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Test: Watch Dogs 2 – Simple évolution ou révolution?
Watch Dogs a été un joli carton pour Ubisoft avec plus de 10 millions de ventes, mais ce titre a néanmoins essuyé bon nombre de critiques de la part des joueurs ou de la presse à sa sortie. Pendant plus de 30 mois, l’éditeur et développeur français a travaillé sur un nouvel épisode, un opus capable de répondre aux hautes attentes des joueurs, chose que la première aventure n’avait pas réussi à faire. Mais tout cela amène une question toute simple: qu’est-ce qu’une bonne suite? Est-ce un jeu qui cherche à améliorer tous les points du précédent opus ou, au contraire, un titre qui n’hésite pas à revoir en profondeur de nombreux éléments, quitte à tout chambouler? Le cas Watch Dogs 2 est cependant assez complexe puisqu’il se veut très différent de ce qui avait été fait en 2014, tout en étant dans la continuité de l’épisode fondateur.
Watch Dogs 2 conserve ainsi les codes de la franchise. Comme Aiden Pearce, Marcus, le héros de cet épisode, est un talentueux hacker animé par un esprit de vengeance qui n’hésite pas à cacher son visage d’un foulard lorsqu’il se trouve en territoire ennemi. Il est équipé d’une arme redoutable au corps à corps —une boule de billard reliée à une cordelette— et l’aventure se déroule dans une immense ville américaine. Le premier opus faisait de Chicago son terrain de jeu, Watch Dogs 2 préfère quant à lui opter pour San Francisco et ses environs. Cette dernière est naturellement régie par ctOS, un programme informatique présent sur tout le territoire américain qui collecte les données de chacun. A tout instant, les habitants sont observés, toute notion de liberté est en train de disparaître et Marcus entend bien se battre pour que les gens ouvrent les yeux.
Certaines animations sont identiques, certains pouvoirs de hacking aussi, et pourtant, Watch Dogs 2 est totalement différent de son prédécesseur. Le ton du jeu est notamment beaucoup plus léger et on recense de nombreuses tentatives d’humour, mais celles-ci tombent malheureusement souvent à plat. Le casting est également assez caricatural, et tout cela tranche pas mal avec le premier épisode qui se voulait un peu plus sombre en mettant en scène un Aiden hanté par son passé. Toutes proportions gardées, c’est comme passer de GTA 3 à Vice City, voire San Andreas qui abritait en son temps San Fierro. Le temps maussade de Chicago marqué par ces rafales de vents qui faisaient virevolter le long manteau de Pearce est remplacé par une météo beaucoup plus estivale, ce qui modifie forcément l’ambiance très travaillée de ce jeu. La carte de San Francisco dans Watch Dogs 2 est ainsi suffisamment grande pour héberger de nombreux quartiers différents, une partie de la Sillicon Valley, des plages, de la verdure et même quelques surprises. On retrouve aussi ces collines qui font le bonheur des pilotes, bien que la conduite soit hyper arcade. Comme dans Watch Dogs 1, les véhicules adhèrent à la route en toute occasion et les collisions sont peu pénalisantes, histoire de rendre le jeu plus accessible.
San Francisco ne manque pas de charme et offre une plus grande diversité que le Chicago de Watch Dogs 1. Il y a beaucoup de choses à voir, et même à faire. On recense ainsi plusieurs quêtes secondaires, des collectibles et de nombreuses activités, principalement des courses à moto, voiture, drone ou même en voilier. C’est aussi une ville qui vit, une ville dans laquelle on retrouve de nombreuses animations dont des musiciens de rue. Mais les passants ont aussi leurs états d’âmes et peuvent parfois se disputer avec d’autres personnes —Marcus peut alors interagir avec eux. Dans le même genre, les différents gangs sèment parfois la terreur et la police n’hésite pas à passer les menottes à certains malfrats. A l’aide de son smartphone, Marcus peut même forcer l’intervention des forces de l’ordre ou de truands afin semer le trouble dans les rangs ennemis.
Les missions de Watch Dogs 2 tournent naturellement autour du hacking, mais là encore, des ajustements ont été faits par rapport au précédent opus. Dans le premier épisode, Aiden Pearce prenait le contrôle des caméras, jouait avec les feux de signalisations et actionnait des potelets mécaniques pour se débarrasser de ses poursuivants. . . Marcus est capable des mêmes prouesses, mais tout paraît moins impressionnant car ce titre se déroule principalement dans des endroits clos et mise avant tout sur l’infiltration. Il est bien possible de dégainer son arme et de tirer sur tout ce qui bouge, mais Marcus est très peu résistant, le bullet-time (action de ralentir le temps) a disparu, et l’IA est coriace: elle est souvent en surnombre, elle appelle des renforts qui débarquent très rapidement et lorsqu’un garde détecte notre héros, ce sont tous les ennemis de la zone qui sont au courant en l’espace d’une fraction de seconde. Bref, mieux vaut se faire discret, utiliser ce taser ultra efficace, distraire les gardes en hackant leur téléphone et déverrouiller à distance des portes d’accès à l’aide d’un drone sur roues ou à hélices.
De manière générale, les objectifs sont classiques, mais on retrouve parfois des niveaux intelligemment conçus pour une plus grande forme de liberté d’action, ou bien des idées très intéressantes de temps en temps, notamment lorsqu’on peut pirater des voitures ou bien tendre des pièges mortels. L’action est cependant moins mise en avant, peut-être pour mieux coller au personnage de Marcus qui, contrairement à Aiden, est moins dans l’idée d’une vengeance destructrice. Les gunfights sont pourtant très bons, malgré les problèmes d’IA et le faible nombre d’armes que peut transporter sur lui Marcus; seulement 3 dont obligatoirement un taser. Cela tranche avec le premier Watch Dogs où on avait à tout moment accès à un immense arsenal. Dans cette suite, il faut donc faire des choix, récupérer les bonnes armes sur les corps des gardes ou bien en concevoir soi-même avec une imprimante 3D.
Watch Dogs 2 intègre également une forte composante de jeu en ligne avec des missions générées aléatoirement à faire en coop, ou donne la possibilité d’aider la police à traquer les joueurs qui sèment le chaos à San Francisco, alias le mode Bounty Hunter. Hélas, Ubisoft s’est rendu compte que ce online n’était pas encore optimal et avait tendance à nuire aux performances du jeu, chose que nous avons pu observer avec d’énormes chutes de framerate. Face à ces problèmes, l’éditeur français a logiquement désactivé une partie du jeu en ligne afin de s’assurer que chacun puisse profiter dans de bonnes conditions de l’aventure solo. C’est dommage, forcément, mais un patch est déjà en préparation afin que tout puisse rentrer dans l’ordre. A défaut de pouvoir essayer le mode Chasseur de Primes, nous avons en revanche pu envahir la partie d’un autre joueur, histoire de voler ses données. Contrairement au premier Watch Dogs, en tant que hacker, il n’y a plus de temps de chargement. Tout se fait de manière invisible et il suffit de se rendre sur une petite icône placée sur la carte pour lancer cette mini-mission qui consiste à rester proche d’un autre joueur, sans se faire repérer, auquel cas il faudra alors déguerpir en vitesse. L’idée n’est plus aussi originale qu’à l’époque, mais elle reste toujours aussi efficace.
San Francisco et ses alentours regorgent de magasins de fringues pour habiller Marcus et d’activités annexes, toutes accessibles depuis son smartphone dont les applications sont dédiées aux lieux uniques à visiter, aux chansons à écouter ou encore à l’équivalent d’Uber avec. . . Driver San Francisco. Si on peut émettre quelques doutes sur la qualité des dialogues, il est difficile en revanche de ne pas reconnaître que Watch Dogs 2 multiplie habilement les clins d’oeil, fait preuve d’une belle forme d’auto-dérision, et joue souvent de manière maligne la carte de la parodie. Mais on retient surtout de cette aventure, le travail abattu par Ubisoft afin de faire de la baie de San Francisco un terrain de jeu varié capable de proposer de magnifiques paysages et de nombreuses activités, sans oublier cette histoire principale un peu classique tant dans le fond que dans la forme. Watch Dogs 2 est au final un jeu différent de son prédécesseur, même s’il s’appuie sur les mêmes bases. Ce n’est ni un spin-off, ni un reboot, mais plutôt un nouveau départ, un jeu qui fait tout simplement évoluer ses codes.
Watch Dogs 2 est développé et édité par Ubisoft. Jeu sorti le 15 novembre sur PlayStation 4 et Xbox One. Une version PC est prévue pour le 29 novembre. Version testée: PS4. PEGI 18.
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Metroid Prime 4 fera-t-il passer un cap à la série de Nintendo ?
La sortie de Metroid Prime 4 : Beyond approche à grands pas. C’est un soi un événement ; son prédécesseur, Metroid Prime 3 date de 2007. Et pourtant, il y a un risque que cet épisode passe inaperçu. Car malheureusement, depuis ses débuts, la série est boudée par le public.
En janvier 2019, Nintendo annonçait le reboot de Metroid Prime 4. Le jeu était alors en développement du côté de Bandai Namco et se voyait finalement transféré du côté de Retro. C’était un retour aux sources presque logique. Ce studio texan est en effet l’auteur de trois jeux Metroid Prime.
Rebooter un projet n’est pas anodin. Ce n’est pas un simple report comme bon nombre de jeux peuvent connaître. C’est un retour à zéro, un développement qui recommence pour repartir sur des bases saines.
Près de six ans après ce retournement de situation, Metroid Prime 4 : Beyond est enfin prêt à en découdre. Le jeu sera disponible dans 3 semaines, de premières previews sont disponibles, et les retours sont mitigés. Est-ce alors inquiétant ?
Metroid ne parvient pas à être au niveau de Mario et Zelda
Metroid est une licence culte du jeu vidéo. Mais le grand public s’en fout totalement. Cet été, la Newsletter Le Résumé Jeu Vidéo rappelait justement le paradoxe Metroid. C’est une franchise historique pour Nintendo, mais elle n’a jamais su s’imposer.
L’histoire de Metroid remonte à 1986 sur NES, la même année que The Legend Of Zelda. Metroid a alors inventé un genre —qu’on associera aux Castlevania pour devenir le Metroidvania— et repose sur une héroïne. A l’époque, c’était rare.

La série des Metroid a connu de nombreux titres, parfois en 2D, en 3D, sur portable ou consoles de salon. Mais jamais ses ventes n’ont explosé. L’épisode le plus vendu est ainsi Metroid Dread, titre sorti en 2021 sur Switch, et vendu à près de 3 millions d’exemplaires. Certes, c’est pas mal, mais si on compare à d’autres séries, c’est faible. Les Mario, Zelda et Pokémon dépassent facilement les 20 millions sur cette même machine. Luigi’s Mansion 3 a quant à lui franchi la barre des 14 millions d’exemplaires écoulés.
Metroid ne parvient pas à s’imposer et pourtant, la presse est unanime. Sur Metacritic, les premiers Metroid Prime affichent un score égal ou supérieur à 90/100. Metroid Dread est quant à lui à 88/100, ce qui reste excellent.
Metroid Prime 4 peut-il s’imposer ?
La communication autour de Metroid Prime 4 : Beyond est curieuse. Il donne parfois l’impression que Nintendo ne cherche pas à pousser ce titre. Kirby Air Riders, suite d’un jeu passé inaperçu sur GameCube, a ainsi eu droit à deux Nintendo Direct, chacun durant près d’une heure. Certes, ce Kirby est traité comme une nouvelle licence et est aidé par l’aura de Masahiro Sakurai, mais Metroid aurait pu lui aussi bénéficier de la même visibilité.
A la place, on le retrouve coincé au milieu d’autres jeux, à l’image de ce trailer qui révélait pourtant la moto et sa date de sortie. De même, on s’étonne que la trilogie Metroid Prime n’ait pas été entièrement remasterisée. Ce sont d’excellents jeux et seul le premier épisode a eu droit à ce traitement de faveur.
Des previews de Metroid Prime 4 sont tombées hier. Les retours manquent d’enthousiasme. VGC pointe notamment du doigt un side-kick imposé, du moins au cours de cette session de jeu. Miles MacKenzie —c’est son nom, serait un acolyte très bavard, essayant de temps en temps de faire de l’humour ou donnant fréquemment des indications à Samus. Le site anglais explique que cela tranche grandement avec l’esprit de la série qui repose sur l’exploration et ce sentiment d’isolation. Metroid Prime 4 semble être un jeu solide selon les dires du testeur, mais ce PNJ gâcherait l’expérience globale.
Difficile de dire ce qu’il en sera quand le jeu final sortira. Peut-être que le début est poussif mais que la suite est bien plus intéressante. Le choix d’ajouter un compagnon à Samus est en tout cas intéressant. Nintendo semble vouloir changer les règles de Metroid. Ça déplaira peut-être aux fans de la licence, mais c’est peut-être aussi comme ça que la série pourra s’ouvrir au plus grand nombre en devenant plus accessible.
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Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5
Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.
Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.
Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?
Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.
Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.
L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.
Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?
Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.
Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.
Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?
Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.
Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.
Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.
On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.
Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.
Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?
Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.
Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.
En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.
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PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer
Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.
Une sélection variée pour tous les profils
Stray : l’indé française qui charme
Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.
EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye
Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.
Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.
Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti
Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.
À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.
Conclusion
En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.
