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Test : Returnal (exclu PS5) – Quand mourir ne peut pas attendre

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Le lancement de la PS5 maintenant passé, Returnal est la première grosse exclusivité à débarquer. Elle est là pour rebooster les ventes, renforcer un catalogue encore bien mince. Mais ce jeu a une autre mission : mettre à l’épreuve les joueurs.

Il se dit que Sony ne mise désormais plus que sur les blockbusters. C’est sans doute vrai, du moins pour ses studios internes. Car le Japonais a toujours aimé faire des partenariats avec d’autres équipes ; un moyen comme un autre de proposer de nouvelles expériences. On caricature souvent les exclusivités PlayStation comme des titres se jouant uniquement à la troisième personne, en solo, avec un fort scénario et une mise en scène hollywoodienne.

Lors de ses premières apparitions, Returnal semblait appartenir à cette catégorie. Les bandes-annonces laissaient entrevoir un jeu un peu lent, sur une mystérieuse planète peuplée d’étranges créatures. Certains y voyaient même un Death Stranding dans l’espace. Il n’en est rien. Du début à la fin, Returnal est brutal.

Les dilemmes de Selene

Returnal suit l’histoire de Selene, une astronaute qui s’échoue sur la planète Atropos, après avoir voulu suivre une ombre blanche. Rapidement, elle se rend compte qu’elle est coincée dans une boucle temporelle, un cycle. Si elle meurt, elle réapparaît soudainement sur le lieu du crash. Désormais, son but est de comprendre ce qui lui arrive, et comment faire pour s’en sortir.

A chaque échec, c’est donc un retour à la case départ : vous perdez tout votre équipement et toutes vos améliorations. Returnal épouse le genre du Rogue Like où chaque cycle est unique. Tous les niveaux sont découpées en salles ; leur agencement n’est jamais le même mais on tend à sans cesse visiter les mêmes lieux.

En début de partie, on se réveille avec uniquement un pistolet. Ensuite, il faudra trouver des améliorations de santé, d’armure, et dénicher de nouvelles armes. C’est en vidant les salles que l’on devient de plus en plus puissant. On tombe alors sur différents objets tandis que notre arsenal gagne en XP et en explosivité.

Ce coffre héberge de précieux matériaux… ou bien fera apparaître des ennemis supplémentaires.

Souvent, des dilemmes s’imposent au joueur. Les parasites, posés sur la combinaison, proposent ainsi de jolis bonus… avec leur lot de malus. Dans le même genre, pas mal de trousses de soin sont corrompues ; les utiliser risque alors d’endommager davantage votre santé.

Les différentes salles à traverser demandent aussi de prendre des décisions. Si Returnal n’est pas un vrai jeu d’exploration, il dévoile toutefois sur sa mini-map pas mal de pièces annexes. Certaines renferment un simple bonus. D’autres, en revanche, hébergent des mini-boss. Une fois mort, ils lâcheront sans doute une puissante arme. Encore faut-il réussir à les tuer.

La progression se fait notamment sur ce fameux équipement. Il est indispensable de faire évoluer sa barre de vie et de trouver une meilleure arme que le pistolet de base. Chose intéressante : Selene ne peut porter qu’un fusil à la fois. Il faudra là encore faire des choix puisque Returnal propose un arsenal composé d’une dizaine d’éléments.

Chaque arme hérite d’attributs et de fonctionnalités uniques, en plus d’un tir secondaire parmi une large sélection. Dans les faits, il est difficile de retrouver exactement le même fusil d’une partie à une autre. Cela permet alors de différencier chaque cycle.

Des raccourcis indispensables

Au fil de l’aventure, et notamment en tuant des boss, on découvre également quelques améliorations définitives. Parmi elles, un grappin. C’est probablement le gadget le plus marquant, ce qui est un peu décevant : grosso-modo, du début à la fin, Selene se contrôle de la même manière.

Le grappin est indispensable dans le jeu, notamment parce qu’il déverrouille des raccourcis. C’est le coeur même du jeu : tout faire pour accéder plus rapidement à son objectif. On le rappelle : en cas de mort, Returnal nous fait réapparaître au même point de départ. Cela signifie par exemple que pour se rendre au troisième monde, il faut alors parcourir à nouveau le premier et le deuxième biome.

C’est surprenant, voire frustrant. D’autant plus qu’il est impossible de sauvegarder sa partie ; il n’y a pas de checkpoint. Eteignez votre console et c’est un retour au crash du vaisseau qui s’offre à vous.

Tous les niveaux sont faits de la même manière. Ils demandent de remplir un ou deux objectifs afin de débloquer l’accès au boss des lieux. Une fois ces quêtes remplies, elles sont définitivement validées ; il ne sera plus nécessaire de les refaire. Et soyez rassurés : il ne faut pas à chaque fois vaincre à nouveau les boss pour passer au monde suivant. A la place, il faut atteindre des téléporteurs.

Bullet Hell x Lovecraft

Returnal demande d’avoir pas mal de temps devant soi. Cela dit, un cycle peut vite prendre fin. Le jeu repose sur une immense forme d’aléatoire. Ne pas trouver son arme préférée, c’est compliqué. Tomber directement sur un mini-boss, c’est douloureux.

C’est tout un côté punitif et injuste qui se dégage de ce titre. Mais c’est justement ça qui fait son charme : Returnal est imprévisible. On ne sait jamais sur quoi on tombera… mis à part qu’il faudra se battre.

Malgré de petites phases de plateformes, Returnal se résume avant tout à ses combats. On traverse chaque zone en dégommant un à un tous les aliens qui s’offrent à nous. Le casting est varié avec une cinquantaine d’ennemis au total. Certains se ressemblent car le jeu à un fort appétit pour les tentacules —façon Cthulhu. Certains monstres n’évoluent que dans les airs, d’autres sont au sol, quand des tourelles viennent parfois rajouter du piment à l’action. Ces dernières ne sont guère résistantes mais elles aiment piéger le joueur avec des attaques pouvant gêner sa mobilité.

Le genre de mini-boss qui peut mettre un terme à votre partie.

Returnal mélange tous les types d’ennemis pour créer des scènes d’une rare intensité. C’est clairement le point fort du jeu : ce dynamisme. N’ayons pas peur de le dire : les affrontements sont magnifiques. Sous un feu d’artifice de projectiles, on tente tant bien que mal d’aligner les ennemis. Il n’y a pas de système de couverture ici. Il faut sans cesse se déplacer pour éviter les coups. C’est un jeu d’une rare intensité et on saluera au passage le level design qui évite de bloquer le joueur contre un mur, par exemple.

Fidèle à ses origines, Housemarque, le développeur, propose à plusieurs reprises un bullet hell. C’est un gameplay très arcade où l’écran est noyé de tirs ennemis. Heureusement, Selene répond au doigt et à l’oeil ; la maniabilité est excellente et tout est parfaitement fluide. On parle à la fois de l’action mais aussi de la technique où le sacro-saint 60FPS n’est jamais pris à défaut.

Returnal est infernal

Returnal veut nous faire aimer le danger. Il inclut une jauge d’adrénaline : tous les 3 ou 4 ennemis abattus, notre arme monte un palier, pour atteindre au maximum le stade 5. C’est à ce moment là que Selene est la plus puissante, la plus redoutable. On se sent alors invincible et on ne craint qu’une chose : perdre ce précieux avantage.

Il suffit pourtant d’être touché une fois pour que l’adrénaline retombe à zéro. C’est cruel, mais c’est à l’image du jeu. Returnal est difficile. Ses ennemis sont souvent en surnombre; ils sont aussi coriaces que véloces. Certains peuvent vous enlever 90% de votre vie d’un seul coup. Les boss, quant à eux, arrosent l’écran de tirs et rappellent le jeu indé français Furi.

Ce n’est pas une promenade de santé. On meurt souvent à cause de pics de difficulté. Pour s’en sortir, mieux vaut être bien équipé. On peut trouver des améliorations en fouillant, ou en achetant. Cela se fait à travers de petits cristaux lâchés par les ennemis quand ils meurent. Cette monnaie disparaît toutefois au bout de quelques instants. Cela signifie qu’il faut sans cesse se rendre sur les lieux du crime. Et indirectement, cela signifie se jeter dans la gueule du loup.

Se rapprocher des ennemis, c’est manquer de recul. Mais c’est aussi gagner des sous, et pouvoir attaquer au corps à corps avec une épée. Celle-ci fait d’importants dégâts, mais souvent, c’est au détriment de sa vie.

Pas mal de pierres remontant la santé sont distillés un peu partout. Elles permettent aussi d’augmenter sa santé générale. Quand on débarque dans une nouvelle pièce, on analyse rapidement la situation; on voit que le jeu est plutôt généreux avec ces matériaux. La difficulté consistera alors à les récupérer à temps ; dans le feu de l’action, rien n’est aisé.

Une brutalité dont on ne se lasse pas

Les premières heures de Returnal sont intimidantes. On fait face à un jeu qui aime proposer des mots complexes, où beaucoup de passages sont inaccessibles, où les ennemis nous surprennent par leurs dégâts.

Il faut quelques temps pour commencer à maitriser le jeu, comprendre où il veut nous amener. Puis, une fois chose faite, tout devient plus facile, et l’idée de visiter les 5 mondes du jeu ne fait plus peur. Les environnements sont pas si variés : c’est la jungle, des ruines ou un désert, sans trop spoiler. L’ambiance est plutôt sombre mais n’a rien d’effrayante.

On le redit : Returnal, c’est avant tout un magnifique jeu d’action où l’aléatoire nous joue souvent des tours. Il faut forcément un peu de chance pour progresser. Cela vient des ennemis rencontrés, des bonus ramassés, et des armes trouvées. Bizarrement, le jeu est beaucoup plus facile quand on est équipé du lance-roquettes. Sa cadence de tir est faible mais ses dégâts sont colossaux. Et vers la fin de l’aventure, on peut l’améliorer de manière indécente.

Returnal, c’est uniquement des combats d’une immense intensité.

C’est un jeu plein de surprises, à l’image de ces moments où on peut enquêter sur le cadavre d’un autre joueur; un monstre peut alors spawner à tout moment. Là encore, c’est ce côté imprévisible qui confère au titre un charme tout particulier. Ça, et ses affrontements infernaux.

Si les premiers trailers laissaient entrevoir une histoire poussée, Returnal est finalement assez avare en la matière. Les cinématiques sont aussi rares que courtes ; l’histoire reste quant à elle très mystérieuse. Il faut naturellement être fan de science-fiction pour apprécier cette intrigue et même l’ambiance. Le jeu essaye de perdre le joueur dans une architecture très verticale et parfois épurée. D’anciennes civilisations extra-terrestres ont bâti des choses grandioses, mais ici, on ne fait pas de tourisme.

Returnal est un jeu qui dénote dans le catalogue d’exclusivités PlayStation. C’est un rogue-like à gros budget et à la réalisation solide. En matière de graphismes, on s’attend à mieux à l’avenir, mais en soi, c’est un magnifique ambassadeur de la PS5. Les temps de chargement sont invisibles, et la DualSense réagit parfaitement ce que l’on voit à l’écran. Le jeu propose alors des sensations uniques. Et c’est peut-être pour ça qu’il ne plaira pas à tout le monde. Returnal, c’est avant tout l’école du gameplay.

Tout est fait pour proposer des séquences fluides et nerveuses. Il n’y a pas d’animations inutiles qui ralentiraient l’action. Le but est de laisser le contrôle au joueur du début à la fin, comme quand il doit recharger ; une action contextuelle apparaît pour accélérer la chose.

Au-delà de son esthétique, Returnal n’est guère accueillant : la difficulté est élevée, voire abusée quand le hasard fait mal les choses. Mais il y a toujours ce petit truc qui nous pousse à relancer un cycle ; l’envie de faire face à un nouveau défi, découvrir de nouveaux secrets, et goûter à l’excellence. Car en matière d’action, Returnal propose un incroyable spectacle pendant près de 30 heures. Une immense réussite, tout simplement.

Returnal est développé par Housemarque et édité par Sony Interactive Entertainment. Jeu disponible le 30 avril 2021 en exclusivité sur PlayStation 5. PEGI 16.

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Helldivers 2 tease une collaboration avec Halo ODST

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Aura-t-on droit à des skins d’Halo ODST dans Helldivers 2 sur Xbox, PC et PS5 ?

A la fin du mois, le 26 août, Helldivers 2 sortira sur Xbox Series X|S. C’est un événement. On parle là du portage d’un jeu financé et édité par Sony, opéré par Nixxes, un studio PlayStation. La guerre des consoles n’existe plus, Microsoft s’est fait une place de choix sur PS5, et Sony veut à son tour amener ses jeux sur d’autres consoles. Plus rien n’est interdit, pas même de voir Halo sur PlayStation.

Helldivers 2 et Halo ODST unis pour la démocratie et la liberté

Plusieurs rumeurs évoquent l’arrivée de jeux Halo sur PS5. Des annonces pourraient avoir lieu lors de la Gamescom ou de la compétition HCS en octobre prochain. En attendant d’en savoir plus, Halo s’est à nouveau infiltré dans Fortnite et devrait débarquer fin août / début septembre dans Helldivers 2.

Un nouveau trailer de ce jeu coopératif est ainsi disponible. Il rappelle la sortie prochaine du jeu sur Xbox, et en guise de conclusion, il s’offre un petit teaser. On y voit l’une des grandes villes de Helldivers 2, sous la pluie, dans la nuit. Et alors qu’un renfort arrive depuis son hellpod, on entend quelques notes. Il s’agit d’un air emprunté à la bande-originale d’Halo ODST.

Difficile d’y voir là une simple coïncidence, quand l’ambiance humide et nocturne rappellent en plus cet épisode. Tout cela est donc suffisant pour dire qu’une collaboration entre Helldivers 2 et Halo ODST est visiblement dans les tuyaux.

On ignore si ce sera à travers un pack spécial comme ce fut le cas pour Killzone, ou si ce sera grâce à une Obligation de Guerre, ces fameux passes de combat payants donnant accès à de nouvelles armes et armures, ainsi que différents skins.

Dans le passé, Johan Pilestedt, le réalisateur de Helldivers 2, avait indiqué être ouvert à une collaboration avec la franchise Halo. Cela faisait suite à une conversation sur Reddit où les joueurs se demandaient quelle limite serait acceptable.

Des jeux comme Call Of Duty acceptent tout, quitte à perdre en identité. Helldivers 2 entend garder le contrôle, comme on peut le voir dans ce .jpg délicatement et élégamment annoté par Johan Pilestedt. Il faut que cela fasse sens avec l’univers de Helldivers 2. De ce fait des soldats basiques comme ceux de Starship Troopers, Warhammer ou Killzone sont acceptés. En revanche, le Master Chief, le Doom Slayer et les Tortues Ninja n’ont pas leur place.

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Marvel Tokon : comment s’inscrire et jouer à la beta privée ?

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La beta privée de Marvel Tokon ouvrira en septembre, peu y auront accès.

Marvel Tokon est le prochain gros jeu de combat d’Arc System Works. Il s’agit d’un titre édité et financé par PlayStation, ce qui en fait de facto une exclusivité PS5 et PC… pour le moment. Avec Helldivers 2 qui débarque sur Xbox à la fin du mois, on se dit que rien n’est impossible.

Si on regarde le calendrier 2026, Marvel Tokon est l’une des deux grosses exclusivités de la PS5 avec Saros. Mais quelques chanceux n’auront pas à attendre l’an prochain pour jouer avec Captain America & co. Dès septembre, une beta privée sera déployée sur PS5.

Marvel Tokon : les inscriptions à la beta fermée sont ouvertes

Marvel Tokon a tout du jeu de combat « sensation ». Ce sont les héros Marvel, et aux commandes, Arc System Works, le studio derrière Dragon Ball FighterZ, Granblue Fantasy Vesus, Guilty Gear et Blazblue.

Comme tout jeu de combat avec une composante en ligne, Marvel Tokon passera par la case beta. Celle-ci ne sera réservée qu’à une petite élite, celle qui s’est inscrite au programme Beta PlayStation. Pour cela, il suffit notamment de posséder un compte PSN et de se rendre sur cette page.

Attention néanmoins. Sony précise bien que seuls quelques inscrits au programme beta recevront une invitation pour jouer à Marvel Tokon. Tout le monde n’y aura pas accès mais pour avoir une chance de participer, il faut obligatoirement s’inscrire au programme Beta de PlayStation.

Quel contenu sera disponible dans la beta fermée de Marvel Tokon ?

Si Marvel Tokon n’a toujours pas de date de sortie, on sait en revanche que sa beta fermée aura lieu du 5 au 7 septembre 2025. C’est dans un mois donc, et le programme des hostilités est déjà connu. Dans ce jeu de combat en 4v4, six personnages seront jouables : Miss Marvel, Captain America, Star-Lord, Iron Man, Tempête, et Docteur Fatalis.

Ce beau petit monde s’affrontera sur la map de New-York découpée en trois zones : Hell’s Kitchen, le Centre-ville, et le musée des Avengers.

Les affrontements se feront en ligne, et un mode entrainement sera disponible. De même, il sera possible d’explorer le lobby où 64 héros Marvel au format Chibi pourront se donner rendez-vous. Quant aux plus timides, ils pourront observer les autres joueurs de Marvel Tokon à travers le mode spectateur.

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Comment activer le contrôle parental sur Nintendo Switch 2 ? (Guide 2025)

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La Nintendo Switch 2 conserve (et améliore) l’un des atouts majeurs de la Switch originale : son système de contrôle parental simple, efficace et pilotable à distance. Que vous souhaitiez limiter le temps de jeu de vos enfants, bloquer certains jeux ou gérer les interactions en ligne, tout est accessible depuis votre smartphone.

Pourquoi utiliser le contrôle parental sur Switch 2 ?

La Switch 2 vous permet de :

  • Limiter le temps de jeu quotidien
  • Restreindre l’accès aux jeux ou contenus inadaptés à l’âge
  • Bloquer ou filtrer les interactions en ligne (chat vocal, partages, etc.)
  • Empêcher les achats non autorisés
  • Suivre les activités de jeu depuis une application mobile

Étape 1 : installer l’application Nintendo Switch Parental Controls

  1. Téléchargez l’appli Contrôle parental Nintendo Switch sur Android ou iOS
  2. Connectez-vous avec votre compte Nintendo
  3. Sur la Switch 2, allez dans Paramètres > Contrôle parental
  4. Sélectionnez Configurer via l’application
  5. Entrez le code à 6 chiffres affiché sur la console dans l’appli
  6. Une fois lié, toute la configuration se fait depuis votre smartphone

Étape 2 : définir les limites de jeu et les restrictions

Depuis l’application mobile, vous pouvez :

  • Fixer un temps de jeu quotidien (ex. 1h par jour)
  • Définir un couvre-feu (ex. blocage après 20h)
  • Choisir un niveau de restriction par âge (3+, 7+, 12+, etc.)
  • Bloquer :
    • Les captures d’écran
    • Les achats eShop
    • Le jeu en ligne
  • Activer les alertes et rapports d’activité hebdomadaires

Astuce bonus : verrouiller l’application avec un code

Pour renforcer la sécurité, vous pouvez ajouter un code PIN à l’application mobile afin d’éviter que l’enfant ne modifie les paramètres. Vous pouvez aussi suspendre temporairement les restrictions via un code parent unique.

En résumé

Le contrôle parental sur Nintendo Switch 2 reste une solution simple, gratuite et ultra efficace pour :

  • Limiter le temps passé devant l’écran
  • Filtrer les contenus selon l’âge
  • Encadrer les interactions en ligne
  • Empêcher les achats non autorisés

Un outil essentiel pour accompagner les enfants dans une pratique du jeu vidéo saine et équilibrée.

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