Séries TV
Resident Evil: la série TV confirmée sur Netflix
Netflix compte bien produire une série TV sur le jeu vidéo Resident Evil. Il n’y a pas de date pour le moment mais on a en revanche quelques infos intéressantes.
Netflix et le jeu vidéo, c’est une grande histoire d’amour. Le 17 septembre, la série Dragon’s Dogma débarquera sur cette plateforme vidéo. Et à l’avenir, ce sera une autre licence de Capcom qui sera adaptée: Resident Evil.
Par le biais d’un simple tweet, Netflix a confirmé les rumeurs qui dataient de début 2019. Une série TV Resident Evil est en chantier. C’est Andrew Dabb (Supernatural) que l’on retrouvera à l’écriture tandis que Bronwen Hughes (13 Reasons Why, Hawaii Five-0) réalisera les deux premiers épisodes. Cette première saison, qui n’a pas de date, sera découpée en 8 actes, chacun durant une heure. Et à la production, on retrouvera Constantin, une société allemande à l’origine des films Resident Evil.
Cette série TV s’intéressera à l’univers de Resident Evil sous un nouvel angle. Il ne s’agira pas de revivre les aventures de Leon, Claire ou Jill. A la place, on devrait suivre les enfants de Wesker alors qu’ils déménagent à New Raccoon City, prêts à découvrir pas mal de secrets… C’est plutôt énigmatique et on ne sait pas vraiment ce que cela signifie. Précisons au passage que ce sera une série Live Action, donc avec de vrais acteurs en chair et en os.
Pour plus d’informations, il faut se replonger dans l’article de Deadline. C’est bien ce site américain qui avait, comme souvent, révélé le pot aux roses. Il indiquait autrefois que le but de la série Resident Evil serait d’étendre l’univers de la saga. Pour cela, elle mettrait principalement l’accent sur Umbrella et les conséquences du T-Virus.
Outre les licences Capcom, Netflix prévoit aussi une saison 2 pour The Witcher et une adaptation de Splinter Cell. Cette dernière devrait prendre la forme d’un animé.
En ce qui concerne l’actualité de Resident Evil, RE8 est prévu pour l’an prochain sur next-gen, un retour de RE4 serait en préparation, et n’oublions pas que le vrai-faux remake de Resident Evil 3 est sorti pendant le confinement.
En illustration, un visuel de Resident Evil 2.
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El Refugio Atómico (Netflix) : une dystopie imparfaite mais captivante
Avec El Refugio Atómico (Billionaires’ Bunker), Alex Pina, le créateur de La Casa de Papel, signe une nouvelle série Netflix ambitieuse : un huis clos sous tension où des milliardaires se réfugient dans un bunker face à la menace nucléaire. Un concept fort, porté par une mise en scène intrigante, même si l’écriture reste parfois inégale.
Un point de départ prometteur
Le pitch avait tout pour séduire : enfermer des ultra-riches dans un espace clos et explorer leurs rivalités, leurs secrets et leurs failles. Le premier twist, qui révèle que le bunker n’est pas ce qu’il paraît, installe une atmosphère de méfiance et de manipulation digne d’un thriller. Cette idée de départ fonctionne et captive rapidement le spectateur.
Entre tension dramatique et clichés
La série multiplie les conflits : héritages, trahisons, romances interdites. Si certains passages tombent dans la caricature (le père machiste, la romance trop prévisible), l’ensemble reste efficace grâce à un rythme bien soutenu. L’écriture n’atteint pas la subtilité de La Casa de Papel, mais elle parvient à maintenir l’attention.
Certains personnages tirent leur épingle du jeu, comme la grand-mère Frida, qui apporte une profondeur inattendue et une vraie originalité au récit.
Une critique sociale en arrière-plan
El Refugio Atómico esquisse une critique des ultra-riches et du capitalisme, mais sans aller au bout de ses ambitions. Ce sous-texte, parfois trop discret, aurait mérité plus de force. Malgré cela, l’ambiance oppressante du huis clos et la tension dramatique compensent ces manques.
Verdict : imparfait mais prenant
Malgré des stéréotypes et une écriture parfois trop appuyée, El Refugio Atómico reste une série prenante. L’idée de base est solide, le rythme efficace, et certains personnages marquent les esprits. Si tu aimes les drames sous tension avec un parfum de dystopie, tu y trouveras ton compte.
Note : 7/10
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Black Rabbit (Netflix) : un drame familial sombre qui intrigue et captive
Avec Jude Law et Jason Bateman en tête d’affiche, Black Rabbit s’impose comme l’un des événements Netflix de la rentrée. Mini-série dramatique et sombre, elle plonge dans une histoire de fraternité, de dettes et de secrets inavouables. Un récit imparfait, parfois confus, mais qui réussit à tenir en haleine grâce à son ambiance et son duo d’acteurs charismatiques.
Jude Law et Jason Bateman, un duo qui fonctionne
Le point fort de la série est indéniablement son casting. Jude Law incarne Jake Friedken, un restaurateur new-yorkais marqué par un passé trouble, tandis que Jason Bateman interprète Vince, son frère rongé par ses erreurs. Ensemble, ils livrent une prestation intense, faite de silences lourds et de tensions familiales palpables.
Visuellement, Black Rabbit soigne son esthétique. Entre plans nocturnes de New York et atmosphère de polar urbain, la mise en scène installe une ambiance captivante qui colle parfaitement au ton dramatique.
Une intrigue riche, parfois trop
Le scénario multiplie les pistes : dettes, rivalités, drames personnels… Cette densité peut parfois brouiller le rythme et perdre en clarté. Mais cette complexité narrative apporte aussi une profondeur appréciable, loin des formats trop simplistes.
La série réussit surtout à proposer des moments marquants, comme certaines scènes de rupture émotionnelle qui laissent un vrai impact. On sent que la mise en scène et l’écriture cherchent à provoquer le spectateur, quitte à le désorienter.
Une série imparfaite mais prenante
Black Rabbit n’est pas exempte de défauts : intrigue parfois confuse, personnages pas toujours attachants. Mais l’ambiance sombre, le soin visuel et le jeu habité de ses acteurs en font une série qui mérite le coup d’œil. Un bon thriller à rebondissement !
C’est un drame familial avec des touches de thriller qui, sans révolutionner le genre, parvient à tenir son spectateur jusqu’au bout.
Note : 7/10
Séries TV
Les 5 séries à ne surtout pas manquer en cette rentrée 2025
L’été touche à sa fin, mais la rentrée s’annonce bouillonnante côté séries. Entre thrillers haletants, univers post-apocalyptiques et retours très attendus, les plateformes de streaming dégainent leurs plus grosses cartouches. Voici notre sélection des 5 séries à binge-watcher absolument dès ce mois de septembre.
1. Daryl Dixon Saison 3 (Paramount+)
Disponible dès le 8 septembre
Après la France, Daryl poursuit son périple en Espagne. Accompagné de Carol, il devra affronter de nouveaux dangers, entre survivants hostiles et hordes de rôdeurs. Un spin-off de The Walking Dead toujours aussi sombre, avec une ambiance européenne inédite.
À voir si tu aimes : les univers post-apocalyptiques, la survie, l’action à l’européenne.
2. Task (HBO Max)
Sortie le 8 septembre
Un thriller psychologique qui frappe fort : un agent du FBI enquête sur une série de cambriolages ultra violents, orchestrés par un mystérieux père de famille. Tensions, mensonges et double vie… tout est là pour tenir en haleine jusqu’au bout.
À voir si tu aimes : les intrigues complexes, les twists inattendus, les ambiances urbaines tendues.
3. Gen V Saison 2 (Prime Video)
Disponible le 17 septembre
L’univers déjanté de The Boys revient avec une deuxième saison encore plus explosive. Les jeunes super-héros sont confrontés à des choix moraux difficiles, entre trahisons, manipulations et lutte pour la vérité.
À voir si tu aimes : les super-pouvoirs qui dérapent, les séries satiriques et violentes, les antihéros.
4. Alice in Borderland Saison 3 (Netflix)
Sortie le 25 septembre
Alors qu’ils pensaient avoir quitté l’enfer des jeux, Arisu et Usagi découvrent une réalité encore plus inquiétante. Disparitions, énigmes, et retour forcé dans un monde alternatif : cette saison s’annonce plus intense que jamais.
À voir si tu aimes : les énigmes, le suspense japonais, les univers dystopiques.
5. The Franchise (HBO Max)
Lancement le 22 septembre
Créée par Armando Iannucci (Veep), cette comédie suit une équipe de tournage catastrophique chargée de produire un film de super-héros. Entre egos surdimensionnés, problèmes techniques et production chaotique, on rit (beaucoup) jaune.
À voir si tu aimes : l’humour méta, les coulisses du cinéma, les anti-blockbusters.
