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Death Stranding: c’est quoi alors le nouveau jeu de Kojima?
Trailer de Death Stranding pré-E3 2019: des infos sur le gameplay et le scénario pour comprendre ce qu’est le nouveau jeu de Kojima.
																								
												
												
											Un court teasing et un long trailer. C’est ainsi que Death Stranding a dévoilé son gameplay et une date de sortie: ce sera le 8 novembre 2019, en exclusivité sur PS4. Il se dit fortement qu’une version PC arrivera plus tard, mais rien n’est encore sûr.
Depuis que Sony et Kojima Productions ont annoncé un partenariat, Death Stranding squatte l’essentiel des conférences du constructeur. Mais ce n’est pas pour autant que l’on a compris ce qu’était Death Stranding. Les équipes d’Hideo Kojima ont essayé de mettre les choses au clair avec une bande-annonce de plus de 8 minutes. Cette longue vidéo mélange cinématiques et extraits de gameplay. Et on n’a toujours pas pigé ce qu’était vraiment Death Stranding.
Les Échoués de Death Stranding
Autant commencer par le moins clair: l’histoire de Death Stranding. Si certains décrypteront tout image par image afin d’imaginer les hypothèses les plus improbables (et donc être au final déçus par leurs attentes), nous, on s’appuiera sur des faits. Et les faits, c’est déjà le casting.
- Sam par Norman Reedus (The Walking Dead)
 - Cliff par Mads Mikkelsen (Hannibal, Casino Royale)
 - Fragile par Léa Seydoux (Spectre, La Vie d’Adèle)
 - Mama par Margaret Qualley (The Leftovers, pub Kenzo et accessoirement fille d’Andy MacDowell)
 - Deadman par Guillermo Del Tor (réalisateur de Hellboy, La Forme de l’Eau)
 - Heartman par Nicolas Winding Refn (réalisateur de Drive, Too Old To Die Young)
 - Die Hardman par Tommie Earl Jenkins
 - Higgs par Troy Baker (Joel dans The Last Of Us, Ocelot dans MGSV)
 - Amelie par Lindsay Wagner (Super Jaimie)
 
Il est intéressant de voir qu’aucune personne n’a de nom de famille. Il n’y a d’ailleurs que deux prénoms —courts au demeurant— et des pseudonymes. Le rôle de chacun n’est pas défini. Le héros de l’aventure devrait néanmoins être Sam tandis que Cliff se dirige tout droit comme l’antagoniste principal. Ou du moins en apparence. Est-ce vraiment la même personne que l’on voit en tenue militaire entourée de soldats morts (!) et à la toute fin du trailer?

Dans ce trailer de Death Stranding, on découvre que Sam a pour ultime objectif de reconstruire l’Amérique et de sauver l’humanité. Son nom complet est Sam Porter Bridges, ce qui semble aussi être le nom d’une entité. Bridges signifie en français Ponts. Le raccourci est simple: Sam servira de lien entre chaque ville qu’il visitera.
On semble le voir à la Maison Blanche puis il est dit qu’il doit se préparer à un long périple et rejoindre l’ouest du pays; cela tend à signifier qu’il faudra traverser d’est en ouest ces terres post-apocalyptiques.
Ce sera l’occasion de croiser les Homo Demens, des hommes fous comparés à des terroristes hyper violents. Ils s’en prennent à l’UCA, l’union des villes américaines, ou ce qu’il en reste. Le véritable danger sera néanmoins les Échoués. Derrière ce nom, on retrouve des êtres invisibles ayant un lien particulier avec la pluie et les tempêtes. Ils sont capables d’agripper le joueur dans les profondeurs, à moins que ce ne soit le royaume des morts. On note aussi des hallucinations avec des images de la Première Guerre mondiale, comme s’il fallait revivre quelques-un des conflits qui ont secoué la planète ces dernières décennies.
Dans la description officielle du jeu, le Death Stranding est défini comme « une suite d’événements surnaturels » qui se sont produits dans un futur proche à la suite de mystérieuses explosions sur Terre. Est-ce que cela pourrait alors nous amener à faire des voyages dans le temps voire à découvrir des univers parallèles? Après tout, il est souvent dit qu’il faudra « se connecter à l’autre côté« …
Death Stranding, un jeu d’exploration et d’action
Dans le passé, on avait vu Sam marcher longuement dans de magnifiques plaines, avec un immense sac à dos. Il est dit qu’il faudra prendre soin de cet équipement. Ce sera en effet nécessaire d’équilibrer le poids et de ne pas perdre de précieuses ressources face aux différents ennemis. Death Stranding ne sera pas un simulateur de marche. C’est en effet un jeu d’action avec du combat au corps à corps et des armes à feu.
Dans ce trailer, on voit Sam se battre contre des ennemis en combinaison jaune (Homo Demens?). Ces derniers sont équipés de bâtons électriques, ce qui rappellerait presque Metal Gear Survive. Il est possible de leur échapper en se cachant dans de hautes herbes. Il y aura donc une petite notion d’infiltration. Et pour se déplacer dans ce monde ouvert, il sera possible d’utiliser des véhicules.

L’exploration semble importante dans Death Stranding. Face à certains obstacles, il faudra utiliser une échelle de 10 mètres ou bien faire du rappel. Le site officiel précise que des éléments surnaturels modifieront l’apparence de l’environnement. Ce devrait être lié aux Echoués. Il n’est pas dit qu’il s’agisse de véritables menaces pour le joueur. Là encore, si on se réfère au site, il est dit que le Game Over sera remplacé par « un monde inversé » où il faudra retrouver son chemin vers le monde des vivants.
Il est aussi dit que chaque mort a des conséquences. En d’autres termes, il faudra réfléchir à chacun de ses actes. Death Stranding a beau se présenter comme un jeu solo —du moins pour le moment—, il intégrera un multi asynchrone. Chaque joueur représentant un coursier de l’extrême, il sera possible d’expédier des provisions et de partager des abris. Qu’est-ce que cela signifie vraiment? On ne sait pas. Ce qui est certain, c’est qu’avec Death Stranding, Hideo Kojima souhaite proposer une nouvelle expérience de jeu. Sur le papier, c’est génial, mais manette en main, il faudra voir si ce n’est pas trop déstabilisant.
																	
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Paranormal Activity: Threshold : le jeu qui ravive la peur façon found-footage
														La célèbre franchise d’horreur revient… mais cette fois dans un jeu vidéo. Paranormal Activity: Threshold, développé par DarkStone Digital en collaboration avec DreadXP, offre un aperçu glaçant de ce à quoi ressemblera le passage du film au contrôle dans un univers interactif.
Une ambiance fidèlement horrifique
Le trailer suggère clairement l’atmosphère de la saga : caméra à la main, ombres menaçantes, couloirs étroits, objets qui bougent tout seuls… Le style found-footage est respecté, et l’on sent immédiatement le malaise monter. Chaque plan, chaque détail, renvoie aux moments marquants du film : ce n’est pas seulement un jeu d’horreur, c’est une expérience immersif de peur.
Gameplay et premières promesses
Dans le trailer on découvre que le joueur incarne un couple, Daniel et Jessica, qui documente une rénovation de maison… mais aussi la libération d’une présence malfaisante. Le gameplay semble mêler exploration, enquête, interactions avec des entités paranormales, et effets dynamiques :
- Le système « Paranormal Engine » promet de générer des événements imprévisibles à chaque partie.
 - On devine une mécanique de caméra intégrée, d’objets déclencheurs, de tension psychologique accrue. Le tout sans date de sortie précise pour le moment, mais avec une attente forte pour 2026-2027.
 
Pourquoi ce jeu mérite l’attention
- Il s’appuie sur une licence culte de l’horreur, ce qui confère une légitimité immédiate.
 - Le contexte « être témoin de l’horreur » permet un gameplay plus subtil que le simple « tuer ou fuir ».
 - Pour les amateurs de frissons, ce jeu a le potentiel d’être un incontournable dans son genre.
 - Le trailer montre que le studio veut dépasser la simple transposition : il veut provoquer la peur, d’une manière interactive.
 
Verdict
Paranormal Activity: Threshold s’annonce comme une adaptation ambitieuse. Il ne se contente pas de reprendre l’univers des films : il l’intègre dans un gameplay interactif qui pourrait faire mouche. Si tout est bien exécuté, ce jeu pourrait devenir une référence du genre horreur-found-footage. À suivre de très près, sortie prévue en 2026.
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Stone Simulator : vivre comme une pierre… désormais à plusieurs
														Imagine un jeu où ton seul objectif est de ne rien faire. Et maintenant, imagine le faire avec des amis. Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, propose exactement cela : incarner une pierre, observer le monde changer autour de toi… en mode solo et maintenant multijoueur jusqu’à 4 joueurs.
Key Takeaways
- Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, te permet d’incarner une pierre, en solo ou en multijoueur jusqu’à 4 joueurs.
 - Le jeu offre une expérience minimaliste et hypnotique, où l’immobilité devient fascinante grâce à des graphismes soignés.
 - Le mode multijoueur permet de partager des moments absurdes avec des amis, rendant l’expérience encore plus amusante.
 - Cependant, le gameplay est extrêmement minimaliste, ce qui peut dérouter ceux qui préfèrent l’action rapide.
 - Stone Simulator est une curiosité à tester pour ceux qui cherchent une expérience zen et décalée.
 
Un concept minimaliste, mais singulièrement hypnotique
Sorti en août 2025, Stone Simulator t’invite à « juste être une roche ». Le temps passe, les saisons défilent, tu observes, sans bouger, avec une sérénité presque méditative. Le jeu se décrit comme une expérience zen… ou absurde, selon ton humeur.
Le rendu visuel, grâce à Unreal Engine 5, ajoute une vraie profondeur : l’eau, les montagnes, la végétation autour de ta pierre sont d’un soin esthétique qui rend l’immobilité fascinante.
Et maintenant… le multijoueur !
La grande nouveauté ? On ne reste plus seul dans sa roche : le mode multijoueur permet désormais à jusqu’à 4 joueurs de partager l’expérience. Tu peux créer un lobby privé ou rejoindre un public, et être une pierre avec des potes. Oui, c’est aussi drôle que ça en a l’air.
Tu peux même te téléporter, changer de position de repos et débloquer des succès absurdes (oui, “changer de place 10 fois pour un succès”, ça existe).
Pourquoi ce jeu vaut le détour
- Pour les amateurs d’expériences différentes : pas de grand affrontement, pas de rush, juste… le temps.
 - Pour les streamers ou créateurs : un concept “meme” parfait : “Tu es une pierre”.
 - Pour les communautés ou amis : le multijoueur repose sur un humour discret et l’absurde, mais ça fonctionne.
 - Pour la technique : Unreal Engine 5 donne à ce jeu “assis dans une pierre” une vraie mise en scène.
 
Quelques bémols à noter
- Le gameplay est extrêmement minimaliste : si tu cherches de l’action non-stop, ce n’est pas ici.
 - Le concept repose énormément sur l’humour ou l’absurdité : pour certains cela peut manquer de “substance”.
 - Le côté contemplatif et lent peut être déroutant après des jeux hyper-dynamiques.
 
Verdict
Stone Simulator ne cherche pas à révolutionner le jeu vidéo traditionnel. Il revendique son statut d’expérience différente, légère et décalée. Le passage en multijoueur lui donne encore plus de charme : partager ce “être une pierre” avec d’autres rend l’immobilisme… communautaire.
Si tu es prêt à ralentir, à te poser, à observer… avec des potes, alors ce jeu est une belle curiosité à tester.
Ma note : 7/10
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Satisfactory : arrive cette semaine sur PS5 & Xbox Series
														Bonne nouvelle pour les fans d’usines automatisées : Satisfactory débarque sur PS5 et Xbox Series cette semaine, le 4 novembre 2025. Le lancement console s’accompagne des améliorations déjà introduites par la mise à jour 1.1 : support manette peaufiné, mode photo repensé, optimisations de perfs et qualité de vie pour construire plus vite et mieux.
Une version console attendue
Après un long succès sur PC, Satisfactory s’ouvre enfin aux joueurs console. Objectif : proposer la même expérience d’automatisation géante, d’exploration et d’optimisation logistique — depuis son canapé, manette en main.
Ce qu’apporte la mise à jour 1.1
- Support manette complet (idéal pour PS5 & Xbox Series)
 - Mode Photo retravaillé pour sublimer vos mégafactories
 - Améliorations de performance et ergonomie de construction (outils, placements, logistique)
 - Ajustements et optimisations pour un démarrage console plus fluide
 
Ce qu’il faudra surveiller au lancement
- Fluidité & chargements sur consoles next-gen
 - Ergonomie des outils de construction à la manette
 - Sauvegardes cloud / fonctionnalités en ligne et stabilité en coop
 
Verdict
Avec son mélange d’action, de planification et d’optimisation XXL, Satisfactory sur consoles a tout pour séduire une nouvelle vague de pionniers. La 1.1 pose des bases solides : si l’adaptation manette tient ses promesses, on tient un lancement de la semaine à ne pas rater.
