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Test: Beat Saber — Le meilleur jeu de rythme de 2018

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Test de Beat Saber sur le PSVR

Si on demandait à des personnes d’associer la réalité virtuelle à un genre bien particulier, il y a fort à parier que peu de gens répondraient les jeux de rythme. Et ce serait sans doute parce qu’ils n’ont jamais joué à Beat Saber, l’un des meilleurs jeux VR actuellement disponible.

  • Genre:  Fruit Ninja x Star Wars x Musique Electro
  • Intérêt de la VR: Grand
  • Gerbomètre: Faible
  • Accessoire: contrôleurs VR sur PC; 2 PS Move sur PS4

Beat Saber, c’est un peu DanceDanceRevolution, mais avec un casque VR sur la tête et deux sabres laser dans les mains. Celui de gauche est rouge. Celui de droite est bleu. Avec chacun d’eux, il faut couper des cubes qui foncent sur le joueur en respectant une direction bien précise (bas en haut, droite à gauche etc.). Par moment, Beat Saber s’amuse à ajouter quelques difficultés: des bombes à ne pas toucher ou bien des murs à éviter en se penchant ou en se baissant, ce qui n’apporte pas forcément grand chose à l’expérience.

Il s’agit sans doute là du seul point faible de Beat Saber qui, pour tout le reste, est une magnifique réussite. Alors bien sûr, il faut aimer les jeux de rythme et une musique aux accents très électro. Pour aider chacun à se faire une opinion, voici un extrait de la playlist qui contient au total 17 morceaux. Il est important de préciser que des DLC sont d’ores et déjà prévus, et que sur PC il est possible de rajouter des chansons créées par d’autres joueurs.

Sa réussite, Beat Saber la doit à la Réalité Virtuelle. Elle permet d’immerger totalement le joueur. Plus rien n’existe si ce n’est cette musique et ces cubes à découper. Le jeu est précis et demande de sacrés réflexes à mesure que l’on monte la difficulté. Quand on lance Beat Saber, il est d’ailleurs précisé qu’il vaut mieux s’échauffer. On comprend rapidement pourquoi. C’est presque du sport que de jouer à Beat Saber. Il faut aussi savoir réfléchir vite et être capable de dissocier ses deux mains. Le jeu aime bien tendre des pièges, et il est également généreux.

On retrouve ainsi un mode campagne, idéal pour apprendre les bases. La difficulté évolue avec le temps, au même titre que les objectifs. Si au début il faut uniquement parvenir à terminer chaque chanson—il y a une barre de vie qui diminue à chaque cube raté—, Beat Saber rajoute ensuite différents défis: atteindre tel score, réussir XX coups d’affilé, ne pas manquer plus de XX fois une cible etc. Puis il y a le mode Libre. Toutes les chansons sont accessibles. On choisit sa difficulté et on ajoute quelques options pour augmenter ou baisser son multiplicateur de score. Une fois le morceau terminé, le joueur voit son résultat, ainsi qu’un classement mondial. Ça pousse à la compétition, d’autant plus qu’il y a une véritable marge de progression.

Si la VR reste avant tout une expérience solitaire, Beat Saber s’offre aussi un mode Party avec du multi local où chacun se passe le casque et les manettes pour ensuite essayer de faire le meilleur score. A la fin de chaque essai, les joueurs sont invités à rentrer un pseudo. C’est d’autant plus sympa que les temps de chargement sont très courts. On ne perd jamais de temps et on est sans cesse plongé dans cette expérience d’une efficacité redoutable. Beat Saber est au final bien plus qu’un simple jeu de rythme dans lequel on appuie sur des boutons au bon moment. C’est un titre qui permet de vivre la musique d’une autre manière, uniquement grâce à la magie de la Réalité Virtuelle.

PS: inutile de préciser qu’on peut facilement paraître ridicule et qu’il vaut mieux établir un périmètre de sécurité quand on joue à Beat Saber.

Beat Saber est édité et développé par Beat Games. Ce jeu en réalité virtuelle est disponible sur PC et PlayStation 4. Ce test de Beat Saber a été réalisé sur une PS4 Normale via le PSVR. PEGI 3.

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Paranormal Activity: Threshold : le jeu qui ravive la peur façon found-footage

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La célèbre franchise d’horreur revient… mais cette fois dans un jeu vidéo. Paranormal Activity: Threshold, développé par DarkStone Digital en collaboration avec DreadXP, offre un aperçu glaçant de ce à quoi ressemblera le passage du film au contrôle dans un univers interactif.

Une ambiance fidèlement horrifique

Le trailer suggère clairement l’atmosphère de la saga : caméra à la main, ombres menaçantes, couloirs étroits, objets qui bougent tout seuls… Le style found-footage est respecté, et l’on sent immédiatement le malaise monter. Chaque plan, chaque détail, renvoie aux moments marquants du film : ce n’est pas seulement un jeu d’horreur, c’est une expérience immersif de peur.

Gameplay et premières promesses

Dans le trailer on découvre que le joueur incarne un couple, Daniel et Jessica, qui documente une rénovation de maison… mais aussi la libération d’une présence malfaisante. Le gameplay semble mêler exploration, enquête, interactions avec des entités paranormales, et effets dynamiques :

  • Le système « Paranormal Engine » promet de générer des événements imprévisibles à chaque partie.
  • On devine une mécanique de caméra intégrée, d’objets déclencheurs, de tension psychologique accrue. Le tout sans date de sortie précise pour le moment, mais avec une attente forte pour 2026-2027.

Pourquoi ce jeu mérite l’attention

  • Il s’appuie sur une licence culte de l’horreur, ce qui confère une légitimité immédiate.
  • Le contexte « être témoin de l’horreur » permet un gameplay plus subtil que le simple « tuer ou fuir ».
  • Pour les amateurs de frissons, ce jeu a le potentiel d’être un incontournable dans son genre.
  • Le trailer montre que le studio veut dépasser la simple transposition : il veut provoquer la peur, d’une manière interactive.

Verdict

Paranormal Activity: Threshold s’annonce comme une adaptation ambitieuse. Il ne se contente pas de reprendre l’univers des films : il l’intègre dans un gameplay interactif qui pourrait faire mouche. Si tout est bien exécuté, ce jeu pourrait devenir une référence du genre horreur-found-footage. À suivre de très près, sortie prévue en 2026.

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Stone Simulator : vivre comme une pierre… désormais à plusieurs

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Imagine un jeu où ton seul objectif est de ne rien faire. Et maintenant, imagine le faire avec des amis. Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, propose exactement cela : incarner une pierre, observer le monde changer autour de toi… en mode solo et maintenant multijoueur jusqu’à 4 joueurs.

Key Takeaways

  • Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, te permet d’incarner une pierre, en solo ou en multijoueur jusqu’à 4 joueurs.
  • Le jeu offre une expérience minimaliste et hypnotique, où l’immobilité devient fascinante grâce à des graphismes soignés.
  • Le mode multijoueur permet de partager des moments absurdes avec des amis, rendant l’expérience encore plus amusante.
  • Cependant, le gameplay est extrêmement minimaliste, ce qui peut dérouter ceux qui préfèrent l’action rapide.
  • Stone Simulator est une curiosité à tester pour ceux qui cherchent une expérience zen et décalée.

Un concept minimaliste, mais singulièrement hypnotique

Sorti en août 2025, Stone Simulator t’invite à « juste être une roche ». Le temps passe, les saisons défilent, tu observes, sans bouger, avec une sérénité presque méditative. Le jeu se décrit comme une expérience zen… ou absurde, selon ton humeur. 

Le rendu visuel, grâce à Unreal Engine 5, ajoute une vraie profondeur : l’eau, les montagnes, la végétation autour de ta pierre sont d’un soin esthétique qui rend l’immobilité fascinante. 

Et maintenant… le multijoueur !

La grande nouveauté ? On ne reste plus seul dans sa roche : le mode multijoueur permet désormais à jusqu’à 4 joueurs de partager l’expérience. Tu peux créer un lobby privé ou rejoindre un public, et être une pierre avec des potes. Oui, c’est aussi drôle que ça en a l’air. 

Tu peux même te téléporter, changer de position de repos et débloquer des succès absurdes (oui, “changer de place 10 fois pour un succès”, ça existe). 

Pourquoi ce jeu vaut le détour

  • Pour les amateurs d’expériences différentes : pas de grand affrontement, pas de rush, juste… le temps.
  • Pour les streamers ou créateurs : un concept “meme” parfait : “Tu es une pierre”.
  • Pour les communautés ou amis : le multijoueur repose sur un humour discret et l’absurde, mais ça fonctionne.
  • Pour la technique : Unreal Engine 5 donne à ce jeu “assis dans une pierre” une vraie mise en scène.

Quelques bémols à noter

  • Le gameplay est extrêmement minimaliste : si tu cherches de l’action non-stop, ce n’est pas ici.
  • Le concept repose énormément sur l’humour ou l’absurdité : pour certains cela peut manquer de “substance”.
  • Le côté contemplatif et lent peut être déroutant après des jeux hyper-dynamiques.

Verdict

Stone Simulator ne cherche pas à révolutionner le jeu vidéo traditionnel. Il revendique son statut d’expérience différente, légère et décalée. Le passage en multijoueur lui donne encore plus de charme : partager ce “être une pierre” avec d’autres rend l’immobilisme… communautaire.

Si tu es prêt à ralentir, à te poser, à observer… avec des potes, alors ce jeu est une belle curiosité à tester.

Ma note : 7/10

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Satisfactory : arrive cette semaine sur PS5 & Xbox Series

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Bonne nouvelle pour les fans d’usines automatisées : Satisfactory débarque sur PS5 et Xbox Series cette semaine, le 4 novembre 2025. Le lancement console s’accompagne des améliorations déjà introduites par la mise à jour 1.1 : support manette peaufiné, mode photo repensé, optimisations de perfs et qualité de vie pour construire plus vite et mieux.

Une version console attendue

Après un long succès sur PC, Satisfactory s’ouvre enfin aux joueurs console. Objectif : proposer la même expérience d’automatisation géante, d’exploration et d’optimisation logistique — depuis son canapé, manette en main.

Ce qu’apporte la mise à jour 1.1

  • Support manette complet (idéal pour PS5 & Xbox Series)
  • Mode Photo retravaillé pour sublimer vos mégafactories
  • Améliorations de performance et ergonomie de construction (outils, placements, logistique)
  • Ajustements et optimisations pour un démarrage console plus fluide

Ce qu’il faudra surveiller au lancement

  • Fluidité & chargements sur consoles next-gen
  • Ergonomie des outils de construction à la manette
  • Sauvegardes cloud / fonctionnalités en ligne et stabilité en coop

Verdict

Avec son mélange d’action, de planification et d’optimisation XXL, Satisfactory sur consoles a tout pour séduire une nouvelle vague de pionniers. La 1.1 pose des bases solides : si l’adaptation manette tient ses promesses, on tient un lancement de la semaine à ne pas rater.

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