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Test: Rise Of The Tomb Raider – 20ème anniversaire (PS4)
Près d’un an après sa sortie sur Xbox 360 et Xbox One, Rise Of The Tomb Raider arrive sur PlayStation 4. Cette version « 20ème anniversaire » n’est pas un simple portage puisqu’elle contient tous les DLC déjà sortis, en plus de nouveaux modes. Mais parfois, être généreux en contenu ne suffit pas pour totalement convaincre.
Les deux premiers paragraphes évoquent directement Rise Of The Tomb Raider sur PS4. Ceux qui suivent proviennent du test publié l’an passé.
Un an après, notre avis sur Rise Of The Tomb Raider n’a pas bougé. Il s’agit toujours d’un titre très plaisant mais très proche du reboot de 2013, et les innombrables indices visuels ont tendance à un peu trop simplifier la tâche. Cette version PS4 propose également le même rendu visuel que la version Xbox One ou la chanson titre de Karen O —deux bonnes nouvelles, donc— mais de manière surprenante, on retrouve le même input lag qui rend les combats parfois imprécis —une sacrée mauvaise nouvelle, donc.
Le point fort de ce Rise Of The Tomb Raider sur PlayStation 4 reste sa très longue durée de vie. En plus de l’aventure principale et de son million de collectibles, cette édition 20ème anniversaire embarque Baba Yaga, un court DLC dans la veine du mode histoire, de nombreux défis, des missions additionnelles, un mode survie à faire seul ou en coop (matchmaking/invitation) et une double visite du Manoir des Croft. Inutile d’espérer y trouver la fameuse piscine ou une quelconque salle de sport, il est plutôt question d’en apprendre plus sur la famille de Lara en observant les lieux pendant une petite heure puis de combattre des dizaines et des dizaines de zombies dans un Cauchemar. A cela, on n’oubliera pas de rappeler qu’une poignée de skins issue des aventures designées par Core Design est de la partie et que le Manoir peut être visité avec le PlayStation VR vissé sur la tête, ce qui est assez gadget, mais les fans apprécieront.
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Inutile de faire durer le suspense, Rise Of The Tomb Raider est un bon jeu mais il possède un énorme défaut : c’est tout simplement une redite de Tomb Raider, le reboot de 2013. Pendant une bonne quinzaine d’heures, on passe un bon moment en compagnie de Lara Croft mais on se rend surtout compte qu’il s’agit d’une suite paresseuse au niveau des idées. Rise Of The Tomb Raider repose sur la même formule, offre la même expérience et partage les mêmes défauts qu’autrefois. Rien n’a changé, si ce n’est les décors —la Syrie et la Sibérie—, la disparition du mode multi au profit de plusieurs défis reposant sur différentes conditions, ou ce scénario qui oppose maintenant Lara Croft à une mystérieuse secte à la recherche de l’immortalité, saupoudré de quelques drames familiaux.
Comme en 2013, on retrouve donc une succession de zones ouvertes reliées par différents couloirs. On alterne alors exploration, phases de plate-forme, passages où il faut fuir car tout s’écroule et fusillades contre des dizaines d’ennemis plus ou moins lourdement armés. Des moments qui ont tous un aspect « déjà-vu » pour peu que l’on ait fait Tomb Raider auparavant, même si on note bien sûr quelques différences avec la précédente mouture. Lara peut ainsi utiliser un grappin ou confectionner des bombes artisanales tandis que certains HUB (grands espaces) paraissent beaucoup plus vastes. Résultat, les collectibles à dénicher dans chaque recoin sont très nombreux, on note quelques missions secondaires plutôt classiques et Crystal Dynamics en a aussi profité pour multiplier les grottes et autres tombeaux bien pensés mais un peu trop faciles. Mais si Rise Of The Tomb Raider affiche un plus grand contenu, il n’en est pas pour autant meilleur.
Cela reste en effet une aventure qui peine à surprendre à cause de tout son aspect trop prévisible. Excessivement présentes à l’écran, les indications visuelles donnent parfois l’impression de jouer en pilotage automatique. La progression est certes fluide et il n’y a aucun temps mort, mais il est alors difficile de se sentir vraiment impliqué dans l’aventure. On a somme toute presque l’impression d’être sur des rails tellement tout est balisé sans subtilité; et pour les plus distraits, la vision d’aigle/détective/instinct vient afficher en jaune tous les éléments importants autour de Lara. En fin de compte, Rise Of The Tomb Raider est peut-être un peu trop facile d’accès et cherche trop à mâcher le travail. Cela se remarque aussi au niveau des compétences à débloquer après avoir acquis plusieurs points d’XP : indicateur de headshot, possibilité de tagger 3 ennemis pour tirer 3 flèches en même temps etc. Les gunfights sont également très proches du reboot avec une IA qui aime se mettre à découvert, un petit manque d’impact, des bruitages encore un peu en retrait et un réticule qui ne correspond pas toujours à la direction dans laquelle vise Lara. Enfin, et c’est assez surprenant, on note une légère latence dans les commandes.
Dit comme ça, cela peut paraître sévère. Rise Of The Tomb Raider reste un jeu très agréable, mais il est toutefois un peu frustrant de voir que ce titre se repose (déjà) sur ses acquis et est beaucoup trop identique au précédent épisode; cela se retrouve même en partie au niveau du déroulement de son histoire et de cet aspect survie teasé au début de l’aventure et complètement oublié quelques instants plus tard. Il ne s’agit toutefois pas vraiment d’une suite facile; le travail abattu par Crystal Dynamics est considérable. Ce n’est pas une baffe graphique comme on a pu en voir ces derniers temps mais Rise Of The Tomb Raider reste très joli avec une ambiance soignée, des environnements assez variés et détaillés. Certains panoramas sont également très réussis au même titre que ces passages où le plafond s’écroule et où le sol se dérobe sous les pieds de Lara Croft, même si la mise en scène n’atteint pas (encore?) la maîtrise de Naughty Dog.
Uncharted semble d’ailleurs rester une grande source d’inspiration pour Crystal Dynamics, et Rise Of The Tomb Raider est à nouveau plus proche des aventures de Nathan Drake que des premiers épisodes sortis à une époque où la Xbox n’existait pas encore. Le temps où Lara Croft dégainait ses deux pistolets après avoir évité de nombreux pièges mortels semble loin, très loin. Tout se veut désormais plus moderne, mais aussi plus sérieux ce qui, dans un jeu vidéo, peut être un peu maladroit. Car en fin de compte, Miss Croft est devenue une machine à tuer et sème le chaos partout où elle passe —c’est assez cocasse pour une archéologue.
A défaut de revoir les quelques éléments qui demandaient à être affinés, Rise Of The Tomb Raider est donc dans la continuité de Tomb Raider. Un jeu qui plaira aux fans du reboot qui demandent uniquement de revivre le même genre d’aventure, mais dans un contexte et des lieux différents. Ceux qui hésitaient en 2013 et qui n’ont pas succombé aux charmes de la Definitive Edition devraient également trouver en cet épisode une valeur sûre. Mais ceux qui espéraient avoir quelque chose de nouveau, de retravaillé ou un épisode plus proche de ce qui se faisait il y a presque 20 ans (!) risquent en revanche d’être déçus.
Rise Of The Tomb Raider: 20 Year Celebratiob est développé par Crystal Dynamics (aidé par Nixxes Software) et édité par Square-Enix. Jeu sorti le 11 octobre sur PlayStation 4; des versions PC, Xbox One et Xbox 360 sont déjà sorties. Version testée : PS4. PEGI: 18.
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Metroid Prime 4 fera-t-il passer un cap à la série de Nintendo ?
La sortie de Metroid Prime 4 : Beyond approche à grands pas. C’est un soi un événement ; son prédécesseur, Metroid Prime 3 date de 2007. Et pourtant, il y a un risque que cet épisode passe inaperçu. Car malheureusement, depuis ses débuts, la série est boudée par le public.
En janvier 2019, Nintendo annonçait le reboot de Metroid Prime 4. Le jeu était alors en développement du côté de Bandai Namco et se voyait finalement transféré du côté de Retro. C’était un retour aux sources presque logique. Ce studio texan est en effet l’auteur de trois jeux Metroid Prime.
Rebooter un projet n’est pas anodin. Ce n’est pas un simple report comme bon nombre de jeux peuvent connaître. C’est un retour à zéro, un développement qui recommence pour repartir sur des bases saines.
Près de six ans après ce retournement de situation, Metroid Prime 4 : Beyond est enfin prêt à en découdre. Le jeu sera disponible dans 3 semaines, de premières previews sont disponibles, et les retours sont mitigés. Est-ce alors inquiétant ?
Metroid ne parvient pas à être au niveau de Mario et Zelda
Metroid est une licence culte du jeu vidéo. Mais le grand public s’en fout totalement. Cet été, la Newsletter Le Résumé Jeu Vidéo rappelait justement le paradoxe Metroid. C’est une franchise historique pour Nintendo, mais elle n’a jamais su s’imposer.
L’histoire de Metroid remonte à 1986 sur NES, la même année que The Legend Of Zelda. Metroid a alors inventé un genre —qu’on associera aux Castlevania pour devenir le Metroidvania— et repose sur une héroïne. A l’époque, c’était rare.

La série des Metroid a connu de nombreux titres, parfois en 2D, en 3D, sur portable ou consoles de salon. Mais jamais ses ventes n’ont explosé. L’épisode le plus vendu est ainsi Metroid Dread, titre sorti en 2021 sur Switch, et vendu à près de 3 millions d’exemplaires. Certes, c’est pas mal, mais si on compare à d’autres séries, c’est faible. Les Mario, Zelda et Pokémon dépassent facilement les 20 millions sur cette même machine. Luigi’s Mansion 3 a quant à lui franchi la barre des 14 millions d’exemplaires écoulés.
Metroid ne parvient pas à s’imposer et pourtant, la presse est unanime. Sur Metacritic, les premiers Metroid Prime affichent un score égal ou supérieur à 90/100. Metroid Dread est quant à lui à 88/100, ce qui reste excellent.
Metroid Prime 4 peut-il s’imposer ?
La communication autour de Metroid Prime 4 : Beyond est curieuse. Il donne parfois l’impression que Nintendo ne cherche pas à pousser ce titre. Kirby Air Riders, suite d’un jeu passé inaperçu sur GameCube, a ainsi eu droit à deux Nintendo Direct, chacun durant près d’une heure. Certes, ce Kirby est traité comme une nouvelle licence et est aidé par l’aura de Masahiro Sakurai, mais Metroid aurait pu lui aussi bénéficier de la même visibilité.
A la place, on le retrouve coincé au milieu d’autres jeux, à l’image de ce trailer qui révélait pourtant la moto et sa date de sortie. De même, on s’étonne que la trilogie Metroid Prime n’ait pas été entièrement remasterisée. Ce sont d’excellents jeux et seul le premier épisode a eu droit à ce traitement de faveur.
Des previews de Metroid Prime 4 sont tombées hier. Les retours manquent d’enthousiasme. VGC pointe notamment du doigt un side-kick imposé, du moins au cours de cette session de jeu. Miles MacKenzie —c’est son nom, serait un acolyte très bavard, essayant de temps en temps de faire de l’humour ou donnant fréquemment des indications à Samus. Le site anglais explique que cela tranche grandement avec l’esprit de la série qui repose sur l’exploration et ce sentiment d’isolation. Metroid Prime 4 semble être un jeu solide selon les dires du testeur, mais ce PNJ gâcherait l’expérience globale.
Difficile de dire ce qu’il en sera quand le jeu final sortira. Peut-être que le début est poussif mais que la suite est bien plus intéressante. Le choix d’ajouter un compagnon à Samus est en tout cas intéressant. Nintendo semble vouloir changer les règles de Metroid. Ça déplaira peut-être aux fans de la licence, mais c’est peut-être aussi comme ça que la série pourra s’ouvrir au plus grand nombre en devenant plus accessible.
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Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5
Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.
Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.
Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?
Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.
Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.
L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.
Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?
Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.
Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.
Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?
Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.
Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.
Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.
On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.
Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.
Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?
Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.
Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.
En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.
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PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer
Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.
Une sélection variée pour tous les profils
Stray : l’indé française qui charme
Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.
EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye
Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.
Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.
Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti
Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.
À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.
Conclusion
En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.
