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Manga

Manga : Les télés font leur rentrée… Les anime aussi !

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Comme vous savez sans doute, les vacances sont presque finies, et les chaînes de télé de commencent tranquillement à préparer leurs grilles de rentrée.

Et ces nouvelles grilles sont toujours une bonne occasion pour nous de traquer les nouveaux programmes de ces dernières en espérant voir débarquer quelques anime à droite, à gauche…

Et le cru 2010 est plutôt pas mal en matière de japoniaiseries, puisque plusieurs chaînes annoncent l’arrivée de diverses séries animées dont voici le détail ici même :

– Sur MCM, vous pourrez découvrir les épisodes de Soul Eater (l’une de mes séries coup de cœurs, d’ailleurs ;-)) adapté de l’excellent manga d’Atsushi Okubo. Ce sera dans l’émission Ultra Manga, qui revient donc pour une nouvelle saison. MCM proposera également un nouveau rendez-vous pour les nostalgiques de l’époque Dorothée. Ça s’appelle Manga Culte et on connaît déjà les noms de trois séries qui y seront diffusées : Dragon Ball, Nicky Larson et le Collège Fou, Fou, Fou.

– La chaîne Virgin 17 devient Direct Star. Un nouveau nom, un nouveau look, mais la diffusion d’anime sera toujours au programme, et c’est bien l’essentiel ! Vous pourrez donc découvrir dès la rentrée de nouveaux épisodes de One Piece, Black Butler (déjà diffusé sur MCM la saison dernière) et FullMetal Alchemist Brotherhood.

Saint Seiya – The Lost Canvas, l’adaptation animée du manga de Shiori Teshigori et Masami Kurumada débarquera du coté de la chaîne Mangas, tout comme Angel Heart, la suite de Nicky Larson. La chaîne proposera également des inédits de Hunter X Hunter et la série Patlabor, dès le début 2011.

– Sur Canal J, ce sera à du shôjo kawai que vous aurez droit puisque la série Mermaid Melody y sera diffusée à partir du mois de septembre.

– Et évidemment sur Game One, vous avez déjà pu découvrir les nouvelle aventures de Naruto Shippuden, depuis le 17 août dernier. Eyeshield 21 est également toujours d’actualité, tout comme Blue Dragon, D.Gray-man et Ikkitousen.

Allez : on sait que les images parlent quand même plus que les mots (surtout dans notre cas;-)), voici quelques petites vidéos de présentation des anime cités ci-dessus :

Soul Eater

Dragon Ball Z

Nicky Larson

Un Collège Fou Fou Fou

One Piece

Black Butler

FullMetal Alchemist Brotherhood

Saint Seiya The Lost Canvas

Angel Heart

Hunter x Hunter

Patlabor

Mermaid Melody

Naruto Shippuden

Eyeshiel 21

Blue Dragon

D.Gray-man

Ikkitousen

Manga

My Hero Academia Saison 7 : Une sortie prévue pour mai 2024

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La très attendue saison 7 de My Hero Academia a officiellement une date de sortie : le 7 mai 2024. Cette annonce fait suite à la conclusion de la saison 6 en mars 2023, qui a laissé les fans impatients de découvrir la suite des aventures de leurs héros préférés.

Dans la dernière saison, les protagonistes ont affronté le Front de libération du paranormal dirigé par Shigaraki, laissant présager des développements passionnants pour Deku et son One For All. Alors que les attentes sont élevées, les fans devront patienter jusqu’à l’année prochaine pour la suite de cette saga animée populaire.

Par ailleurs, un projet live-action de My Hero Academia est également en cours de développement, mais les détails sur sa nature (film ou série) restent encore flous​​.

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Manga

Akira Toriyama dévoile la maman de San Goku dans Dragon Ball

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Si comme moi vous avez lu tous les tomes du Manga Dragon Ball d’Akira Toriyama, alors vous êtes tombé sur la même constatation que moi : la maman du héros San Goku n’est jamais mentionnée.

Pour les 30 ans du manga Dragon Ball (et oui déjà 30 ans de Kaméhaméha), Akira Toriyama a offert un cadeau aux fans en révélant l’identité de la mère de Goku dans le dernier opus sorti le 4 avril au Japon. Perso, je soupçonne le mangaka d’avoir gardé secrètement ce personnage pendant 30 ans afin de le révéler que maintenant.

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La maman de Goku s’appelle donc Gine, et elle aurait rencontré le père de San Goku (Baddack) en intégrant son équipe de guerriers Saiyens. Comme vous le savez déjà, les noms des guerriers Saiyans sont tous inspirés des noms de légumes, ainsi le père de SanGoku Baddack fait référence au nom d’une plante baptisée Bardane, Raditz au légume radis, et enfin Gine (à prononcer « guiné ») n’est autre que l’anagramme de Negi, qui signifie poireau ou oignon en japonais. Au passage, je vous rappelle que le nom Saiyan de San Goku n’est autre que  Kakarotto, dérivé de kyarotto qui signifie carotte.

En attendant une sortie en France, je vous laisse savourer les screens du mangas qui ont envahi les réseaux sociaux Facebook et Twitter.

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via Konbini

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Manga

Barakamon : Encrez dans la danse !

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Barakamon, c’est l’une des nouveautés de la rentrée annoncées cet été par Ki-oon. Cette série de Satsuki Yoshino a l’originalité de prendre pour héros un jeune calligraphe. Si ce thème donne le sentiment d’être assez peu exploité dans le manga, ne vous fiez pas à cette première impression : Barakamon n’est pas un manga sur la calligraphie. De quoi ça parle, alors ? Réponse dans cette chronique…

Synopsis : Seishu Handa, étoile montante de la calligraphie japonaise, collectionne les prix d’excellence pour son travail. Beau et jeune, mais surtout d’une arrogance sans bornes, il met sa carrière en péril le jour où, excédé, il assomme un éminent conservateur de musée qui juge son travail “formaté et sans saveur”… Sanction immédiate pour ce coup de sang : Seishu est puni et contraint d’aller expier son crime sur une petite île, au fin fond de la campagne nippone !

Le jeune citadin, qui espérait au moins pouvoir pratiquer son art dans le calme, ne tarde pas à déchanter : entre les voisins qui débarquent à l’improviste et la bande de gamins qui a choisi son atelier comme terrain de jeu, la partie s’annonce compliquée… Attachants, irritants, farfelus et pleins de vie, les habitants du village vont chambouler son quotidien bien réglé.

“Barakamon” est une expression du sud du Japon qui signifie “avoir la pêche” ! Avec sa ribambelle de héros hauts en couleur et touchants à la fois, ce manga est un concentré furieusement communicatif de bonne humeur !


Barakamon : un trailer pour vous mettre de bonne… par Ki-oon

Garde la pêche !

Effectivement, Barakamon n’est pas un manga sur la calligraphie. J’en veux pour preuve le simple fait qu’il soit possible de remplacer le héros, Seishû Handa, par un peintre en mal d’inspiration, ou un écrivain frappé du syndrome de la page blanche… N’importe quel autre art aurait ainsi pu se substituer à celui que pratique notre héros. Pour une raison bien  simple (et l’auteur le confirme dans la première de couverture) : les véritables héros du manga sont en réalité la province japonaise dans son ensemble, la simplicité de son quotidien et ses personnages aux centres d’intérêts très éloignées des préoccupations des gens de la ville.

Satsuki Yoshino nous le dit clairement : « J’espère bien vous transmettre tout l’amour que j’ai pour ma région natale« . Et c’est bien de cela qu’il s’agit. Car la nouvelle vie de Seishû, quelque peu chamboulé par l’était d’esprit positif des habitants du village, est racontée avec tant d’humour, de simplicité et de fraîcheur que l’on ne peut que se laisser séduire par ce concentré de bonne humeur. Certes, le héros a quelque peu tendance à broyer du noir de temps en temps, à détester (un peu) les passages intempestifs de la jeune Naru, la candeur de son gardien ou le côté frondeur des adolescentes Miwa et Tama.

Mais la bonne humeur ambiante nous fait vite oublier tout ce qui chez Seishû rappellera la grisaille citadine et, surtout, son ambition aveugle et sa volonté d’être premier à tout prix. A ce titre, on se doute de la manière dont le manga se terminera, mais cela n’enlève rien au charme de Barakamon.

Cette nouvelle série est donc une suite de petites histoires, un peu à l’image des yonkoma (des petites scénettes humoristiques qui se racontent en quatre cases, très populaires au Japon). Pas vraiment besoin de plus pour apprécier ce manga, dont l’humour omniprésent fait mouche presque à chaque fois. Le dessin de Satsuki Yoshino se prête d’ailleurs extrêmement bien aux délires de la petite Naru, dont on arrive très facilement à distinguer les moments où elle reste « normale » (sans pour autant rester calme dans son coin) et les moments où elle passe en mode « re-lou » (cf. les yeux en forme de billes).

Les enfants sont d’ailleurs omniprésents dans le manga, et l’on accueille avec plaisir la manière dont l’auteur projette ses souvenirs d’enfance en eux : leur quotidien dans une école de seulement neuf élèves, les légendes qu’ils se créent pour se faire peur, etc.

Le tout raconté avec une simplicité, une fraîcheur et une bonne humeur communicative.

Un manga parfait pour résister à la grisaille actuelle et à l’arrivée de l’hiver… 🙂

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