Connect with us

Jeux Vidéo

Test : Saints Row The Third

Publié il y a

le

Dans le cruel monde des GTA-like, le jeu phare de Rockstar règne d’une main de fer. Mais le développeur anglais ayant abandonné son côté loufoque pour un épisode bien plus sérieux avec GTA IV, une place était à prendre. Saints Row The Third tente une nouvelle fois sa chance pour un résultat tout à fait décapant.

Maintenant devenus de vrais stars à Stilwater, les Saints attisent les convoitises des autres gangs. Un braquage qui tourne mal et une incarcération plus tard, les Saints se retrouvent dépossédés de leur ville par The Syndicate, une association de différents gangs. Le but est alors simple, pour rétablir leur influence, ils vont devoir s’emparer de Steelport. Et pour cela tous les coups sont permis: explosifs, tanks, hélicoptères, piratages informatiques… Saints Row 3 ne fait clairement pas dans la dentelle et est directement efficace. Les missions s’enchaînent très rapidement, et sont très variées tant au niveau des objectifs, que des lieux, des situations ou des gadgets. Cependant, on note quand même un petit coup de mou vers le milieu du jeu puisque l’on quitte les missions scénarisées pour une présentation des différentes activités possibles à Steelport. Cela va de l’accompagnement des péripatéticiennes, au plus gros carnage possible en tank, en passant par des arnaques à l’assurance. Le contenu de SR3 est vraiment important car on peut rajouter à ces activités des quêtes annexes (assassinat, vol de voitures…) et plein de collectibles à trouver (poupées gonflables, photographes…) en dépit d’une aventure solo constituée de seulement 47 missions pour une histoire sympathique soit, mais qui ne restera pas dans les annales. Il faut compter une bonne douzaine d’heures pour venir à bout de la campagne principale, ce qui est très honorable pour les jeux de nos jours, mais un peu en retrait par rapport aux GTA-like. Cela dit c’est peut être le prix à payer afin de ne pas avoir des missions qui se répètent. Et puis, rien n’empêche ensuite de refaire tout le jeu dans le mode coop en ligne (passe en ligne requis).

Comme dit précédemment, on est directement plongé dans le grand bain et on dézingue à tout va les gangs que l’on rencontre. Mais cela a un petit défaut: on n’a pas vraiment le temps de se lier à la ville. Toute les îles sont accessibles dès le début, et on est sans cesse baladé de gauche à droite. Le jeu ne nous invite pas vraiment à apprendre à faire connaissance avec cette nouvelle ville et cela se retrouve aussi avec les différentes habitations gagnées au fur et à mesure de chaque côté de la carte. Cela dit, rien n’empêche de prendre son temps et de découvrir par soi-même le voisinage et visiter tous les magasins qui pullulent. On note aussi que Steelport manque un peu de charme et de vie. Certes, quelques passants ont des attitudes propres à eux (manifestation etc.) mais rien de bien folichon dans l’ensemble. On aurait sans doute apprécié un plus grand nombre de piétons et un trafic un peu plus intense.

La personnalisation dans Saints Row 3 prend une part importante. Dès le début du jeu, à l’aide d’un éditeur très poussé (mais un choix un peu chiche quant aux coupes de cheveux) il faut créer son personnage. Au cas où le résultat ne vous plairait pas au cours du jeu, il est à tout moment possible d’aller voir un chirurgien pour faire un ravalement de façade, voire même changer de sexe. Après avoir créé le ‘Boss’, héros du jeu, faire du shopping s’imposera peut être. Le choix des vêtements est assez étendu (streetwear, combinaison SM, costume de mascotte…) et on peut bien entendu combiner son choix de fringue avec ses tatouages. Voire même harmoniser son look avec sa voiture. Un petit tour chez le garagiste, et on ressort avec une voiture tunée à son image.

Accomplir une mission et faire  des achats liés à son apparence physique ou à sa voiture rapportent des points de notoriété. A chaque niveau passé, il est alors possible d’attribuer des capacités à son personnage (meilleure résistance, plus de munitions…), à son gang (améliorer armes, choisir tenues…) ou même son bastion (meilleure rente…). Et avec l’argent gagné dans les missions, ou bien volé aux passants, on peut acheter/améliorer des armes, ou bien investir dans l’immobilier et les commerces. Une rente et des réductions nous sont alors attribuées. Mais tout cela ne doit pas nous faire oublier que le but principal de Saints Row 3 reste de faire la nique aux autres gangs.

Ce troisième épisode de Saints Row a également hérité du téléphone portable, ou plutôt smartphone. Pratique pour accéder à l’onglet amélioration, ou bien survoler la carte, il demeure surtout l’élément essentiel afin de sélectionner sa mission. Un simple appel à l’un des personnages, et nous voici en route pour une nouvelle aventure. Dans l’ensemble, les missions de Saints Row The Third sont complètement folles. Cela va de la récupération d’un prisonnier dans les sous-sols d’une boîte SM, à détourner des prototypes militaires en passant par des scènes de piratages façon Tron. Le titre de Volition assume totalement son côté second degré (voire plus): sourire en jouant n’est pas rare tant certaines situations sont improbables et les dialogues crus, en anglais et sous-titrés en français, font souvent mouche. De même, ça permet aussi d’excuser l’IA à qui il manque parfois une case. Lors des combats, bien dynamiques et sans système de couverture, les ennemis font leur job: ils attaquent en surnombre et visent assez bien. En revanche, lorsqu’il s’agit de rouler dans Steelport, c’est une autre histoire avec des conducteurs qui ne méritent pas tous d’avoir leur permis. Cela dit, on pardonne honteusement à Saints Row 3 ce qu’on pourrait critiquer chez d’autres. En fait ceci perpétue l’ambiance déjantée du titre où tout est permis et où on oublie les règles dont celles de la route. De toute manière, le jeu est très arcade. Cela se ressent sur la conduite où le frein à main est roi et au combat au corps à corps assez prodigieux. Les coups de poings/pieds dans les parties intimes sont légion, les prises de catch s’enchaînent, et pour conclure un combat, on peut naturellement prendre la pose. A ce sujet, on peut même mimer l’Epic Sax Guy. Ça en dit long sur le jeu.

D’un point de vue technique, Saints Row 3 n’est pas Byzance mais reste quand même agréable à l’œil. Le jeu est assez propre et cohérent graphiquement. C’est plutôt fluide, l’aliasing est peu présent et le jeu est très coloré. En revanche, la distance d’affichage n’est pas toujours optimale même si on note un faible pop-up des décors. Enfin, l’apparition des véhicules sur la route ne se fait pas toujours de manière très discrète.

TL;DR : Dans une période plutôt creuse de GTA-Like et où les jeux politiquement incorrects et bien fendards se font rares, Saints Row 3 est une véritable bouffée d’oxygène. Sans réinventer le genre, ce troisième épisode de la franchise Saints Row propose une aventure unique où tout est prétexte à l’exagération. Un jeu qui ne cesse de prouver son PEGI 18+ avec des situations rocambolesques promettant de longues heures en solo ou en coop.

Jeux Vidéo

Metroid Prime 4 fera-t-il passer un cap à la série de Nintendo ?

Publié il y a

le

Par

La sortie de Metroid Prime 4 : Beyond approche à grands pas. C’est un soi un événement ; son prédécesseur, Metroid Prime 3 date de 2007. Et pourtant, il y a un risque que cet épisode passe inaperçu. Car malheureusement, depuis ses débuts, la série est boudée par le public.

En janvier 2019, Nintendo annonçait le reboot de Metroid Prime 4. Le jeu était alors en développement du côté de Bandai Namco et se voyait finalement transféré du côté de Retro. C’était un retour aux sources presque logique. Ce studio texan est en effet l’auteur de trois jeux Metroid Prime.

Rebooter un projet n’est pas anodin. Ce n’est pas un simple report comme bon nombre de jeux peuvent connaître. C’est un retour à zéro, un développement qui recommence pour repartir sur des bases saines.

Près de six ans après ce retournement de situation, Metroid Prime 4 : Beyond est enfin prêt à en découdre. Le jeu sera disponible dans 3 semaines, de premières previews sont disponibles, et les retours sont mitigés. Est-ce alors inquiétant ?

Metroid ne parvient pas à être au niveau de Mario et Zelda

Metroid est une licence culte du jeu vidéo. Mais le grand public s’en fout totalement. Cet été, la Newsletter Le Résumé Jeu Vidéo rappelait justement le paradoxe Metroid. C’est une franchise historique pour Nintendo, mais elle n’a jamais su s’imposer.

L’histoire de Metroid remonte à 1986 sur NES, la même année que The Legend Of Zelda. Metroid a alors inventé un genre —qu’on associera aux Castlevania pour devenir le Metroidvania— et repose sur une héroïne. A l’époque, c’était rare.

La série des Metroid a connu de nombreux titres, parfois en 2D, en 3D, sur portable ou consoles de salon. Mais jamais ses ventes n’ont explosé. L’épisode le plus vendu est ainsi Metroid Dread, titre sorti en 2021 sur Switch, et vendu à près de 3 millions d’exemplaires. Certes, c’est pas mal, mais si on compare à d’autres séries, c’est faible. Les Mario, Zelda et Pokémon dépassent facilement les 20 millions sur cette même machine. Luigi’s Mansion 3 a quant à lui franchi la barre des 14 millions d’exemplaires écoulés.

Metroid ne parvient pas à s’imposer et pourtant, la presse est unanime. Sur Metacritic, les premiers Metroid Prime affichent un score égal ou supérieur à 90/100. Metroid Dread est quant à lui à 88/100, ce qui reste excellent.

Metroid Prime 4 peut-il s’imposer ?

La communication autour de Metroid Prime 4 : Beyond est curieuse. Il donne parfois l’impression que Nintendo ne cherche pas à pousser ce titre. Kirby Air Riders, suite d’un jeu passé inaperçu sur GameCube, a ainsi eu droit à deux Nintendo Direct, chacun durant près d’une heure. Certes, ce Kirby est traité comme une nouvelle licence et est aidé par l’aura de Masahiro Sakurai, mais Metroid aurait pu lui aussi bénéficier de la même visibilité.

A la place, on le retrouve coincé au milieu d’autres jeux, à l’image de ce trailer qui révélait pourtant la moto et sa date de sortie. De même, on s’étonne que la trilogie Metroid Prime n’ait pas été entièrement remasterisée. Ce sont d’excellents jeux et seul le premier épisode a eu droit à ce traitement de faveur.

Des previews de Metroid Prime 4 sont tombées hier. Les retours manquent d’enthousiasme. VGC pointe notamment du doigt un side-kick imposé, du moins au cours de cette session de jeu. Miles MacKenzie —c’est son nom, serait un acolyte très bavard, essayant de temps en temps de faire de l’humour ou donnant fréquemment des indications à Samus. Le site anglais explique que cela tranche grandement avec l’esprit de la série qui repose sur l’exploration et ce sentiment d’isolation. Metroid Prime 4 semble être un jeu solide selon les dires du testeur, mais ce PNJ gâcherait l’expérience globale.

Difficile de dire ce qu’il en sera quand le jeu final sortira. Peut-être que le début est poussif mais que la suite est bien plus intéressante. Le choix d’ajouter un compagnon à Samus est en tout cas intéressant. Nintendo semble vouloir changer les règles de Metroid. Ça déplaira peut-être aux fans de la licence, mais c’est peut-être aussi comme ça que la série pourra s’ouvrir au plus grand nombre en devenant plus accessible.

Continuer à lire

Jeux Vidéo

Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5

Publié il y a

le

Par

Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.

Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.

Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?

Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.

Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.

L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.

Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?

Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.

Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.

Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?

Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.

Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.

Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.

On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.

Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.

Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?

Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.

Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.

En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.

Continuer à lire

Jeux Vidéo

PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer

Publié il y a

le


Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.  

Une sélection variée pour tous les profils

Stray : l’indé française qui charme

Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.  
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.

https://dai.ly/x9t7lua



EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye

Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.

Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.



Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti

Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.

À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.

Conclusion

En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.

Continuer à lire