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Test : Metal Gear Solid V The Phantom Pain – Un bon (et un vrai) Metal Gear?

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La série Metal Gear est intimement liée à son créateur Hideo Kojima. C’est lui qui a su lui donner cette aura si particulière. C’est lui qui a su fidéliser des millions de fans même s’il faut bien admettre que beaucoup se sont perdus en cours de route devant la complexité de l’histoire. Mais c’est aussi ce qui fait le charme de cette saga où les motivations de chacun sont toujours à remettre en question. Entre son plan de communication étalé sur plusieurs années, sa nouvelle formule et ce statut officieux de « dernier jeu d’Hideo Kojima sous la bannière de Konami », c’est donc peu dire si ce Metal Gear Solid V : The Phantom Pain était attendu. Mais cette attente laisse parfois place à une vague d’interrogations qui, elles-mêmes, se muent en craintes. Cet épisode peut-il réellement combler les fans de la série? Mais surtout, en optant pour le monde ouvert, The Phantom Pain peut-il toujours être un vrai Metal Gear? 

Ce test de Metal Gear Solid V : The Phantom Pain a été réalisé sur PS4. Les serveurs étant encore instables, nous n’évoquerons que l’aventure principale et aucun mode en ligne.

test_metal_gear_solid_v_the_phantom_pain_ps4_2Si Metal Gear Solid 4 bousculait un peu les codes de la franchise en proposant à plusieurs reprises de larges zones —notamment le début de l’acte 2—, Metal Gear Solid V : The Phantom Pain tente de révolutionner et par la même occasion moderniser la série en épousant le format de l’open-world. Un choix dangereux mais parfaitement maitrisé qui permet à la dernière oeuvre d’Hideo Kojima d’être un jeu d’infiltration absolument brillant. Peut-être le meilleur dans son genre, pardon, le Big Boss dans son genre. Mais cela ne suffit pas. Cela peut paraître injuste, mais Metal Gear est une série à part et on l’attend autant pour son gameplay que pour sa mise en scène, ses cinématiques, son histoire alambiquée. . . Après tant d’années d’absence —Peace Walker date de 2010, Guns Of The Patriots de 2008—, on a envie de reprendre les mots d’Ocelot : « Let The Legend Come Back To Life. » Mais force est de constater que The Phantom Pain oublie tristement tous ces petits éléments qui ont su créer le mythe Metal Gear. A croire qu’Hideo Kojima a d’abord souhaité faire un excellent jeu vidéo —ce qu’il a d’ailleurs réussi haut la main— et relégué au second plan ce qui faisait le sel de la série. A moins qu’il n’ait manqué de temps.

Tout avait pourtant magnifiquement bien débuté avec cette sublime introduction qui en met plein la vue tout en servant de tutoriel. Puis vient la découverte de ce monde ouvert ou plutôt de cet immense champ de bataille dans lequel on retrouve de nombreuses bases militaires, des usines, des avant-postes, des ruines. . . Le choix de l’open-world n’est pas anodin; c’est celui qui met généralement le plus en avant la liberté d’action. Et cela se retrouve parfaitement bien dans Metal Gear Solid V : The Phantom Pain. L’infiltration à son zénith, tout simplement.

test_metal_gear_solid_v_the_phantom_pain_ps4_3Tout semble avoir été étudié afin de nous offrir un jeu d’une richesse inouïe, un titre capable de s’adapter à tous les styles de jeu. Envie de semer le chaos dans les rangs ennemis? Il suffit pour cela de détruire les moyens de communication de l’adversaire, de demander des frappes aériennes et de trouver une position légèrement surélevée pour éliminer un à un les soldats restants. Bien sûr, en optant pour la discrétion, le jeu prend une toute autre saveur même s’il faut bien dans certains cas se préparer à ce que les choses tournent mal. Entre les grenades aux différentes capacités et la possibilité de poser et activer des leurres, les gadgets proposent sans-cesse de nouvelles possibilités. Les alliés de Snake offrent également d’autres approches, le level design est très bon et on apprécie que les objectifs soient souvent réalisables de différentes façons. Ces derniers ont toutefois souvent tendance à se ressembler (détruire, récupérer, éliminer. . .) mais chaque mission parvient à mettre en avant quelque chose de nouveau. Metal Gear Solid V : The Phantom Pain est un jeu absolument prenant, qui a de plus la bonne idée de compter sur une intelligence artificielle (IA) de qualité.

L’IA est généralement une plaie dans les jeux d’infiltration. Dans MGS V, ce n’est heureusement pas le cas même s’il y a forcément parfois quelques ratés. Les zones sont généralement bien gardées, les ennemis réagissent de manière cohérente et ne sont pas atteints de cécité. Jouer de nuit ou de jour influe aussi beaucoup sur la partie. Une fois le soleil couché, la visibilité est moindre. Alors que certains soldats dorment tranquillement, d’autres utilisent leur lampe torche au moindre bruit suspect ou bien se logent derrière des projecteurs pour mieux balayer les environs tandis que des hélicoptères effectuent parfois quelques rondes dans le ciel. Au même titre que la météo, les ennemis ont ce petit côté imprévisible qui donne un charme supplémentaire au jeu. Ils peuvent ainsi rejoindre leurs collègues pour discuter et parfois nous donner indirectement des informations sur la situation actuelle. Ils n’hésitent pas non plus à regarder à deux ce qui peut clocher ou bien à appeler du renfort. L’IA prend également le temps d’évoluer et de s’adapter à notre manière de jouer. Par exemple, à la suite d’un trop grand nombre de headshots distribué de manière généreuse, les ennemis revêtiront alors un casque.

test_metal_gear_solid_v_the_phantom_pain_ps4_4Ce genre d’événements incite évidemment à explorer d’autres facettes du gameplay. De la même manière, Metal Gear Solid V : The Phantom Pain évite de tomber dans la facilité liée au pistolet tranquillisant en nous octroyant des silencieux à la faible durée de vie. Il ne s’agit donc plus d’arriver dans une base et d’endormir en quelques tirs tous les ennemis présents. Il faut faire attention, bien étudier les lieux et on dégaine finalement uniquement son arme quand on se sent en danger. Naturellement, en améliorant son matériel, la résistance des silencieux augmente, mais d’autres défis se dressent alors devant nous.

A l’instar de Peace Walker, toute une partie du jeu est consacrée à l’agrandissement et à la gestion de sa Mother-Base depuis une interface un peu confuse les premières fois. Les ballons de récupération Fulton sont à nouveau un excellent moyen pour permettre l’essor des Diamond Dogs, la nouvelle unité du Boss, et révéler au grand jour sa kleptomanie. Une chèvre? On fultone. Un ours? On fultone. Un mortier? On fultone. Un soldat? On fultone. Une jeep? On fultone. Un tank? On fultone. Un container? On fultone. Snake aime bien également cueillir des plantes médicinales sur son chemin ou même dérober des cassettes et autres ressources. On ne cachera pas qu’au début du jeu, cela gâche un peu l’aventure puisqu’on est en quelque sorte forcé de vider chaque camp de ses soldats pour les convertir à la cause de Snake. L’idée de s’infiltrer discrètement dans le dos de l’ennemi, de remplir l’objectif de manière incognito est alors remise en question. Heureusement, et ce de manière rapide, une fois les rangs de Diamond Dogs bien remplis, on ne recherche plus que l’élite, les meilleurs soldats. Cela donne alors un challenge supplémentaire. Au cours d’une mission, dans une base ennemie, on identifie finalement ces cibles additionnelles qui deviennent de ce fait comme un objectif secondaire.

test_metal_gear_solid_v_the_phantom_pain_ps4_5Techniquement hyper solide et parfois absolument sublime suivant le moment de la journée, Metal Gear Solid V : The Phantom Pain réussit toujours à proposer des situations uniques aux multiples approches. C’est un jeu passionnant dans lequel on parvient même à prendre du plaisir en rampant dans un marécage en pleine nuit afin d’éviter les gardes à la recherche du même objectif que Snake. Mais c’est justement tout le problème de ce Metal Gear : si on progresse dans l’aventure, c’est uniquement parce qu’il dispose d’un gameplay presque sans faille. Et dans un jeu estampillé Metal Gear et qui plus est numéroté, cela ne suffit malheureusement pas. On en veut plus. On veut une intrigue et surtout des réponses à des questions qu’on ne mettra pas ici à l’écrit afin d’éviter tout spoiler. Hélas, sur tout ce pan, la dernière création d’Hideo Kojima déçoit.

Histoire d’éviter d’interminables sessions codec, The Phantom Pain reprend le principe des K7 audio à écouter quand bon nous semble. L’idée paraît séduisante, mais elle ne fait que donner l’impression d’une narration tristement éclatée au contenu plus ou moins intéressant. De plus, il faut véritablement s’isoler afin de connaître ce qu’elles contiennent à cause des soldats qui discutent entre eux dans la Mother Base et des fréquents contacts radios sur le champ de bataille qui parasitent la transmission. Omniprésentes dans les précédentes aventures sur consoles de salon, les cinématiques sont désormais réduites à peau de chagrin mis à part quelques trop rares moments. Le scénario peine à décoller et on ne ressent donc presque aucune montée en puissance et on ne recense plus la même intensité qu’autrefois. Cela est peut-être lié au choix de l’open-world, mais aussi au manque d’antagonistes forts.

test_metal_gear_solid_v_the_phantom_pain_ps4_7Sniper Wolf, Psycho Mantis, Vamp, Fortune, The Fear, The End. . . Dans The Phantom Pain, les boss ont été rangés au placard et on en viendrait même à regretter les discrètes Beauty & The Beast de MGS 4. Les duels au sommet sont incroyablement peu nombreux et il s’agit surtout d’affrontements contre des mini-boss à la résistance très élevée. Ce manque côtoie également une étrange sensation de remplissage voire de jeu non-terminé alors que la durée de vie de MGS V dépasse les 50 heures. La seconde partie de l’aventure principale propose ainsi de refaire quelques missions —cinématiques de début et de fin incluses— sous certaines conditions particulières (ne pas se faire repérer, difficulté extrême). Snake est également extrêmement peu bavard et il y a ce passage surprenant où l’excellente chanson Sins Of The Father se déclenche sans que cela ne semble vraiment justifié si ce n’est pour combler un blanc. Enfin, comment ne pas évoquer cet ambitieux chapitre de fin absent du jeu, mais visible en partie dans le Bluray bonus. Sans lui, c’est tout un passage clef du jeu qui reste sans réponse.

Metal Gear Solid V : The Phantom a aussi cette étrange volonté à chaque début de mission de ruiner tout effet de surprise en dévoilant le casting de « l’épisode. » Résultat, on commence une mission qui, au premier coup d’oeil paraît anodine, mais on sait très bien que les choses vont se gâter car on croisera forcément à un moment ou à un autre la route de tel ou tel personnage. Il est également surprenant de voir que les trailers diffusés par Konami à l’occasion des salons internationaux en ont vraiment beaucoup trop montré.

test_metal_gear_solid_v_the_phantom_pain_ps4_6C’est donc à un curieux sentiment que l’on fait face après avoir terminé le jeu. Celui d’avoir assisté à un fabuleux jeu d’infiltration en monde ouvert, un chef d’oeuvre du genre, mais qui ne réussit toutefois pas à assumer son héritage. Le scénario (prévisible) de cet opus repose sur quelques bases intéressantes mais il lui manque cette intensité propre à la série et ce n’est pas l’épisode qui boucle la boucle; il oublie en fait d’accomplir son destin. Metal Gear Solid V : The Phantom Pain est peut-être le meilleur jeu de l’année voire de ce début de génération, mais c’est aussi, et surtout, un titre qui nous laisse de gros regrets.

Metal Gear Solid V : The Phantom Pain est développé par Kojima Productions et édité par Konami. Jeu sorti le 1er septembre sur PC, PlayStation 3, PlayStation 4, Xbox 360, Xbox One. Testé sur PS4. PEGI 18.

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La PS6 en approche, mais pour quoi faire ?

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Le temps passe et on parle de plus en plus de la PlayStation 6. De premiers détails fuitent, et chacun se pose cette même question : a-t-on besoin d’une console next-gen ?

Cet article est écrit en collaboration avec la newsletter substack « le Résumé Jeu Vidéo par Xavier ».

Yoshi P jette un pavé dans la mare

Dans une interview donnée à Feed4Gamers, Yoshi P s’est exprimé au sujet de la prochaine génération de consoles. « Quand j’observe les choses avec le regard d’un joueur, je me dis que nous n’avons pas besoin de nouvelles consoles. A l’heure actuelle, les gens sont pleinement satisfaits de leur Xbox Series X, PS5 ou Switch 2. Et il faut bien le dire : les consoles coûtent vraiment chères.« 

Les propos du producteur de Final Fantasy XIV et Final Fantasy XVI sont clairs. Et pourtant, chaque constructeur a en ligne de mire la next-gen. Au sujet de Sony, pas mal de rumeurs circulent ces derniers temps. On parle notamment d’une PlayStation 6 accompagnée d’une version portable, forcément moins puissante. Aucune date de sortie précise n’est partagée, mais on évoque souvent 2028. Ce ne serait pas illogique. Une génération de console dure généralement entre 6 et 8 ans. La PS5 est sortie en novembre 2020, le compte est bon.

Du côté de Sony, ces rumeurs n’ont jamais été commentées. Aucune console next-gen n’a été officialisée, aucun indice n’a été donné. Hideaki Nishino, PDG de PlayStation, a toutefois confirmé lors d’une réunion avec ses investisseurs que sa société réfléchissait activement à l’avenir de sa marque et de sa plateforme.

Quel héritage pour la PS5 ?

La PlayStation 5 est un immense succès pour Sony. Malgré un prix qui ne baisse pas —et qui au contraire augmente—, en dépit d’une pénurie de composants et du COVID, la PS5 suit les traces de la PS4 avec 80 millions de consoles en presque 5 ans. Plus fort encore, cette génération est celle qui a généré des bénéfices records pour le Japonais. La PS5 fait même mieux que toutes les précédentes consoles… additionnées.

Extrait des comptes de PlayStation.

La PS2 avait autrefois le lecteur DVD ; la PS3 le Bluray ; la PS4 ce gain de puissance supplémentaire… La PS5 est quant à elle la console du confort. Elle permet de jouer en 4K à une époque où la plupart des foyers est équipée d’un téléviseur UHD. Et surtout, elle réduit à peau de chagrin les temps de chargement. Ceux-ci ne durent désormais qu’une poignée de secondes, et sont même invisibles sur certains titres. Ces deux arguments peuvent paraître légers, mais il est difficile de retourner en arrière quand on a connu cela. Et surtout, les chiffres parlent pour eux-mêmes : la PS5 porte la marque PlayStation.

Une course à la puissance désuète

Une nouvelle génération de consoles est souvent marquée par de meilleurs graphismes. Ce sera évidemment le cas avec la PS6 où on s’approchera un peu plus du photo-réalisme. Le problème est que la course aux graphismes et à la puissance a de moins en moins d’intérêt.

Il faut désormais beaucoup de travails pour de simples détails ; cela demande beaucoup de temps pour un gain qui est plutôt faible. On reprend notre exemple avec les remakes de Final Fantasy VII. Entre le premier et le deuxième épisode, Cloud a doublé son nombre de polygones. Le jeu est-il pour autant deux fois plus beau ? La réponse est non.

A gauche, Cloud sur PS4. A droite, Cloud sur PS5.

Une console plus puissante signifie également une machine plutôt chère. Or, on vit à une époque où 5 ans après sa sortie, la PS5 coûte 550€ avec un lecteur de disque ; la PS5 Pro est quant à elle proposée à 800€… sans lecteur physique. A combien faudrait-il alors s’attendre si une PS6 devait sortir d’ici deux ou trois ans ? On ignore la réponse mais on se dit que ce serait forcément très élevé.

Cette génération est également marquée par deux phénomènes. Le premier est des temps de développement qui dure parfois 5 ou 7 ans. Par exemple, un studio comme Naughty Dog n’a toujours pas sorti de jeux originaux sur cette génération —uniquement des remasters ou remakes. Le deuxième phénomène est la popularité des jeux-services, souvent sous la forme de Free-To-Play. Environ 30% des joueurs console jouent à Fortnite, et le top 10 des jeux-service représente environ 50% du temps de jeu sur PlayStation et Xbox. Or, il s’agit souvent de jeux ayant un certain âge et donc un certain rendu : Apex, Minecraft, Fortnite, GTA…

Pour faire simple, les nouvelles générations se fichent des graphismes. Et c’est pour cela que la PlayStation 6 et la Xbox Next-Gen auront un sacré défi à relever à leur sortie.

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007 First Light : James Bond dévoile son premier gameplay, sortie prévue en mars 2026

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007 First Light, le nouveau jeu vidéo James Bond développé par IO Interactive (Hitman) en partenariat avec Amazon MGM Studios, a révélé sa première séquence de gameplay lors du PlayStation State of Play.

Le titre sortira le 27 mars 2026 sur PS5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch 2 et PC, et il est déjà disponible en précommande.

Une histoire originale qui explore les débuts de James Bond

Dans ce nouvel opus, James Bond n’est pas encore l’espion accompli que l’on connaît. Le jeu proposera une histoire inédite, centrée sur les origines du héros.

Le casting vocal et motion capture a été dévoilé :

  • Patrick Gibson (Dexter: Original Sin, The OA) incarnera James Bond.

  • M (Priyanga Burford), Q (Alastair Mackenzie) et Miss Moneypenny (Kiera Lester) feront partie de l’aventure.

  • De nouveaux personnages apparaîtront, dont John Greenway (Lennie James, Fear the Walking Dead) et Miss Roth (Noemie Nakai).

Un gameplay pensé pour l’espionnage et la créativité

IO Interactive met en avant son Approche Créative, une philosophie de design qui laisse une grande liberté au joueur.

Spycraft

L’observation, la discrétion et l’infiltration seront essentielles pour atteindre ses objectifs.

Instinct

Une mécanique qui permet à Bond d’improviser, de piéger ses ennemis, de bluffer lors d’une détection ou d’améliorer sa précision en combat.

Gadgets de Q

Crochetage, piratage, diversions… Les outils emblématiques évolueront au fil du jeu et offriront de nouvelles options stratégiques.

Combats fluides et cinématographiques

Le système alterne entre tirs précis, combats rapprochés dynamiques et mises en scène spectaculaires, pour retranscrire le style unique de l’agent 007.

Des missions variées

La présentation a montré deux environnements emblématiques :

  • Une mission d’infiltration lors d’un tournoi d’échecs en Slovaquie.

  • Une séquence prestigieuse dans un gala londonien à Kensington.

Le jeu inclura également des séquences cinématographiques intenses : courses-poursuites, fusillades, affrontements dans un avion piraté ou encore sauts dans le vide.

Prix et bonus de précommande

Toute précommande donne accès gratuitement à la mise à niveau vers l’édition Deluxe.

007 First Light, la nouvelle référence de James Bond ?

Avec ce projet, IO Interactive ambitionne de créer l’expérience James Bond ultime.
Si la promesse est tenue, 007 First Light pourrait devenir pour 007 ce que la saga Batman Arkham a été pour le Chevalier Noir : une référence incontournable du jeu vidéo d’action et d’espionnage.

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PlayStation Plus : les jeux de septembre 2025 disponibles aujourd’hui

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Voici la liste des jeux offerts sur le PlayStation Plus Essential en septembre 2025.

C’est la rentrée pour tout le monde, et le PlayStation Plus donne envie de rester chez soi pour jouer. On a souvent connu des mois décevants. Septembre 2025 est différent. Il y a du bon et même du très bon… à condition de ne pas y avoir déjà joué.

Jeux PS4 et PS5 offerts sur le PS Plus en septembre 2025

A compter de ce mardi 2 septembre, tous les abonnés au PlayStation Plus peuvent télécharger sans surcoût :

  • Psychonauts 2 (PS4)
  • Stardew Valley (PS4)
  • Viewfinder (PS4/PS5)

Ces trois titres succèdent à Lies Of P, DayZ et My Hero One’s Justice 2 qui avaient été offerts en août.

La sélection est intéressante. Psychonauts 2 est un excellent jeu de plateforme qui trône fièrement à 87/100 sur Metacritic. Ce jeu a été conçu par Double Fine, un studio dont la maison mère n’est autre que Microsoft.

Stardew Valley est quant à lui un classique, un titre qui date de 2016. Comme quoi, être patient paye par moment. C’est un jeu de rôle où on doit notamment gérer sa ferme. C’est également une belle histoire, celle d’un homme, Eric Barone, qui a développé seul ce jeu pendant 5 ans. Cela a été compliqué, il y a eu des hauts et des bas, mais grâce au soutien sans faille de sa compagne, il a réussi. Eric Barone a même eu droit à un chapitre entier dans Blood, Sweat & Pixels, un livre passionnant revenant sur les coulisses de nombreux jeux, dont Stardew Valley.

Beaucoup feront remarquer que Stardew Valley s’est vendu à 40 millions d’exemplaires. De ce fait, nombreux sont ceux qui possèdent déjà le jeu. Certes. Son inclusion sur le PlayStation Plus permettra toutefois de toucher un nouveau public —ceux qui pensent ne pas être intéressés par ce type de jeu— mais aussi les plus jeunes, ceux qui, en 2016, jouaient peu. On notera également que ce titre n’est offert que sur PS4 alors qu’autrefois, il était cross-buy PS Vita.

Enfin, le troisième et dernier jeu est Viewfinder. Il s’agit d’un jeu d’énigmes à la première personne dans lequel vous pouvez notamment vous balader dans les clichés pris à travers un appareil photos. C’est pour le moins original et ça dure environ 4 à 6h.

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