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Premiers tours de piste sur MotorStorm Apocalypse

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L’actualité de Sony, en tant qu’éditeur, est très chaude sur ces premiers mois de l’année. Après DC Universe, LittleBigPlanet 2 et Killzone 3, c’est au tour de MotorStorm Apocalypse de faire son entrée en piste.

À cette occasion, PlayStation France nous a invités pour une avant première à la boutique Sony Style, près des Champs-Élysées. Petit retour sur cette soirée à l’image du jeu, explosive.

A l’intérieur de la boutique Sony, tous les écrans, 3D ou 2D, proposent de tester MotorStorm Apocalypse. L’occasion donc de se faire une première idée sur le jeu. Et au sous-sol du magasin, un tournoi va bientôt commencer. Ça tombe bien, j’ai passé énormément d’heures sur Pacific Rift, donc je me dis que je devrais avoir mes chances! Seuls problèmes : découvrir pour la première fois un circuit dans Motorstorm signifie se fracasser contre tous les obstacles, et surtout, le gameplay a pas mal changé.

Contrairement aux précédents épisodes, les véhicules sont ici bien plus collés au sol, et il est extrêmement simple de déraper, rien qu’en maintenant le joystick gauche dans une direction, là où dans Pacific Rift, il était nécessaire de maîtriser le frein à main afin de prendre au mieux les virages. De même, les sensations lors des contacts sont bien différentes, et on ne ressent plus très bien le poids de son véhicule. On perçoit bien ici une volonté d’Evolution Studio à rendre son jeu plus accessible, avec notamment des accidents bien moins pénalisants.

La conduite est donc transformée, cependant des éléments viennent nous rappeler que nous avons toujours à faire à MotorStorm. Tout d’abord, on retrouve la gestion du boost (éviter les zones de chaleur, refroidir son moteur etc.), et le tracé des courses est toujours aussi intéressant avec les pièges à éviter et les différents chemins. Les destructions du décor étaient également de la partie et sont très impressionnantes: par exemple, un train peut dérailler et s’écraser juste devant soi. De ce que j’ai pu voir, cela ne semble pas vraiment modifier le tracé. En revanche, cela rajoute de nombreux obstacles et surtout, il y a une véritable ambiance de fin du monde.

Après quelques tours, mon avis est positif même si je regrette un peu que le gameplay ait été simplifié. Mais une nouvelle fois,  la qualité des circuits semble bien être au rendez-vous, et c’est finalement le plus important. Sans oublier que l’apocalypse qui se déchaine autour de nous rajoute du piment à la course.

Toutefois, j’aurai l’occasion de revenir sur ces points et d’en explorer d’autres (l’IA, online etc.) dans le futur test du jeu qui arrivera très certainement lundi ou mardi. Ça tombe bien, la sortie du jeu est prévue pour mercredi prochain.

Donc, revenons à nos moutons ou plutôt à la compétition. Après avoir survolé les quarts de finale, je me suis effrondré le tour suivant, multipliant les accidents. Je pourrais donc m’en prendre à moi même, mais je préfère mettre ça sur le compte de ma générosité afin de laisser sa chance à quelqu’un d’autre. Oui, je suis comme ça.

Et pour terminer, je tiens comme toujours à remercier PlayStation France pour l’accueil et organisation et tout le staff, toujours très sympathique.

Pour retrouver toutes les informations sur MotorStorm Apocalypse sur le site, cliquer-ici.

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Paranormal Activity: Threshold : le jeu qui ravive la peur façon found-footage

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La célèbre franchise d’horreur revient… mais cette fois dans un jeu vidéo. Paranormal Activity: Threshold, développé par DarkStone Digital en collaboration avec DreadXP, offre un aperçu glaçant de ce à quoi ressemblera le passage du film au contrôle dans un univers interactif.

Une ambiance fidèlement horrifique

Le trailer suggère clairement l’atmosphère de la saga : caméra à la main, ombres menaçantes, couloirs étroits, objets qui bougent tout seuls… Le style found-footage est respecté, et l’on sent immédiatement le malaise monter. Chaque plan, chaque détail, renvoie aux moments marquants du film : ce n’est pas seulement un jeu d’horreur, c’est une expérience immersif de peur.

Gameplay et premières promesses

Dans le trailer on découvre que le joueur incarne un couple, Daniel et Jessica, qui documente une rénovation de maison… mais aussi la libération d’une présence malfaisante. Le gameplay semble mêler exploration, enquête, interactions avec des entités paranormales, et effets dynamiques :

  • Le système « Paranormal Engine » promet de générer des événements imprévisibles à chaque partie.
  • On devine une mécanique de caméra intégrée, d’objets déclencheurs, de tension psychologique accrue. Le tout sans date de sortie précise pour le moment, mais avec une attente forte pour 2026-2027.

Pourquoi ce jeu mérite l’attention

  • Il s’appuie sur une licence culte de l’horreur, ce qui confère une légitimité immédiate.
  • Le contexte « être témoin de l’horreur » permet un gameplay plus subtil que le simple « tuer ou fuir ».
  • Pour les amateurs de frissons, ce jeu a le potentiel d’être un incontournable dans son genre.
  • Le trailer montre que le studio veut dépasser la simple transposition : il veut provoquer la peur, d’une manière interactive.

Verdict

Paranormal Activity: Threshold s’annonce comme une adaptation ambitieuse. Il ne se contente pas de reprendre l’univers des films : il l’intègre dans un gameplay interactif qui pourrait faire mouche. Si tout est bien exécuté, ce jeu pourrait devenir une référence du genre horreur-found-footage. À suivre de très près, sortie prévue en 2026.

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Stone Simulator : vivre comme une pierre… désormais à plusieurs

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Imagine un jeu où ton seul objectif est de ne rien faire. Et maintenant, imagine le faire avec des amis. Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, propose exactement cela : incarner une pierre, observer le monde changer autour de toi… en mode solo et maintenant multijoueur jusqu’à 4 joueurs.

Key Takeaways

  • Stone Simulator, développé sur Unreal Engine 5, te permet d’incarner une pierre, en solo ou en multijoueur jusqu’à 4 joueurs.
  • Le jeu offre une expérience minimaliste et hypnotique, où l’immobilité devient fascinante grâce à des graphismes soignés.
  • Le mode multijoueur permet de partager des moments absurdes avec des amis, rendant l’expérience encore plus amusante.
  • Cependant, le gameplay est extrêmement minimaliste, ce qui peut dérouter ceux qui préfèrent l’action rapide.
  • Stone Simulator est une curiosité à tester pour ceux qui cherchent une expérience zen et décalée.

Un concept minimaliste, mais singulièrement hypnotique

Sorti en août 2025, Stone Simulator t’invite à « juste être une roche ». Le temps passe, les saisons défilent, tu observes, sans bouger, avec une sérénité presque méditative. Le jeu se décrit comme une expérience zen… ou absurde, selon ton humeur. 

Le rendu visuel, grâce à Unreal Engine 5, ajoute une vraie profondeur : l’eau, les montagnes, la végétation autour de ta pierre sont d’un soin esthétique qui rend l’immobilité fascinante. 

Et maintenant… le multijoueur !

La grande nouveauté ? On ne reste plus seul dans sa roche : le mode multijoueur permet désormais à jusqu’à 4 joueurs de partager l’expérience. Tu peux créer un lobby privé ou rejoindre un public, et être une pierre avec des potes. Oui, c’est aussi drôle que ça en a l’air. 

Tu peux même te téléporter, changer de position de repos et débloquer des succès absurdes (oui, “changer de place 10 fois pour un succès”, ça existe). 

Pourquoi ce jeu vaut le détour

  • Pour les amateurs d’expériences différentes : pas de grand affrontement, pas de rush, juste… le temps.
  • Pour les streamers ou créateurs : un concept “meme” parfait : “Tu es une pierre”.
  • Pour les communautés ou amis : le multijoueur repose sur un humour discret et l’absurde, mais ça fonctionne.
  • Pour la technique : Unreal Engine 5 donne à ce jeu “assis dans une pierre” une vraie mise en scène.

Quelques bémols à noter

  • Le gameplay est extrêmement minimaliste : si tu cherches de l’action non-stop, ce n’est pas ici.
  • Le concept repose énormément sur l’humour ou l’absurdité : pour certains cela peut manquer de “substance”.
  • Le côté contemplatif et lent peut être déroutant après des jeux hyper-dynamiques.

Verdict

Stone Simulator ne cherche pas à révolutionner le jeu vidéo traditionnel. Il revendique son statut d’expérience différente, légère et décalée. Le passage en multijoueur lui donne encore plus de charme : partager ce “être une pierre” avec d’autres rend l’immobilisme… communautaire.

Si tu es prêt à ralentir, à te poser, à observer… avec des potes, alors ce jeu est une belle curiosité à tester.

Ma note : 7/10

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Satisfactory : arrive cette semaine sur PS5 & Xbox Series

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Bonne nouvelle pour les fans d’usines automatisées : Satisfactory débarque sur PS5 et Xbox Series cette semaine, le 4 novembre 2025. Le lancement console s’accompagne des améliorations déjà introduites par la mise à jour 1.1 : support manette peaufiné, mode photo repensé, optimisations de perfs et qualité de vie pour construire plus vite et mieux.

Une version console attendue

Après un long succès sur PC, Satisfactory s’ouvre enfin aux joueurs console. Objectif : proposer la même expérience d’automatisation géante, d’exploration et d’optimisation logistique — depuis son canapé, manette en main.

Ce qu’apporte la mise à jour 1.1

  • Support manette complet (idéal pour PS5 & Xbox Series)
  • Mode Photo retravaillé pour sublimer vos mégafactories
  • Améliorations de performance et ergonomie de construction (outils, placements, logistique)
  • Ajustements et optimisations pour un démarrage console plus fluide

Ce qu’il faudra surveiller au lancement

  • Fluidité & chargements sur consoles next-gen
  • Ergonomie des outils de construction à la manette
  • Sauvegardes cloud / fonctionnalités en ligne et stabilité en coop

Verdict

Avec son mélange d’action, de planification et d’optimisation XXL, Satisfactory sur consoles a tout pour séduire une nouvelle vague de pionniers. La 1.1 pose des bases solides : si l’adaptation manette tient ses promesses, on tient un lancement de la semaine à ne pas rater.

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