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Test : Star Wars Battlefront — Un véritable tour de Force?

Montré pour la première fois cette année, Star Wars Battlefront aura connu une trajectoire assez particulière. D’abord acclamé par une foule séduite par sa réalisation graphique, le jeu d’Electronic Arts / DICE a rapidement enchaîné sur des polémiques liées à son contenu qui serait, paraît-il, famélique. Souvent comparé à tort aux derniers Battlefield, Star Wars Battlefront peut-il être finalement bien plus qu’une simple étoile filante?
Histoire de tordre le plus rapidement possible le cou à une vilaine rumeur, il est important de signaler que Star Wars Battlefront contient bien du solo, et même du coop offline et online. Tout cela est cependant minuscule, voire ridicule. Il ne s’agit pas d’une campagne scénarisée mais simplement de petites missions se bouclant sans trop d’effort en 5 minutes et faisant office de didacticiel. A cela, on peut aussi rajouter la possibilité de jouer contre une poignée de bots dans différentes arènes ou encore d’affronter plusieurs vagues d’ennemis successives dans le mode Survie. Ce dernier est malheureusement peu palpitant à cause de ses ennemis au sol guère malins et de son manque de rythme général. Et ce ne sont pas les quelques bonus à dénicher dans quelques recoins qui viennent dynamiser chaque partie.
Star Wars Battlefront vaut donc avant tout pour son mode multijoueur et toute cette partie solo sert uniquement à préparer les joueurs avant qu’ils ne plongent dans le grand bain. Sur le papier, toute cette composante multi se veut très complète avec un total de 9 modes de jeu. Ceux-ci ne sont toutefois pas tous si différents et les variations sont assez faibles entre Zone de largage et Course au droïde qui demandent chacun de capturer et de protéger une zone. Cargaison est quant à lui un Capture The Flag (CTF/Capture de drapeau) très classique, au même titre que Escarmouche qui propose du Team Deathmatch (Match à mort en équipe). L’originalité provient alors d’Escadron de chasseurs qui offre des batailles aériennes en 10v10 à grand renfort de vaisseaux contrôlés par l’IA, ou bien des modes Traque du héros et Affrontement héroïque qui mettent en scène Luke Skywalker, Dark Vador, Han Solo, l’Empereur Palpatine, Leia Organa et Boba Fett sur de petites cartes, respectivement en 1v7 et 6v6.
Les deux modes roi de Star Wars Battlefront restent au final Suprématie et Attaque de marcheurs qui combinent tous les différents éléments de gameplay pour des batailles à grande échelle au sol comme dans les airs, un peu à la manière de Conquête et Ruée dans Battlefield. On note néanmoins quelques variantes au niveau des règles de jeu. Attaque de marcheurs invite ainsi les rebelles à protéger des objectifs alors que l’ennemi tente de progresser avec d’imposants TB-TT. Suprématie impose quant à lui un ordre précis dans les zones à capturer, ce qui implique alors une ligne de front plus marquée. Ce choix est assez logique puisque les maps s’étalent globablement en longueur tandis que le nombre de joueurs est plus réduit; contrairement aux derniers Battlefield qui peuvent se jouer à 64, Star Wars Battlefront n’accueille au maximum que 40 personnes en même temps. Mais outre ces quelques petites nouveautés au niveau des règles, ce qui saute véritablement aux yeux en s’aventurant sur ces différentes planètes —le jeu ne propose en effet aucune bataille spatiale—, c’est l’immense respect de la franchise.
Cela s’est vu dès que les premières images ont été diffusées : Battlefront rend un magnifique hommage à la première trilogie Star Wars, tant au niveau de la modélisation de chacun des éléments que des différents effets sonores. Un vrai travail sur l’immersion a été fait par les équipes de DICE et le rendu global du jeu est bluffant. Le Frosbite Engine se permet même le luxe de faire tourner ce titre à 60fps pour un confort absolu, même si ce choix implique bien sûr quelques restrictions techniques. Il est ainsi presque impossible de détruire le décor et la dernière production de DICE fait l’impasse sur le 1080p sur consoles au profit d’un 900p sur PS4 (version utilisée pour ce test de Star Wars Battlefront) et d’un 720p sur Xbox One, deux résolutions moins gourmandes en puissance. C’est forcément dommage, mais cela n’enlève toutefois en rien l’excellence graphique proposée par ce jeu qui réussit à établir une véritable cohérence visuelle avec les films d’autrefois. Il n’est d’ailleurs pas exagéré de dire que Battlefront mise plus sur son ambiance que sur son gameplay.
Star Wars Battlefront cherche ainsi avant tout à séduire un très large public en lui offrant un gameplay aussi accessible qu’efficace. Tout cela se remarque dès les premiers instants avec l’absence d’une liste de serveurs pour un matchmaking qui, il faut bien l’admettre, fait parfaitement son job. Puis, une fois dans la partie, on note un respawn instantané afin de ne jamais punir les joueurs tombés au champ de bataille, un radar qui indique clairement si les ennemis se trouvent à proximité, une régénération de la santé très rapide. . . On peut également évoquer le choix entre une vue à la troisième (TPS) ou première (FPS) personne pour plaire au plus grand monde, l’absence d’un ironsight pour un zoom offrant une meilleure lisibilité, un recul minimal, des armes capables de verrouiller automatiquement les ennemis et des véhicules aériens (X-Wing & co.) qui ne posent aucun souci de pilotage. A cela, on peut aussi ajouter que les munitions comme les grenades sont illimitées mais dans le premier cas, il faut faire attention à la surchauffe des armes tandis que dans le second, il faut attendre quelques secondes avant de pouvoir en lancer une nouvelle. Enfin, plusieurs bonus disposés au sol viennent pimenter la partie et permettent de débloquer par exemple des soutiens aériens, des petites tourelles, l’accès au TR-TT ou encore prendre le contrôle de personnage clef de la franchise comme Dark Vador ou Luke Skywalker, des héros surpuissants possédant une grosse force de frappe et une immense jauge de vie.
Ces divers choix de design ont pour effet de proposer un plaisir immédiat et une action non-stop. Mais en échange, le jeu manque alors de profondeur et lorgne beaucoup plus du côté de l’arcade que du compétitif. Battlefront est au final un très bon jeu Star Wars et un FPS/TPS plutôt sympa’. On en fait toutefois trop rapidement le tour à cause de ce gameplay qui manque un peu de richesse et de ce contenu insuffisant : le solo est presque inexistant et les différents modes multijoueur ne sont jouables que sur un (très) faible nombre de cartes. L’ambitieux Attaque des marcheurs n’est ainsi disponible que sur 4 maps (!) au total. Même si ces grandes arènes sont bien fichues, il s’agit d’un véritable problème dont semble être toutefois conscient Electronic Arts qui a jugé bon d’allouer tout un onglet entier dans le menu principal à la promotion de son Season Pass à 50€. C’est extrêmement maladroit de la part de l’éditeur américain mais ce dernier a depuis précisé qu’il comptait rajouter du contenu gratuit en parallèle de ce fameux Season Pass, à commencer par la bataille de Jakku début décembre. Outre la jolie fidélité à l’oeuvre originale, on joue alors à Star Wars Battlefront surtout pour débloquer de nouvelles armes et autres gadgets, EA et DICE ayant fait le choix de proposer une progression liée à l’XP. Une autre décision un peu polémique puisque cela récompense avant tout ceux ayant beaucoup de temps à consacrer au jeu; les nouveaux arrivants sont ainsi bien moins équipés, ce qui crée alors un grand déséquilibrage lors des premières parties.
Malgré ses immenses prouesses graphiques, Star Wars Battlefront pêche donc dans de nombreux domaines. L’adaptation est excellente, mais le jeu en lui même souffre de son trop faible contenu et de son gameplay. Trop bancal au niveau de sa progression, ce dernier manque également de subtilité, ce qui devrait rebuter un peu plus ceux qui prévoyaient de passer plusieurs dizaines d’heures la tête dans les étoiles. Les bases sont là, mais il reste encore du travail pour arriver au jeu Star Wars ultime. « Much to learn, you still have » comme le laissait présager Yoda.
Star Wars Battlefront est développé par DICE et édité par Electronic Arts. Jeu sorti le 19 novembre sur PC, Xbox One et PlayStation 4. Version testée : PS4. PEGI 16.

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Test Sword Of The Sea : la suite cachée de Journey ?

Sword Of The Sea est le troisième jeu de Giant Squid après Abzû (2016) et The Pathless (2020). Ces trois titres ont des similarités, mais si on devait comparer Sword Of The Sea à une autre production, ce serait Journey. Rien d’étonnant quand on sait que le fondateur du studio n’est autre que l’ancien directeur artistique du jeu de 2012.
Sword Of The Sea n’est pas Journey 2. Et pourtant, les deux titres partagent beaucoup. Sword Of The Sea est un jeu d’aventure dans lequel on ne marche pas, on ne court pas ; on glisse. Le jeu est beau, relaxant, envoutant. Les dunes de sable sont notre environnement, le soleil ardent est omniprésent. On découvre au fur et à mesure de l’aventure, en lisant des stèles, qui on est, et dans quel monde on évolue. C’est cryptique et onirique.


Les commandes sont simples : un bouton pour sauter, un autre en guise d’action. Comme Journey, ça ne plaira pas à tout le monde. Le rythme est lent, rien n’est explicite, et la durée de vie peu élevée —3h pour le boucler, un peu plus pour tout découvrir. Ce n’est pas non plus un jeu avec une grande intensité. On est pas mal dans la contemplation. En revanche, par rapport à un Journey, il y a une volonté de proposer un gameplay plus élaboré.
Sword Of The Sea veut aller au-delà de Journey
Dans Sword Of The Sea, vous êtes ce petit bonhomme qui surfe sur une épée. En activant des mécanismes, vous débloquerez notamment l’apparition de cours d’eau sur le sable. Les poissons et mammifères marins nagent au dessus, les algues poussent partout. Cela débloque des chemins nouveaux, qui permettent de progresser et d’accomplir sa destinée que l’on comprend au fur et à mesure.
En apparence, on est proche d’un Journey où on glissait sur le sable. Dans les faits, Sword Of The Sea est plus profond. Ou plutôt, il est davantage gamifié et perd donc en simplicité. Libre à vous de voir si cela est une bonne ou mauvaise chose.


L’aspect plateforme est ainsi plus développé. Il y a du saut, du double saut, et même une troisième variante par moment. La notion de vitesse est également importante alors que l’on passe son temps à surfer. Il faut prendre de l’élan, prendre des tremplins… Il y a même des défis —très simples— avec des figures à réaliser en temps limité. On dénote également pas mal de collectibles cachés ici et là.
Sword Of The Sea se veut aussi varié au niveau de ses environnements. On évolue dans différents mondes enchanteurs, souvent séparés par des temps de chargement un poil longuets. On côtoie alors des créatures majestueuses et on peut les chevaucher. C’est parfois maladroit, mais le charme opère. Et il y a même dans quelques rares cas de l’action.
Sword Of The Sea n’est pas Journey 2. Une suite directe n’aurait de toute manière aucun intérêt, la surprise étant déjà passée. Sword Of The Sea est davantage une suite spirituelle, intégrant des éléments d’Abzû et de Tony Hawk. Il y a un côté déjà vu, c’est certain, mais ça n’en reste pas moins une oeuvre unique alliant grâce et fluidité.
Sword Of The Sea est développé et édité par Giant Squid. Jeu disponible sur PC et PlayStation 5. Ce test de Sword Of The Sea a été fait sur une PS5 basique. Jeu inclus dans l’abonnement PS Plus Extra ; il coûte sinon 25€. Jeu disponible. PEGI 7.
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Bioshock 4 : Rod Fergusson à nouveau appelé en renfort pour finir le jeu

Après avoir quitté la direction de la franchise Diablo, Rod Fergusson est de retour aux commandes de Bioshock.
Parfois, la vie n’est qu’un éternel cycle. Rod Fergusson est de retour chez 2K Games pour sauver Bioshock 4. Au début des années 2010, il avait déjà été recruté par l’éditeur afin de sortir Bioshock Infinite. Et entre temps, il était parti chez The Coalition pour superviser Gears Of War, lui qui était déjà l’ancien producteur des premiers épisodes au sein d’Epic Games.
Rod Fergusson doit sauver Bioshock, comme autrefois
Il y a quelques jours, Rod Fergusson annonçait son départ de Blizzard où il dirigeait la franchise Diablo depuis 2020. Le CV du bonhomme parle pour lui : Epic Games, 2K Games, The Coalition et Blizzard. Rod Fergusson est l’un des producteurs les plus respectés du milieu. Il a notamment la réputation d’être un closer, quelqu’un qui sait terminer et sortir un jeu. Beaucoup de titres ont un développement à rallonge car les hauts gradés ne savent pas prendre de décisions. Rod Fergusson a alors pour boulot de raisonner ses collègues afin que le développement puisse enfin se boucler.
A l’époque, c’est exactement la raison pour laquelle il avait été embauché au sein de 2K Games / Irrational Games. Le développement de Bioshock Infinite n’en finissait plus ; il fallait mettre de l’ordre dans les équipes afin de sortir le jeu, ce qu’il a fait.
Il faut se rappeler dans quel état était Bioshock autrefois. Comme le rappelle la newsletter Le Résumé Jeu Vidéo par Xavier, tout a démarré en 2006. 2K Games rachète Irrationnal Games qui, un an plus tard, sort Bioshock. Le jeu est un carton et obtient notamment un metascore de 96/100. Le développement fut toutefois compliqué, avec une grosse phase de crunch —certains bossaient même le week-end.
Bioshock 2 est confié à un autre studio tandis que Ken Levine, Directeur Créatif du premier jeu, veut faire autre chose. Il planche sur XCOM, puis vers 2009/2010, il décide de retourner sur Bioshock avec Infinite. Le jeu va alors connaître un développement tumultueux, avec de nombreux reboots, du contenu sans cesse remanié ou supprimé, et un mode multi annulé.
En 2012, près de 200 développeurs planchent sur le jeu, des studios annexes prêtent main forte, et pourtant, Bioshock Infinite n’est toujours pas jouable. Rod Fergusson est alors engagé afin de revoir la production du jeu et d’épauler Ken Levine.
Bioshock Infinite sort finalement en 2013. Rod Fergusson décide ensuite de s’en aller et Ken Levine choisit de fermer Irrationnal Games, préférant travailler au sein d’une petite structure. Depuis 12 ans, Bioshock n’a pas toujours pas connu de suite et Ken Levine n’a sorti aucun jeu.
La nouvelle mission de Rod Fergusson avec Bioshock 4
Il y a quelques jours, on apprenait que Bioshock 4 filait un mauvais coton. Pour faire simple, la directrice du studio Cloud Chamber et son directeur créatif ont été évincés. En cause, un développement à rallonge pour une qualité qui laisse à désirer, notamment au niveau de la narration, dixit Bloomberg. Le média américain laissait entendre que Bioshock 4 était en développement depuis près de 10 ans, avait été remanié plusieurs fois, et avait même changé de studio.
Pour enrayer cette mauvaise spirale, 2K Games a pris la décision de réembaucher Rod Fergusson. Il ne vient pas en tant que producteur mais directeur de studio. Sa mission sera simple : remettre les choses en ordre pour que Bioshock 4 puisse enfin sortir. Et on suppose, superviser le développement de suites.
Hélas, cela a également entrainé une vague de licenciements au sein de Cloud Chamber. On ignore toutefois le nombre de personnes touchées. Cela laisse toutefois entendre que Bioshock 4 n’est vraiment pas prêt de sortir.
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Gamescom 2025 : le résumé avec toutes les annonces, toutes les vidéos

L’Opening Night Live de la Gamescom 2025 nous a réservé pas mal de surprises. Voici son résumé avec chaque annonce et chaque trailer.
« L’E3 n’est pas mort, il a simplement déménagé ici, en Allemagne. » C’est ainsi qu’a commencé le discours de Geoff Keighley, après quelques mots en allemand. La Gamescom est devenu par la force des choses le plus grand salon de jeu vidéo, visant à la fois le grand public et les professionnels. Il a démarré avec sa propre conférence, appelée ONL pour Opening Night Live. Elle était en direct, avec du public, avec une scène, avec des invités. Cela offre un rythme différent. Certains jeux bénéficient ainsi d’un plus long segment, avec de petites interviews. Et au final, tout s’enchaine quand même rapidement pendant plus de 2 heures. C’est pour cela que l’on vous a tout résumé.
Call Of Duty : Black Ops 7 met l’accent sur la campagne
Premier trailer de gameplay pour BO7, après le teaser à l’E3. C’est futuriste, c’est de la science fiction, c’est aérien, c’est explosif… Cet épisode entretiendra des liens avec Black Ops 2 et 6, et permettra notamment de faire toute la campagne seul ou à 4. Call Of Duty Black Ops 7 a également confirmé sa date de sortie : ce sera pour le 14 novembre.
Sekiro No Defeat : l’animé se montre
Sorti au printemps 2019, Sekiro aura droit à une adaptation sous la forme d’un animé. C’est Crunchyroll qui a raflé la mise et qui le diffusera.
LEGO Batman de retour
Batounet n’en a pas fini avec le jeu vidéo. Le voici de retour dans LEGO Batman : Legacy Of The Dark Knight, un titre qui rendra hommage aux différents films, dont la trilogie Nolan et The Batman de Matt Reeves.
Cet épisode sera un monde ouvert, dans lequel Batman pourra castagner la racaille de Gotham City, affronter de grands méchants, et rouler à toutes vitesses avec différentes Batmobiles. Le jeu est développé par TT Games (Lego Star Wars: The Skywalker Saga) et sortira en 2026 sur PC, PS5, Xbox Series et Switch 2.
Dawn Of War IV annoncé
Le jeu de stratégie en temps réel Dawn Of War IV a été révélé à la Gamescom. Cette suite permettra de jouer 4 factions différentes à travers 70 missions.
Onimusha se dévoile davantage
Onimusha Way Of The Sword fait partie des 3 gros jeux prévus par Capcom en 2026. On rappelle que selon son réalisateur, il ne s’agira ni d’un jeu en monde ouvert ni d’un Souls-Like.
Fallout : une bande-annonce pour la Saison 2 de la série Prime Video
La seconde saison de la série Fallout rendra hommage à New Vegas, le jeu vidéo de 2010, et l’un des plus appréciés de la saga. Un trailer est disponible, de quoi remarquer une très jolie production, et une date de sortie pour le premier épisode : ce sera le 17 décembre, en exclusivité sur Prime.
Toxic Commando tire dans le tas
Le nouveau World War Z est là ! Toxic Commando, inspiré de l’univers de John Carpenter, a eu droit à un premier trailer de gameplay. C’est sanglant à souhait face à des hordes de monstres. Ça promet beaucoup, et ça sortira en début d’année 2026.
Ninja Gaiden 4 tranche dans le tas
L’association Koei Tecmo / Platinum Games ne déçoit toujours pas dans cette nouvelle bande-annonce de Ninja Gaiden 4. En terme d’action, ça a l’air tout simplement excellent.
Silent Hill f continue d’intriguer
La série des Silent Hill est revenue en grâce à la suite de l’excellent remake du 2. Silent Hill f sera quant à lui un épisode original avec une proposition pour le moins singulière, tant dans son style et que sa réalisation.
Cronos The New Dawn a toujours l’air aussi intéressant
Le remake de Silent Hill 2 a également remis sous le feu des projecteurs le studio Bloober. Cette équipe polonaise a pris du galon et compte bien confirmer sa nouvelle réputation de studio majeur à travers Cronos The New Dawn, le tout premier jeu qu’il auto-éditera.
Vampire The Masquerade : Bloodlines 2 de retour
Avec son développement à rallonge et son changement de studio, Bloodlines 2 tient à nous rassurer avec cette nouvelle bande-annonce. On rappelle qu’aux commandes, il s’agit désormais de The Chinese Room, les auteurs de Amnesia et Everybody’s Gone To The Rapture. Le jeu sortira le 21 octobre 2025.
Project Spectrum fait le beau
Project Spectrum est le nouveau projet du studio derrière Delta Force. Ce sera un tactical shooter de type PvPvE. On y voit de belles choses, à voir quand ce sera vrai. L’absence de date de sortie laisse entendre que ce projet est loin d’être finalisé.
Ghost Of Yotei dans la lignée de Tsushima
Ghost Of Yotei est toujours aussi beau, et continue de ressembler comme deux gouttes d’eau à Tsushima. Et à l’instar de ce premier jeu, le mode multijoueur Legends sortira plus tard, gratuitement. Il s’agira alors de missions coopératives à 2 et d’un mode survie à 4.
Resident Evil Requiem, une histoire de famille
Toujours attendu pour le 27 février, Resident Evil Requiem s’est offert un trailer centré sur son histoire et notamment la famille Ashcroft. Rien à voir avec le chateur de The Verve, mais plutôt Grace, héroine de cet opus, et Alyssa, sa mère, journaliste aperçue dans Outbreak.
Black Myth voit double
En guise de conclusion, le studio chinois Game Science a offert un teaser de Black Myth : Zhong Kui, la suite de Wukong. Il s’agira à nouveau d’un action-rpg solo explorant le folklore chinois.
Mais aussi…
- Silksong, jeu le whislisté sur Steam, sortira bien cette année.
- Lords Of The Fallen 2, qui est en fait le 3ème épisode de la série, a été annoncé par un trailer en CGI. Sortie prévue en 2026. Du gameplay sera montré en fin d’année, sans doute aux Game Awards.
- Monster Hunter Wilds et Final Fantasy XIV vont mutuellement se rendre hommage à travers des skins et des événements fin septembre / début octobre.
- Nouvelle bande-annonce pour le gacha Arknights: Endfield
- Neverness To Everness est un autre gacha en développement.
- Le gacha Fate Trigger démarrera son accès anticipé au premier trimestre 2026
- Un teaser pour Europa Universalis V
- Daemon X Machina : Titanic Scion s’offre une bande-annonce avant sa sortie le 5 septembre, et une démo.
- Le DLC « The Order Of Giants » d’Indiana Jones et le Cercle Ancien sera disponible le 4 septembre sur PC, PS5 et Xbox Series. Un portage Switch 2 est prévu pour l’an prochain.
- Nouveau trailer pour Deadpool VR, une exclusivité Meta Quest qui vise le 18 novembre.
- Death By Scrolling est un rogue like au purgatoire par Ron Gilbert et les équipes de MicroPose.
- Teaser de Zero Parades, un CRPG par ZA/UM, le studio auteur de Disco Elyseum (dont beaucoup de développeurs sont partis, cela dit)
- Nouvelle bande-annonce pour Unbeatable, un jeu de rythme narratif.
- Un trailer de plus pour le RPG Multijoueur Honor Of Kings World.
- Anciennement connu sous le nom de Project LLL, le MMO Shooter Cinder City s’est offert un gros trailer qui rame pas mal par moments. Pas de date, donc ça ne sera pas avant de longues années.
- Outre Cinder City, NC Soft a également montré Time Takers, un Heros Shooter à la troisième personne.
- La Divina Comedia est le prochain projet de Jyamma, les auteurs du Souls-Like Enotria The Last Song.
- Une bande-annonce de plus pour The Outer Worlds 2, prévu pour le 29 octobre.
- La mise à jour Island Getaway pour Inzoi sortira le 20 août sur PC. Une version PS5 est prévue pour l’an prochain.
- Moonlighter 2 verra son accès anticipé commencer le 23 octobre sur PC.
- Portage de Age Of Empires IV sur PS5 le 4 novembre.
- Le DLC Legacy Of The Forge de Kingdom Come Deliverance 2 sortira le 9 septembre.
- L’extension Woolhaven de Cult Of The Lamb arrivera en début d’année 2026.
- Jolie cinématique (forcément) pour l’extension Midnight de World Of Warcraft.
- World Of Tank présente sa mise à jour 2.0 et son stand alone Heat pour des affrontements en 10 contre 10
- Un remaster pour Tales Of Xillia. Il n’y aura que le premier épisode, ce ne sera pas une compilation du 1 et du 2.