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Xbox One, PlayStation 4 : un an plus tard, quel bilan?

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Il y a un an jour pour jour, Sony commercialisait sur le territoire américain la PlayStation 4, lançant ainsi ce que l’on appelle encore aujourd’hui la Next-Gen. Microsoft lui embrayait alors le pas sept jours plus tard et déployait sur les étals, pour la première fois, sa Xbox One. La guerre des consoles pouvait débuter et les joueurs ont répondu présent puisque, à l’heure actuelle, plus de 10 millions d’entre eux ont déjà été séduits par l’une de ces nouvelles machines. Et 365 jours après le commencent de cet impitoyable affrontement, l’heure du premier bilan a sonné.

news_xbox_one_playstation_4_un_an_plus_tard_quel_bilan_2Souhaitant éviter les erreurs commises avec sa PlayStation 3, Sony a notamment décidé de sortir sa PS4 en même temps que la Xbox One afin de ne laisser aucune avance à Microsoft. Les deux concurrents ont donc quitté la ligne de départ côte à côte, mais un an plus tard, c’est bien la PS4 qui fait largement la course en tête. Au dernier recensement, on comptait 13,5 millions de PlayStation 4 contre 6,7 millions de Xbox One. Ces données évoluent rapidement et Microsoft a très récemment déclaré avoir bientôt écoulé 10 millions de One aux revendeurs, une formulation assez imprécise. Si on se fie alors aux premiers chiffres cités, Sony s’octroie 67% des ventes sur le marché des consoles next-gen. La PS4 a-t-elle déjà gagné la guerre? Non bien sûr, il est encore trop tôt pour le dire, mais cette avance est actuellement considérable alors que les performances de la Xbox One sont largement honorables. La dernière née de Microsoft fait même mieux que la Xbox 360 en son temps. Toutefois, Sony et sa PS4 marchent sur l’eau et signent même le meilleur lancement de tous les temps, battant au passage quelques records précédemment établis par la Wii.

Le printemps et l’été précédant le lancement de la Xbox One furent pour le moins mouvementés. Quelques heures après l’annonce de la console fin mai 2013, Phil Harrison, ex-monsieur PlayStation et maintenant haut placé chez Xbox, affirme que la One nécessite d’être connectée au Xbox Live chaque jour afin de fonctionner. En parallèle, on apprend aussi que la console est zonée, que Kinect est indispensable (alors que le scandale PRISM bat son plein) et que le marché de l’occasion sera quelque peu revu. La colère gronde chez les joueurs et Microsoft est finalement obligé de faire marche arrière. A cela, il faut aussi rajouter un prix fixé à 499€, un report d’un an de la Xbox One dans plusieurs pays d’Europe et le départ de Don Mattrick chez Zynga, payant sans doute là ses déclarations maladroites. Même si Microsoft a su réagir et revenir rapidement sur ses décisions, cet enchainement de couacs dans sa communication lui aura fait très mal.

news_xbox_one_playstation_4_un_an_plus_tard_quel_bilan_3Les difficultés de la Xbox One ne s’arrêtent cependant pas à cette campagne com’ ratée. Les premiers tests confirment ce que craignait une partie des joueurs : la PS4 est bien plus puissante et fait mieux tourner une grande majorité des jeux tel que Battlefield 4 ou Assassin’s Creed Black Flag. La présence de Kinect reste aussi un sérieux handicap à la console de salon. La plupart des gamers n’en voient pas vraiment l’intérêt, les jeux dédiés à ce périphérique se comptant sur les doigts d’une main, et la présence de la caméra augmente surtout considérablement le prix de la machine. Résultat, Kinect sera sacrifiée six mois plus tard afin de se rapprocher de la PS4 d’un point de vue tarifaire. Microsoft n’hésite donc pas non plus à s’adapter au marché mais cela souligne surtout plusieurs échecs successifs :  celui de la caméra Kinect bien sûr, mais aussi du pack Xbox One – Titanfall incapable d’inverser la tendance au printemps 2014.

news_xbox_one_playstation_4_un_an_plus_tard_quel_bilan_4Sony a de son côté su jouer la carte de la sagesse. Oublier son arrogance au moment de la sortie de la PS3 et le prix démesuré de cette dernière, Sony assume pleinement sa position d’outsider et joue sa chance à fond en axant sa communication autour des joueurs, les mêmes qui se sentent quelque peu trahis par Microsoft. Le fait le plus marquant se situe sans doute à l’E3 2013 : au cours d’une conférence manquant de rythme, le constructeur japonais déclare qu’un abonnement au PlayStation Plus sera indispensable pour le jeu en ligne sur PS4. Cette annonce passe alors comme une lettre à la poste et les spectateurs ne retiendront qu’une chose de l’événément californien : le mini-sketch plus ou moins improvisé de Shuhei Yoshida et Adam Boyle visant à se moquer ouvertement de la Xbox One, et vu à ce jour 15 millions de fois. Mais on ne peut pas uniquement résumer la victoire actuelle de Sony aux maladresses de son adversaire. Sony a aussi su miser sur les bons chevaux : Watch Dogs et Destiny, deux des plus gros jeux de 2014 ayant reçu une très solide campagne marketing et toujours associés à la marque japonaise, mais pourtant multisupports (et même cross-gen).

news_xbox_one_playstation_4_un_an_plus_tard_quel_bilan_5Les jeux, ce sont justement eux qui font vendre les consoles. Autrefois, la Wii avait pu compter sur Wii Sport, la 360 sur Gears Of War (un après le lancement de la console, la PS3 sur Uncharted et Metal Gear Solid 4 (là encore environ 12 mois après). . . Du côté de la PS4 et de la Xbox One, la danse est plutôt menée par les jeux multi comme MGS Ground Zeroes, Call Of Duty, FIFA, Assassin’s Creed. . . Destiny ou Watch Dogs. Des titres souvent ambitieux au succès critique souvent mitigé et qui ont toujours soutenu les consoles de nouvelle génération bien qu’ils soient également disponibles sur PS3 et 360. En d’autres termes, les jeux cross-plateformes profitent actuellement beaucoup à la PS4 et Xbox One. Les raisons de ce succès sont multiples, mais c’est bien entendu les graphismes qui restent le principal argument. Dans sa troisième édition de l’Essentiel du Jeu Vidéo, le SELL rapporte ainsi que l’aspect visuel est la principale motivation d’achat d’une console next-gen. Un phénomène qui explique aussi le succès des nombreuses remasterisations (Tomb Raider, GTA, The Last Of Us, Halo. . .), des softs qui offrent finalement à peu près la même expérience de jeu, mais avec un meilleur confort, ces titres étant souvent alors proposés en 1080p/60fps. Un petit tour par Metacritic (Xbox One, PlayStation 4) montre également que le haut du classement est squatté par des jeux à la fois disponibles sur next-gen et old-gen (PS3, 360).

Les jeux exclusifs ont quant à eux été plus discrets, même si une bonne partie a réussi à être millionnaire. Fin 2013, Microsoft sortait le très bon Forza 5 suivi des moins mémorables Dead Rising 3 et Ryse Son Of Rome. Sony misait quant à lui sur Killzone Shadow Fall, un titre sympathique et très joli mais très classique (et son multi est même aujourd’hui déserté) ou le très moyen Knack. Une nouvelle salve de jeux est arrivée au printemps avec Titanfall et inFamous Second Son, puis à ce Noël avec d’un côté Sunset Overdrive, Forza Horizon 2, Halo MCC, contre LBP3, SingStar et DriveClub qui, avec un an (!) de retard, réussit à proposer un online défectueux (ce qui n’était pourtant pas le cas lors du test).

news_xbox_one_playstation_4_un_an_plus_tard_quel_bilan_6Alors que la PS4 et la Xbox One voient leurs fonctionnalités évoluer de manière importante au fil du temps via des mises à jour firmware, cette fin d’année semble désormais sonner la fin du tour de chauffe, et l’an 2015 pourrait bien signer l’avènement des consoles next-gen, elles qui ont encore tant à prouver. Au placard les remasterisations et autres jeux cross-gen, les bons gros blockbusters comme The Order 1886, Batman Arkham Knight, Uncharted 4 et Halo 5 devraient véritablement justifier l’achat d’une console next-gen, au même titre que certains jeux indé’ des plus audacieux tel que Rime ou No Man’s Sky. Gageons simplement que ces titres sauront confirmer tous les espoirs placés en eux et que les patchs ne viendront pas corriger des lancements trop prématurés.

news_xbox_one_playstation_4_un_an_plus_tard_quel_bilan_7Et la Wii U dans tout ça? La dernière console de salon de Nintendo a connu un joli sursaut dans les charts grâce à Mario Kart 8 ou la prochaine arrivée de Super Smash Bros. A l’heure actuelle, la Wii U fait même mieux que la Xbox One, mais la machine japonaise a un an de plus et, surtout, un territoire supplémentaire, le Japon, Microsoft ayant toujours connu de terribles revers sur l’archipel. Mais il faut cependant bien comprendre que la Wii U voit chaque jour son avance fondre et que les éditeurs tiers ont quitté le navire. EA Sports nous déclarait ainsi poliment que « les jeux de foot ne se prêtaient pas forcément le mieux à la Wii U » tandis qu’Ubisoft refuse de développer des jeux dits gamers sur cette machine. Finalement, la Wii U tend de plus en plus à être une console uniquement destinée aux fans des licences Nintendo.

En illustration, une image de Destiny, l’un des jeux les plus populaires sur PlayStation 4 et Xbox One.

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Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5

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Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.

Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.

Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?

Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.

Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.

L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.

Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?

Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.

Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.

Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?

Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.

Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.

Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.

On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.

Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.

Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?

Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.

Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.

En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.

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PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer

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Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.  

Une sélection variée pour tous les profils

Stray : l’indé française qui charme

Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.  
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.



EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye

Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.

Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.



Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti

Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.

À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.

Conclusion

En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.

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Biped 2 : le retour des petits robots dans une aventure coopérative aussi fun que maligne

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Sorti le 5 novembre 2025 sur PC, PS5, Xbox Series et Nintendo Switch, Biped 2 signe le grand retour des robots Aku et Sila dans une nouvelle aventure pleine d’humour et de coopération. Développé par NEXT Studios et édité par META Publishing, ce second épisode pousse encore plus loin les mécaniques de plateforme et de puzzle qui avaient fait le succès du premier opus.

https://dai.ly/x9t9sfw

Un concept simple et efficace

Dans Biped 2, les joueurs incarnent deux robots bipèdes chargés d’explorer une planète inconnue après la réception d’un mystérieux signal. Le concept est identique à celui du premier jeu : progresser à travers des niveaux truffés d’énigmes, d’obstacles physiques et de passages coopératifs à résoudre en duo.

Chaque jambe du robot est contrôlée indépendamment via les sticks analogiques, une idée originale qui donne au jeu une identité unique et un vrai challenge d’adresse. Cette mécanique reste au cœur du gameplay, mais le studio y ajoute désormais des nouveautés : grappin, deltaplane, glissades et interactions environnementales inédites.

Coopération renforcée et gameplay évolutif

L’un des grands plaisirs de Biped 2, c’est sa dimension coopérative. Le titre a été conçu pour être joué à deux, mais il intègre désormais un mode à quatre joueurs, de quoi multiplier les fous rires et les situations imprévisibles.

Certaines énigmes reposent entièrement sur la synchronisation entre les partenaires. L’un actionne un levier pendant que l’autre maintient une plateforme, ou les deux doivent bouger leurs jambes en rythme pour franchir un gouffre. Le tout demande coordination, communication et un vrai sens du timing.

En solo, le jeu reste accessible : les deux robots sont contrôlables par le même joueur, mais l’expérience reste plus exigeante qu’à plusieurs.

Un univers coloré et apaisant

Biped 2 mise sur un ton léger et une direction artistique très colorée. Loin du réalisme, le jeu propose des environnements variés — forêts, montagnes, planètes de glace ou déserts lumineux — avec un rendu visuel simple mais chaleureux.

Chaque biome réserve ses propres mécaniques, de nouveaux obstacles et parfois même des mini-boss à résoudre par la logique ou la coopération. La bande-son, discrète mais bien intégrée, renforce cette sensation de voyage et d’exploration détendue.

Du contenu et de la rejouabilité

Le jeu propose une campagne principale jouable seul ou en coopération, mais aussi des défis chronométrés et un éditeur de niveaux. Ce dernier permet à la communauté de créer et partager ses propres puzzles, garantissant une excellente rejouabilité.

Avec la possibilité de jouer à quatre, Biped 2 s’inscrit dans la lignée des grands jeux coopératifs modernes : simple à prendre en main, mais exigeant à maîtriser.

Un jeu accessible à tous les profils

  • En duo local ou en ligne : idéal pour les soirées entre amis ou en famille.
  • En solo : plus technique, mais toujours amusant.
  • En communauté : les niveaux créés par d’autres joueurs prolongent la durée de vie.

Le ton général reste bienveillant et accessible, ce qui en fait une porte d’entrée idéale vers les jeux de plateforme modernes.



Plateformes : PC, PS5, Xbox Series, Nintendo Switch

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