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Jeux Playstation Classic: des absents de marque

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Beaucoup d'absents dans la liste des jeux PlayStation Classic

Sony a officialisé la liste des jeux inclus dans la PlayStation Classic. Il y a de gros titres mais aussi pas mal d’absents.

Lors de son annonce le 19 septembre, la PlayStation Classic refusait de dévoiler tous ses secrets. Sony, son constructeur, indiquait clairement que 20 jeux seraient disponibles avec cette console rétro aux proportions mini, mais seuls 5 étaient dévoilés: Final Fantasy VII, Jumping Flash, Ridge Racer Type 4, Tekken 3 et Wild Arms.

En ce lundi 29 octobre, Sony a décidé de faire toute la lumière sur la PlayStation Classic, près de 35 jours avant sa sortie officielle —le lancement aura lieu le 3 décembre. Voici donc les 15 jeux supplémentaires:

  • Battle Arena Toshinden™
  • Cool Boarders 2
  • Destruction Derby
  • Grand Theft Auto
  • Intelligent Qube
  • Metal Gear Solid
  • Mr. Driller
  • Oddworld: Abe’s Oddysee®
  • Rayman
  • Resident Evil™ Director’s Cut
  • Revelations: Persona
  • Super Puzzle Fighter II Turbo®
  • Syphon Filter
  • Tom Clancy’s Rainbow Six
  • Twisted Metal

Du côté du Japon, la sélection diffère puisqu’il s’agira de: Arc the LadArc the Lad 2Armored CoreBattle Arena ToshindenDevil DiceFinal Fantasy 7G DariusGradius GaidenIntelligent QubeJumping FlashMetal Gear SolidMr. DrillerParasite EvePersonaResident EvilRidge Racer Type 4SaGa FrontierSuper Puzzle Fighter 2 TurboTekken 3 et Wild Arms.

Gran Turismo reste aux stands

Forcément, depuis l’annonce de cette liste de jeux de la PlayStation Classic, les réactions se multiplient. Certains sont heureux de cette sélection. Intégrer Kurushi/Intelligent Qube est par exemple est un excellent choix. D’autres, au contraire, sont déçus. Certaines décision sont troublantes. Rainbow Six PS1 n’est pas si culte et Destruction Derby 2 est nettement supérieur à son prédécesseur.

Le fait est que dès le départ, on savait qu’il serait impossible de combler tout le monde. Faire une liste de seulement 20 jeux, c’est compliqué. On parle là de la toute première PlayStation, une machine absolument culte dont la ludothèque est immense. C’est pourquoi l’absence d’un accès au PlayStation Store est aussi dommage qu’incompréhensible.

Bref, Sony a dû faire des choix. Certains sont évident. Il était difficile de mettre plusieurs jeux d’une même série, même si au Japon, il l’a fait. Ce sera donc Final Fantasy VII, au détriment du VIII et du IX. Puis il y a les problèmes de licences. On suppose qu’il était difficile voire impossible d’intégrer un Gran Turismo à cause de ses musiques et des accords passés avec les constructeurs, malgré ses 10 millions de ventes. Il est d’ailleurs absent du PlayStation Store.

Une volonté de préserver les remakes HD?

Les éditeurs doivent également donner leur accord pour que leurs jeux atterrissent sur la PlayStation Classic. C’est ce qui explique sans doute l’absence de deux absents de marque, de deux mascottes: Spyro et Crash Bandicoot. On pense que c’est un souhait d’Activision, qui possède ces deux licences, dans le but de favoriser les remakes HD. C’est sans doute pour la même raison que Sony n’a pas inclus Parappa The RapperWipEout ou même MediEvil, dont un trailer du remake est prévu pour demain.

Et il y a les absences qu’on ne comprend pas. Tout en haut de cette liste, on retrouve Tomb Raider. Comment se fait-il que Lara Croft ne soit pas dans cette PlayStation Classic? C’est peut-être la série la plus emblématique de cette ère, celle qui, depuis 20 ans maintenant, continue de rayonner malgré des épisodes inégaux. Autre absence notable: Silent Hill. Alors certes, la série s’est maintenant perdue mais elle est née sur PlayStation avec un épisode remarquable.

Enfin, terminons avec d’autres jeux qui méritaient aussi d’intégrer cette liste de jeux PlayStation Classic, définitivement trop étriquée. Au niveau de la plateforme, Tombi, Klonoa et Ape Escape auraient pu se faire une place dans cette sélection; pour le dernier cité, ça aurait néanmoins été compliqué puisqu’il nécessite une dualshock. En matière d’action aventure, on pense à Castlevania: Symphony Of The Night (qui vient de ressortir sur PS4), Dino Crisis, Tenchu ou encore Legacy Of Kain. Pêle-mêle, les absences de Suikoden 2, Driver, Medal Of Honor et Tony Hawk sont également notables et regrettables. Vingt jeux, c’est peu, surtout lorsqu’il s’agit d’une console ayant connu un immense succès grâce à son catalogue first et third party. La PlayStation Classic est un magnifique objet. Elle plaira forcément aux collectionneurs car elle renferme une forme de nostalgie. Mais cet hommage au passé aurait mérité d’être plus important.

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Sony tease la PS6 : premières infos prometteuses sur les technologies à venir

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Sony vient d’ouvrir le bal autour de la prochaine génération PlayStation, sans pour autant prononcer le nom officiel « PS6 ». Une vidéo technique récemment publiée met en lumière de nouvelles technologies — Neural Arrays, Radiance Cores, Universal Compression — laissant entrevoir ce que pourrait être la console de demain.

Un teasing méthodique plutôt qu’une annonce officielle

Dans cette vidéo, Sony invite Mark Cerny (architecte PlayStation) à dialoguer avec un expert d’AMD. Ensemble, ils dévoilent les technologies censées être au cœur d’un Project Amethyst, supposée feuille de route pour une console future. Mais à aucun moment le terme PlayStation 6 n’est mentionné : le constructeur joue la carte du teasing bien dosé pour susciter l’intérêt sans s’engager définitivement.

https://dai.ly/x9s2xly

Les technologies qui font parler

  • Neural Arrays : unités de calcul dédiées à l’intelligence artificielle, probablement utilisées pour l’upscaling et des traitements visuels avancés.
  • Radiance Cores : cœurs logiques axés sur l’amélioration du ray tracing et de l’éclairage, voire du path tracing.
  • Universal Compression : technologie pour optimiser la bande passante, réduire les temps de chargement et transférer rapidement de grandes quantités de données.

Ces noms techniques pourraient sembler marketing à première vue, mais ils posent les jalons d’innovations visuelles et de performances qui pourraient placer la prochaine PlayStation dans une nouvelle dimension.

Ce que cela laisse entrevoir

  • Une rétrocompatibilité renforcée, notamment avec la série PS5, grâce à la continuité technique.
  • Une console qui pourrait pousser le graphisme en temps réel, avec des effets de lumière et d’ombre très poussés.
  • Une focalisation sur la fluidité, les temps de chargement réduits, et une meilleure circulation des données entre mémoire, disque et rendu.
  • Des interrogations restent : quel sera le prix ? Une version sans lecteur physique est-elle envisageable ? La compatibilité avec les supports physiques sera-t-elle sacrifiée à l’ère du dématérialisé ?

Pourquoi cette opération de teasing est stratégique

Sony prépare le terrain avant l’annonce officielle. En publiant un contenu technique mais non définitif, la marque capte l’attention des passionnés, alimente les discussions médias, et installe une attente sans prendre de risque. La PS5 fêtera bientôt ses 5 ans : c’est le bon moment pour commencer à esquisser ce que pourrait offrir la suite.

Mon ressenti : l’ombre d’une PS6 déjà palpable

On n’a pas encore de confirmation officielle, mais ce teaser met en lumière une ambition claire : pousser les limites techniques et visuelles. Je suis intrigué — ces technologies, si elles se concrétisent, pourraient transformer l’expérience PlayStation.

Pour l’instant, c’est un jeu de patience et d’observations. Mais le décor est posé, les promesses sont là.

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Pourquoi le Game Pass a grandement augmenté ses prix?

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Le prix du Game Pass a pris 50% en une annonce. C’est plus que l’inflation, non?

Mercredi dernier, coup de tonnerre pour tous les abonnés Game Pass : le prix de l’abonnement a augmenté. Ou plutôt explosé. Une hausse de 50%, ce n’est pas rien, et la barre des 20€/mois a largement été franchie. A quoi joue Microsoft ?

Quels sont désormais les avantages du Game Pass?

Oui, le prix du Game Pass a augmenté. Mais le service a avant tout évolué. Il se veut plus flexible —il introduit le Game Pass Premium— et il offre plus de choses dans son offre Ultimate.

Voici comment se décomposent désormais les offres :

  • Le Game Pass Essential à 8,99€/mois
    • jeu en ligne
    • accès une cinquantaine de jeux
  • Le Game Pass Premium à 12,99€/mois
    • accès à 200 jeux, mais les productions Xbox Game Studios / Bethesda / Activision ne sont disponibles que dans les 12 mois de leur sortie, et Call Of Duty n’est pas inclus
  • Le Game Pass Ultimate à 26,99€/mois
    • accès à 400 jeux dont tous les titres Xbox Game Studios / Bethesda / Activision en Day 1, dont Call Of Duty
    • Ajout de l’EA Play qui coûte séparément 5,99€/mois
    • Ajout de l’Ubisoft+ Classics qui coûte séparément 7,99€/mois
    • Ajout du Club Fortnite qui coûte séparément 11,99€/mois

A cela, il faut également ajouter le cloud gaming et des avantages sur les jeux Riot Games.

Sur le papier, l’offre Ultimate reste une affaire en or. Si on additionne l’EA Play, l’Ubisoft+ Classics et le Club Fortnite, on monte déjà à 26€. Les joueurs ne paieraient alors que 1€ pour accéder à 400 jeux dont Call Of Duty dès sa sortie dans le commerce.

Les choses sont toutefois plus compliquées. L’EA Play et désormais l’Ubisoft+ Classics et Club Fortnite doivent normalement agir comme des bonus. L’intérêt du Game Pass a toujours résidé dans son catalogue de jeux récents, dont les titres first party. Et désormais, pour profiter de cela, il faudra débourser 26,99€/mois contre 17,99€/mois auparavant. On passe la barre psychologique des 20€ et même des 25€.

Pourquoi une telle augmentation du Game Pass Ultimate ?

Selon Bloomberg, la branche Xbox est une nouvelle fois mise sous pression par Microsoft. A la suite de l’inclusion de Call Of Duty Black Ops 6 dans le Game Pass, les chiffres n’ont pas explosé —il n’y a pas eu une hausse significative des abonnés.

Au contraire, ce cadeau auprès des clients Game Pass aurait représenté un manque à gagner de près de 300 millions de dollars pour l’Américain ; les ventes de Black Ops 6 auraient chuté sur PC et Xbox, ne représentant que 18% du total. La direction de Microsoft aurait alors exigé à sa division Xbox de redresser la barre.

Et dans ces cas là, quand on ne réussit pas à attirer de nouveaux consommateurs, on fait davantage payer ceux existants. Comme le rappelle la newsletter Le Résumé Jeu Vidéo, cette stratégie est déjà appliquée par pas mal d’acteurs dont Sony. La manette DualSense Edge à 220€ et la PS5 Pro à 800€ s’adressent à une niche, mais une niche qui a des moyens pour sa passion et qui passe à la caisse.

Il en va de même pour le PlayStation Plus. Le nombre d’abonnés stagne autour des 40/45 millions, mais le chiffre d’affaires augmente. Comment ? A travers les nouvelles offres Extra et Premium qui confèrent différents avantages contre un prix bien plus élevé que celui du PS Plus Essential. Le Game Pass suit la même direction. Microsoft exige une meilleure rentabilité, Call Of Duty a échoué. Il faut alors trouver l’argent auprès des fans de la marque.

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Battlefield 6 : un trailer live action qui se moque de Call Of Duty

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Electronic Arts s’attaque à Call Of Duty à travers la bande-annonce live action de Battlefield 6.

Quelques jours avant sa sortie, Battlefield 6 accélère sa campagne marketing avec la diffusion d’une nouvelle bande-annonce. Pas d’images du jeu cette fois-ci. Il s’agit en effet d’un live-action, un trailer en prise de vue réelle avec de vrais acteurs . Et ce sacré casting n’a qu’un seul but : parodier Call Of Duty.

Battlefield 6 se moque de Call Of Duty

Battlefield 6 ne tire pas à balles réelles sur Call Of Duty, mais l’intention y est. Il reprend le même principe, à savoir un joli cast composé de Paddy Pimblett, Zac Efron, Morgan Wallen et Jimmy Butler. Chacun porte une arme au skin plus ou moins discret, et prend la pose avec une certaine arrogance. C’est Hollywood, c’est Call Of Duty ; ce n’est pas Battlefield.

Après une explosion, ce petit groupe est rapidement remplacé par de vrais soldats qui font face à la vraie guerre. C’est brutal et violent ; les explosions laissent place à des nuages de poussière. On voit aussi différents accessoires qui se veulent réalistes et bien sûr, des tanks.

A travers ce trailer live-action, Battlefield 6 montre sa différence et entend jouer la carte du pseudo-réalisme face à Call Of Duty.

Battlefield 6 fait-il le poids face à Call Of Duty Black Ops 7 ?

Dans ce duel, Battlefield 6 n’est clairement pas le favori. Call Of Duty est un mastodonte du jeu vidéo et chaque épisode continue de se vendre à plusieurs dizaines de millions d’exemplaires.

Battlefield revient en plus de loin. Il reste sur deux échecs successifs —BF V et BF 2042— et a vu son studio DICE perdre de sa superbe comme le rappelle la Newsletter le Résumé du Jeu Vidéo.

Electronic Arts place beaucoup d’espoirs dans cet épisode. Disponible à partir du 10 octobre, Battlefield 6 doit réellement relancer la série. Le but à moyen terme serait de rivaliser pleinement avec Call Of Duty avec des jeux annuels et un Battle Royale —ce dernier pourrait prochainement être révélé.

Pour arriver à ses ambitions, Electronic Arts a débauché l’ancien directeur de la franchise Call Of Duty et a établi Battlefield Studios, une unité composée de différentes équipes, dont DICE.

La beta de BF6 cet été laissait entrevoir un jeu plutôt solide qui ne prenait aucun risque; c’était dans la veine d’un Battlefield 3, un épisode datant de 2011.

Quant à l’aspect réaliste, il ne faut pas s’attendre à du ArmA. En revanche, il a d’ores et déjà été annoncé que chaque skin proposé devra respecter l’univers Battlefield. Même son de cloche d’ailleurs du côté de Black Ops 7 où Activision affirme avoir refusé des collaborations avec de grosses marques.

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