joueurs solo. Mais manette en main, les changements n’étaient pas si flagrants. Dans sa version preview, le jeu était bon, mais il donnait l’impression de ne pas exploiter l’ensemble de son potentiel ; un peu comme si un club de foot achetait plein de grands joueurs lors du mercato d’été mais livrait des prestations bancales lors des amicaux, tout le monde étant à court de forme. Ce FIFA 17 laisse donc un goût d’inachevé et c’est véritablement un jeu que l’on veut revoir car après tout, une révolution, ça demande du temps.

FIFA 17 sortira le 29 septembre sur PC, Xbox One, Xbox 360, PlayStation 4 et PlayStation 3. Seules les versions PC, Xbox One et PS4 utiliseront le moteur Frostbite et bénéficieront du mode de jeu Journey.

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Sony tease la PS6 : premières infos prometteuses sur les technologies à venir

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Sony vient d’ouvrir le bal autour de la prochaine génération PlayStation, sans pour autant prononcer le nom officiel « PS6 ». Une vidéo technique récemment publiée met en lumière de nouvelles technologies — Neural Arrays, Radiance Cores, Universal Compression — laissant entrevoir ce que pourrait être la console de demain.

Un teasing méthodique plutôt qu’une annonce officielle

Dans cette vidéo, Sony invite Mark Cerny (architecte PlayStation) à dialoguer avec un expert d’AMD. Ensemble, ils dévoilent les technologies censées être au cœur d’un Project Amethyst, supposée feuille de route pour une console future. Mais à aucun moment le terme PlayStation 6 n’est mentionné : le constructeur joue la carte du teasing bien dosé pour susciter l’intérêt sans s’engager définitivement.

https://dai.ly/x9s2xly

Les technologies qui font parler

  • Neural Arrays : unités de calcul dédiées à l’intelligence artificielle, probablement utilisées pour l’upscaling et des traitements visuels avancés.
  • Radiance Cores : cœurs logiques axés sur l’amélioration du ray tracing et de l’éclairage, voire du path tracing.
  • Universal Compression : technologie pour optimiser la bande passante, réduire les temps de chargement et transférer rapidement de grandes quantités de données.

Ces noms techniques pourraient sembler marketing à première vue, mais ils posent les jalons d’innovations visuelles et de performances qui pourraient placer la prochaine PlayStation dans une nouvelle dimension.

Ce que cela laisse entrevoir

  • Une rétrocompatibilité renforcée, notamment avec la série PS5, grâce à la continuité technique.
  • Une console qui pourrait pousser le graphisme en temps réel, avec des effets de lumière et d’ombre très poussés.
  • Une focalisation sur la fluidité, les temps de chargement réduits, et une meilleure circulation des données entre mémoire, disque et rendu.
  • Des interrogations restent : quel sera le prix ? Une version sans lecteur physique est-elle envisageable ? La compatibilité avec les supports physiques sera-t-elle sacrifiée à l’ère du dématérialisé ?

Pourquoi cette opération de teasing est stratégique

Sony prépare le terrain avant l’annonce officielle. En publiant un contenu technique mais non définitif, la marque capte l’attention des passionnés, alimente les discussions médias, et installe une attente sans prendre de risque. La PS5 fêtera bientôt ses 5 ans : c’est le bon moment pour commencer à esquisser ce que pourrait offrir la suite.

Mon ressenti : l’ombre d’une PS6 déjà palpable

On n’a pas encore de confirmation officielle, mais ce teaser met en lumière une ambition claire : pousser les limites techniques et visuelles. Je suis intrigué — ces technologies, si elles se concrétisent, pourraient transformer l’expérience PlayStation.

Pour l’instant, c’est un jeu de patience et d’observations. Mais le décor est posé, les promesses sont là.

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Pourquoi le Game Pass a grandement augmenté ses prix?

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Le prix du Game Pass a pris 50% en une annonce. C’est plus que l’inflation, non?

Mercredi dernier, coup de tonnerre pour tous les abonnés Game Pass : le prix de l’abonnement a augmenté. Ou plutôt explosé. Une hausse de 50%, ce n’est pas rien, et la barre des 20€/mois a largement été franchie. A quoi joue Microsoft ?

Quels sont désormais les avantages du Game Pass?

Oui, le prix du Game Pass a augmenté. Mais le service a avant tout évolué. Il se veut plus flexible —il introduit le Game Pass Premium— et il offre plus de choses dans son offre Ultimate.

Voici comment se décomposent désormais les offres :

  • Le Game Pass Essential à 8,99€/mois
    • jeu en ligne
    • accès une cinquantaine de jeux
  • Le Game Pass Premium à 12,99€/mois
    • accès à 200 jeux, mais les productions Xbox Game Studios / Bethesda / Activision ne sont disponibles que dans les 12 mois de leur sortie, et Call Of Duty n’est pas inclus
  • Le Game Pass Ultimate à 26,99€/mois
    • accès à 400 jeux dont tous les titres Xbox Game Studios / Bethesda / Activision en Day 1, dont Call Of Duty
    • Ajout de l’EA Play qui coûte séparément 5,99€/mois
    • Ajout de l’Ubisoft+ Classics qui coûte séparément 7,99€/mois
    • Ajout du Club Fortnite qui coûte séparément 11,99€/mois

A cela, il faut également ajouter le cloud gaming et des avantages sur les jeux Riot Games.

Sur le papier, l’offre Ultimate reste une affaire en or. Si on additionne l’EA Play, l’Ubisoft+ Classics et le Club Fortnite, on monte déjà à 26€. Les joueurs ne paieraient alors que 1€ pour accéder à 400 jeux dont Call Of Duty dès sa sortie dans le commerce.

Les choses sont toutefois plus compliquées. L’EA Play et désormais l’Ubisoft+ Classics et Club Fortnite doivent normalement agir comme des bonus. L’intérêt du Game Pass a toujours résidé dans son catalogue de jeux récents, dont les titres first party. Et désormais, pour profiter de cela, il faudra débourser 26,99€/mois contre 17,99€/mois auparavant. On passe la barre psychologique des 20€ et même des 25€.

Pourquoi une telle augmentation du Game Pass Ultimate ?

Selon Bloomberg, la branche Xbox est une nouvelle fois mise sous pression par Microsoft. A la suite de l’inclusion de Call Of Duty Black Ops 6 dans le Game Pass, les chiffres n’ont pas explosé —il n’y a pas eu une hausse significative des abonnés.

Au contraire, ce cadeau auprès des clients Game Pass aurait représenté un manque à gagner de près de 300 millions de dollars pour l’Américain ; les ventes de Black Ops 6 auraient chuté sur PC et Xbox, ne représentant que 18% du total. La direction de Microsoft aurait alors exigé à sa division Xbox de redresser la barre.

Et dans ces cas là, quand on ne réussit pas à attirer de nouveaux consommateurs, on fait davantage payer ceux existants. Comme le rappelle la newsletter Le Résumé Jeu Vidéo, cette stratégie est déjà appliquée par pas mal d’acteurs dont Sony. La manette DualSense Edge à 220€ et la PS5 Pro à 800€ s’adressent à une niche, mais une niche qui a des moyens pour sa passion et qui passe à la caisse.

Il en va de même pour le PlayStation Plus. Le nombre d’abonnés stagne autour des 40/45 millions, mais le chiffre d’affaires augmente. Comment ? A travers les nouvelles offres Extra et Premium qui confèrent différents avantages contre un prix bien plus élevé que celui du PS Plus Essential. Le Game Pass suit la même direction. Microsoft exige une meilleure rentabilité, Call Of Duty a échoué. Il faut alors trouver l’argent auprès des fans de la marque.

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Battlefield 6 : un trailer live action qui se moque de Call Of Duty

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Electronic Arts s’attaque à Call Of Duty à travers la bande-annonce live action de Battlefield 6.

Quelques jours avant sa sortie, Battlefield 6 accélère sa campagne marketing avec la diffusion d’une nouvelle bande-annonce. Pas d’images du jeu cette fois-ci. Il s’agit en effet d’un live-action, un trailer en prise de vue réelle avec de vrais acteurs . Et ce sacré casting n’a qu’un seul but : parodier Call Of Duty.

Battlefield 6 se moque de Call Of Duty

Battlefield 6 ne tire pas à balles réelles sur Call Of Duty, mais l’intention y est. Il reprend le même principe, à savoir un joli cast composé de Paddy Pimblett, Zac Efron, Morgan Wallen et Jimmy Butler. Chacun porte une arme au skin plus ou moins discret, et prend la pose avec une certaine arrogance. C’est Hollywood, c’est Call Of Duty ; ce n’est pas Battlefield.

Après une explosion, ce petit groupe est rapidement remplacé par de vrais soldats qui font face à la vraie guerre. C’est brutal et violent ; les explosions laissent place à des nuages de poussière. On voit aussi différents accessoires qui se veulent réalistes et bien sûr, des tanks.

A travers ce trailer live-action, Battlefield 6 montre sa différence et entend jouer la carte du pseudo-réalisme face à Call Of Duty.

Battlefield 6 fait-il le poids face à Call Of Duty Black Ops 7 ?

Dans ce duel, Battlefield 6 n’est clairement pas le favori. Call Of Duty est un mastodonte du jeu vidéo et chaque épisode continue de se vendre à plusieurs dizaines de millions d’exemplaires.

Battlefield revient en plus de loin. Il reste sur deux échecs successifs —BF V et BF 2042— et a vu son studio DICE perdre de sa superbe comme le rappelle la Newsletter le Résumé du Jeu Vidéo.

Electronic Arts place beaucoup d’espoirs dans cet épisode. Disponible à partir du 10 octobre, Battlefield 6 doit réellement relancer la série. Le but à moyen terme serait de rivaliser pleinement avec Call Of Duty avec des jeux annuels et un Battle Royale —ce dernier pourrait prochainement être révélé.

Pour arriver à ses ambitions, Electronic Arts a débauché l’ancien directeur de la franchise Call Of Duty et a établi Battlefield Studios, une unité composée de différentes équipes, dont DICE.

La beta de BF6 cet été laissait entrevoir un jeu plutôt solide qui ne prenait aucun risque; c’était dans la veine d’un Battlefield 3, un épisode datant de 2011.

Quant à l’aspect réaliste, il ne faut pas s’attendre à du ArmA. En revanche, il a d’ores et déjà été annoncé que chaque skin proposé devra respecter l’univers Battlefield. Même son de cloche d’ailleurs du côté de Black Ops 7 où Activision affirme avoir refusé des collaborations avec de grosses marques.

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