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Les jeux de 2011 – 1ère partie

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2010 a été une bonne année. De tête, je pourrais citer God Of War 3, Alan Wake, Red Dead Redemption, Starcraft 2, Heavy Rain etc. La liste est longue.

Mais 2011 sera bien meilleure. Pour 3 raisons :

  • A Noël 2010, on n’a pas eu grand chose vu que tout a été repoussé à 2011
  • On aura toutes les suites de 2009
  • De nouvelles licences et des revenants.

Ce dossier, si on peut appeler cela comme ça, sera certainement en trois partis. Tout d’abord, un petit retour sur le genre qui va marquer l’année 2011 : le FPS. Puis, deux autres parties qui traiteront du début d’année 2011, et de Noël prochain. Commençons donc par les FPS.

Les F.P.S. en 2011.

Comme je l’indiquais un peu plus haut, 2011 sera marqué par l’arrivée de très nombreux FPS. Dès le premier semestre en fait, on en aura une demi-douzaine. Ainsi, en février, Bulletstorm et Killzone 3 débarqueront. Ce dernier supportera le PlayStation Move et la 3D, tandis que Bulletstorm est développé par les papas de Painkiller, et proposera, dans son édition Collector 360, un accès à la beta de Gears Of War 3.

Deux bonus qui ne devront pas faire oublier aux joueurs que ces jeux promettent bien plus. Killzone 3 sera une nouvelle fois une vitrine technologique de la PlayStation 3 et devrait proposer une action non-stop avec des boss gigantesques. Un mode coop en écran splitté sera également disponible, en revanche, pour du coop online, la réponse est non. Avec un peu de chance (et la pression des joueurs?), le jeu sera repoussé de quelques semaines afin de l’intégrer. Parce que l’écran splitté, c’est certes convivial, mais on n’a pas le même confort qu’en plein écran… Enfin, et c’est le point qui m’avait le plus déçu lorsque j’avais joué au jeu, on ne ressent plus le poids du personnage…

Bulletstorm est quant à lui bien différent de KZ3. J’irai même jusqu’à dire que ce sera un jeu artistique où il faudra laisser s’exprimer toute sa créativité afin d’engranger le plus de points possibles. De plus, lui aussi proposera de l’action à chaque instant  et des armes et affrontements qu’on ne devrait pas oublier. Un jeu où les développeurs se sont lachés pour proposer quelque chose qui devrait être fun. Mais sur le long terme…? Réponse en février.

Quelques semaines plus tard, Homefront, le jeu de THQ, se montrera, le 15 mars plus précisément, et proposera de grandes cartes avec véhicules etc. Puis, quelques jours après on retrouvera un autre jeu distribué par Electronic Arts, à savoir Crysis 2. Ce dernier nous proposera d’affronter des aliens dans les rues de New York. De quoi voir le tout nouveau moteur de Crytek en action, et comment seront traités les consoles par rapport à la version PC. Pour admirer Crysis 2 en mouvement (sur PC), je vous renvoie à cette news.

Puis, Portal 2 sortira en avril. Lui aussi distribué par EA, le jeu de Valve proposera plus de la réflexion. Je rappelle au passage que c’est lui qui a gagné le prix du jeu le plus attendu aux VGA. Et ce sera enfin au tour de Brink de montrer le bout de son nez. Brink est bien différent des autres FPS cités au dessus. Le jeu de Splash Damage (Enemy Territory) reposera en effet sur un design atypique, le jeu en équipe (système de classe et objectifs à remplir) et le S.M.A.R.T., système reprenant les bases du Parkour. Le jeu devrait sortir pour ce printemps.

Avant de parler des jeux de tirs de cette fin d’année, n’oublions pas non plus que le prochain Operation Flashpoint, F3AR, Bodycount, Duke Nukem Forever et Breach devraient/pourraient également paraître cet été…

Pour la rentrée des classes en septembre, on aura tout de suite deux très gros jeux. Resistance 3 tout d’abord, et RAGE, par Id Software. La suite de Resistance 2 et sa lutte contre les chimères. Contre RAGE et son (très impressionnant) moteur: l’Id Tech 5. L’un essayera de se racheter auprès des fans, tandis que le nouveau jeu de John Camarck nous fera découvrir son tout nouveau jeu qui s’annonce très complet : de l’action à la première personne, des courses de voitures, et la possibilité de créer ses propres armes.

Puis ce sera au tour de Call Of Duty 8 de sortir. Bon, ce dernier n’a pas été officiellement annoncé, mais je ne pense pas prendre trop de risque… De même, il est fort probable que Battlefield 3 sorte à ce moment là. Le jeu est en développement depuis un certain temps, et une beta aura lieu dans quelques semaines/mois…

Bref, il y aura énormément de F.P.S.cette année. Et ce qui est finalement intéressant, c’est de voir qu’EA publiera ou éditera pas mal de ces jeux!  Au premier semestre, Electronic Arts s’occupera donc de Bullestorm (février), Crysis 2 (mars) et Portal 2 (avril). Et en fin d’année, certainement Battlefield 3, s’il sort à ce moment là.

On retiendra aussi qu’on aura pas mal de suite, mais également de nouvelles licences. Bethesda par exemple proposera donc Brink et RAGE. Tandis que THQ s’occupera de Homefront et Codemasters de Bodycount. Enfin, comment ne pas parler de Duke Nukem Forever qui sortira, c’est certain, en 2011. Le jeu est plus ou moins terminé et une démo sera proposé prochainement en exclusivité aux personnes ayant acheté l’édition GOTY de Borderlands. Et dire qu’à l’époque, avant que Gearbox ne reprenne le jeu, DNF aurait dû sortir le 1er avril 2010…

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Sony tease la PS6 : premières infos prometteuses sur les technologies à venir

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Sony vient d’ouvrir le bal autour de la prochaine génération PlayStation, sans pour autant prononcer le nom officiel « PS6 ». Une vidéo technique récemment publiée met en lumière de nouvelles technologies — Neural Arrays, Radiance Cores, Universal Compression — laissant entrevoir ce que pourrait être la console de demain.

Un teasing méthodique plutôt qu’une annonce officielle

Dans cette vidéo, Sony invite Mark Cerny (architecte PlayStation) à dialoguer avec un expert d’AMD. Ensemble, ils dévoilent les technologies censées être au cœur d’un Project Amethyst, supposée feuille de route pour une console future. Mais à aucun moment le terme PlayStation 6 n’est mentionné : le constructeur joue la carte du teasing bien dosé pour susciter l’intérêt sans s’engager définitivement.

https://dai.ly/x9s2xly

Les technologies qui font parler

  • Neural Arrays : unités de calcul dédiées à l’intelligence artificielle, probablement utilisées pour l’upscaling et des traitements visuels avancés.
  • Radiance Cores : cœurs logiques axés sur l’amélioration du ray tracing et de l’éclairage, voire du path tracing.
  • Universal Compression : technologie pour optimiser la bande passante, réduire les temps de chargement et transférer rapidement de grandes quantités de données.

Ces noms techniques pourraient sembler marketing à première vue, mais ils posent les jalons d’innovations visuelles et de performances qui pourraient placer la prochaine PlayStation dans une nouvelle dimension.

Ce que cela laisse entrevoir

  • Une rétrocompatibilité renforcée, notamment avec la série PS5, grâce à la continuité technique.
  • Une console qui pourrait pousser le graphisme en temps réel, avec des effets de lumière et d’ombre très poussés.
  • Une focalisation sur la fluidité, les temps de chargement réduits, et une meilleure circulation des données entre mémoire, disque et rendu.
  • Des interrogations restent : quel sera le prix ? Une version sans lecteur physique est-elle envisageable ? La compatibilité avec les supports physiques sera-t-elle sacrifiée à l’ère du dématérialisé ?

Pourquoi cette opération de teasing est stratégique

Sony prépare le terrain avant l’annonce officielle. En publiant un contenu technique mais non définitif, la marque capte l’attention des passionnés, alimente les discussions médias, et installe une attente sans prendre de risque. La PS5 fêtera bientôt ses 5 ans : c’est le bon moment pour commencer à esquisser ce que pourrait offrir la suite.

Mon ressenti : l’ombre d’une PS6 déjà palpable

On n’a pas encore de confirmation officielle, mais ce teaser met en lumière une ambition claire : pousser les limites techniques et visuelles. Je suis intrigué — ces technologies, si elles se concrétisent, pourraient transformer l’expérience PlayStation.

Pour l’instant, c’est un jeu de patience et d’observations. Mais le décor est posé, les promesses sont là.

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Pourquoi le Game Pass a grandement augmenté ses prix?

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Le prix du Game Pass a pris 50% en une annonce. C’est plus que l’inflation, non?

Mercredi dernier, coup de tonnerre pour tous les abonnés Game Pass : le prix de l’abonnement a augmenté. Ou plutôt explosé. Une hausse de 50%, ce n’est pas rien, et la barre des 20€/mois a largement été franchie. A quoi joue Microsoft ?

Quels sont désormais les avantages du Game Pass?

Oui, le prix du Game Pass a augmenté. Mais le service a avant tout évolué. Il se veut plus flexible —il introduit le Game Pass Premium— et il offre plus de choses dans son offre Ultimate.

Voici comment se décomposent désormais les offres :

  • Le Game Pass Essential à 8,99€/mois
    • jeu en ligne
    • accès une cinquantaine de jeux
  • Le Game Pass Premium à 12,99€/mois
    • accès à 200 jeux, mais les productions Xbox Game Studios / Bethesda / Activision ne sont disponibles que dans les 12 mois de leur sortie, et Call Of Duty n’est pas inclus
  • Le Game Pass Ultimate à 26,99€/mois
    • accès à 400 jeux dont tous les titres Xbox Game Studios / Bethesda / Activision en Day 1, dont Call Of Duty
    • Ajout de l’EA Play qui coûte séparément 5,99€/mois
    • Ajout de l’Ubisoft+ Classics qui coûte séparément 7,99€/mois
    • Ajout du Club Fortnite qui coûte séparément 11,99€/mois

A cela, il faut également ajouter le cloud gaming et des avantages sur les jeux Riot Games.

Sur le papier, l’offre Ultimate reste une affaire en or. Si on additionne l’EA Play, l’Ubisoft+ Classics et le Club Fortnite, on monte déjà à 26€. Les joueurs ne paieraient alors que 1€ pour accéder à 400 jeux dont Call Of Duty dès sa sortie dans le commerce.

Les choses sont toutefois plus compliquées. L’EA Play et désormais l’Ubisoft+ Classics et Club Fortnite doivent normalement agir comme des bonus. L’intérêt du Game Pass a toujours résidé dans son catalogue de jeux récents, dont les titres first party. Et désormais, pour profiter de cela, il faudra débourser 26,99€/mois contre 17,99€/mois auparavant. On passe la barre psychologique des 20€ et même des 25€.

Pourquoi une telle augmentation du Game Pass Ultimate ?

Selon Bloomberg, la branche Xbox est une nouvelle fois mise sous pression par Microsoft. A la suite de l’inclusion de Call Of Duty Black Ops 6 dans le Game Pass, les chiffres n’ont pas explosé —il n’y a pas eu une hausse significative des abonnés.

Au contraire, ce cadeau auprès des clients Game Pass aurait représenté un manque à gagner de près de 300 millions de dollars pour l’Américain ; les ventes de Black Ops 6 auraient chuté sur PC et Xbox, ne représentant que 18% du total. La direction de Microsoft aurait alors exigé à sa division Xbox de redresser la barre.

Et dans ces cas là, quand on ne réussit pas à attirer de nouveaux consommateurs, on fait davantage payer ceux existants. Comme le rappelle la newsletter Le Résumé Jeu Vidéo, cette stratégie est déjà appliquée par pas mal d’acteurs dont Sony. La manette DualSense Edge à 220€ et la PS5 Pro à 800€ s’adressent à une niche, mais une niche qui a des moyens pour sa passion et qui passe à la caisse.

Il en va de même pour le PlayStation Plus. Le nombre d’abonnés stagne autour des 40/45 millions, mais le chiffre d’affaires augmente. Comment ? A travers les nouvelles offres Extra et Premium qui confèrent différents avantages contre un prix bien plus élevé que celui du PS Plus Essential. Le Game Pass suit la même direction. Microsoft exige une meilleure rentabilité, Call Of Duty a échoué. Il faut alors trouver l’argent auprès des fans de la marque.

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Battlefield 6 : un trailer live action qui se moque de Call Of Duty

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Electronic Arts s’attaque à Call Of Duty à travers la bande-annonce live action de Battlefield 6.

Quelques jours avant sa sortie, Battlefield 6 accélère sa campagne marketing avec la diffusion d’une nouvelle bande-annonce. Pas d’images du jeu cette fois-ci. Il s’agit en effet d’un live-action, un trailer en prise de vue réelle avec de vrais acteurs . Et ce sacré casting n’a qu’un seul but : parodier Call Of Duty.

Battlefield 6 se moque de Call Of Duty

Battlefield 6 ne tire pas à balles réelles sur Call Of Duty, mais l’intention y est. Il reprend le même principe, à savoir un joli cast composé de Paddy Pimblett, Zac Efron, Morgan Wallen et Jimmy Butler. Chacun porte une arme au skin plus ou moins discret, et prend la pose avec une certaine arrogance. C’est Hollywood, c’est Call Of Duty ; ce n’est pas Battlefield.

Après une explosion, ce petit groupe est rapidement remplacé par de vrais soldats qui font face à la vraie guerre. C’est brutal et violent ; les explosions laissent place à des nuages de poussière. On voit aussi différents accessoires qui se veulent réalistes et bien sûr, des tanks.

A travers ce trailer live-action, Battlefield 6 montre sa différence et entend jouer la carte du pseudo-réalisme face à Call Of Duty.

Battlefield 6 fait-il le poids face à Call Of Duty Black Ops 7 ?

Dans ce duel, Battlefield 6 n’est clairement pas le favori. Call Of Duty est un mastodonte du jeu vidéo et chaque épisode continue de se vendre à plusieurs dizaines de millions d’exemplaires.

Battlefield revient en plus de loin. Il reste sur deux échecs successifs —BF V et BF 2042— et a vu son studio DICE perdre de sa superbe comme le rappelle la Newsletter le Résumé du Jeu Vidéo.

Electronic Arts place beaucoup d’espoirs dans cet épisode. Disponible à partir du 10 octobre, Battlefield 6 doit réellement relancer la série. Le but à moyen terme serait de rivaliser pleinement avec Call Of Duty avec des jeux annuels et un Battle Royale —ce dernier pourrait prochainement être révélé.

Pour arriver à ses ambitions, Electronic Arts a débauché l’ancien directeur de la franchise Call Of Duty et a établi Battlefield Studios, une unité composée de différentes équipes, dont DICE.

La beta de BF6 cet été laissait entrevoir un jeu plutôt solide qui ne prenait aucun risque; c’était dans la veine d’un Battlefield 3, un épisode datant de 2011.

Quant à l’aspect réaliste, il ne faut pas s’attendre à du ArmA. En revanche, il a d’ores et déjà été annoncé que chaque skin proposé devra respecter l’univers Battlefield. Même son de cloche d’ailleurs du côté de Black Ops 7 où Activision affirme avoir refusé des collaborations avec de grosses marques.

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