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Rocket League : la saisons 2 est lancée
Rocket League a reçu hier une nouvelle mise à jour, coïncidant avec le lancement de sa saison 2 pour les matchs classés.
Contre plusieurs centaines de Mo, ce gros patch pour Rocket League apporte comme convenu 3 nouvelles maps, ajoute la terrible arène Wasteland dans les matchs classés et permet de faire des matchs de hockey sur glace au cours de parties privées. Mais ce n’est pas tout. Une nouvelle antenne deadmau5 a fait son apparition, tout comme de nouveaux drapeaux communautaires. L’input lag a également été réduit sur PS4, les fichiers replay affichent sur la timeline quand interviennent les buts et autres arrêts, et les joueurs PC peuvent activer l’option Max FPS.
Outre réparer quelques bugs et corriger le frein à main sur quelques véhicules, cette mise à jour de Rocket League signifie aussi le coup d’envoi de la saison 2. Concrètement, en lançant le jeu pour la première fois depuis ce patch, chaque joueur reçoit une couronne liée à sa meilleure performance lors de la saison 1 et doit effectuer 10 matchs classés. Ces derniers servent alors à évaluer le pilote —en plus de prendre en compte ses résultats lors de la S1— et à le placer dans l’une des 12 nouvelles divisions :
- Prospect I
- Prospect II
- Prospect III
- Prospect Elite
- Challenger I
- Challenger II
- Challenger III
- Challenger Elite
- Rising Star
- All-Star
- Super Star
- Champion
Autres nouveautés, les Rank Points ne sont plus affichés à la fin de chaque partie —ce qui apporte une certaine confusion— et il est impossible d’être rétrogradé tout juste après avoir été promu dans une nouvelle division.
Rocket League est disponible depuis l’été dernier sur PC et PlayStation 4, et sortira le 17 février sur Xbox One. Contrairement au jeu sur PS4, cette version ne permettra pas d’affronter les joueurs PC mais elle intégrera en revanche directement 3 DLC déjà sortis (Chaos Run, Revenge of the Battle-Cars et Supersonic Fury) ainsi que deux véhicules inédits inspirés des jeux Gears Of War et Halo, en plus de proposer des objets de décoration rappelant Sunset Overdrive.
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Paranormal Activity: Threshold : le jeu qui ravive la peur façon found-footage
La célèbre franchise d’horreur revient… mais cette fois dans un jeu vidéo. Paranormal Activity: Threshold, développé par DarkStone Digital en collaboration avec DreadXP, offre un aperçu glaçant de ce à quoi ressemblera le passage du film au contrôle dans un univers interactif.
Une ambiance fidèlement horrifique
Le trailer suggère clairement l’atmosphère de la saga : caméra à la main, ombres menaçantes, couloirs étroits, objets qui bougent tout seuls… Le style found-footage est respecté, et l’on sent immédiatement le malaise monter. Chaque plan, chaque détail, renvoie aux moments marquants du film : ce n’est pas seulement un jeu d’horreur, c’est une expérience immersif de peur.
Gameplay et premières promesses
Dans le trailer on découvre que le joueur incarne un couple, Daniel et Jessica, qui documente une rénovation de maison… mais aussi la libération d’une présence malfaisante. Le gameplay semble mêler exploration, enquête, interactions avec des entités paranormales, et effets dynamiques :
- Le système « Paranormal Engine » promet de générer des événements imprévisibles à chaque partie.
- On devine une mécanique de caméra intégrée, d’objets déclencheurs, de tension psychologique accrue. Le tout sans date de sortie précise pour le moment, mais avec une attente forte pour 2026-2027.
Pourquoi ce jeu mérite l’attention
- Il s’appuie sur une licence culte de l’horreur, ce qui confère une légitimité immédiate.
- Le contexte « être témoin de l’horreur » permet un gameplay plus subtil que le simple « tuer ou fuir ».
- Pour les amateurs de frissons, ce jeu a le potentiel d’être un incontournable dans son genre.
- Le trailer montre que le studio veut dépasser la simple transposition : il veut provoquer la peur, d’une manière interactive.
Verdict
Paranormal Activity: Threshold s’annonce comme une adaptation ambitieuse. Il ne se contente pas de reprendre l’univers des films : il l’intègre dans un gameplay interactif qui pourrait faire mouche. Si tout est bien exécuté, ce jeu pourrait devenir une référence du genre horreur-found-footage. À suivre de très près, sortie prévue en 2026.
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Stone Simulator : vivre comme une pierre… désormais à plusieurs
Imagine un jeu où ton seul objectif est de ne rien faire. Et maintenant, imagine le faire avec des amis. Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, propose exactement cela : incarner une pierre, observer le monde changer autour de toi… en mode solo et maintenant multijoueur jusqu’à 4 joueurs.
Key Takeaways
- Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, te permet d’incarner une pierre, en solo ou en multijoueur jusqu’à 4 joueurs.
- Le jeu offre une expérience minimaliste et hypnotique, où l’immobilité devient fascinante grâce à des graphismes soignés.
- Le mode multijoueur permet de partager des moments absurdes avec des amis, rendant l’expérience encore plus amusante.
- Cependant, le gameplay est extrêmement minimaliste, ce qui peut dérouter ceux qui préfèrent l’action rapide.
- Stone Simulator est une curiosité à tester pour ceux qui cherchent une expérience zen et décalée.
Un concept minimaliste, mais singulièrement hypnotique
Sorti en août 2025, Stone Simulator t’invite à « juste être une roche ». Le temps passe, les saisons défilent, tu observes, sans bouger, avec une sérénité presque méditative. Le jeu se décrit comme une expérience zen… ou absurde, selon ton humeur.
Le rendu visuel, grâce à Unreal Engine 5, ajoute une vraie profondeur : l’eau, les montagnes, la végétation autour de ta pierre sont d’un soin esthétique qui rend l’immobilité fascinante.
Et maintenant… le multijoueur !
La grande nouveauté ? On ne reste plus seul dans sa roche : le mode multijoueur permet désormais à jusqu’à 4 joueurs de partager l’expérience. Tu peux créer un lobby privé ou rejoindre un public, et être une pierre avec des potes. Oui, c’est aussi drôle que ça en a l’air.
Tu peux même te téléporter, changer de position de repos et débloquer des succès absurdes (oui, “changer de place 10 fois pour un succès”, ça existe).
Pourquoi ce jeu vaut le détour
- Pour les amateurs d’expériences différentes : pas de grand affrontement, pas de rush, juste… le temps.
- Pour les streamers ou créateurs : un concept “meme” parfait : “Tu es une pierre”.
- Pour les communautés ou amis : le multijoueur repose sur un humour discret et l’absurde, mais ça fonctionne.
- Pour la technique : Unreal Engine 5 donne à ce jeu “assis dans une pierre” une vraie mise en scène.
Quelques bémols à noter
- Le gameplay est extrêmement minimaliste : si tu cherches de l’action non-stop, ce n’est pas ici.
- Le concept repose énormément sur l’humour ou l’absurdité : pour certains cela peut manquer de “substance”.
- Le côté contemplatif et lent peut être déroutant après des jeux hyper-dynamiques.
Verdict
Stone Simulator ne cherche pas à révolutionner le jeu vidéo traditionnel. Il revendique son statut d’expérience différente, légère et décalée. Le passage en multijoueur lui donne encore plus de charme : partager ce “être une pierre” avec d’autres rend l’immobilisme… communautaire.
Si tu es prêt à ralentir, à te poser, à observer… avec des potes, alors ce jeu est une belle curiosité à tester.
Ma note : 7/10
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Satisfactory : arrive cette semaine sur PS5 & Xbox Series
Bonne nouvelle pour les fans d’usines automatisées : Satisfactory débarque sur PS5 et Xbox Series cette semaine, le 4 novembre 2025. Le lancement console s’accompagne des améliorations déjà introduites par la mise à jour 1.1 : support manette peaufiné, mode photo repensé, optimisations de perfs et qualité de vie pour construire plus vite et mieux.
Une version console attendue
Après un long succès sur PC, Satisfactory s’ouvre enfin aux joueurs console. Objectif : proposer la même expérience d’automatisation géante, d’exploration et d’optimisation logistique — depuis son canapé, manette en main.
Ce qu’apporte la mise à jour 1.1
- Support manette complet (idéal pour PS5 & Xbox Series)
- Mode Photo retravaillé pour sublimer vos mégafactories
- Améliorations de performance et ergonomie de construction (outils, placements, logistique)
- Ajustements et optimisations pour un démarrage console plus fluide
Ce qu’il faudra surveiller au lancement
- Fluidité & chargements sur consoles next-gen
- Ergonomie des outils de construction à la manette
- Sauvegardes cloud / fonctionnalités en ligne et stabilité en coop
Verdict
Avec son mélange d’action, de planification et d’optimisation XXL, Satisfactory sur consoles a tout pour séduire une nouvelle vague de pionniers. La 1.1 pose des bases solides : si l’adaptation manette tient ses promesses, on tient un lancement de la semaine à ne pas rater.
