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Test : Returnal (exclu PS5) – Quand mourir ne peut pas attendre

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Le lancement de la PS5 maintenant passé, Returnal est la première grosse exclusivité à débarquer. Elle est là pour rebooster les ventes, renforcer un catalogue encore bien mince. Mais ce jeu a une autre mission : mettre à l’épreuve les joueurs.

Il se dit que Sony ne mise désormais plus que sur les blockbusters. C’est sans doute vrai, du moins pour ses studios internes. Car le Japonais a toujours aimé faire des partenariats avec d’autres équipes ; un moyen comme un autre de proposer de nouvelles expériences. On caricature souvent les exclusivités PlayStation comme des titres se jouant uniquement à la troisième personne, en solo, avec un fort scénario et une mise en scène hollywoodienne.

Lors de ses premières apparitions, Returnal semblait appartenir à cette catégorie. Les bandes-annonces laissaient entrevoir un jeu un peu lent, sur une mystérieuse planète peuplée d’étranges créatures. Certains y voyaient même un Death Stranding dans l’espace. Il n’en est rien. Du début à la fin, Returnal est brutal.

Les dilemmes de Selene

Returnal suit l’histoire de Selene, une astronaute qui s’échoue sur la planète Atropos, après avoir voulu suivre une ombre blanche. Rapidement, elle se rend compte qu’elle est coincée dans une boucle temporelle, un cycle. Si elle meurt, elle réapparaît soudainement sur le lieu du crash. Désormais, son but est de comprendre ce qui lui arrive, et comment faire pour s’en sortir.

A chaque échec, c’est donc un retour à la case départ : vous perdez tout votre équipement et toutes vos améliorations. Returnal épouse le genre du Rogue Like où chaque cycle est unique. Tous les niveaux sont découpées en salles ; leur agencement n’est jamais le même mais on tend à sans cesse visiter les mêmes lieux.

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En début de partie, on se réveille avec uniquement un pistolet. Ensuite, il faudra trouver des améliorations de santé, d’armure, et dénicher de nouvelles armes. C’est en vidant les salles que l’on devient de plus en plus puissant. On tombe alors sur différents objets tandis que notre arsenal gagne en XP et en explosivité.

Ce coffre héberge de précieux matériaux… ou bien fera apparaître des ennemis supplémentaires.

Souvent, des dilemmes s’imposent au joueur. Les parasites, posés sur la combinaison, proposent ainsi de jolis bonus… avec leur lot de malus. Dans le même genre, pas mal de trousses de soin sont corrompues ; les utiliser risque alors d’endommager davantage votre santé.

Les différentes salles à traverser demandent aussi de prendre des décisions. Si Returnal n’est pas un vrai jeu d’exploration, il dévoile toutefois sur sa mini-map pas mal de pièces annexes. Certaines renferment un simple bonus. D’autres, en revanche, hébergent des mini-boss. Une fois mort, ils lâcheront sans doute une puissante arme. Encore faut-il réussir à les tuer.

La progression se fait notamment sur ce fameux équipement. Il est indispensable de faire évoluer sa barre de vie et de trouver une meilleure arme que le pistolet de base. Chose intéressante : Selene ne peut porter qu’un fusil à la fois. Il faudra là encore faire des choix puisque Returnal propose un arsenal composé d’une dizaine d’éléments.

Chaque arme hérite d’attributs et de fonctionnalités uniques, en plus d’un tir secondaire parmi une large sélection. Dans les faits, il est difficile de retrouver exactement le même fusil d’une partie à une autre. Cela permet alors de différencier chaque cycle.

Des raccourcis indispensables

Au fil de l’aventure, et notamment en tuant des boss, on découvre également quelques améliorations définitives. Parmi elles, un grappin. C’est probablement le gadget le plus marquant, ce qui est un peu décevant : grosso-modo, du début à la fin, Selene se contrôle de la même manière.

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Le grappin est indispensable dans le jeu, notamment parce qu’il déverrouille des raccourcis. C’est le coeur même du jeu : tout faire pour accéder plus rapidement à son objectif. On le rappelle : en cas de mort, Returnal nous fait réapparaître au même point de départ. Cela signifie par exemple que pour se rendre au troisième monde, il faut alors parcourir à nouveau le premier et le deuxième biome.

C’est surprenant, voire frustrant. D’autant plus qu’il est impossible de sauvegarder sa partie ; il n’y a pas de checkpoint. Eteignez votre console et c’est un retour au crash du vaisseau qui s’offre à vous.

Tous les niveaux sont faits de la même manière. Ils demandent de remplir un ou deux objectifs afin de débloquer l’accès au boss des lieux. Une fois ces quêtes remplies, elles sont définitivement validées ; il ne sera plus nécessaire de les refaire. Et soyez rassurés : il ne faut pas à chaque fois vaincre à nouveau les boss pour passer au monde suivant. A la place, il faut atteindre des téléporteurs.

Bullet Hell x Lovecraft

Returnal demande d’avoir pas mal de temps devant soi. Cela dit, un cycle peut vite prendre fin. Le jeu repose sur une immense forme d’aléatoire. Ne pas trouver son arme préférée, c’est compliqué. Tomber directement sur un mini-boss, c’est douloureux.

C’est tout un côté punitif et injuste qui se dégage de ce titre. Mais c’est justement ça qui fait son charme : Returnal est imprévisible. On ne sait jamais sur quoi on tombera… mis à part qu’il faudra se battre.

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Malgré de petites phases de plateformes, Returnal se résume avant tout à ses combats. On traverse chaque zone en dégommant un à un tous les aliens qui s’offrent à nous. Le casting est varié avec une cinquantaine d’ennemis au total. Certains se ressemblent car le jeu à un fort appétit pour les tentacules —façon Cthulhu. Certains monstres n’évoluent que dans les airs, d’autres sont au sol, quand des tourelles viennent parfois rajouter du piment à l’action. Ces dernières ne sont guère résistantes mais elles aiment piéger le joueur avec des attaques pouvant gêner sa mobilité.

Le genre de mini-boss qui peut mettre un terme à votre partie.

Returnal mélange tous les types d’ennemis pour créer des scènes d’une rare intensité. C’est clairement le point fort du jeu : ce dynamisme. N’ayons pas peur de le dire : les affrontements sont magnifiques. Sous un feu d’artifice de projectiles, on tente tant bien que mal d’aligner les ennemis. Il n’y a pas de système de couverture ici. Il faut sans cesse se déplacer pour éviter les coups. C’est un jeu d’une rare intensité et on saluera au passage le level design qui évite de bloquer le joueur contre un mur, par exemple.

Fidèle à ses origines, Housemarque, le développeur, propose à plusieurs reprises un bullet hell. C’est un gameplay très arcade où l’écran est noyé de tirs ennemis. Heureusement, Selene répond au doigt et à l’oeil ; la maniabilité est excellente et tout est parfaitement fluide. On parle à la fois de l’action mais aussi de la technique où le sacro-saint 60FPS n’est jamais pris à défaut.

Returnal est infernal

Returnal veut nous faire aimer le danger. Il inclut une jauge d’adrénaline : tous les 3 ou 4 ennemis abattus, notre arme monte un palier, pour atteindre au maximum le stade 5. C’est à ce moment là que Selene est la plus puissante, la plus redoutable. On se sent alors invincible et on ne craint qu’une chose : perdre ce précieux avantage.

Il suffit pourtant d’être touché une fois pour que l’adrénaline retombe à zéro. C’est cruel, mais c’est à l’image du jeu. Returnal est difficile. Ses ennemis sont souvent en surnombre; ils sont aussi coriaces que véloces. Certains peuvent vous enlever 90% de votre vie d’un seul coup. Les boss, quant à eux, arrosent l’écran de tirs et rappellent le jeu indé français Furi.

Ce n’est pas une promenade de santé. On meurt souvent à cause de pics de difficulté. Pour s’en sortir, mieux vaut être bien équipé. On peut trouver des améliorations en fouillant, ou en achetant. Cela se fait à travers de petits cristaux lâchés par les ennemis quand ils meurent. Cette monnaie disparaît toutefois au bout de quelques instants. Cela signifie qu’il faut sans cesse se rendre sur les lieux du crime. Et indirectement, cela signifie se jeter dans la gueule du loup.

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Se rapprocher des ennemis, c’est manquer de recul. Mais c’est aussi gagner des sous, et pouvoir attaquer au corps à corps avec une épée. Celle-ci fait d’importants dégâts, mais souvent, c’est au détriment de sa vie.

Pas mal de pierres remontant la santé sont distillés un peu partout. Elles permettent aussi d’augmenter sa santé générale. Quand on débarque dans une nouvelle pièce, on analyse rapidement la situation; on voit que le jeu est plutôt généreux avec ces matériaux. La difficulté consistera alors à les récupérer à temps ; dans le feu de l’action, rien n’est aisé.

Une brutalité dont on ne se lasse pas

Les premières heures de Returnal sont intimidantes. On fait face à un jeu qui aime proposer des mots complexes, où beaucoup de passages sont inaccessibles, où les ennemis nous surprennent par leurs dégâts.

Il faut quelques temps pour commencer à maitriser le jeu, comprendre où il veut nous amener. Puis, une fois chose faite, tout devient plus facile, et l’idée de visiter les 5 mondes du jeu ne fait plus peur. Les environnements sont pas si variés : c’est la jungle, des ruines ou un désert, sans trop spoiler. L’ambiance est plutôt sombre mais n’a rien d’effrayante.

On le redit : Returnal, c’est avant tout un magnifique jeu d’action où l’aléatoire nous joue souvent des tours. Il faut forcément un peu de chance pour progresser. Cela vient des ennemis rencontrés, des bonus ramassés, et des armes trouvées. Bizarrement, le jeu est beaucoup plus facile quand on est équipé du lance-roquettes. Sa cadence de tir est faible mais ses dégâts sont colossaux. Et vers la fin de l’aventure, on peut l’améliorer de manière indécente.

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Returnal, c’est uniquement des combats d’une immense intensité.

C’est un jeu plein de surprises, à l’image de ces moments où on peut enquêter sur le cadavre d’un autre joueur; un monstre peut alors spawner à tout moment. Là encore, c’est ce côté imprévisible qui confère au titre un charme tout particulier. Ça, et ses affrontements infernaux.

Si les premiers trailers laissaient entrevoir une histoire poussée, Returnal est finalement assez avare en la matière. Les cinématiques sont aussi rares que courtes ; l’histoire reste quant à elle très mystérieuse. Il faut naturellement être fan de science-fiction pour apprécier cette intrigue et même l’ambiance. Le jeu essaye de perdre le joueur dans une architecture très verticale et parfois épurée. D’anciennes civilisations extra-terrestres ont bâti des choses grandioses, mais ici, on ne fait pas de tourisme.

Returnal est un jeu qui dénote dans le catalogue d’exclusivités PlayStation. C’est un rogue-like à gros budget et à la réalisation solide. En matière de graphismes, on s’attend à mieux à l’avenir, mais en soi, c’est un magnifique ambassadeur de la PS5. Les temps de chargement sont invisibles, et la DualSense réagit parfaitement ce que l’on voit à l’écran. Le jeu propose alors des sensations uniques. Et c’est peut-être pour ça qu’il ne plaira pas à tout le monde. Returnal, c’est avant tout l’école du gameplay.

Tout est fait pour proposer des séquences fluides et nerveuses. Il n’y a pas d’animations inutiles qui ralentiraient l’action. Le but est de laisser le contrôle au joueur du début à la fin, comme quand il doit recharger ; une action contextuelle apparaît pour accélérer la chose.

Au-delà de son esthétique, Returnal n’est guère accueillant : la difficulté est élevée, voire abusée quand le hasard fait mal les choses. Mais il y a toujours ce petit truc qui nous pousse à relancer un cycle ; l’envie de faire face à un nouveau défi, découvrir de nouveaux secrets, et goûter à l’excellence. Car en matière d’action, Returnal propose un incroyable spectacle pendant près de 30 heures. Une immense réussite, tout simplement.

Returnal est développé par Housemarque et édité par Sony Interactive Entertainment. Jeu disponible le 30 avril 2021 en exclusivité sur PlayStation 5. PEGI 16.

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Architecture distribuée pour serveurs gaming performants

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Vous le savez mieux que personne… quand un serveur de jeu commence à ramer en plein raid, la communauté ne pardonne rien. Entre les pics de connexion qui transforment votre infrastructure en passoire et les joueurs qui réclament une latence optimale, gérer des serveurs gaming ressemble à une partie d’échecs en accéléré. L’architecture distribuée change la donne. Plutôt que de miser sur un seul serveur mastodonte qui finira par flancher, nous parlons ici d’infrastructures multinœuds capables d’encaisser la charge et de garantir une expérience fluide. Mais encore faut-il choisir le bon hébergeur et maîtriser les bons outils.

Choisissez un hébergeur français pour vos serveurs gaming

Opter pour un hébergeur français va bien au-delà du simple patriotisme numérique. Comme le montre Nexus-Games, parmi d’autres acteurs hexagonaux, la proximité géographique réduit mécaniquement la latence : vos joueurs européens bénéficient de temps de réponse qui font la différence entre une victoire et un game over rageux. La conformité RGPD représente un autre atout majeur. Fini le casse-tête juridique des transferts de données vers des serveurs basés outre-Atlantique : vous hébergez en France, vous respectez les règles, point final.

Le support technique en français et dans le même fuseau horaire change aussi la vie. Quand votre infrastructure lâche à 3 h du matin, pouvoir joindre un technicien qui parle votre langue sans attendre le réveil de la côte ouest américaine, ça n’a pas de prix. Les datacenters français offrent également des garanties énergétiques et une traçabilité qui rassurent vos utilisateurs sur la souveraineté de leurs données. Pour des administrateurs qui jonglent entre performance et contraintes légales, l’hébergement hexagonal coche toutes les cases sans compromis.

Les avantages des architectures distribuées multinœuds

L’architecture distribuée, c’est un peu comme passer d’un gardien de but solitaire à une défense en bloc : la charge se répartit, les défaillances se compensent. Plutôt que de concentrer toute la puissance sur un seul serveur, vous déployez plusieurs nœuds qui travaillent de concert. Quand l’un d’eux tombe, les autres prennent le relais sans que vos joueurs ne voient la différence. Cette résilience transforme les architectures monolithiques en véritables forteresses capables d’absorber les pics de trafic les plus brutaux.

La scalabilité horizontale devient votre meilleur atout : besoin de plus de puissance ? Ajoutez des nœuds au lieu de remplacer toute votre infrastructure. Voici les bénéfices concrets que nous observons sur le terrain :

  • Répartition intelligente de la charge entre les différents nœuds selon les zones géographiques ;
  • Tolérance aux pannes grâce à la redondance des données et des services ;
  • Optimisation des coûts en adaptant les ressources selon la demande réelle ;
  • Amélioration des temps de réponse par le rapprochement des données des utilisateurs finaux.

Cette approche multinœud permet aussi de segmenter vos services : les bases de données sur certains nœuds, les serveurs applicatifs sur d’autres, le tout orchestré par des load balancers qui distribuent le trafic avec finesse. Vous créez un écosystème dans lequel chaque composant joue son rôle sans devenir un point de défaillance unique.

Configurez la supervision de vos infrastructures réseaux

Une architecture distribuée sans monitoring, c’est comme piloter un avion sans instruments : vous volez peut-être, mais l’atterrissage risque d’être brutal. La supervision réseau devient votre tableau de bord central, celui qui vous permet de détecter les anomalies avant qu’elles ne dégénèrent en catastrophe. Les outils modernes collectent des milliers de métriques en temps réel : latence, utilisation CPU, bande passante, santé des disques, taux d’erreur réseau.

Configurez des alertes intelligentes qui vous préviennent des vrais problèmes sans vous noyer sous les fausses alarmes. Définissez des seuils critiques pour chaque métrique : si la latence dépasse 50 ms sur trois nœuds simultanément, vous devez le savoir immédiatement. Les dashboards visuels vous donnent une vue d’ensemble de votre infrastructure en un coup d’œil. Vous repérez les tendances, anticipez les saturations et planifiez les montées en charge avant que vos joueurs ne subissent les conséquences.

Les logs centralisés complètent le dispositif en agrégeant toutes les traces de vos différents nœuds dans un référentiel unique. Quand un incident survient, vous reconstituez le fil des événements sans perdre de temps à fouiller dans des fichiers éparpillés. La supervision devient votre assurance-vie : elle ne garantit pas l’absence de problèmes, mais elle vous donne les moyens de réagir avant que le feu ne se propage.

L’architecture distribuée pour serveurs gaming n’est plus une option réservée aux géants du secteur. Vous disposez maintenant des outils et des hébergeurs pour déployer des infrastructures multinœuds performantes sans exploser votre budget. Le choix d’un hébergeur français simplifie la conformité tout en optimisant la latence pour vos utilisateurs européens. Couplé à une supervision rigoureuse, ce modèle distribué transforme votre infrastructure en système robuste capable d’encaisser les aléas sans faillir. La prochaine fois qu’un pic de connexion frappera vos serveurs, vous regarderez vos dashboards avec un sourire, car l’architecture distribuée fera son travail.

 

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Liste des jeux vidéo les plus vendus en 2025 sur Steam, PlayStation et Xbox

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L’année 2025 touche à sa fin, et il est temps de faire le bilan et de découvrir quels ont été les jeux les plus vendus sur PC et consoles.

2025, une année marquée par les friendslops et la domination d’Electronic Arts

Clair Obscur a dominé les Game Awards. Ce RPG français a remporté 9 prix dont celui du jeu de l’année— c’est un record. Mais à l’image des Oscars et autres prestigieuses cérémonies, ce ne sont pas forcément les titres les plus populaires qui sont récompensés. Avec ses 5 millions de ventes, Clair Obscur a été un grand succès commercial. Mais d’autres titres ont fait bien mieux. Cela ne signifie pas qu’ils sont meilleurs, mais qu’ils ont su toucher un plus grand public. Les raisons sont souvent multiples : le genre, le prix, l’aspect communautaire… Et justement, cette année, les jeux coopératifs ont pas mal cartonné, surtout sur Steam.

Cet article est écrit en collaboration avec Le Résumé Jeu Vidéo, newsletter hebdomadaire gratuite sur l’actu’ jv. Toutes les données qui suivent proviennent de GameDiscover.co, une autre newsletter qui est elle aussi excellente et qu’on vous recommande.

Les meilleures ventes jeu vidéo 2025 sur Steam

Plus de 19 000 jeux vidéo ont été commercialisés sur Steam en 2025. Inutile de préciser que beaucoup sont passés inaperçus. A vrai dire, près de 50% ont recueilli moins de 10 avis, ce qui laisse entendre des ventes extrêmement faibles.

  1. R.E.P.O
  2. PEAK
  3. Battlefield 6
  4. Schedule I
  5. Monster Hunter Wilds
  6. ARC Raiders
  7. Hollow Knight : Silksong
  8. Escape From Duckov
  9. RV There Yet
  10. Clair Obscur : Expedition 33

Ce Top 10 est marqué par ce qu’on appelle les friendslops, ces jeux à petit prix —souvent moins de 10€— qui misent sur un concept simple, rigolo et à plusieurs. Le classement ci-dessus se fie au nombre de jeux vendus selon les estimations de GameDiscover. Ci-dessous, voici un tri par chiffre d’affaires ce qui chamboule tout.

  1. Battlefield 6
  2. Monster Hunter Wilds
  3. ARC Raiders
  4. Clair Obscur : Expedition 33
  5. Kingdom : Come Deliverance II
  6. Stellar Blade
  7. R.E.P.O.
  8. Schedule I
  9. Borderlands 4
  10. Elden Ring Nightreign

Les meilleures ventes jeu vidéo 2025 sur PlayStation

Le Top 10 qui suit est déterminé selon le nombre d’unités vendus (physique + numérique). Seuls les jeux payants sont recensés ; Free-To-Play et jeux offerts sur le PlayStation Plus ne sont pas inclus, ce qui semble logique.

  1. FC 26
  2. Battlefield 6
  3. NBA 2K26
  4. Forza Horizon 5
  5. Monster Hunter Wilds
  6. Ghost Of Yotei
  7. Call Of Duty Black Ops 7
  8. College Football 26
  9. Assassin’s Creed Shadows
  10. Madden NFL 26

De ce classement, on peut faire deux observations. La première est que Electronic Arts est omniprésent avec 4 jeux au total. La seconde est la belle performance de Battlefield qui aura réussi à détrôner Call Of Duty.

Les meilleures ventes jeu vidéo 2025 sur Xbox

Le cas Xbox est particulier. Il faut naturellement prendre en compte le Game Pass qui fausse le classement des ventes de jeux ; un utilisateur achètera rarement un jeu qui est inclus dans son abonnement. De ce fait, on a inclus deux tops. Voici celui lié au nombre de jeux vendus.

  1. Battlefield 6
  2. FC 26
  3. NBA 2K26
  4. College Football 26
  5. Madden NFL 26
  6. Ready Or Not
  7. Arc Raiders
  8. MBL The Show 25
  9. Helldivers 2
  10. Split Fiction

Ce classement est intéressant car il diffère de celui de PlayStation, notamment à travers la présence de plusieurs jeux de tir. Outre Battlefield 6, on retrouve Ready Or Not, Arc Raiders et Helldivers 2, ancienne exclusivité PlayStation.

Call Of Duty Black Ops 7 est en revanche absent. Ce n’est pas surprenant ; le jeu d’Activision est en effet inclus dans l’offre Game Pass. Voici donc le classement des jeux les plus joués à travers le Game Pass en 2025.

  1. Clair Obscur : Expedition 33
  2. Oblivion Remastered
  3. Rematch
  4. Grounded 2
  5. Call Of Duty : Black Ops 7
  6. DOOM : The Dark Ages
  7. Avowed
  8. Sniper Elite Resistance
  9. Slime Rancher 2
  10. Tony Hawk’s Pro Skater 3+4

Pour conclure, on aurait aimé publier le classement des jeux Switch les plus vendus en 2025, mais les données pour les jeux physiques ne sont pas disponibles. De ce fait, il faut uniquement se fier aux données eShop, ce qui est moins intéressant. Sachez simplement que le Top 5 est constitué de Mario Kart World, Légendes Pokémon Z-A, Donkey Kong Bananza, Hollow Knight Silksong et Hades 2.

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COD Black Ops 7 Campagne : Récapitulatif, Secrets, Fins et Stratégies

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Vous avez enchaîné les missions remplies d’hallucinations, vous êtes fait abattre par des ennemis que vous n’avez pas vus venir, et la cinématique de fin vous a laissé plus de questions que de réponses. La campagne de Black Ops 7 vous envoie beaucoup d’informations, et manquer des secrets clés ou faire de mauvais choix tactiques peut signifier rejouer des sections entières. Détaillons tout ce dont vous avez besoin pour vaincre cette aventure qui fait perdre la tête.

Les 11 Missions de la Campagne en un Coup d’Œil

Black Ops 7 propose 11 missions narratives se déroulant en 2035, dix ans après Black Ops 2. Vous vous glissez dans la peau de David Mason alors qu’il dirige l’équipe d’élite JSOC Specter One contre La Guilde, une organisation technologique obscure dotée de terrifiantes capacités de bio-armes.

Les missions s’enchaînent sans écran de chargement, ce qui rend le suivi de votre progression difficile. Consultez le coin supérieur gauche du menu pause pour voir sur quelle mission vous êtes.

Voici ce qui vous attend :

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Exposure (Exposition) lance les hostilités avec des tactiques d’infiltration et introduit les mécanismes de communication en coopération. Inside (À l’intérieur) déclenche votre première séquence d’hallucination majeure se déroulant dans une jungle déformée. Distortion (Distorsion) implique d’obtenir l’accès à un ordinateur quantique tout en naviguant dans une réalité de plus en plus instable. La partie centrale avec Blackheart, Fracture et Collapse intensifie l’action avec des scènes plus importantes et des rencontres ennemies plus difficiles.

Les missions finales, Convergence, Resonance, Threshold, Avalon et Containment (Convergence, Résonance, Seuil, Avalon et Confinement) poussent votre escouade à son point de rupture alors que vous découvrez le véritable plan de La Guilde et affrontez leur cheffe, Emma Kagan.

Renseignements Cachés et Objets de Collection Secrets

Chaque mission contient un objet de renseignement caché, soit 11 au total tout au long de la campagne. Récupérer tous ces objets déverrouille le succès Loremaster et fournit un contexte crucial sur les opérations de La Guilde.

Les objets de renseignement se cachent souvent dans des pièces secondaires, derrière des objets destructibles, ou dans des zones que vous auriez normalement traversées en vitesse pendant les échanges de tirs. Prenez votre temps pour explorer après avoir éliminé les vagues d’ennemis. Ces objets de collection sont liés à l’histoire plus large de Black Ops et révèlent des connexions à la technologie C-Link qui explique les hallucinations partagées vécues par votre escouade.

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Certains joueurs préfèrent un chemin plus direct à travers la campagne principale. Pour les joueurs qui veulent se concentrer sur l’histoire sans se soucier des objets de collection ou des pics de difficulté, des services comme blackops boosting peuvent vous aider à débloquer des récompenses de campagne et à progresser plus rapidement afin que vous puissiez profiter du récit à votre propre rythme. Ces services terminent généralement les missions à la difficulté de votre choix tout en atteignant des objectifs de progression spécifiques.

La Fin Expliquée : Le Destin de Kagan et l’Ascension de Dorne

La conclusion de la campagne présente à David Mason un choix crucial qui fait écho à son passé. Après avoir combattu à travers Avalon et survécu à de multiples hallucinations au gaz Cradle, vous affrontez Emma Kagan au centre de l’installation de La Guilde.

Voici le rebondissement. David doit décider s’il doit tuer Kagan ou la capturer vivante. Dans Black Ops 2, tuer Menendez a causé un chaos généralisé, et cette fois, David choisit de capturer Kagan, ayant appris de ses erreurs passées. Kagan est mise en détention, et le complot de bio-armes de la Guilde semble être stoppé.

Mais restez après le générique.

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Une figure mystérieuse nommée Alden Dorne apparaît entourée de robots et de technologie de la Guilde. Dorne s’est caché dans les cinématiques de fond tout au long de la campagne et est maintenant révélé comme la véritable puissance de la Guilde en coulisses. Avec Kagan capturée, Dorne prend le contrôle total, mettant en place le mode Endgame et le futur contenu saisonnier.

Le dispositif neural C-Link connectant les membres de votre escouade se connecte également directement à la technologie d’Interface Neurale Directe de Black Ops 3, tissant BO7 dans la chronologie plus large.

Transition vers le Mode Endgame

Terminer les onze missions débloque Endgame, une expérience d’extraction PvE à 32 joueurs se déroulant sur Avalon. Ce n’est pas seulement du contenu post-jeu. C’est là que l’histoire de Dorne continue à travers les mises à jour saisonnières.

Endgame fonctionne sur un système de risque-récompense : mourir signifie perdre votre équipement, survivre signifie conserver votre équipement et votre progression. Des escouades de quatre travaillent à travers des objectifs dynamiques, améliorent des Pistes de Compétences uniques et s’extraient avec du butin.

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Votre expérience de campagne vous prépare directement aux défis d’Endgame. Les cartes, les types d’ennemis et les mécanismes que vous avez maîtrisés pendant le mode histoire sont entièrement transférés. Si vous êtes curieux de savoir comment Warzone a évolué jusqu’à ce qu’il est aujourd’hui, vous pouvez lire l’annonce originale de Warzone pour voir le chemin parcouru par la formule Battle Royale. Cela montre comment le jeu s’est amélioré au fil du temps.

Gardez à l’esprit qu’Avalon finira par devenir une carte majeure de Warzone, donc le temps que vous investissez à apprendre sa disposition maintenant sera rentable dans plusieurs modes.

Stratégies Coopération et Solo Efficaces

La campagne de Black Ops 7 a été conçue dès le départ pour la coopération à quatre joueurs. La page officielle de la campagne co-op confirme que la difficulté reste fixe quelle que soit la taille de l’escouade, mais plus de joueurs signifie plus d’options tactiques. Des joueurs supplémentaires rendent les missions plus rapides et plus amusantes.

Pour les Escouades en Coopération :

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Attribuez des rôles clairs avant de vous lancer. Désignez un joueur comme pointeur avec des fusils d’assaut et des tâches de percée, un comme soutien utilisant des LMG et un positionnement défensif, un comme reconnaissance pour le marquage de cible et un comme spécialiste technique pour gérer l’équipement. Annoncez les positions ennemies constamment car les environnements changent rapidement, et ce que vous voyez pourrait ne pas correspondre à la perspective de votre coéquipier pendant les séquences d’hallucination.

Pour les Joueurs Solo :

La patience devient votre meilleure arme. Le jeu ne s’adapte pas au jeu solo, vous faites donc face seul à des rencontres de niveau escouade complète. Visez à l’avance les angles courants avant d’avancer. Utilisez l’amélioration de terrain Voile d’Éther pour les évasions d’urgence pendant les moments accablants. Pendant les séquences d’hallucination, concentrez-vous sur l’identification des points d’ancrage, qui sont des éléments visuels qui restent cohérents et indiquent le bon chemin à suivre.

Faites le plein de kits d’auto-réanimation aux établis d’artisanat. Les courses en solo à travers les missions ultérieures deviennent brutales sans ce filet de sécurité. Si vous êtes nouveau dans la franchise ou avez besoin d’un rappel des mécanismes, le guide d’entraînement COD 101 couvre les fondamentaux dans tous les modes de jeu. Il vous aide à apprendre les bases rapidement.

Pourquoi BO7 sur Game Pass Change Tout

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Un changement majeur à noter : Black Ops 7 a été lancé dès le premier jour sur Xbox Game Pass. Cela signifie que plus de joueurs que jamais se lancent dans la campagne sans avoir à payer le prix fort d’emblée. L’intégration de Call of Duty dans le Game Pass de Microsoft a rendu l’expérience coopérative plus accessible, remplissant les lobbies plus rapidement et facilitant la recherche de coéquipiers pour ces missions plus difficiles. Plus de joueurs rendent également le matchmaking plus rapide pour les joueurs solo.

FAQ

Combien de temps faut-il pour terminer la campagne de Black Ops 7 ?

Attendez-vous à environ 5 heures en coopération avec une escouade complète. Les parties solo durent généralement 6 à 7 heures en raison de la difficulté accrue et du manque de soutien de réanimation. La chasse à tous les objets de renseignement ajoute une heure ou deux.

Puis-je jouer à la campagne en solo ?

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Oui, chaque mission prend en charge le jeu en solo. Cependant, la difficulté ne diminue pas, rendant certaines rencontres nettement plus difficiles sans coéquipiers pour attirer le feu et fournir des réanimations.

Ma progression de campagne est-elle reportée en multijoueur ?

Absolument. Black Ops 7 utilise un système de progression global. L’XP de campagne, les déverrouillages d’armes et la progression de camouflage contribuent tous à votre profil global dans le mode Multijoueur, Zombies et Warzone.

Y a-t-il plus d’une fin ?

La fin principale reste cohérente, mais le choix de David avec Kagan se reflète sur son développement de personnage depuis BO2. La révélation de Dorne met en place un contenu narratif continu quelle que soit la façon dont vous abordez le finale.

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Quel est le meilleur ordre pour aborder les missions ?

Les missions suivent une séquence linéaire sans chemins ramifiés. Cependant, rejouer des missions terminées à des difficultés plus élevées débloque des récompenses supplémentaires et vous aide à maîtriser les stratégies pour Endgame.

Points Clés à Retenir

  • Black Ops 7 comporte 11 missions de campagne prenant 5 à 7 heures selon le style de jeu
  • Chaque mission contient un objet de renseignement caché pour le succès Loremaster
  • La fin présente Alden Dorne comme le nouvel antagoniste à la tête de La Guilde
  • Les escouades en coopération doivent attribuer des rôles ; les joueurs solo ont besoin de patience et de kits d’auto-réanimation
  • La progression de campagne est directement reportée en mode Multijoueur, Zombies et Endgame
  • Terminer toutes les missions débloque l’expérience d’extraction Endgame à 32 joueurs
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