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Onrush, la revanche de Motorstorm
Onrush a été révélé lors de la conférence de Sony à la Paris Games Week. Ce n’est pas forcément l’annonce que l’on retiendra de ce show. Ghost Of Tsushima, le nouveau jeu de Sucker Punch, et le trailer ultra violent de The Last Of Us: Part II ont logiquement volé la vedette au jeu de course de Codemasters. L’officialisation de Onrush reste néanmoins importante. Elle marque officieusement le retour de la franchise MotorStorm.
- A lire également: Retour sur la conférence PGW 2017 de Sony
Dans le passé, Codemasters a essayé de se diversifier avec des jeux de tir. Le succès n’a semble-t-il pas toujours été au rendez-vous. Depuis quelque temps, l’éditeur anglais se concentre à nouveau sur ce qu’il sait faire de mieux: des jeux de course. Ces dernières semaines, il y a eu F1 2017 et DiRT 4. Et dans les prochains mois, il y aura Onrush.
Onrush est prévu pour l’été 2018 sur PlayStation 4 et Xbox One. Il est conçu par les anciens créateurs d’Evolution Studios. Ce dernier était autrefois la propriété de Sony. Le géant japonais a cependant souhaité se séparer d’Evolution en mars 2016. « Ce n’était pas vraiment une surprise » , nous dit Paul Rustchynsky. Le Game Director de Driveclub et de Onrush admet à demi-mot savoir ce qui se passait en coulisse; une partie de ses équipes était déjà un peu anxieuse fin 2015, avant que cette décision ne soit officiellement prise.
La fermeture d’Evolution studios a toutefois permis à ces fans de jeux course d’intégrer l’éditeur numéro un dans ce domaine. Paul Rustchynsky n’en veut pas à Sony. Quand on lui rappelle les 2 millions de ventes de Driveclub et qu’on lui demande si ce sont les DLC qui n’ont pas été assez performants, il préfère répondre qu’il s’occupait surtout du côté créatif. Il n’en reste pas moins très heureux d’avoir pu toucher des millions de joueurs et indique avoir toujours une très bonne relation avec Sony: « Nous étions là, sur scène, ce lundi, pour montrer ensemble notre nouveau jeu, Onrush.«
Si on évoque beaucoup Driveclub, c’est parce qu’il s’agit du dernier jeu vidéo sorti par Evolution Studios, époque Sony. Le trailer de Onrush diffusé au cours de la conférence du japonais à la Paris Games Week rappelle toutefois une autre production d’Evo‘: MotorStorm. Pendant de longues années, l’équipe anglaise a travaillé sur cette licence qui a exploré différents environnements. Il est amusant de voir que cette bande-annonce montre de la neige. La trilogie MostorStorm préférait à l’époque la boue ou la poussière. Il y a bien eu Arctic Edge (PSP, PS2), mais il a été conçu par BigBig Studios, qui a fermé en 2012.
Avec Onrush, Paul Rustchynsky promet plusieurs environnements et types de véhicules différents. Mais il n’a pas encore cette volonté de détailler —les informations arriveront sans doute au compte-gouttes, comme l’ont été décidés les plans de communication. Au niveau du gameplay, on devrait retrouver un jeu nerveux, des courses dynamiques, des tracés multiples… Il faudra attendre les premières vidéos de gameplay pour découvrir les véritables promesses de Onrush. On retiendra aussi que ce titre devrait être un peu plus sage que les MotorStorm. Cette série était habituée à recevoir un PEGI 12 ou 16 tandis que Onrush vise pour le moment le PEGI 7.
Si tout se passe comme prévu, Onrush aura eu deux années de développement, s’étalant du printemps 2016 à l’été 2018. C’est assez court pour une nouvelle licence, d’autant plus qu’à ses début, Evolution, version Codemasters, planchait sur deux projets en même temps: Onrush, bien sûr, et un certain Driveclub VR à terminer pour le compte de Sony.
Paul Rustchynsky précise qu’une cinquantaine de personnes travaillent sur Onrush. C’est finalement assez peu. Lors de sa dernière année de développement, Driveclub était fignolé par une équipe deux fois plus importante. Il ne faut pas non plus oublier qu’Evolution version Codemasters a dû repartir de zéro et qu’Onrush est un jeu multiplateforme. En plus de la PS4, ce jeu de course sortira aussi sur Xbox One. Aucune version PC n’a été annoncée et il en va de même pour la Switch.
Ces difficultés liées à une équipe de taille réduite auront forcément un impact sur le jeu. Cela se voit d’ailleurs dans le trailer: au niveau de sa carrosserie, Onrush n’impressionne pas vraiment. On est par exemple bien loin d’un Forza Horizon 3.
Onrush compte séduire grâce à son gameplay —même si celui-ci reste encore un peu secret— et veut s’appuyer sur les joueurs pour cela. C’était déjà un peu le cas sur Driveclub à l’époque, l’un des premiers Games As A Service de cette génération. « Nous étions l’un des premiers jeux à adopter ce modèle. Nous voulions être sûr de pouvoir répondre aux attentes de la communauté, écouter leurs retours et ajouter le contenu qu’ils désiraient. C’était l’un des aspects les plus intéressants de notre travail sur Driveclub. » explique Paul Rustchynsky. Le créateur anglais aime aussi prendre l’exemple de Rocket League et indique en substance que placer la communauté au coeur même du projet permet d’essayer de nouvelles choses et voir rapidement si ça marche.
L’intention semble sincère si on se fie à l’ascension fulgurante de Jamie Brayshaw. Ce dernier était autrefois un gros joueur de Need For Speed Most Wanted sur PS2, notamment en ligne. Il a alors été remarqué par Electronic Arts qui lui a proposé de gérer cette communauté. Jamie a ensuite atterri chez Evolution pour plancher sur la série des MotorStorm et Driveclub, toujours au même poste. C’est lui qui, à l’époque, mettait sur sa propre chaîne Youtube les trailers des mises à jour et des DLC de Driveclub. C’était le seul moyen d’obtenir des infos sur ce titre, Sony ayant cessé d’en faire la communication sur ses canaux officiels. Quand on demande à Jamie Brayshaw pourquoi le constructeur japonais a agi ainsi, il dit ne pas savoir.
Ce passionné de jeux de course a suivi le reste de l’équipe Evolution chez Codemasters. Il a cependant troqué sa combinaison de Community Manager pour celle d’Assistant Game Director. Jamie Brayshaw est un peu le co-pilote de Onrush. Une sacrée prouesse pour quelqu’un qui ne code pas. Il apporte en fait au projet sa vision et ses connaissances, notamment les attentes des fans du genre.
On peut d’ailleurs se demander si les fans du genre sont encore nombreux. Les jeux de course très arcade se font rares ces derniers temps. Sony n’a pas souhaité financer de MotorStorm 4. Criterion a rangé sa série des Burnout au placard et a annulé son projet Beyond Cars. Forza Horizon et Need For Speed sont quant à eux différents; ils ont une plastique de rêve et misent sur un monde ouvert. Paul Rustchynsky et Jamie Brayshaw assurent avoir des idées uniques pour leur jeu. Onrush en aura sans doute besoin pour redevenir le roi d’un genre rangé au garage depuis trop longtemps.
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Metroid Prime 4 fera-t-il passer un cap à la série de Nintendo ?
La sortie de Metroid Prime 4 : Beyond approche à grands pas. C’est un soi un événement ; son prédécesseur, Metroid Prime 3 date de 2007. Et pourtant, il y a un risque que cet épisode passe inaperçu. Car malheureusement, depuis ses débuts, la série est boudée par le public.
En janvier 2019, Nintendo annonçait le reboot de Metroid Prime 4. Le jeu était alors en développement du côté de Bandai Namco et se voyait finalement transféré du côté de Retro. C’était un retour aux sources presque logique. Ce studio texan est en effet l’auteur de trois jeux Metroid Prime.
Rebooter un projet n’est pas anodin. Ce n’est pas un simple report comme bon nombre de jeux peuvent connaître. C’est un retour à zéro, un développement qui recommence pour repartir sur des bases saines.
Près de six ans après ce retournement de situation, Metroid Prime 4 : Beyond est enfin prêt à en découdre. Le jeu sera disponible dans 3 semaines, de premières previews sont disponibles, et les retours sont mitigés. Est-ce alors inquiétant ?
Metroid ne parvient pas à être au niveau de Mario et Zelda
Metroid est une licence culte du jeu vidéo. Mais le grand public s’en fout totalement. Cet été, la Newsletter Le Résumé Jeu Vidéo rappelait justement le paradoxe Metroid. C’est une franchise historique pour Nintendo, mais elle n’a jamais su s’imposer.
L’histoire de Metroid remonte à 1986 sur NES, la même année que The Legend Of Zelda. Metroid a alors inventé un genre —qu’on associera aux Castlevania pour devenir le Metroidvania— et repose sur une héroïne. A l’époque, c’était rare.

La série des Metroid a connu de nombreux titres, parfois en 2D, en 3D, sur portable ou consoles de salon. Mais jamais ses ventes n’ont explosé. L’épisode le plus vendu est ainsi Metroid Dread, titre sorti en 2021 sur Switch, et vendu à près de 3 millions d’exemplaires. Certes, c’est pas mal, mais si on compare à d’autres séries, c’est faible. Les Mario, Zelda et Pokémon dépassent facilement les 20 millions sur cette même machine. Luigi’s Mansion 3 a quant à lui franchi la barre des 14 millions d’exemplaires écoulés.
Metroid ne parvient pas à s’imposer et pourtant, la presse est unanime. Sur Metacritic, les premiers Metroid Prime affichent un score égal ou supérieur à 90/100. Metroid Dread est quant à lui à 88/100, ce qui reste excellent.
Metroid Prime 4 peut-il s’imposer ?
La communication autour de Metroid Prime 4 : Beyond est curieuse. Il donne parfois l’impression que Nintendo ne cherche pas à pousser ce titre. Kirby Air Riders, suite d’un jeu passé inaperçu sur GameCube, a ainsi eu droit à deux Nintendo Direct, chacun durant près d’une heure. Certes, ce Kirby est traité comme une nouvelle licence et est aidé par l’aura de Masahiro Sakurai, mais Metroid aurait pu lui aussi bénéficier de la même visibilité.
A la place, on le retrouve coincé au milieu d’autres jeux, à l’image de ce trailer qui révélait pourtant la moto et sa date de sortie. De même, on s’étonne que la trilogie Metroid Prime n’ait pas été entièrement remasterisée. Ce sont d’excellents jeux et seul le premier épisode a eu droit à ce traitement de faveur.
Des previews de Metroid Prime 4 sont tombées hier. Les retours manquent d’enthousiasme. VGC pointe notamment du doigt un side-kick imposé, du moins au cours de cette session de jeu. Miles MacKenzie —c’est son nom, serait un acolyte très bavard, essayant de temps en temps de faire de l’humour ou donnant fréquemment des indications à Samus. Le site anglais explique que cela tranche grandement avec l’esprit de la série qui repose sur l’exploration et ce sentiment d’isolation. Metroid Prime 4 semble être un jeu solide selon les dires du testeur, mais ce PNJ gâcherait l’expérience globale.
Difficile de dire ce qu’il en sera quand le jeu final sortira. Peut-être que le début est poussif mais que la suite est bien plus intéressante. Le choix d’ajouter un compagnon à Samus est en tout cas intéressant. Nintendo semble vouloir changer les règles de Metroid. Ça déplaira peut-être aux fans de la licence, mais c’est peut-être aussi comme ça que la série pourra s’ouvrir au plus grand nombre en devenant plus accessible.
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Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5
Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.
Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.
Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?
Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.
Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.
L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.
Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?
Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.
Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.
Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?
Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.
Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.
Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.
On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.
Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.
Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?
Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.
Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.
En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.
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PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer
Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.
Une sélection variée pour tous les profils
Stray : l’indé française qui charme
Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.
EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye
Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.
Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.
Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti
Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.
À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.
Conclusion
En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.
