J’avoue que je n’avais pas vu venir Metal Eden. Je me suis lancé un peu par curiosité, et au final j’ai pris une vraie claque. Ce FPS cyber-punk, signé par les créateurs de Ruiner, combine action nerveuse, parkour fluide et une ambiance sombre qui m’a tenu accroché du début à la fin.

Un univers dense et immersif

L’histoire se déroule dans un futur où les consciences humaines ont été transférées dans des corps artificiels. On explore Moebius, une cité orbitale aux allures de cauchemar cyber-punk. Tout est pensé pour te plonger dans cette atmosphère : les néons, les décors industriels, et une bande-son électro qui colle parfaitement à l’action.

Tu incarnes Aska, guidé par une entité nommée Nexus. Leur relation et leurs dialogues donnent de la personnalité à l’aventure, et j’ai vraiment accroché à ce duo.

Du gameplay qui pulse

Ce qui fait la force du jeu, c’est son rythme. Les combats sont intenses, exigeants, mais toujours justes. Tu alternes entre fusillades, corps-à-corps et phases de parkour (sauts, wall-runs, esquives). Le tout est fluide, énergique, et donne une vraie impression de puissance.

Chaque arme a un feeling particulier, chaque ennemi demande une approche différente. Résultat : tu n’as jamais l’impression de faire la même chose en boucle.

Ce que j’ai adoré

• L’univers cyber-punk sombre et crédible.
• La bande-son électro qui t’embarque dans l’action.
• Le rythme ultra nerveux qui te garde en tension constante.
• Les phases de parkour intégrées aux combats, qui rendent le gameplay dynamique.
• Un héros marquant et une écriture qui, sans être révolutionnaire, donne envie de suivre l’histoire.

Ce qui m’a un peu frustré

• L’aventure est assez courte (7h environ), et j’aurais aimé passer plus de temps dans cet univers.
• Quelques petits bugs techniques par moments, surtout dans les zones chargées visuellement.
• Une narration qui aurait pu être un peu plus poussée sur certains passages.

Verdict

Metal Eden n’est pas le jeu parfait, mais c’est clairement une super surprise. Il réussit à mélanger frénésie, ambiance et identité forte, et je le recommande à tous ceux qui aiment les FPS nerveux ou les univers cyber-punk.

Lors de l’Opening Night Live de Gamescom 2025, John Carpenter’s Toxic Commando a enfin livré un aperçu de son gameplay, confirmant une sortie prévue début 2026 sur PlayStation 5, Xbox Series et PC. Une révélation attendue pour les fans d’action-horreur et de coopératif.

Un cocktail explosif : zombies, coop et conduite

Le trailer met en avant des séquences de tir intenses et des phases de conduite dans des environnements corrompus par la boue toxique. Les joueurs devront alterner entre combats à pied et poursuites en véhicule pour affronter des hordes de monstres.

La coopération sera au cœur de l’expérience : jusqu’à 4 joueurs pourront unir leurs forces, avec la promesse du cross-play entre toutes les plateformes.

Une ambiance rétro signée John Carpenter

Le jeu s’inspire des films d’action-horreur des années 80, un style revendiqué dans les dialogues, la direction artistique et surtout la musique. John Carpenter, maître incontesté du genre, participe lui-même à l’écriture et à la bande originale, renforçant cette identité rétro-moderne.

Côté scénario, l’expérience scientifique visant à exploiter l’énergie du noyau terrestre tourne mal, libérant une entité terrifiante : le Sludge God, capable de transformer la planète en terrain toxique et ses habitants en créatures cauchemardesques.

Des promesses de gameplay solides

Le moteur Swarm Engine permettra de gérer des hordes d’ennemis massives à l’écran, dans la lignée de ce qu’on connaît déjà dans les meilleurs shooters coopératifs. Chaque joueur pourra choisir une classe (assaut, support, distance, etc.), personnaliser ses compétences et s’équiper d’armes variées, allant du fusil classique aux armes plus exotiques comme le katana.

Ce qu’il faudra surveiller

• L’équilibre entre conduite et combat, clé pour éviter la répétitivité.
• La qualité du cross-play, souvent un défi technique.
• La profondeur scénaristique et la rejouabilité, essentielles dans un jeu coopératif.
• Une bande-son qui pourrait devenir culte avec John Carpenter aux commandes.

Verdict : un futur hit coopératif ?

Avec son mélange d’action frénétique, d’horreur et d’ambiance rétro, John Carpenter’s Toxic Commando a déjà de quoi séduire. Prévu pour début 2026, il pourrait bien s’imposer comme l’un des titres coopératifs majeurs de l’année, si ses promesses sont tenues.

Après deux longues années de silence, Kojima Productions revient dans l’arène avec un nouveau trailer cryptique pour son mystérieux projet OD. Un retour attendu, qui relance les spéculations et l’impatience au sein de la communauté gaming.

Un teaser énigmatique qui relance les débats

Le nouveau trailer laisse peu de certitudes, mais regorge de symboles : décor post-apocalyptique, personnages énigmatiques, thèmes de mémoire et de temporalité. Kojima joue ici la carte du mystère, comme il l’a souvent fait dans ses œuvres précédentes.
Même si l’on ne dispose pas encore de date de sortie, cette nouvelle bande-annonce atteste d’un développement actif et d’une volonté de maintenir une forte aura autour du jeu.

Kojima vs mystère : une recette bien rodée

Kojima Productions n’est pas étranger à la technique du teasing prolongé :

• – Le studio cultive depuis longtemps une approche cryptique dans ses communications, invitant à l’interprétation et à la réflexion.

• – Dans Death Stranding, Metal Gear Solid V, ou d’autres projets, les symboles et messages cachés étaient la norme. OD semble perpétuer cette tradition narrative.
• – Ce nouveau trailer est plus qu’un simple teaser ; c’est un défi au public, une invitation à anticiper la révélation.

Ce que l’on peut déjà conjecturer

À partir du peu vu dans le trailer, voici quelques hypothèses plausibles :

• – Le jeu pourrait explorer des thèmes comme la mémoire, le temps, l’identité.
• – On entrevoit des environnements dévastés, laissant penser à un monde post-catastrophe.
• – Des variantes de design entre technologie avancée et vestiges d’un passé brisé (décors en ruines, structures de métal, lumières néon).

• Évidemment, ce ne sont que des spéculations. Mais c’est bien ce mélange d’ombre et de lumière qui fait l’ADN des productions Kojima.