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Switch – NBA, Resident Evil, Doom: des problèmes de taille
																								
												
												
											Pour son premier Noël, la Switch est confronté à un premier problème: des jeux trop volumineux. Ce sera par exemple le cas de NBA 2K18, Resident Evil Revelations Collection et DOOM.
La Switch étant une console portable de salon, Nintendo a décidé de miser sur les cartouches. Cela prend moins de place dans la machine, les temps de chargement peuvent être plus courts… Mais cela coûte aussi plus cher.
Selon les informations d’Eurogamer, lorsqu’un éditeur décide de sortir son jeu Switch dans le commerce, il a le choix entre des cartouches de 1GB, 2GB, 4GB, 8GB, 16GB et 32GB. Suivant la capacité choisie, les coûts de fabrications sont plus ou moins élevés. Opter pour une carte de 16GB ou de 32GB est même risqué car la rentabilité en prend un coup; cela revient bien plus cher que de sortir un jeu sur BluRay (PS4/ONE).
Les éditeurs ont alors 3 possibilités.
- La première est simple: ils acceptent de voir leur marge fondre. Spoiler: ils n’aiment pas ça.
 - La deuxième est d’augmenter le prix du jeu. C’est pour cette raison que certains titres sont plus chers sur Switch que sur PS4/ONE. Ce devrait par exemple être le cas de LA Noire. Le portage Switch coûterait 10$ de plus que la version remasterisée sur les consoles de Sony et Microsoft.
 - Enfin, la troisième est de sortir des versions incomplètes de leur jeu. Ils choisissent une cartouche de faible/moyenne capacité et le reste des données est à télécharger.
 
Take Two, Capcom et Bethesda ont choisi cette dernière solution pour respectivement NBA 2K18, Resident Evil Revelations Collection et DOOM.
- A lire également: DOOM et Wolfenstein 2 annoncés sur Switch
 
Comme le souligne Game Informer, chacun de ces 3 jeux nécessiteront de passer par la case téléchargement pour une expérience optimale. Seul le solo de DOOM sera sur la cartouche du jeu. Pour découvrir son mode multijoueur, il faudra procéder à une mise à jour dont la taille n’est pas encore connue. Dans le même genre, la compilation Resident Evil Revelations n’inclura que le premier épisode sur la cartouche. Le second sera à récupérer via la magie d’internet.
Le cas NBA 2K18 est légèrement différent. Que ce soit la version boîte ou dématérialisée, Nintendo prévient qu’il sera indispensable de posséder en plus une carte microSD pour profiter du jeu. Le poids du fichier initial —à télécharger ou stocké sur la cartouche— sera de 6,8GB. Il faudra ensuite récupérer 16GB de données via un patch, tout en sachant que les sauvegardes pèseront la bagatelle de 5GB.
La mémoire interne de la Switch —seulement 32GB— sera donc rapidement remplie, d’où le besoin d’une carte microSD. Et indirectement, cela signifie qu’une connexion internet sera obligatoire pour le premier lancement du jeu.
																	
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Paranormal Activity: Threshold : le jeu qui ravive la peur façon found-footage
														La célèbre franchise d’horreur revient… mais cette fois dans un jeu vidéo. Paranormal Activity: Threshold, développé par DarkStone Digital en collaboration avec DreadXP, offre un aperçu glaçant de ce à quoi ressemblera le passage du film au contrôle dans un univers interactif.
Une ambiance fidèlement horrifique
Le trailer suggère clairement l’atmosphère de la saga : caméra à la main, ombres menaçantes, couloirs étroits, objets qui bougent tout seuls… Le style found-footage est respecté, et l’on sent immédiatement le malaise monter. Chaque plan, chaque détail, renvoie aux moments marquants du film : ce n’est pas seulement un jeu d’horreur, c’est une expérience immersif de peur.
Gameplay et premières promesses
Dans le trailer on découvre que le joueur incarne un couple, Daniel et Jessica, qui documente une rénovation de maison… mais aussi la libération d’une présence malfaisante. Le gameplay semble mêler exploration, enquête, interactions avec des entités paranormales, et effets dynamiques :
- Le système « Paranormal Engine » promet de générer des événements imprévisibles à chaque partie.
 - On devine une mécanique de caméra intégrée, d’objets déclencheurs, de tension psychologique accrue. Le tout sans date de sortie précise pour le moment, mais avec une attente forte pour 2026-2027.
 
Pourquoi ce jeu mérite l’attention
- Il s’appuie sur une licence culte de l’horreur, ce qui confère une légitimité immédiate.
 - Le contexte « être témoin de l’horreur » permet un gameplay plus subtil que le simple « tuer ou fuir ».
 - Pour les amateurs de frissons, ce jeu a le potentiel d’être un incontournable dans son genre.
 - Le trailer montre que le studio veut dépasser la simple transposition : il veut provoquer la peur, d’une manière interactive.
 
Verdict
Paranormal Activity: Threshold s’annonce comme une adaptation ambitieuse. Il ne se contente pas de reprendre l’univers des films : il l’intègre dans un gameplay interactif qui pourrait faire mouche. Si tout est bien exécuté, ce jeu pourrait devenir une référence du genre horreur-found-footage. À suivre de très près, sortie prévue en 2026.
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Stone Simulator : vivre comme une pierre… désormais à plusieurs
														Imagine un jeu où ton seul objectif est de ne rien faire. Et maintenant, imagine le faire avec des amis. Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, propose exactement cela : incarner une pierre, observer le monde changer autour de toi… en mode solo et maintenant multijoueur jusqu’à 4 joueurs.
Key Takeaways
- Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, te permet d’incarner une pierre, en solo ou en multijoueur jusqu’à 4 joueurs.
 - Le jeu offre une expérience minimaliste et hypnotique, où l’immobilité devient fascinante grâce à des graphismes soignés.
 - Le mode multijoueur permet de partager des moments absurdes avec des amis, rendant l’expérience encore plus amusante.
 - Cependant, le gameplay est extrêmement minimaliste, ce qui peut dérouter ceux qui préfèrent l’action rapide.
 - Stone Simulator est une curiosité à tester pour ceux qui cherchent une expérience zen et décalée.
 
Un concept minimaliste, mais singulièrement hypnotique
Sorti en août 2025, Stone Simulator t’invite à « juste être une roche ». Le temps passe, les saisons défilent, tu observes, sans bouger, avec une sérénité presque méditative. Le jeu se décrit comme une expérience zen… ou absurde, selon ton humeur.
Le rendu visuel, grâce à Unreal Engine 5, ajoute une vraie profondeur : l’eau, les montagnes, la végétation autour de ta pierre sont d’un soin esthétique qui rend l’immobilité fascinante.
Et maintenant… le multijoueur !
La grande nouveauté ? On ne reste plus seul dans sa roche : le mode multijoueur permet désormais à jusqu’à 4 joueurs de partager l’expérience. Tu peux créer un lobby privé ou rejoindre un public, et être une pierre avec des potes. Oui, c’est aussi drôle que ça en a l’air.
Tu peux même te téléporter, changer de position de repos et débloquer des succès absurdes (oui, “changer de place 10 fois pour un succès”, ça existe).
Pourquoi ce jeu vaut le détour
- Pour les amateurs d’expériences différentes : pas de grand affrontement, pas de rush, juste… le temps.
 - Pour les streamers ou créateurs : un concept “meme” parfait : “Tu es une pierre”.
 - Pour les communautés ou amis : le multijoueur repose sur un humour discret et l’absurde, mais ça fonctionne.
 - Pour la technique : Unreal Engine 5 donne à ce jeu “assis dans une pierre” une vraie mise en scène.
 
Quelques bémols à noter
- Le gameplay est extrêmement minimaliste : si tu cherches de l’action non-stop, ce n’est pas ici.
 - Le concept repose énormément sur l’humour ou l’absurdité : pour certains cela peut manquer de “substance”.
 - Le côté contemplatif et lent peut être déroutant après des jeux hyper-dynamiques.
 
Verdict
Stone Simulator ne cherche pas à révolutionner le jeu vidéo traditionnel. Il revendique son statut d’expérience différente, légère et décalée. Le passage en multijoueur lui donne encore plus de charme : partager ce “être une pierre” avec d’autres rend l’immobilisme… communautaire.
Si tu es prêt à ralentir, à te poser, à observer… avec des potes, alors ce jeu est une belle curiosité à tester.
Ma note : 7/10
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Satisfactory : arrive cette semaine sur PS5 & Xbox Series
														Bonne nouvelle pour les fans d’usines automatisées : Satisfactory débarque sur PS5 et Xbox Series cette semaine, le 4 novembre 2025. Le lancement console s’accompagne des améliorations déjà introduites par la mise à jour 1.1 : support manette peaufiné, mode photo repensé, optimisations de perfs et qualité de vie pour construire plus vite et mieux.
Une version console attendue
Après un long succès sur PC, Satisfactory s’ouvre enfin aux joueurs console. Objectif : proposer la même expérience d’automatisation géante, d’exploration et d’optimisation logistique — depuis son canapé, manette en main.
Ce qu’apporte la mise à jour 1.1
- Support manette complet (idéal pour PS5 & Xbox Series)
 - Mode Photo retravaillé pour sublimer vos mégafactories
 - Améliorations de performance et ergonomie de construction (outils, placements, logistique)
 - Ajustements et optimisations pour un démarrage console plus fluide
 
Ce qu’il faudra surveiller au lancement
- Fluidité & chargements sur consoles next-gen
 - Ergonomie des outils de construction à la manette
 - Sauvegardes cloud / fonctionnalités en ligne et stabilité en coop
 
Verdict
Avec son mélange d’action, de planification et d’optimisation XXL, Satisfactory sur consoles a tout pour séduire une nouvelle vague de pionniers. La 1.1 pose des bases solides : si l’adaptation manette tient ses promesses, on tient un lancement de la semaine à ne pas rater.
