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Qui est ce Embracer qui vient de racheter Gearbox (Borderlands)?

Embracer vient de s’offrir Gearbox, le studio de Borderlands, pour près d’un milliard de dollars. Il s’agit du dernier investissement en date d’un groupe qui semble n’avoir aucune limite.
Cette semaine, Embracer présentait ses résultats financiers. Le groupe en a surtout profité pour annoncer l’acquisition de trois nouvelles compagnies. Il y a tout d’abord Aspyr, une équipe spécialisée dans les portages. Puis Easybrain, un développeur de jeux mobiles. Et enfin, Gearbox, responsable des Borderlands.
Des trois, Gearbox est le studio le plus prestigieux, celui qui a connu le plus de succès ces dernières années, et celui qui a coûté le plus cher. Mais surtout, il met à nouveau en lumière Embracer, un groupe qui ne cesse de monter en puissance.
Embracer, c’est THQ Nordic mais plus vraiment
L’histoire d’Embracer est légèrement compliquée, donc nous allons faire simple. A l’origine, il y a Nordic Games. C’est un distributeur et éditeur de jeux vidéo suédois. Cette société est née en 2008 et s’est fait connaître avec We Sing, un jeu de karaoké sur Wii.
En 2011, Nordic Games devient Nordic Games Holding, la maison mère de… Nordic Games. Ce dernier prend ses quartiers à Vienne, en Autriche. Deux ans plus tard, il profite de la faillite de THQ pour s’offrir plusieurs de ses actifs dont des licences et son nom.

Les deux Nordic Games changent alors de nom en 2014. Le but est de capitaliser sur la renommée du défunt. Il y a d’un côté THQ Nordic AB, la maison mère suédoise. Et de l’autre, THQ Nordic Gmbh, la filiale viennoise éditrice de jeux vidéo.
A coup de levées de fonds, THQ Nordic AB va continuer de faire ses emplettes. Elle s’offre de nouvelles filiales comme Koch Media, propriétaire de Deep Silver. C’était en février 2018.
En 2019, THQ Nordic AB décide de mettre un terme à toute forme de confusion. Désormais, il faudra parler d’Embracer tandis que THQ Nordic Gmbh conserve son nom.
Combien de studios possède Embracer?
La réponse est : beaucoup. Embracer détient environ 60 studios, regroupés en 8 filiales. Le but est simple : leur laisser le plus de liberté possible. Il y a derrière ce choix une logique entrepreneuriale.
Il y a dans le lot pas mal d’équipes aux effectifs réduits. On évoquera donc uniquement les plus intéressantes et les plus prometteuses. Pour nous, c’est plus facile à écrire. Pour vous, c’est plus digeste.
Première filiale : Amplifier Game Invest
Basée à Stockholm, elle investit dans de petits studios et vise ensuite à les faire grossir. Parmi elles, on retrouve Rare Earth, par d’anciens de Rockstar, et River End Games, par des ex-employés de DICE. Ils n’ont sorti aucun jeu, mais ce n’est pas grave : le CV des fondateurs était suffisant pour motiver un rachat.
On note quand même un acteur important dans le porte-feuilles d’Amplifier : Tarsier. Ce dernier est l’auteur de LittleBigPlanet (PSVita), LittleBigPlanet 3 et, plus récemment, des deux Little Nightmares, pour le compte de Bandai Namco.
Deuxième filiale : Coffee Stain
A la fois développeur et éditeur, on lui doit GOAT Simulator, Deep Rock Galactic, Satisfactory ou Huntdown. Ces derniers jours, il a sorti en accès anticipé le très bon Valheim.

Troisième filiale : Easybrain
Comme dit plus haut, c’est un développeur de jeux mobiles free-to-play. Dans son catalogue, on retrouve un Sudoku ou une variante de Picross, des titres téléchargés plusieurs millions de fois.
Quatrième filiale : Gearbox
C’est ce rachat qui a motivé cet article. Gearbox, c’est notamment la série des Borderlands mais aussi l’édition de quelques jeux comme le récent Godfall sur PS5. A noter que Gearbox a été racheté 363 millions de dollars. Ce montant pourrait cependant atteindre les 1,3 milliard de dollars selon les performances du studio sur les six prochaines années. Cette technique permet d’éviter de racheter des coquilles vides.
Cinquième filiale : DECA Games
Cette compagnie est spécialisée dans le free-to-play, surtout sur mobile. C’est un peu moins casual qu’Easybrain avec de la stratégie ou du jeu de rôle, par exemple.
Sixième filiale : Koch Media/Deep Silver — renommé Plaion depuis l’été 2022
Cet éditeur détient notamment Dambuster (Homefront : The Revolution), Warhorse (Kingdom Come), Flying Wild Hog (Shadow Warrior) et Volition (Saints Row).
Septième filiale : Saber Interactive.
C’est un studio qui commence à prendre de l’importance dans le milieu. Il a notamment fait le portage Switch de The Witcher 3 et a sorti World War Z, un joli succès commercial. Saber a désormais sous ses ordres Zen Studios (Pinball), 4A Games (Metro), New World (Insurgency) et Aspyr, spécialisé lui aussi dans les portages et remakes.
huitième et dernière filiale : THQ Nordic
Plusieurs équipes lui sont rattachées dont Bugbear (Wreckfest), Gunfire (Darksiders 3) ou encore Rainbow Studios (MX vs ATV).
Quelles licences appartiennent à Embracer?
Embracer rachète à tour de bras des studios mais souvent, ces derniers ont travaillé sur des franchises ne leur appartenant pas. Prenons le cas de Tarsier, cité plus haut : LittleBigPlanet et Little Nightmares sont la propriété respective de Sony et Bandai-Namco.
Cela n’empêche pas Embracer de revendiquer la possession de plus de 240 licences. Il faut dire qu’à la mort de THQ, Embracer s’est fait plaisir en rachetant beaucoup de franchises désuètes. On pense à Baja, de Blob, Destroy All Humans ou Titan Quest. La plupart d’entre elles ont eu droit à des remasters; ça coûte pas cher et ça fait rentrer de l’argent dans les caisses.

A travers Saber, Coffee Stain et Koch Media, Embracer détient notamment les droits de Dead Island, Saints Row, Metro, TimeSplitters, Kingdom Come, Kingdoms Of Amalur, Satisfactory, Wreckfest, Insurgency et World War Z. Et avec le rachat de Gearbox, Embracer a mis la main sur Borderlands, Homeworld, Brother in Arms et Duke Nukem.
Quels sont les prochains jeux de Embracer?
En mars prochain, sous les bannière de THQ Nordic et Koch Media, Embracer sortira Monster Energy Supercross 4, Monster Jam: Steel Titans 2 et le portage Switch de Kingdoms Of Amalur.
Après, ce sera au tour de Biomutant. Ce dernier a souvent été repoussé, revoyant ses ambitions à la hausse. Si tout se passe bien, il sera disponible le 25 mai 2021 sur la plupart des plateformes du moment. Pour info, le jeu est développé par Experiment 101, un studio racheté par THQ Nordic, qui édite d’ailleurs ce titre.

Embracer a lancé le développement de plus de 150 jeux, certains prévus pour 2024. Dans le lot, il y a certainement Dead Island 2, dont le développement aura été chaotique. C’est désormais Dambuster qui s’en occupe, après avoir difficilement sorti Homefront The Revolution. On sait également que Volition travaille sur un nouveau Saints Row, que 4A Games a dans les cartons un Metro Next Gen, et on suppose que Kingdome Come : Deliverance aura une suite.
Le cas Borderlands est quant à lui légèrement compliqué. La licence appartient bien à Gearbox. Mais pour les prochains épisodes, il continuera de faire confiance à Take Two. L’information a été confirmée par les deux sociétés, ce qui tend à officialiser un Borderlands 4. Ce n’est pas si surprenant. Le dernier épisode s’est vendu à 10 millions d’exemplaires. Il aurait donc été surprenant que ça s’arrête en si bon chemin.

MISE A JOUR 18 AOUT 2022 – Embracer est inarrêtable
Embracer vient tout juste de présenter ses derniers résultats fiscaux. C’est l’occasion pour nous de faire le point sur cette société qui compte désormais 11 filiales. En plus des 8 cités ci-dessus, il faut rajouter :
- Asmodee, racheté en mars 2022, spécialisé notamment dans les jeux de plateau. L’entreprise française possède 22 studios internes et compte 2300 salariés.
- Dark Horse Media, lui aussi acquis en mars 2022. C’est un éditeur de comics dont la licence la plus connue est Hellboy.
- Freemode, une nouvelle entité crée en août 2022. Cette branche est dédiée au retro-gaming.
A noter qu’il existe un accord entre Embracer et Square-Enix pour le rachat de Eidos et Crystal Dynamics. Celui-ci ne sera toutefois finalisé que dans les prochaines semaines. A l’avenir, on ne serait donc pas étonné qu’Eidos devienne un douzième pilier d’Embracer.
Parmis les dernières grosses acquisitions, on compte notamment Tripwire. Le studio responsable de Killing Floor, Chivalry et ManEater rejoint Saber. La branche Freemode accueille quant à elle Limited Run Games, une société spécialisée dans la distribution physique de jeux indés. Enfin, Embracer est en passe de racheter Middle-earth Enterprises. En d’autres termes, le Suédois va récupérer les droits du Seigneur des Anneaux et du Hobbit. Et cela concerne aussi bien les films, que les jeux de plateau, les produits dérivés, les jeux vidéo ou même les livres.

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La PS6 en approche, mais pour quoi faire ?

Le temps passe et on parle de plus en plus de la PlayStation 6. De premiers détails fuitent, et chacun se pose cette même question : a-t-on besoin d’une console next-gen ?
Cet article est écrit en collaboration avec la newsletter substack « le Résumé Jeu Vidéo par Xavier ».
Yoshi P jette un pavé dans la mare
Dans une interview donnée à Feed4Gamers, Yoshi P s’est exprimé au sujet de la prochaine génération de consoles. « Quand j’observe les choses avec le regard d’un joueur, je me dis que nous n’avons pas besoin de nouvelles consoles. A l’heure actuelle, les gens sont pleinement satisfaits de leur Xbox Series X, PS5 ou Switch 2. Et il faut bien le dire : les consoles coûtent vraiment chères.«
Les propos du producteur de Final Fantasy XIV et Final Fantasy XVI sont clairs. Et pourtant, chaque constructeur a en ligne de mire la next-gen. Au sujet de Sony, pas mal de rumeurs circulent ces derniers temps. On parle notamment d’une PlayStation 6 accompagnée d’une version portable, forcément moins puissante. Aucune date de sortie précise n’est partagée, mais on évoque souvent 2028. Ce ne serait pas illogique. Une génération de console dure généralement entre 6 et 8 ans. La PS5 est sortie en novembre 2020, le compte est bon.
Du côté de Sony, ces rumeurs n’ont jamais été commentées. Aucune console next-gen n’a été officialisée, aucun indice n’a été donné. Hideaki Nishino, PDG de PlayStation, a toutefois confirmé lors d’une réunion avec ses investisseurs que sa société réfléchissait activement à l’avenir de sa marque et de sa plateforme.
Quel héritage pour la PS5 ?
La PlayStation 5 est un immense succès pour Sony. Malgré un prix qui ne baisse pas —et qui au contraire augmente—, en dépit d’une pénurie de composants et du COVID, la PS5 suit les traces de la PS4 avec 80 millions de consoles en presque 5 ans. Plus fort encore, cette génération est celle qui a généré des bénéfices records pour le Japonais. La PS5 fait même mieux que toutes les précédentes consoles… additionnées.

La PS2 avait autrefois le lecteur DVD ; la PS3 le Bluray ; la PS4 ce gain de puissance supplémentaire… La PS5 est quant à elle la console du confort. Elle permet de jouer en 4K à une époque où la plupart des foyers est équipée d’un téléviseur UHD. Et surtout, elle réduit à peau de chagrin les temps de chargement. Ceux-ci ne durent désormais qu’une poignée de secondes, et sont même invisibles sur certains titres. Ces deux arguments peuvent paraître légers, mais il est difficile de retourner en arrière quand on a connu cela. Et surtout, les chiffres parlent pour eux-mêmes : la PS5 porte la marque PlayStation.
Une course à la puissance désuète
Une nouvelle génération de consoles est souvent marquée par de meilleurs graphismes. Ce sera évidemment le cas avec la PS6 où on s’approchera un peu plus du photo-réalisme. Le problème est que la course aux graphismes et à la puissance a de moins en moins d’intérêt.
Il faut désormais beaucoup de travails pour de simples détails ; cela demande beaucoup de temps pour un gain qui est plutôt faible. On reprend notre exemple avec les remakes de Final Fantasy VII. Entre le premier et le deuxième épisode, Cloud a doublé son nombre de polygones. Le jeu est-il pour autant deux fois plus beau ? La réponse est non.

Une console plus puissante signifie également une machine plutôt chère. Or, on vit à une époque où 5 ans après sa sortie, la PS5 coûte 550€ avec un lecteur de disque ; la PS5 Pro est quant à elle proposée à 800€… sans lecteur physique. A combien faudrait-il alors s’attendre si une PS6 devait sortir d’ici deux ou trois ans ? On ignore la réponse mais on se dit que ce serait forcément très élevé.
Cette génération est également marquée par deux phénomènes. Le premier est des temps de développement qui dure parfois 5 ou 7 ans. Par exemple, un studio comme Naughty Dog n’a toujours pas sorti de jeux originaux sur cette génération —uniquement des remasters ou remakes. Le deuxième phénomène est la popularité des jeux-services, souvent sous la forme de Free-To-Play. Environ 30% des joueurs console jouent à Fortnite, et le top 10 des jeux-service représente environ 50% du temps de jeu sur PlayStation et Xbox. Or, il s’agit souvent de jeux ayant un certain âge et donc un certain rendu : Apex, Minecraft, Fortnite, GTA…
Pour faire simple, les nouvelles générations se fichent des graphismes. Et c’est pour cela que la PlayStation 6 et la Xbox Next-Gen auront un sacré défi à relever à leur sortie.
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007 First Light : James Bond dévoile son premier gameplay, sortie prévue en mars 2026

007 First Light, le nouveau jeu vidéo James Bond développé par IO Interactive (Hitman) en partenariat avec Amazon MGM Studios, a révélé sa première séquence de gameplay lors du PlayStation State of Play.
Le titre sortira le 27 mars 2026 sur PS5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch 2 et PC, et il est déjà disponible en précommande.
Une histoire originale qui explore les débuts de James Bond
Dans ce nouvel opus, James Bond n’est pas encore l’espion accompli que l’on connaît. Le jeu proposera une histoire inédite, centrée sur les origines du héros.
Le casting vocal et motion capture a été dévoilé :
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Patrick Gibson (Dexter: Original Sin, The OA) incarnera James Bond.
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M (Priyanga Burford), Q (Alastair Mackenzie) et Miss Moneypenny (Kiera Lester) feront partie de l’aventure.
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De nouveaux personnages apparaîtront, dont John Greenway (Lennie James, Fear the Walking Dead) et Miss Roth (Noemie Nakai).
Un gameplay pensé pour l’espionnage et la créativité
IO Interactive met en avant son Approche Créative, une philosophie de design qui laisse une grande liberté au joueur.
Spycraft
L’observation, la discrétion et l’infiltration seront essentielles pour atteindre ses objectifs.
Instinct
Une mécanique qui permet à Bond d’improviser, de piéger ses ennemis, de bluffer lors d’une détection ou d’améliorer sa précision en combat.
Gadgets de Q
Crochetage, piratage, diversions… Les outils emblématiques évolueront au fil du jeu et offriront de nouvelles options stratégiques.
Combats fluides et cinématographiques
Le système alterne entre tirs précis, combats rapprochés dynamiques et mises en scène spectaculaires, pour retranscrire le style unique de l’agent 007.
Des missions variées
La présentation a montré deux environnements emblématiques :
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Une mission d’infiltration lors d’un tournoi d’échecs en Slovaquie.
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Une séquence prestigieuse dans un gala londonien à Kensington.
Le jeu inclura également des séquences cinématographiques intenses : courses-poursuites, fusillades, affrontements dans un avion piraté ou encore sauts dans le vide.
Prix et bonus de précommande
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Édition Deluxe : 79,99 € incluant :
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un accès anticipé de 24 heures,
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des skins exclusifs pour gadgets et armes,
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quatre tenues supplémentaires.
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Toute précommande donne accès gratuitement à la mise à niveau vers l’édition Deluxe.
007 First Light, la nouvelle référence de James Bond ?
Avec ce projet, IO Interactive ambitionne de créer l’expérience James Bond ultime.
Si la promesse est tenue, 007 First Light pourrait devenir pour 007 ce que la saga Batman Arkham a été pour le Chevalier Noir : une référence incontournable du jeu vidéo d’action et d’espionnage.
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PlayStation Plus : les jeux de septembre 2025 disponibles aujourd’hui

Voici la liste des jeux offerts sur le PlayStation Plus Essential en septembre 2025.
C’est la rentrée pour tout le monde, et le PlayStation Plus donne envie de rester chez soi pour jouer. On a souvent connu des mois décevants. Septembre 2025 est différent. Il y a du bon et même du très bon… à condition de ne pas y avoir déjà joué.
Jeux PS4 et PS5 offerts sur le PS Plus en septembre 2025
A compter de ce mardi 2 septembre, tous les abonnés au PlayStation Plus peuvent télécharger sans surcoût :
- Psychonauts 2 (PS4)
- Stardew Valley (PS4)
- Viewfinder (PS4/PS5)
Ces trois titres succèdent à Lies Of P, DayZ et My Hero One’s Justice 2 qui avaient été offerts en août.
La sélection est intéressante. Psychonauts 2 est un excellent jeu de plateforme qui trône fièrement à 87/100 sur Metacritic. Ce jeu a été conçu par Double Fine, un studio dont la maison mère n’est autre que Microsoft.
Stardew Valley est quant à lui un classique, un titre qui date de 2016. Comme quoi, être patient paye par moment. C’est un jeu de rôle où on doit notamment gérer sa ferme. C’est également une belle histoire, celle d’un homme, Eric Barone, qui a développé seul ce jeu pendant 5 ans. Cela a été compliqué, il y a eu des hauts et des bas, mais grâce au soutien sans faille de sa compagne, il a réussi. Eric Barone a même eu droit à un chapitre entier dans Blood, Sweat & Pixels, un livre passionnant revenant sur les coulisses de nombreux jeux, dont Stardew Valley.
Beaucoup feront remarquer que Stardew Valley s’est vendu à 40 millions d’exemplaires. De ce fait, nombreux sont ceux qui possèdent déjà le jeu. Certes. Son inclusion sur le PlayStation Plus permettra toutefois de toucher un nouveau public —ceux qui pensent ne pas être intéressés par ce type de jeu— mais aussi les plus jeunes, ceux qui, en 2016, jouaient peu. On notera également que ce titre n’est offert que sur PS4 alors qu’autrefois, il était cross-buy PS Vita.
Enfin, le troisième et dernier jeu est Viewfinder. Il s’agit d’un jeu d’énigmes à la première personne dans lequel vous pouvez notamment vous balader dans les clichés pris à travers un appareil photos. C’est pour le moins original et ça dure environ 4 à 6h.