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Test : Resistance 3
90% de la population terrestre a été décimée par le virus chimérien. Nathan Hale, le héros des deux précédents opus est décédé, exécuté par Joseph Capelli. C’est justement ce dernier que l’on retrouve dans Resistance 3, dans une quête pleine d’action où l’originalité ne prime pas forcément, mais où le feeling est présent.
Il ne reste désormais plus que quelques poches de résistance. Les quelques derniers survivants vivent sous terre, espérant que les chimères n’auront pas l’occasion de venir supprimer ce dernier petit coin de paradis qu’il leur reste. Joseph Capelli est l’un de ces résistants. Jo, comme l’appellent ses camarades, est notamment connu pour avoir assassiné Nathan Hale dont l’organisme allait muter du jour au lendemain. Marié, un enfant, Jo va devoir choisir de tout quitter pour escorter un scientifique. Ce dernier est en effet persuadé qu’il est possible d’enrayer l’invasion chimérienne à New York… C’est donc un long voyage qui nous attend jusqu’à la grosse pomme. Un long chemin, semé d’embûches, naturellement. Tout au long de l’aventure, on va traverser de nombreux lieux très variés, le tout soutenu par une histoire très bien racontée et assez sympathique à suivre grâce aux différents retournements de situation.
Dans son long périple contre les chimères, le joueur pourra utiliser au total 12 armes très différentes. Cela va du fusil d’assaut, au lance-roquettes en passant par des armes assez originales comme le mutator. Chaque arme possède un tir secondaire (lance-grenades, marqueur, explosions etc.) et est upgradable 2 fois au total, un peu comme dans Ratchet & Clank. On débloque ces améliorations (nouvelle lunette, munitions incendiaires…) au fur et à mesure que l’on utilise une arme. Le niveau 2 s’octroie très rapidement, tandis que le dernier, le 3 donc, met plus de temps à se débloquer. Les différentes modifications des armes proposent un atout agréable au combat, et cela ne signifie en rien qu’une arme non évoluée est inoffensive à la fin du jeu. De toute manière, en recommençant une partie, dans un niveau de difficulté plus élevé par exemple, on peut retrouver nos armes au niveau où on les avait quittées. C’est d’autant plus une bonne nouvelle que l’arsenal de Resistance 3 constitue une des grandes forces du jeu d’Insomniac. Les armes ont vraiment un bon feeling -avec une mention spéciale pour le fusil à pompe amélioré- et sont suffisamment différentes pour rendre les situations variées.
Vu le grand nombre d’armes porté dans notre petit sac à dos, la roue de sélection fait son apparition. En maintenant la touche Triangle, la roue apparaît et on choisit son arme avec le joystick. Cela n’est pas forcément très pratique en plein combat, mais Insomniac a eu la bonne idée de proposer dans les options le choix de mettre le jeu en pause, ou non, lors de l’ouverture de la roue. Ceux qui pestent contre le rythme qui peut alors devenir haché, seront donc heureux d’apprendre la présence de cette option facultative. De plus, après une courte pression sur la touche Triangle, on s’équipe de la dernière arme utilisée.
En plus du retour du nombre important d’armes que l’on peut porter, Resistance 3 retrouve également une barre de vie, identifiée par une boussole en bas à gauche de l’écran. Désormais, il ne suffit plus de se baisser derrière une caisse pour que sa vie remonte comme par magie, il faut essayer de débusquer ces kits de soins disséminés un peu partout, et qui ne peuvent s’utiliser que dans l’immédiat. Impossible donc de faire des provisions. Le retour d’une barre de vie dynamise positivement les combats. On ne perd plus son temps à se cacher sans arrêt pour faire disparaître les taches de sang à l’écran. Il faut toujours être en mouvement et être sûr de ses choix. De même, il faut également faire la chasse aux munitions. Si celles pour le fusil d’assaut abondent -logique puisque c’est l’arme de prédilection des chimères- les autres se font plus rares et sont à utiliser avec précaution. Quant aux chimères, on ne peut pas vraiment dire qu’elles brillent par leur intelligence. Elles font tout simplement leur job. Elles débarquent en nombre et nous canardent tant qu’elles peuvent.
Tout au long de l’aventure, on traversera 5 lieux sur un total de 20 chapitres, pour une durée totale d’environ 7-9h de jeu. Les lieux visités sont agréablement diversifiés et bénéficient tous d’une véritable identité visuelle. En revanche, ils gardent tous la même logique d’une linéarité extrême. Tous les niveaux sont également construits avec des matériaux incassables et il en va de même pour les petites barricades en bois. Dommage. De manière générale, malgré quelques effets visuels et arrière-plans magnifiques, la réalisation graphique du jeu déçoit un peu. Le jeu n’est pas moche, loin de là, mais il n’est pas très impressionnant. Les textures sont tout simplement trop plates et cela manque de jolis effets de lumière. Comparé aux autres jeux exclusifs à la PS3, Resistance est clairement en dessous.
En plus des lieux, Insomniac a voulu diversifier l’action avec des mises-en-scène variant souvent et plusieurs types d’ennemis suivant les zones. Malheureusement, cela a parfois tendance à créer un problème de rythme. Cela se retrouve notamment vers le milieu de l’aventure où on perd la très bonne intensité des premiers combats, pour des ennemis moins nombreux et moins dangereux. C’est d’autant plus dommage que cela arrive au moment où on traverse des niveaux de nuit, avec simplement sa lampe torche. On aurait pu espérer avoir un passage plus effrayant, mais il n’en est rien. La faute à une obscurité peu prononcée et des ennemis moins intéressants à terrasser. Heureusement, le jeu se reprend ensuite en main, pour offrir un finish où la difficulté est plus élevée et les ennemis plus coriaces.
Resistance 3 propose un mode coopératif en écran splitté horizontal (avec des bandes noires à droite et à gauche) ou en ligne. On rejoue alors exactement toute la campagne solo à deux. Il faudra simplement faire abstraction des cinématiques ne s’occupant que de Joseph et faire attention au partage des munitions ou de la vie. A noter que la roue de sélection des armes ne peut arrêter le temps et qu’on peut visiblement appeler un deuxième joueur en ligne à tout moment. Enfin, lorsque l’un des deux joueurs vient à s’effondrer au sol après s’être pris trop de plombs par les chimères, il s’agit d’aller le ranimer, avant que le compte à rebours ne s’épuise. Sans cela, il faudra tout recommencer.
A l’instar de nombreux autres jeux, Resistance embarque avec lui un PSN Pass, code fourni lors de l’achat du jeu afin de pouvoir se connecter au multijoueur. Il faudra donc entrer cette combinaison dans le PlayStation Store avant d’avoir accès au multijoueur et au coop en ligne (le coop offline ne nécessite rien). De même, en lançant le jeu avec une console connectée au net, vous aurez la très agréable surprise de devoir télécharger un patch de 650Mo. Une fois tout cela accompli, on arrive sur le menu du mode multijoueur. Un menu assez complet puisqu’il est alors possible de choisir son skin humain/chimère, son équipement, consulter ses statistiques et bien entendu, lancer une partie privée, entièrement paramétrable, ou publique. Une nouvelle fois, pas de lobby pour Resistance 3. On ne fait que sélectionner l’un des nombreux modes de jeu (CTF, TDM, Démolition, réaction en chaîne, hardcore classique) et on patiente quelques secondes. Au total, ce sont 12 maps qui sont disponibles, mais toutes ne sont pas jouables sur chacun des modes.
Les affrontements en ligne sont très pêchus, pour ne pas dire ‘bourrins’. Les maps sont de taille moyenne, assez horizontales et plutôt fouillées. Presque toutes les armes du solo sont présentes dans le multijoueur et il faut soit les débloquer, soit les ramasser sur les cadavres des adversaires pour les utiliser. On monte très facilement de niveau au début du jeu, ce qui nous permet d’obtenir en quelques dizaines de minutes un arsenal assez confortable, à savoir les 2 fusils d’assaut de base, le sniper ou encore le fusil à pompe. De même, on remporte quelques crédits avec l’expérience accumulée ce qui permet de créer sa propre classe: choix de l’arme principale (et améliorations), atouts, type de grenades etc.
Les modes de jeu font s’affronter généralement les Chimères contre les Humains et quelques différences existent entre ces deux camps. Tout d’abord l’animation du combat au corps à corps (coup de crosse contre un coup de griffe) et enfin les bonus en killing spree sur les équipements de base: les chimères pourront par exemple devenir invisibles, tandis que les humains auront un bouclier très résistant pendant de précieuses secondes.
Enfin, on notera que tout ce mode en ligne compétitif est également jouable à 2 en split-screen et qu’avec la réalisation de certains défis en mode solo, on pourra débloquer des ‘titres’ pour le multi ou bien différents bonus pour le solo, comme le système de santé de Fall Of Man, ou des cheat-codes.
TL; DR: Resistance 3 est un titre qui ne brille pas par son originalité ou sa réalisation graphique. Mais sa prise en main rapide, ses nombreuses armes, ainsi que son mode multijoueur complet, et notamment son mode coopératif, devraient réussir à faire passer un bon moment à tous les amateurs de shoot arcade. Insomniac nous livre ici tout simplement un jeu classique mais efficace.
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Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5
Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.
Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.
Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?
Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.
Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.
L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.
Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?
Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.
Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.
Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?
Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.
Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.
Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.
On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.
Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.
Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?
Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.
Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.
En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.
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PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer
Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.
Une sélection variée pour tous les profils
Stray : l’indé française qui charme
Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.
EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye
Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.
Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.
Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti
Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.
À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.
Conclusion
En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.
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Biped 2 : le retour des petits robots dans une aventure coopérative aussi fun que maligne
Sorti le 5 novembre 2025 sur PC, PS5, Xbox Series et Nintendo Switch, Biped 2 signe le grand retour des robots Aku et Sila dans une nouvelle aventure pleine d’humour et de coopération. Développé par NEXT Studios et édité par META Publishing, ce second épisode pousse encore plus loin les mécaniques de plateforme et de puzzle qui avaient fait le succès du premier opus.
Un concept simple et efficace
Dans Biped 2, les joueurs incarnent deux robots bipèdes chargés d’explorer une planète inconnue après la réception d’un mystérieux signal. Le concept est identique à celui du premier jeu : progresser à travers des niveaux truffés d’énigmes, d’obstacles physiques et de passages coopératifs à résoudre en duo.
Chaque jambe du robot est contrôlée indépendamment via les sticks analogiques, une idée originale qui donne au jeu une identité unique et un vrai challenge d’adresse. Cette mécanique reste au cœur du gameplay, mais le studio y ajoute désormais des nouveautés : grappin, deltaplane, glissades et interactions environnementales inédites.
Coopération renforcée et gameplay évolutif
L’un des grands plaisirs de Biped 2, c’est sa dimension coopérative. Le titre a été conçu pour être joué à deux, mais il intègre désormais un mode à quatre joueurs, de quoi multiplier les fous rires et les situations imprévisibles.
Certaines énigmes reposent entièrement sur la synchronisation entre les partenaires. L’un actionne un levier pendant que l’autre maintient une plateforme, ou les deux doivent bouger leurs jambes en rythme pour franchir un gouffre. Le tout demande coordination, communication et un vrai sens du timing.
En solo, le jeu reste accessible : les deux robots sont contrôlables par le même joueur, mais l’expérience reste plus exigeante qu’à plusieurs.
Un univers coloré et apaisant
Biped 2 mise sur un ton léger et une direction artistique très colorée. Loin du réalisme, le jeu propose des environnements variés — forêts, montagnes, planètes de glace ou déserts lumineux — avec un rendu visuel simple mais chaleureux.
Chaque biome réserve ses propres mécaniques, de nouveaux obstacles et parfois même des mini-boss à résoudre par la logique ou la coopération. La bande-son, discrète mais bien intégrée, renforce cette sensation de voyage et d’exploration détendue.
Du contenu et de la rejouabilité
Le jeu propose une campagne principale jouable seul ou en coopération, mais aussi des défis chronométrés et un éditeur de niveaux. Ce dernier permet à la communauté de créer et partager ses propres puzzles, garantissant une excellente rejouabilité.
Avec la possibilité de jouer à quatre, Biped 2 s’inscrit dans la lignée des grands jeux coopératifs modernes : simple à prendre en main, mais exigeant à maîtriser.
Un jeu accessible à tous les profils
- En duo local ou en ligne : idéal pour les soirées entre amis ou en famille.
- En solo : plus technique, mais toujours amusant.
- En communauté : les niveaux créés par d’autres joueurs prolongent la durée de vie.
Le ton général reste bienveillant et accessible, ce qui en fait une porte d’entrée idéale vers les jeux de plateforme modernes.
Plateformes : PC, PS5, Xbox Series, Nintendo Switch
