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Guide Returnal : 6 astuces pour bien débuter ce jeu PS5

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On l’a écrit dans notre test : Returnal est un excellent jeu d’action aussi brutal que punitif. A vrai dire, avant la sortie du titre, seules 10% des personnes ayant reçu le jeu l’avaient terminé. Alors, on s’est dit qu’un guide du parfait débutant était nécessaire, un petit document sans prétention, rempli d’informations indispensables pour bien démarrer et survivre le plus longtemps possible en terres hostiles.

Dans Returnal, vous incarnez Selene, une astronaute échouée sur une mystérieuse planète. Elle est retenue prisonnière d’un astre qui l’a enfermé dans une boucle infernale ; la mort n’est pas une fin, mais le début d’un nouveau cycle. Il est normal de mourir dans Returnal. Mais cela peut être décourageant. Alors, afin que vous gardiez espoir, voici notre guide du parfait débutant.

Le lexique de Returnal

Puisque vous êtes sur une planète extraterrestre, Returnal en profite pour introduire pas mal de nouveaux termes.

  • Adrénaline — C’est une jauge qui, tous les 3 ou 4 ennemis abattus, monte d’un palier pour atteindre, au maximum, le stade 5. Tous les coups deviennent alors plus puissants. Mais attention, se faire toucher réinitialise l’adrénaline.
  • Obolithe — Il s’agit de la monnaie du jeu, utile pour s’acheter des objets ou des améliorations chez un marchand. On en trouve un peu partout dans le jeu, et notamment sur le cadavre des ennemis. Notez toutefois que l’Obolithe disparaît à vitesse grand V.
  • Clés — Elles déverrouillent des portes ou coffres qui renferment, en théorie, de chouettes bonus comme des objets ou des armes.
  • Ether — Cela purifie des objets afin de supprimer tout effet indésirable, comme une perte des points de vie. L’Ether permet également de glaner un bonus au départ d’un nouveau cycle, ou d’activer un Reconstructeur, un endroit où ressusciter en cas d’échec.
  • Intégrité — C’est tout simplement votre santé, votre jauge de vie. Elle peut être améliorée en obtenant certaines pierres vertes, ou en se soignant alors qu’on a déjà sa santé à fond.
  • Ruée — Il s’agit d’un dash, d’une esquive. Vous devenez alors intouchable pendant un très court instant. La maitriser est absolument indispensable.
  • Surcharge — C’est un bonus de rechargement via un mini-QTE. Toutes les armes ont des munitions illimitées. Elles ont néanmoins des chargeurs de taille modeste. Pour éviter de patienter trop longtemps, appuyez au bon moment.
Servez-vous, tout est à volonté

Returnal est difficile et pourtant, il est plutôt généreux. Les munitions sont illimitées alors tirez sans-cesse. N’oubliez pas non plus d’utiliser le tir secondaire de votre arme, souvent surpuissant. Ce dernier se recharge automatiquement, alors autant l’utiliser dès que possible ; une petite indication visuelle et sonore viendra vous dire quand il est disponible.

Pour survivre, il faut être mobile. Courez, sautez, esquivez… et utilisez vos objets. Vous pourrez en ramasser pas mal au fil du jeu, mais votre inventaire est très limité. Consommez-les donc rapidement, d’autant plus que la mort est souvent soudaine ; si vous avez une trousse de soin, n’attendez pas le dernier moment.

Et puisqu’on parle des soins, notez qu’à chaque changement de monde, le jeu vous offre une grosse trousse. Ayez alors toujours un espace libre pour accueillir ce précieux cadeau. Et bonne nouvelle : vous pouvez les accumuler.

Il est logique de ne pas comprendre comment faire

Lorsqu’on débute dans Returnal, de nombreux endroits semblent inaccessibles. On cherche tant bien que mal à les atteindre, mais non, on n’y arrive pas. Et c’est tout a fait normal.

Que ce soit aller dans l’eau, dans la lave, ou ouvrir des barrières rouges ou dorées, il faut des améliorations de combinaison ou des gadgets. Et ceux-ci ne se débloquent que (beaucoup) plus tard dans l’aventure.

Au début du jeu, il faut avant tout suivre l’objectif principal, marqué par ces portes blanches sur le radar. Cette mini-map indique également des zones secondaires via une porte bleue ou dorées. Certaines renferment des bonus. D’autres, des mini-boss.

Le genre de mini-boss qui peut mettre fin à votre cycle. Au début, mieux vaut les éviter.

Lors des toutes premières heures, il n’est pas nécessaire d’affronter ces monstres surpuissants. Si c’est une petite salle, allez-y et prenez votre récompense. En revanche, si c’est une grande zone, ça sent le traquenard.

A titre personnel, j’ai commencé à vider les salles secondaires à partir du 3ème monde. C’est là que la difficulté monte en flèche. Il faut alors augmenter sa santé, trouver une arme surpuissante, et améliorer la maitrise de celle-ci ; plus vous tuez d’ennemis, plus elle fera de gros dégâts.

Dans les deux premiers mondes, certaines salles secondaires sont beaucoup trop dangereuses. Le risque est alors de se présenter face au boss de fin avec une combinaison endommagée. A partir du 3ème monde, cela vaut le coup d’essayer. On vous conseille toutefois de privilégier les salles annexes des mondes précédents. Quand vous arrivez dans un nouveau biome, le but est vraiment d’aller à votre objectif final et de restaurer votre santé.

Jouez comme un lâche… mais pas trop

Alors oui, ce n’est pas très glorieux, mais fuir ou jouer comme un lâche permet souvent de se sauver d’une terrible situation. Face à une pluie de projectiles, on peut ainsi s’éloigner ; on analyse mieux la situation avec du recul. De même, se cacher derrière une porte qui sépare deux niveaux est fort pratique pour éviter les tirs adverses.

Il faudra toutefois prendre son courage à deux mains et se lancer ensuite dans l’arène pour récupérer l’Obolithe… qui aura vite fait de disparaître. Pour ça, n’hésitez pas à abuser de la Ruée. Elle permet d’être invincible et de traverser les projectiles.

Enfin, sachez qu’énormément d’affrontements sont facultatifs. Ça signifie que vous pouvez les esquiver et passer directement à la zone d’après.

Comment on sauvegarde ?

Aussi curieux que cela puisse paraître, Returnal ne permet pas de sauvegarder. Si vous quittez le jeu, vous mettez alors fin à votre cycle. Il faut donc pas mal de temps libre mais n’oubliez que vous pouvez débloquer des raccourcis et des téléporteurs.

Grosso-modo, chaque niveau est fait de la même manière. Le boss de fin est caché derrière une porte rouge. Celle-ci ne s’ouvre qu’en trouvant une clé ou en faisant une action en particulier, souvent à l’autre bout de la map. Mais une fois chose faite, cette fameuse porte rouge sera déverrouillée pour toujours.

Au prochain cycle, il ne sera donc plus nécessaire de retraverser tout le niveau et on pourra directement se rendre au boss de fin.

C’est pour cette raison qu’il faut parfois être malin et jouer comme un lâche. Quand on est proche de débloquer de son objectif, il est souvent salvateur d’éviter tous les ennemis. Combattre, c’est toujours prendre le risque d’échouer et de tout recommencer.

Quelle arme privilégier ?

Returnal propose une dizaine d’armes. Il y a du classique comme le flingue, le fusil à pompe ou la grosse mitrailleuse. Dans chaque partie, ces armes héritent de différentes caractéristiques / altérations / tirs secondaires. Tout dépend donc ce qu’on vous propose.

Cela dit, on a certaines préférences. Par exemple, le fusil à pompe est redoutable au corps à corps. Mais comme les combats de boss se font généralement à distance, on le déconseille.

Pour les deux premiers mondes, il faut surtout privilégier des fusils avec de (très) gros chargeurs. Puis, pour les mondes qui suivent, faites votre maximum pour trouver un lance-roquettes. Cette arme est absolument surpuissante. Elle est tellement abusée qu’elle réduit considérablement les combats de boss. Hélas, on ne la trouve pas à chaque partie.

Notez également que c’est en accédant à de nouveaux mondes que le jeu débloque de nouvelles armes. Il est donc normal de trouver l’arsenal peu varié lors des premiers instants.

Dans les deux premiers mondes de Returnal, mieux vaut opter pour un fusil d’assaut.

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Metroid Prime 4 fera-t-il passer un cap à la série de Nintendo ?

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La sortie de Metroid Prime 4 : Beyond approche à grands pas. C’est un soi un événement ; son prédécesseur, Metroid Prime 3 date de 2007. Et pourtant, il y a un risque que cet épisode passe inaperçu. Car malheureusement, depuis ses débuts, la série est boudée par le public.

En janvier 2019, Nintendo annonçait le reboot de Metroid Prime 4. Le jeu était alors en développement du côté de Bandai Namco et se voyait finalement transféré du côté de Retro. C’était un retour aux sources presque logique. Ce studio texan est en effet l’auteur de trois jeux Metroid Prime.

Rebooter un projet n’est pas anodin. Ce n’est pas un simple report comme bon nombre de jeux peuvent connaître. C’est un retour à zéro, un développement qui recommence pour repartir sur des bases saines.

Près de six ans après ce retournement de situation, Metroid Prime 4 : Beyond est enfin prêt à en découdre. Le jeu sera disponible dans 3 semaines, de premières previews sont disponibles, et les retours sont mitigés. Est-ce alors inquiétant ?

Metroid ne parvient pas à être au niveau de Mario et Zelda

Metroid est une licence culte du jeu vidéo. Mais le grand public s’en fout totalement. Cet été, la Newsletter Le Résumé Jeu Vidéo rappelait justement le paradoxe Metroid. C’est une franchise historique pour Nintendo, mais elle n’a jamais su s’imposer.

L’histoire de Metroid remonte à 1986 sur NES, la même année que The Legend Of Zelda. Metroid a alors inventé un genre —qu’on associera aux Castlevania pour devenir le Metroidvania— et repose sur une héroïne. A l’époque, c’était rare.

La série des Metroid a connu de nombreux titres, parfois en 2D, en 3D, sur portable ou consoles de salon. Mais jamais ses ventes n’ont explosé. L’épisode le plus vendu est ainsi Metroid Dread, titre sorti en 2021 sur Switch, et vendu à près de 3 millions d’exemplaires. Certes, c’est pas mal, mais si on compare à d’autres séries, c’est faible. Les Mario, Zelda et Pokémon dépassent facilement les 20 millions sur cette même machine. Luigi’s Mansion 3 a quant à lui franchi la barre des 14 millions d’exemplaires écoulés.

Metroid ne parvient pas à s’imposer et pourtant, la presse est unanime. Sur Metacritic, les premiers Metroid Prime affichent un score égal ou supérieur à 90/100. Metroid Dread est quant à lui à 88/100, ce qui reste excellent.

Metroid Prime 4 peut-il s’imposer ?

La communication autour de Metroid Prime 4 : Beyond est curieuse. Il donne parfois l’impression que Nintendo ne cherche pas à pousser ce titre. Kirby Air Riders, suite d’un jeu passé inaperçu sur GameCube, a ainsi eu droit à deux Nintendo Direct, chacun durant près d’une heure. Certes, ce Kirby est traité comme une nouvelle licence et est aidé par l’aura de Masahiro Sakurai, mais Metroid aurait pu lui aussi bénéficier de la même visibilité.

A la place, on le retrouve coincé au milieu d’autres jeux, à l’image de ce trailer qui révélait pourtant la moto et sa date de sortie. De même, on s’étonne que la trilogie Metroid Prime n’ait pas été entièrement remasterisée. Ce sont d’excellents jeux et seul le premier épisode a eu droit à ce traitement de faveur.

Des previews de Metroid Prime 4 sont tombées hier. Les retours manquent d’enthousiasme. VGC pointe notamment du doigt un side-kick imposé, du moins au cours de cette session de jeu. Miles MacKenzie —c’est son nom, serait un acolyte très bavard, essayant de temps en temps de faire de l’humour ou donnant fréquemment des indications à Samus. Le site anglais explique que cela tranche grandement avec l’esprit de la série qui repose sur l’exploration et ce sentiment d’isolation. Metroid Prime 4 semble être un jeu solide selon les dires du testeur, mais ce PNJ gâcherait l’expérience globale.

Difficile de dire ce qu’il en sera quand le jeu final sortira. Peut-être que le début est poussif mais que la suite est bien plus intéressante. Le choix d’ajouter un compagnon à Samus est en tout cas intéressant. Nintendo semble vouloir changer les règles de Metroid. Ça déplaira peut-être aux fans de la licence, mais c’est peut-être aussi comme ça que la série pourra s’ouvrir au plus grand nombre en devenant plus accessible.

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Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5

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Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.

Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.

Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?

Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.

Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.

L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.

Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?

Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.

Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.

Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?

Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.

Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.

Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.

On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.

Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.

Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?

Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.

Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.

En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.

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PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer

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Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.  

Une sélection variée pour tous les profils

Stray : l’indé française qui charme

Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.  
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.

https://dai.ly/x9t7lua



EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye

Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.

Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.



Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti

Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.

À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.

Conclusion

En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.

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