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Jouer aux jeux vidéo devient-il un luxe ? Est-ce une passion trop chère ?
Ces derniers jours, Sony et Microsoft ont respectivement augmenté le prix de la PlayStation 5 et de la Xbox Series X|S. Ces consoles sont 10 à 20% plus chères qu’à leur lancement en novembre 2020. Du côté de Nintendo, depuis l’annonce de la Switch 2, beaucoup pointent du doigt son positionnement tarifaire. Cela concerne à la fois le prix de la console —470€— ou de ses jeux —jusqu’à 90€ en physique. Le jeu vidéo devient-il alors moins accessible ?
Près de cinq ans après leur lancement, la PS5 et la Xbox Series X, dans leur version avec lecteur de disques, coûtent désormais 549 et 599€. En novembre 2020, elles affichaient chacune un prix de 499€.
En temps normal, une console voit son prix fondre au fil des années. Mais cette génération est différente. Le contexte économique est différent. L’inflation, le coût des composants, les barrières tarifaires et d’autres éléments font que les constructeurs doivent s’adapter en réhaussant leurs prix. Et le but est naturellement de protéger les marges. Microsoft, Sony et Nintendo sont des entreprises. Elles recherchent chacune la croissance et les profits ; c’est ainsi que notre système économique fonctionne.
Des consoles hors de prix et pourtant, jeu vidéo n’a jamais été aussi accessible
Il faut bien admettre que la la Xbox Series X, la PS5 et la Switch 2 sont chères. Rappelons qu’en France, en 2023, le salaire médian était de 2 090 euros nets par mois, dixit l’INSEE. Cela signifie que pour la moitié des salariés, une console next-gen coûte plus d’un quart de ses revenus mensuels.
Il y a donc un problème au niveau du prix d’entrée : celui-ci est (très) élevé. Cela freine l’adoption de nouvelles machines. Mais une fois ce fameux prix d’entrée passé, force est de constater que l’on peut facilement jouer sans se ruiner.
Le règne des Free-To-Play
Lors de la troisième semaine d’avril, aux Etats-Unis, sur PlayStation, quatre Free-To-Play se plaçaient dans le Top 10 des jeux les plus joués : Warzone (couplé aux jeux COD, certes), Fortnite, Roblox et Marvel Rivals. On vit à une époque où les F2P —des jeux que l’on peut télécharger gratuitement— sont légion et concernent tous les genres. Voici quelques exemples.
- Tir : FragPunk, Fortnite, COD Warzone, PUBG, Apex, Overwatch, Valorant…
- Sport : Rocket League, UFL, eFootball, 3on3 FreeStyle..
- RPG : Wuthering Waves, Throne & Liberty, Genshin Impact, Honkai Star Rail, Zenless Zone Zero…
- Course : Trackmania, Disney Speedstorm…
- MOBA : SMITE 2…
Cet article parle essentiellement du jeu sur consoles. Sur smartphone, c’est évidemment différent, comme sur PC. Sur cette dernière plateforme, rappelons que les jeux les plus populaires sont là aussi des free-to-play : Counter Strike, League Of Legends, DOTA…

Bien sûr, un Free-To-Play n’est pas totalement gratuit. Les développeurs ont besoin de se rémunérer et de payer les serveurs. C’est pour cette raison que ces jeux sont bourrés de micro-transactions. Il s’agit bien souvent de skins et tout cela est alors facultatif. Certes, flinguer tout le monde dans Fortnite avec son héros préféré est sympa, mais libre à chacun de voir si le coût est justifié. En revanche, Warzone franchit parfois la ligne rouge avec des packs qui donnent un sérieux avantage aux joueurs.
Les services par abonnement sont rentables
Depuis de longues années maintenant, Microsoft propose le Xbox Game Pass. Sony a suivi avec le PlayStation Plus Extra / Premium. Ces services ont beaucoup évolué avec le temps, et leur prix a augmenté. Ils restent cependant de belles affaires si on joue beaucoup et qu’on accepte l’idée que c’est Microsoft et Sony qui choisissent nos jeux.
A l’année, le Game Pass Ultimate coûte 215,88€ (17,99/mois). C’est grosso modo le prix de deux triple A à 80€, et de deux ou trois jeux indés à une vingtaine d’euros chacun.
Le Game Pass Ultimate mélange à la fois des jeux anciens et de nouvelles sorties. Depuis l’automne dernier, voici quelques-un des titres qui ont été ajoutés : STALKER 2, Call Of Duty Black Ops 6, Clair Obscur Expédition 33, GTA V, Avowed, Oblivion Remastered, Blue Prince, Indiana Jones, Atomfall, South Of Midnight… Et dans quelques jours, DOOM The Dark Ages s’invitera à la fête.
Bien sûr, ces jeux ne plairont pas à tous, mais sur le papier, il s’agit de très bons titres. Et si on additionne le prix de ce petit échantillon, on dépasse largement les 215€.

Du côté du PlayStation Plus, l’abonnement le plus onéreux est à 151,99€ à l’année, soit 12,66€/mois. Le PlayStation Plus Premium donne accès à un large catalogue de jeux mais essentiellement des titres ayant une petite ancienneté. On retrouve parfois des jeux Day 1, à l’image de Blue Prince ou Lost Records, mais pas des AAA façon Indiana Jones ou DOOM.
Même si son catalogue est un peu plus ancien, le PlayStation Plus regorge de très bons titres. Petits exemples : Top Spin 2K25, Hogwarts Legacy, Star Wars Jedi Survivor, GTA V… Les fameuses exclusivités PlayStation sont également de la partie : Ghost Of Tsushima, God Of War, The Last Of Us, Uncharted, Spider-Man… Et avec l’offre Premium, quelques vieux jeux PS1 et PS2 font parfois leur retour comme Ape Escape, Syphon Filter ou Sly Raccoon…
Là encore, si vous n’avez jamais fait ces jeux, le rapport qualité/prix est excellent.
La patience est mère de toutes les vertus
Pour terminer, on pourrait rappeler qu’il y a 20 petites années, on a vécu l’essor des mondes ouverts et des jeux en ligne. En d’autres termes, la durée de vie de nos jeux a explosé avec le temps.
Par plaisir, comparons les oeuvres d’Hideo Kojima. Le premier Metal Gear Solid (1999) se termine en moyenne en 11h. MGS V The Phantom Pain (2015) demande 45h, soit 4 fois plus.
En 2001, Hideo Kojima et Konami sortent Zone Of The Enders. Celui-ci dure 5h. En 2019, Hideo Kojima et Sony sortent Death Stranding. Celui-ci dure 40h. C’est huit fois plus. Alors, certes, le prix des jeux vidéo a augmenté mais on ne les paye pas pour autant 4 ou 8 fois plus cher.
De toutes manières, rien ne nous oblige à acheter les jeux dès leur sortie. Attendre est même mieux. Si on met de côté les jeux Nintendo —le Japonais estime qu’il propose des expériences premiums et que le prix doit le refléter—, tous les éditeurs soldent leurs titres à un moment ou à un autre.
Là encore, prenons quelques exemples. L’excellent mais exigeant Ghost Runner 2 est sorti en 2023 contre 40€. Depuis la fin d’année 2024, il est fréquemment soldé à 10€. Like A Dragon: Pirate Yakuza In Hawaii a quant à lui 3 mois. Il est sorti en février 2025 à 60€. Il est actuellement proposé à 48€ ce qui représente une économie de 20%. Enfin, Star Wars Outlaws a débarqué le 30 août 2024 au prix de 80€. Depuis ce printemps, on le retrouve souvent à 40€.
Il ne vous aura pas non plus échappé que les jeux sont de plus en plus complexes. Et de ce fait, les mises à jour et autres patchs sont omniprésents. Au lancement, il y a des bugs, et ceux-ci sont corrigés avec le temps. Plus on attend, plus on joue dans de meilleures conditions. Une chose m’a ainsi frappé ces dernières heures. Ubisoft a annoncé du nouveau contenu pour Assassin’s Creed Shadows sorti il y a quelques semaines. Le plus intéressant est que l’éditeur français entend également améliorer le gameplay de son jeu en affinant davantage le parkour.
La patience est alors récompensée. Il faut certes se battre avec le FOMO mais au final, on joue dans de meilleures conditions tout en dépensant moins.
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Metroid Prime 4 fera-t-il passer un cap à la série de Nintendo ?
La sortie de Metroid Prime 4 : Beyond approche à grands pas. C’est un soi un événement ; son prédécesseur, Metroid Prime 3 date de 2007. Et pourtant, il y a un risque que cet épisode passe inaperçu. Car malheureusement, depuis ses débuts, la série est boudée par le public.
En janvier 2019, Nintendo annonçait le reboot de Metroid Prime 4. Le jeu était alors en développement du côté de Bandai Namco et se voyait finalement transféré du côté de Retro. C’était un retour aux sources presque logique. Ce studio texan est en effet l’auteur de trois jeux Metroid Prime.
Rebooter un projet n’est pas anodin. Ce n’est pas un simple report comme bon nombre de jeux peuvent connaître. C’est un retour à zéro, un développement qui recommence pour repartir sur des bases saines.
Près de six ans après ce retournement de situation, Metroid Prime 4 : Beyond est enfin prêt à en découdre. Le jeu sera disponible dans 3 semaines, de premières previews sont disponibles, et les retours sont mitigés. Est-ce alors inquiétant ?
Metroid ne parvient pas à être au niveau de Mario et Zelda
Metroid est une licence culte du jeu vidéo. Mais le grand public s’en fout totalement. Cet été, la Newsletter Le Résumé Jeu Vidéo rappelait justement le paradoxe Metroid. C’est une franchise historique pour Nintendo, mais elle n’a jamais su s’imposer.
L’histoire de Metroid remonte à 1986 sur NES, la même année que The Legend Of Zelda. Metroid a alors inventé un genre —qu’on associera aux Castlevania pour devenir le Metroidvania— et repose sur une héroïne. A l’époque, c’était rare.

La série des Metroid a connu de nombreux titres, parfois en 2D, en 3D, sur portable ou consoles de salon. Mais jamais ses ventes n’ont explosé. L’épisode le plus vendu est ainsi Metroid Dread, titre sorti en 2021 sur Switch, et vendu à près de 3 millions d’exemplaires. Certes, c’est pas mal, mais si on compare à d’autres séries, c’est faible. Les Mario, Zelda et Pokémon dépassent facilement les 20 millions sur cette même machine. Luigi’s Mansion 3 a quant à lui franchi la barre des 14 millions d’exemplaires écoulés.
Metroid ne parvient pas à s’imposer et pourtant, la presse est unanime. Sur Metacritic, les premiers Metroid Prime affichent un score égal ou supérieur à 90/100. Metroid Dread est quant à lui à 88/100, ce qui reste excellent.
Metroid Prime 4 peut-il s’imposer ?
La communication autour de Metroid Prime 4 : Beyond est curieuse. Il donne parfois l’impression que Nintendo ne cherche pas à pousser ce titre. Kirby Air Riders, suite d’un jeu passé inaperçu sur GameCube, a ainsi eu droit à deux Nintendo Direct, chacun durant près d’une heure. Certes, ce Kirby est traité comme une nouvelle licence et est aidé par l’aura de Masahiro Sakurai, mais Metroid aurait pu lui aussi bénéficier de la même visibilité.
A la place, on le retrouve coincé au milieu d’autres jeux, à l’image de ce trailer qui révélait pourtant la moto et sa date de sortie. De même, on s’étonne que la trilogie Metroid Prime n’ait pas été entièrement remasterisée. Ce sont d’excellents jeux et seul le premier épisode a eu droit à ce traitement de faveur.
Des previews de Metroid Prime 4 sont tombées hier. Les retours manquent d’enthousiasme. VGC pointe notamment du doigt un side-kick imposé, du moins au cours de cette session de jeu. Miles MacKenzie —c’est son nom, serait un acolyte très bavard, essayant de temps en temps de faire de l’humour ou donnant fréquemment des indications à Samus. Le site anglais explique que cela tranche grandement avec l’esprit de la série qui repose sur l’exploration et ce sentiment d’isolation. Metroid Prime 4 semble être un jeu solide selon les dires du testeur, mais ce PNJ gâcherait l’expérience globale.
Difficile de dire ce qu’il en sera quand le jeu final sortira. Peut-être que le début est poussif mais que la suite est bien plus intéressante. Le choix d’ajouter un compagnon à Samus est en tout cas intéressant. Nintendo semble vouloir changer les règles de Metroid. Ça déplaira peut-être aux fans de la licence, mais c’est peut-être aussi comme ça que la série pourra s’ouvrir au plus grand nombre en devenant plus accessible.
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Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5
Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.
Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.
Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?
Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.
Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.
L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.
Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?
Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.
Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.
Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?
Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.
Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.
Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.
On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.
Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.
Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?
Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.
Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.
En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.
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PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer
Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.
Une sélection variée pour tous les profils
Stray : l’indé française qui charme
Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.
EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye
Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.
Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.
Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti
Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.
À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.
Conclusion
En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.
