Connect with us

Jeux Vidéo

Test: Horizon Zero Dawn – Jurassique Mécanique

Publié il y a

le

Si dans le passé on avait tendance à associer le nom de Guerrilla Games à la série des Killzone, désormais il faudra également penser à Horizon: Zero Dawn, une nouvelle licence conçue en secret depuis la fin du développement de KZ3 et qui a sans cesse été mise en avant lors des dernières conférences de Sony. Cette forte présence médiatique est logique puisqu’il s’agit d’un pari extrêmement ambitieux, voire fou; le travail abattu par le studio néerlandais est colossal, pour ne pas dire titanesque. Et tous ces efforts ont fini par payer: Horizon Zero Dawn est un jeu qui redéfinit Guerrilla.

Note: ce test de Horizon Zero Dawn a été réalisé avant la (future) mise en ligne d’un patch Day One.

Il y a une forme de noblesse, une beauté majestueuse qui se dégage de ce Grand Cou, une créature inoffensive haute d’une vingtaine de mètres, faite de câbles et de métal. Au loin, des vautours mécaniques patientent, à moins qu’ils n’apprécient le spectacle en contre-bas où une sorte de T-Rex attaque des membres d’une tribu. Le monde de Horizon Zero Dawn n’est pas de tout repos. Il est violent et beau à la fois. La Terre Ne Nous Appartient Plus, dit le jeu. C’est vrai. Partout, la nature a repris ses droits. Il ne reste plus que quelques ruines comme vestiges de notre ancienne civilisation, et d’incroyables machines à la puissance redoutable peuplent ce monde ouvert. Un peu partout, des clans se sont formés, des religions sont nées et des rivalités sont apparues. Aloy, l’héroïne du jeu, est différente. Depuis son enfance, cette orpheline vit comme une paria, bannie par sa communauté et est déterminée à découvrir qui elle est vraiment et par la même occasion, ce qui a bien pu se passer autrefois.

L’histoire de Horizon Zero Dawn repose sur une dystopie, un monde futuriste où l’être humain est presque revenu au Moyen Âge et où il est devenu la proie de monstres mécaniques prêts à semer le chaos à la moindre occasion. La quête principale évite les grandes longueurs inutiles et va souvent droit à l’essentiel, pour une résultat extrêmement flatteur: les dialogues sont justes, les cinématiques rythment de manière habile l’aventure et le doublage français se révèle de qualité. On pourra certes regretter un ou deux passages vers la fin du jeu qui semblent un peu trop précipités, mais dans l’ensemble, on fait face à un scénario captivant et des personnages particulièrement bien écrits, bien aidés, il faut bien l’avouer, par de jolies modélisations faciales, malgré quelques animations un peu figées. Inutile néanmoins de s’inquiéter, ce Horizon Zero Dawn est magnifique et sublime artistiquement. On a bien noté quelques petits bugs graphiques ou une framerate qui semble par moment un peu fléchir, mais rien qui ne puisse entacher l’incroyable travail de Guerrilla Games, que ce soit au niveau des différents lieux visités (zones montagneuses, arides, boisées ou intérieurs quelque peu futuristes) ou bien sur ces machines à la fluidité remarquable.

Ces robots à l’allure de dinosaures sont souvent imposants. Le bestiaire proposé est varié et souvent lié à l’environnement visité. Certaines bêtes fuient à la vue d’Aloy tandis que d’autres, au contraire, n’hésitent pas à partir à la chasse au moindre doute. Horizon Zero Dawn est avant tout un jeu d’action à la troisième personne, avec toute une dose de RPG. Le jeu de Guerrilla Games repose sur deux piliers: son histoire tout d’abord, puis ses combats. Il y a bien aussi de l’exploration à base de plateforme balisée ou de mini-enquêtes très simples, mais l’essentiel du jeu se trouve dans ces affrontements contre les machines. Cela consiste souvent à se cacher dans de hautes-herbes et à éliminer plus ou moins furtivement de petites machines qui font un tour de ronde. Mais face à des créatures plus impressionnantes —et elles sont très nombreuses—, cela prend presque la forme de combat de boss.

Aloy a beau voir sa santé évoluer à chaque fois qu’elle monte de niveau, elle n’en reste pas moins très fragile. Deux coups suffisent parfois pour la mettre au tapis. Il vaut mieux donc faire le plein de potions de santé avant de se lancer dans des combats, ou bien maitriser les roulades, parfaites pour tout esquiver. L’absence de lock/verrouillage de cible porte au débat. Dans Horizon Zero Dawn, les ennemis ont tendance à virevolter dans tous les sens, à se déplacer aussi rapidement que brusquement. En groupe, ils attaquent et chargent en même temps, ce qui oblige souvent à se débarrasser des petits avant d’attaquer les gros. Aloy ne dispose pas d’armes surpuissantes, aucune qui puisse lui assurer un avantage considérable sur son adversaire. Son équipement est en revanche varié, voire même complémentaire. A l’aide d’armes achetées chez les marchands et améliorées via du loot plus ou moins rare, notre héroïne peut tendre des pièges, immobiliser ses adversaires, ou leur infliger de sérieux dégâts à l’aide de ses flèches ou de sa lance, redoutable au corps à corps, encore faut-il réussir à s’approcher de sa cible.

Ces armes infligent parfois des dégâts liés aux éléments. Les robots à affronter peuvent ainsi montrer une grande faiblesse face au feu ou, au contraire, être plutôt résistants face à l’électricité. Ils ont généralement un point commun, celui de posséder une lourde armure. Il faut alors cibler certains éléments précis qui les composent pour faire un maximum de dégât, ou bien viser certaines de leurs armes à feu pour les détacher et ensuite s’en servir contre eux. La vulnérabilité d’Aloy associée à ces combats très stratégiques rendent bien souvent les affrontements épiques, d’autant plus que le jeu ajoute parfois une jolie mise en scène à tout cela.

Il est inutile d’espérer terminer l’aventure principale uniquement en faisant de bons choix de dialogue et en ne décochant donc aucune flèche. On retrouve bien par moment la possibilité d’exprimer son opinion à travers 3 phrases distinctes (gentillesse, sagacité et agressivité) mais cela n’a pas vraiment d’incidence. Ce qui importe dans Horizon Zero Dawn, ce sont ces combats et ce monde merveilleux à explorer. Boucler le mode histoire ne prend d’ailleurs pas tant de temps. Il faut compter un peu moins de 20 heures de jeu. Mais ce nombre peut très facilement doubler si on s’attarde sur ces quêtes secondaires, là encore plutôt bien écrites et qui nous poussent à découvrir de nouveaux lieux. La fonction de voyage-rapide est alors recommandée —bien qu’elle consomme des ressources— à moins de trouver une monture et de traverser ces différents paysages sous une bande-son discrète mais efficace. Horizon Zero Dawn hérite également de différentes activités qui rallongent la durée de vie du jeu comme des collectibles, des camps à libérer ou des lieux secrets qui permettent d’accroître les capacités d’Aloy, sans oublier ce simple plaisir que celui d’aller chasser d’incroyables créatures.

Si Horizon Zero Dawn surprend de manière très agréable sur de nombreux points —on peut même personnaliser le HUD, c’est-à-dire l’interface—, on remarque en revanche que le jeu de Guerrilla Games tombe dans une certaine forme de facilité par moment. Ainsi, il n’évite pas le syndrome du « suivez cette petite flèche » pour progresser, ce qui est toujours mieux qu’une mini-map, cela dit. On peut néanmoins justifier cette aide visuelle par une petite pirouette scénaristique. Aloy est ainsi équipée d’un Focus, une sorte d’Hololens du futur, un appareil qui, grâce à la magie de la réalité-augmentée, lui dévoile des informations supplémentaires, que ce soit pour déchiffrer des documents, afficher une description des monstres métalliques, ou même pour enquêter. Le Focus permet par exemple de faire apparaître en surbrillance la direction dans laquelle ont fui des personnes. Bref, une sorte de vision détective un peu too much qui ne représente pas le coeur même du jeu, heureusement. Autres petits regrets, un arbre de compétences très classique qui rappelle les derniers Far Cry, un nombre différent d’armes et d’armures pas si élevé, ou le besoin de conserver énormément de pièces détachées dans son inventaire, sans même savoir précisément à quoi elles servent.

Abandonner Killzone pour concevoir une nouvelle licence assez éloignée du monde des Helghasts était un pari audacieux, mais sans doute nécessaire pour Guerrilla Games. Disponible en même temps que la PS4, Killzone: Shadow Fall était un jeu très sympathique —il l’est toujours—, mais il ne proposait rien de vraiment nouveau. Avec Horizon Zero Dawn, Guerrilla réussit à se renouveler de la plus belle des manières. Peut-être que l’aspect jeu de rôle est un peu trop en retrait. Peut-être que certaines phases sont trop dirigistes ou simplistes. Mais peut-être que le but du studio néerlandais est ailleurs et que son seul souhait est de raconter l’intrigante histoire d’Aloy sans temps mort, avec des combats époustouflants, et un moteur, le Decima Engine, absolument bluffant par moment. Du grand art.

Horizon Zero Dawn est développé par Guerrilla Games et édité par Sony Interactive Entertainment. Jeu disponible le 1er mars sur PlayStation 4. Testé sur une PS4 standard. PEGI 16.

Jeux Vidéo

Metroid Prime 4 fera-t-il passer un cap à la série de Nintendo ?

Publié il y a

le

Par

La sortie de Metroid Prime 4 : Beyond approche à grands pas. C’est un soi un événement ; son prédécesseur, Metroid Prime 3 date de 2007. Et pourtant, il y a un risque que cet épisode passe inaperçu. Car malheureusement, depuis ses débuts, la série est boudée par le public.

En janvier 2019, Nintendo annonçait le reboot de Metroid Prime 4. Le jeu était alors en développement du côté de Bandai Namco et se voyait finalement transféré du côté de Retro. C’était un retour aux sources presque logique. Ce studio texan est en effet l’auteur de trois jeux Metroid Prime.

Rebooter un projet n’est pas anodin. Ce n’est pas un simple report comme bon nombre de jeux peuvent connaître. C’est un retour à zéro, un développement qui recommence pour repartir sur des bases saines.

Près de six ans après ce retournement de situation, Metroid Prime 4 : Beyond est enfin prêt à en découdre. Le jeu sera disponible dans 3 semaines, de premières previews sont disponibles, et les retours sont mitigés. Est-ce alors inquiétant ?

Metroid ne parvient pas à être au niveau de Mario et Zelda

Metroid est une licence culte du jeu vidéo. Mais le grand public s’en fout totalement. Cet été, la Newsletter Le Résumé Jeu Vidéo rappelait justement le paradoxe Metroid. C’est une franchise historique pour Nintendo, mais elle n’a jamais su s’imposer.

L’histoire de Metroid remonte à 1986 sur NES, la même année que The Legend Of Zelda. Metroid a alors inventé un genre —qu’on associera aux Castlevania pour devenir le Metroidvania— et repose sur une héroïne. A l’époque, c’était rare.

La série des Metroid a connu de nombreux titres, parfois en 2D, en 3D, sur portable ou consoles de salon. Mais jamais ses ventes n’ont explosé. L’épisode le plus vendu est ainsi Metroid Dread, titre sorti en 2021 sur Switch, et vendu à près de 3 millions d’exemplaires. Certes, c’est pas mal, mais si on compare à d’autres séries, c’est faible. Les Mario, Zelda et Pokémon dépassent facilement les 20 millions sur cette même machine. Luigi’s Mansion 3 a quant à lui franchi la barre des 14 millions d’exemplaires écoulés.

Metroid ne parvient pas à s’imposer et pourtant, la presse est unanime. Sur Metacritic, les premiers Metroid Prime affichent un score égal ou supérieur à 90/100. Metroid Dread est quant à lui à 88/100, ce qui reste excellent.

Metroid Prime 4 peut-il s’imposer ?

La communication autour de Metroid Prime 4 : Beyond est curieuse. Il donne parfois l’impression que Nintendo ne cherche pas à pousser ce titre. Kirby Air Riders, suite d’un jeu passé inaperçu sur GameCube, a ainsi eu droit à deux Nintendo Direct, chacun durant près d’une heure. Certes, ce Kirby est traité comme une nouvelle licence et est aidé par l’aura de Masahiro Sakurai, mais Metroid aurait pu lui aussi bénéficier de la même visibilité.

A la place, on le retrouve coincé au milieu d’autres jeux, à l’image de ce trailer qui révélait pourtant la moto et sa date de sortie. De même, on s’étonne que la trilogie Metroid Prime n’ait pas été entièrement remasterisée. Ce sont d’excellents jeux et seul le premier épisode a eu droit à ce traitement de faveur.

Des previews de Metroid Prime 4 sont tombées hier. Les retours manquent d’enthousiasme. VGC pointe notamment du doigt un side-kick imposé, du moins au cours de cette session de jeu. Miles MacKenzie —c’est son nom, serait un acolyte très bavard, essayant de temps en temps de faire de l’humour ou donnant fréquemment des indications à Samus. Le site anglais explique que cela tranche grandement avec l’esprit de la série qui repose sur l’exploration et ce sentiment d’isolation. Metroid Prime 4 semble être un jeu solide selon les dires du testeur, mais ce PNJ gâcherait l’expérience globale.

Difficile de dire ce qu’il en sera quand le jeu final sortira. Peut-être que le début est poussif mais que la suite est bien plus intéressante. Le choix d’ajouter un compagnon à Samus est en tout cas intéressant. Nintendo semble vouloir changer les règles de Metroid. Ça déplaira peut-être aux fans de la licence, mais c’est peut-être aussi comme ça que la série pourra s’ouvrir au plus grand nombre en devenant plus accessible.

Continuer à lire

Jeux Vidéo

Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5

Publié il y a

le

Par

Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.

Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.

Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?

Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.

Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.

L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.

Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?

Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.

Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.

Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?

Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.

Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.

Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.

On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.

Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.

Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?

Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.

Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.

En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.

Continuer à lire

Jeux Vidéo

PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer

Publié il y a

le


Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.  

Une sélection variée pour tous les profils

Stray : l’indé française qui charme

Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.  
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.

https://dai.ly/x9t7lua



EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye

Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.

Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.



Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti

Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.

À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.

Conclusion

En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.

Continuer à lire