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Steam: la concurrence peut-elle tuer la plateforme de Valve?
L’hégémonie de Steam semble remise en question. La plateforme de distribution de jeux PC n’a jamais été autant attaquée.
On dit généralement que sur internet, le monopole est roi. Youtube domine ainsi sans partage. Mastodon n’a jamais réussi à faire oublier Twitter. Google est le moteur de recherche le plus populaire. Et en ce qui concerne la ventes de jeux PC, Steam est le leader incontesté. C’est la plateforme la plus populaire, loin devant par exemple GoG. Mais est-ce que cela sera encore le cas dans les prochaines années? Personne ne peut le dire actuellement. Le milieu du jeu vidéo est imprévisible. Et en matière de distribution de jeux PC, on est en train d’assister à une petite révolution.
Steam est de plus en plus boudé par les gros éditeurs
En un clin d’oeil, au début des années 2000, Valve a bouleversé le marché du jeu PC grâce à sa plateforme Steam. De manière plus ou moins timide, la concurrence s’est organisée. C’est notamment Electronic Arts qui a essayé de proposer une solide alternative. Depuis 2011, avec sa boutique Origin, l’éditeur américain propose de nombreux jeux à la vente comme Vampyr, Cities: Skylines, Prison Architect ou encore Abzû. Et bien sûr, on retrouve FIFA, Battlefield ou Star Wars Battlefront. Chacun de ces titres signés EA est exclusif à la plate-forme Origin; aucun n’est en vente sur Steam.
En se remettant à soigner ses versions PC, Activision évite lui aussi Steam. Il a ainsi rapatrié Destiny 2 et Call Of Duty: Black Ops 4 sur Battle.Net où ces FPS côtoient les jeux Blizzard comme Diablo, StarCraft, World Of Warcraft… La trilogie Crash Bandicoot est néanmoins sur Steam, peut-être parce qu’il s’agit d’un jeu un peu plus grand public.
De manière assez surprenante, Bethesda a annoncé la même chose pour Fallout 76. Ce jeu de survie multijoueur ne sera pas disponible sur Steam. Historiquement, Bethesda a pourtant longtemps été un fidèle allié de la plateforme de distribution de Valve. Un certain Skyrim est par exemple l’une des plus grosses ventes de Steam. A l’avenir, Bethesda ne sait pas si d’autres productions, telle que DOOM Eternal, zapperont Steam.
L’argent, le nerf de la guerre
Pour se justifier, les éditeurs évoquent différentes raisons. Il y a l’envie de profiter de technologies déjà existantes ou bien de bâtir un nouveau type de relation avec ses consommateurs. C’est ainsi que Bethesda a expliqué son choix concernant Fallout 76: posséder tous les éléments pour répondre aux attentes et aux questions de chacun. Bizarrement, Bethesda n’a pas été gêné par cela lorsqu’il s’agissait de lancer en 2014 The Elder Scrolls Online sur Steam.
L’un des facteurs qui pousse ces entreprises à faire ce choix est également d’ordre économique. A l’instar d’Apple, du Google Play, de Nintendo, de Microsoft ou bien de Sony, Steam récupère 30% sur chacune des transactions. Après tout, la plateforme de Valve agit comme distributeur et possède d’importants frais de fonctionnement.
Il est important de souligner q’un éditeur touche bien plus sur la vente d’un jeu en dématérialisé qu’en physique. Il reçoit en effet 70% de la somme, contre 55% pour un jeu en boîte. Grosso-modo, quand un consommateur dépense 50€ pour s’offrir le dernier blockbuster à la mode, l’éditeur empoche 35€ si le jeu est vendu en démat’ ou bien 27,50€ s’il est acheté dans le commerce.
Mais tous les éditeurs ont naturellement les yeux plus gros que le ventre. Pourquoi toucher 70% quand on peut récupérer 100% de la somme totale? Du côté d’Epic Games, on n’a jamais caché qu’il s’agissait d’une grande préoccupation. Résultat, le créateur de Fortnite se permet de zapper le Google Play de tous les téléphones Android afin d’être sûr d’empocher la totalité des gains. Cela dit, Epic Games peut se le permettre car Fortnite est devenue une marque mondialement connue. Quant à la version PC, elle nécessite un launcher spécial, comme League Of Legends d’ailleurs.
L’envie de semer la discorde…
Et puis il y a cette nouvelle menace que peu avaient vu arriver: Discord. Ce logiciel de messagerie et de VOIP va lui aussi se mettre à vendre des jeux sur sa plateforme. Un premier catalogue est connu. On retrouve des productions de THQ Nordic comme Saints Row, Metro ou Darksiders. Et il y a toute une série de jeux dits indépendants comme les récents Dead Cells ou Frostpunk, mais aussi Hollow Knight, Pillars of Eternity II ou Super Meat Boy.
Preuve de ses grandes ambitions, Discord entend aussi proposer des exclusivités. Cela signifie que pendant 3 mois, certains jeux seront uniquement disponibles sur cette nouvelle plateforme de distribution de jeux PC. Quant à ceux qui pestent contre l’idée d’avoir plusieurs launchers, Discord se propose de tous les centraliser.
https://twitter.com/MatPiscatella/status/1027561167001010179
Ce qui est intéressant avec le cas suivant, c’est qu’il ne s’agit pas d’un nouvel acteur qui débarque d’on ne sait où. Non, il possède déjà une immense popularité. Discord, c’est pas moins de 150 millions d’utilisateurs à travers le monde. Son activité de messagerie ne va pas s’arrêter là. L’application va continuer à travailler sur ses techniques de chat vocal, vidéo ou textuel, les mêmes qui lui ont permis de bâtir une solide communauté et de regrouper de nombreux amis. C’est justement cela qui pourra déstabiliser Steam; à terme, si la concurrence se multiplie, les gens iront là où sont leurs proches, a ainsi déclaré l’analyste Mat Piscatella.
Combien de temps peut encore durer le règne de Steam?
Face à toute cette concurrence, Steam ne meurt pas encore. Il en sort en revanche affaibli puisqu’il est attaqué de tous les côtés. Il y a ces éditeurs qui veulent chacun récupérer une plus grande part du gâteau. Et puis y a ceux qui, comme Discord ou GoG, se positionnent comme de véritables alternatives —même si GoG officie dans un marché de niche.
Cela dit, personne ne va quitter du jour au lendemain Steam. Dans un premier temps, tout ce petit monde va cohabiter. Il ne faut pas non plus oublier que personne n’a envie de faire une croix sur son (immense) catalogue de jeux. On parle ici du marché dématérialisé où on est finalement lié à vie à son compte en ligne. Enfin, il y a le principe d’exclusivités. Les gens installent Origin pour Battlefield, par exemple. En ce qui concerne Steam, c’est le seul et unique moyen pour jouer à Counter Strike: Global Offensive ou DOTA 2.
Le 28 novembre prochain, Valve commercialisera aussi Artifact, un jeu de cartes prêt à concurrencer Hearthstone. On n’oublie pas non plus que la firme américaine possède dans ses cartons quelques célèbres licences comme Portal, Half-Life ou Left4Dead. Pour contrer ces nouveaux adversaires, Valve a donc encore pas mal de ressources. C’est finalement peut-être ça la bonne nouvelle: la maison mère de Steam va être forcée de se remettre activement au développement de jeux vidéo.
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Metroid Prime 4 fera-t-il passer un cap à la série de Nintendo ?
La sortie de Metroid Prime 4 : Beyond approche à grands pas. C’est un soi un événement ; son prédécesseur, Metroid Prime 3 date de 2007. Et pourtant, il y a un risque que cet épisode passe inaperçu. Car malheureusement, depuis ses débuts, la série est boudée par le public.
En janvier 2019, Nintendo annonçait le reboot de Metroid Prime 4. Le jeu était alors en développement du côté de Bandai Namco et se voyait finalement transféré du côté de Retro. C’était un retour aux sources presque logique. Ce studio texan est en effet l’auteur de trois jeux Metroid Prime.
Rebooter un projet n’est pas anodin. Ce n’est pas un simple report comme bon nombre de jeux peuvent connaître. C’est un retour à zéro, un développement qui recommence pour repartir sur des bases saines.
Près de six ans après ce retournement de situation, Metroid Prime 4 : Beyond est enfin prêt à en découdre. Le jeu sera disponible dans 3 semaines, de premières previews sont disponibles, et les retours sont mitigés. Est-ce alors inquiétant ?
Metroid ne parvient pas à être au niveau de Mario et Zelda
Metroid est une licence culte du jeu vidéo. Mais le grand public s’en fout totalement. Cet été, la Newsletter Le Résumé Jeu Vidéo rappelait justement le paradoxe Metroid. C’est une franchise historique pour Nintendo, mais elle n’a jamais su s’imposer.
L’histoire de Metroid remonte à 1986 sur NES, la même année que The Legend Of Zelda. Metroid a alors inventé un genre —qu’on associera aux Castlevania pour devenir le Metroidvania— et repose sur une héroïne. A l’époque, c’était rare.

La série des Metroid a connu de nombreux titres, parfois en 2D, en 3D, sur portable ou consoles de salon. Mais jamais ses ventes n’ont explosé. L’épisode le plus vendu est ainsi Metroid Dread, titre sorti en 2021 sur Switch, et vendu à près de 3 millions d’exemplaires. Certes, c’est pas mal, mais si on compare à d’autres séries, c’est faible. Les Mario, Zelda et Pokémon dépassent facilement les 20 millions sur cette même machine. Luigi’s Mansion 3 a quant à lui franchi la barre des 14 millions d’exemplaires écoulés.
Metroid ne parvient pas à s’imposer et pourtant, la presse est unanime. Sur Metacritic, les premiers Metroid Prime affichent un score égal ou supérieur à 90/100. Metroid Dread est quant à lui à 88/100, ce qui reste excellent.
Metroid Prime 4 peut-il s’imposer ?
La communication autour de Metroid Prime 4 : Beyond est curieuse. Il donne parfois l’impression que Nintendo ne cherche pas à pousser ce titre. Kirby Air Riders, suite d’un jeu passé inaperçu sur GameCube, a ainsi eu droit à deux Nintendo Direct, chacun durant près d’une heure. Certes, ce Kirby est traité comme une nouvelle licence et est aidé par l’aura de Masahiro Sakurai, mais Metroid aurait pu lui aussi bénéficier de la même visibilité.
A la place, on le retrouve coincé au milieu d’autres jeux, à l’image de ce trailer qui révélait pourtant la moto et sa date de sortie. De même, on s’étonne que la trilogie Metroid Prime n’ait pas été entièrement remasterisée. Ce sont d’excellents jeux et seul le premier épisode a eu droit à ce traitement de faveur.
Des previews de Metroid Prime 4 sont tombées hier. Les retours manquent d’enthousiasme. VGC pointe notamment du doigt un side-kick imposé, du moins au cours de cette session de jeu. Miles MacKenzie —c’est son nom, serait un acolyte très bavard, essayant de temps en temps de faire de l’humour ou donnant fréquemment des indications à Samus. Le site anglais explique que cela tranche grandement avec l’esprit de la série qui repose sur l’exploration et ce sentiment d’isolation. Metroid Prime 4 semble être un jeu solide selon les dires du testeur, mais ce PNJ gâcherait l’expérience globale.
Difficile de dire ce qu’il en sera quand le jeu final sortira. Peut-être que le début est poussif mais que la suite est bien plus intéressante. Le choix d’ajouter un compagnon à Samus est en tout cas intéressant. Nintendo semble vouloir changer les règles de Metroid. Ça déplaira peut-être aux fans de la licence, mais c’est peut-être aussi comme ça que la série pourra s’ouvrir au plus grand nombre en devenant plus accessible.
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Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5
Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.
Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.
Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?
Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.
Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.
L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.
Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?
Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.
Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.
Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?
Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.
Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.
Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.
On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.
Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.
Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?
Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.
Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.
En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.
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PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer
Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.
Une sélection variée pour tous les profils
Stray : l’indé française qui charme
Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.
EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye
Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.
Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.
Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti
Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.
À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.
Conclusion
En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.
