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C’était l’époque des CD de démos

Alors que le temps est au retour des vieilles licences, il est intéressant de se remémorer la première fois qu’on les a vues: sur des CD de démos.
Cette année 2017 est assez étrange. La faute à une nostalgie qui a presque fait main basse sur l’actualité ces derniers temps. On l’a déjà évoqué à plusieurs reprises ici, GamesIndustry.biz en a fait un joli article —une habitude pour le média anglais. Que ce soit à la télévision, au cinéma ou dans les jeux vidéo, de vieilles gloires font un retour triomphant quand ce sont pas des titres qui privilégient un gameplay oldschool.
Ce phénomène est fait pour durer. Dès l’an prochain, on retrouvera Fear Effect et peut-être même la suite de Nightmare Creatures. Ce dernier a été officialisé il y a quelques jours à la surprise générale. Pour être honnête, c’est cette annonce qui a motivé cet article, bien aidée par une désagréable insomnie.
Il est difficile de dire combien de jeux estampillés Nightmare Creatures ont autrefois été vendus. Si la série s’est arrêtée au bout de deux épisodes, c’est qu’il y a sans doute une raison. La licence est pourtant bien connue auprès des trentenaires car beaucoup y ont joué autrefois via un CD de démos.
Ces disques ont presque totalement disparu de nos jours. Les CD de démos ont été remplacées par les différentes boutiques en ligne, que ce soit Steam, l’eShop, le Marketplace ou bien le PlayStation Store. Les démos elles-mêmes n’existent presque plus. Les jeux étant toujours plus connectés, les éditeurs préfèrent les beta multi éphémères. Il existe cependant quelques exceptions. Les jeux de sport ont souvent des versions d’essai, et ces dernières semaines, on a pu découvrir les démos de Knack II ou des productions d’Arkane Studios: Dishonored 2 et Prey.
Dans la seconde moitié des années 90, internet n’était pas aussi répandu que de nos jours. Pour s’informer sur l’actualité du jeu vidéo, il fallait faire l’acquisition de magazines. Ce sont eux qui détenaient une certaine forme de vérité grâce à leurs news, previews, tests, sans oublier ces pages soluces remplies de codes triche, hélas oubliés de nos jours. Mais ce qui motivait souvent l’achat, c’était la présence de ce disque de démos. Il avait beau être offert, il permettait de faire passer plus facilement le prix plutôt élevé de la revue. Si on prend le cas de PlayStation Magazine, cela devait coûter entre 35 et 49 francs à l’époque. Pour les plus jeunes, ça nous donne en gros entre 5,50 et 7,50€, ce qui était beaucoup. Pour les plus vieux, ça faisait entre 3 500 et 4 900 anciens francs.
On pourrait presque faire un parallèle entre les CD de démos offerts avec les magazines et les programmes Games With Gold / PlayStation Plus. En 2017, les joueurs payent ces services afin de jouer en ligne et ils reçoivent en plus une sélection de jeux dits gratuits chaque mois. A l’époque, ces magazines servaient à se mettre au courant sur l’actualité mais aussi à récupérer de nouveaux titres.
Ces CD comprenaient souvent une demi-douzaine de démos. La plupart étaient jouables, d’autres étaient uniquement des vidéos promotionnelles. Il est important de rappeler qu’à la fin des années 90, Twitch et Youtube n’existaient pas. Ces plateformes sont respectivement nées en 2011 et 2005. Le CD de démos était donc l’unique moyen à l’époque pour découvrir une myriade de titres. Leur qualité variait, leur longueur aussi. Mais ces versions d’essai apportaient toujours la même dose d’émerveillement. Il faut bien comprendre que d’un seul coup, les consommateurs avaient accès à un immense catalogue de jeux. Cette mini-révolution est notamment liée au support CD même; proposer des cartouches de démo aurait été trop onéreux.
En terme de jeux vidéo, les années 90 sont marquées par l’arrivée de nombreux jeux en 3D. Une véritable révolution autrefois; chaque développeur faisait alors ses propres essais, les expériences se multipliaient. Les résultats variaient, mais au final, chacun avait sa chance sur les CD de démos. Certains jeux volaient toutefois la vedette à d’autres. Il y avait d’immenses stars comme Lara Croft qui, en plus de faire les couvertures des journaux, offrait les deux tiers de son premier niveau de Tomb Raider 2.
A une époque où le jeu en ligne sur console était inexistant, les CD de démos mettaient aussi à l’honneur les jeux avec du multi local. Crash Team Racing permettait ainsi de faire la course en solo, à deux ou même à 4, avec à chaque fois des circuits différents. Dans le même genre la démo de Future Cop LAPD incluait une mission jouable en solo ou en coop, ainsi qu’un large aperçu de son mode multi compétitif aux faux-airs de MOBA. Il ne faut pas se mentir: certaines personnes ont pu jouer pendant des heures à des démos sans pour autant acheter ensuite la version finale.
Les CD de démos étaient généreux et représentaient un immense coup de pub pour les studios. Bien sûr, tous les jeux n’ont pas marché, mais au final, ils nous ont marqués, peut-être parce que c’était nouveau à l’époque. Le fait que Nightmare Creatures soit ré-annoncé en 2017 après dix ans d’absence en est la preuve. Il en va de même pour Grip, un jeu inspiré de Rollcage, actuellement en accès anticipé sur Steam.
Puisque cet article a surtout pour but de rappeler quelques souvenirs, pêle-mêle, on a envie d’évoquer des jeux un peu plus obscurs comme le FPS Lifeforce Tenka, les bonnes idées de Team Buddies ou le 100% action de l’Agent Armstrong. Les CD de démos étaient également un bon moyen pour tenter d’imposer de nouvelles mascottes. Les jeux de plateforme teintés d’action étaient souvent présents chaque mois. Il y avait ainsi Gex, Rascal, Rosco McQueen…
Le CD de démos n’était pas seulement un argument de vente pour les magazines. Pour les éditeurs, il pouvait même servir d’appât ou de promotion croisée. La démo de Final Fantasy VII était ainsi incluse dans le jeu de combat Tobal. Du côté de Konami, un morceau de Silent Hill se trouvait dans la double-boîte de Metal Gear Solid. Quelques années plus tard, c’est toute une partie du Tanker de l’inoubliable MGS 2 qui était jouable à travers une démo offerte avec Zone Of The Enders. Certains diront même que les gens achetaient uniquement ZoE pour jouer avec Solid Snake.
Preuve de la fascination du public pour ces CD de démos plusieurs années plus tard, on peut retrouver sur Youtube de nombreuses compilations vidéo vues plusieurs milliers de fois. Cela rappelle des souvenirs et permet de se rafraîchir la mémoire. On n’oublie pas que ces disques ont permis un premier essor des jeux indé’ sur consoles, du moins sur PlayStation.
Avant l’arrivée des Braid, Limbo et Journey, il y a eu la Net Yaroze, cette étrange PlayStation à la robe noire sortie en 1997. Vendue un peu moins de 800 dollars, elle donnait la possibilité de réaliser ses rêves: concevoir ses propres jeux vidéo. Bien sûr, cela demandait un certain investissement et une bonne connaissance en programmation. Ces indé’ avaient alors accès à presque toute la puissance de la première PlayStation sauf qu’ils ne pouvaient stocker de précieuses données sur un disque; tout devait tenir dans la RAM.
Afin de soutenir cette petite communauté, Sony créa des plateformes en ligne pour chacun des territoires (US, Europe, Japon). Les développeurs en herbe pouvaient alors converser entre eux et échanger leurs jeux. Il leur était néanmoins impossible de toucher le grand public. Le PlayStation Store n’existait pas. Leur salut est venu des CD de démos.
Plus de trente jeux Net Yaroze se sont ainsi retrouvés au fil du temps dans différents numéros de PlayStation Magazine. Pour la première fois, les joueurs du monde entier pouvaient découvrir ces productions indépendantes et souvent surprenantes. Certains développeurs ont même rejoint de grosses structures par la suite. Le créateur du jeu de rôle Terra Incognita a ainsi terminé chez Square-Enix.
Malgré les limitations techniques liées à l’époque, la sélection faite par Sony était souvent de qualité. Les jeux Net Yaroze étaient certes en retrait au niveau des graphismes, mais le gameplay était accrocheur, tant en solo qu’en multi. Psychon, Hover Car Racing et Gravitation permettaient de brancher une seconde manette pour du coop ou du 1 contre 1.
Avec l’absence des réseaux sociaux, il était très difficile (impossible?) pour les créateurs d’obtenir l’avis des joueurs. Interrogé par Gamasutra, Ben James, le développeur du très bon jeu de tir Psychon déclara ainsi: « Les journalistes ne semblaient pas apprécier le jeu et ça a pris beaucoup de temps avant que j’obtienne davantage de retours. Une dizaine d’années plus tard, les playthroughs sont apparus sur Youtube et un gars a même commencé à porter le jeu sur PC. Il semble qu’un petit groupe de joueurs a vraiment apprécié ce titre.«
L’époque des CD de démos est révolue. On n’a pas forcément envie d’y retourner. Ce serait comme demander à quelqu’un de faire un choix entre un baladeur cassette et un accès libre à Spotify et Deezer où il peut écouter des milliers de chansons sans restriction. Les temps ont changé, les choses ont évolué, on apprécie grandement ces changements mais au fond de nous, on n’oublie pas avec quoi on a grandi.
En illustration, une capture d’écran de cette vidéo Youtube. Je n’ai pas retrouvé mes vieux CD de démos!

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Test Sword Of The Sea : la suite cachée de Journey ?

Sword Of The Sea est le troisième jeu de Giant Squid après Abzû (2016) et The Pathless (2020). Ces trois titres ont des similarités, mais si on devait comparer Sword Of The Sea à une autre production, ce serait Journey. Rien d’étonnant quand on sait que le fondateur du studio n’est autre que l’ancien directeur artistique du jeu de 2012.
Sword Of The Sea n’est pas Journey 2. Et pourtant, les deux titres partagent beaucoup. Sword Of The Sea est un jeu d’aventure dans lequel on ne marche pas, on ne court pas ; on glisse. Le jeu est beau, relaxant, envoutant. Les dunes de sable sont notre environnement, le soleil ardent est omniprésent. On découvre au fur et à mesure de l’aventure, en lisant des stèles, qui on est, et dans quel monde on évolue. C’est cryptique et onirique.


Les commandes sont simples : un bouton pour sauter, un autre en guise d’action. Comme Journey, ça ne plaira pas à tout le monde. Le rythme est lent, rien n’est explicite, et la durée de vie peu élevée —3h pour le boucler, un peu plus pour tout découvrir. Ce n’est pas non plus un jeu avec une grande intensité. On est pas mal dans la contemplation. En revanche, par rapport à un Journey, il y a une volonté de proposer un gameplay plus élaboré.
Sword Of The Sea veut aller au-delà de Journey
Dans Sword Of The Sea, vous êtes ce petit bonhomme qui surfe sur une épée. En activant des mécanismes, vous débloquerez notamment l’apparition de cours d’eau sur le sable. Les poissons et mammifères marins nagent au dessus, les algues poussent partout. Cela débloque des chemins nouveaux, qui permettent de progresser et d’accomplir sa destinée que l’on comprend au fur et à mesure.
En apparence, on est proche d’un Journey où on glissait sur le sable. Dans les faits, Sword Of The Sea est plus profond. Ou plutôt, il est davantage gamifié et perd donc en simplicité. Libre à vous de voir si cela est une bonne ou mauvaise chose.


L’aspect plateforme est ainsi plus développé. Il y a du saut, du double saut, et même une troisième variante par moment. La notion de vitesse est également importante alors que l’on passe son temps à surfer. Il faut prendre de l’élan, prendre des tremplins… Il y a même des défis —très simples— avec des figures à réaliser en temps limité. On dénote également pas mal de collectibles cachés ici et là.
Sword Of The Sea se veut aussi varié au niveau de ses environnements. On évolue dans différents mondes enchanteurs, souvent séparés par des temps de chargement un poil longuets. On côtoie alors des créatures majestueuses et on peut les chevaucher. C’est parfois maladroit, mais le charme opère. Et il y a même dans quelques rares cas de l’action.
Sword Of The Sea n’est pas Journey 2. Une suite directe n’aurait de toute manière aucun intérêt, la surprise étant déjà passée. Sword Of The Sea est davantage une suite spirituelle, intégrant des éléments d’Abzû et de Tony Hawk. Il y a un côté déjà vu, c’est certain, mais ça n’en reste pas moins une oeuvre unique alliant grâce et fluidité.
Sword Of The Sea est développé et édité par Giant Squid. Jeu disponible sur PC et PlayStation 5. Ce test de Sword Of The Sea a été fait sur une PS5 basique. Jeu inclus dans l’abonnement PS Plus Extra ; il coûte sinon 25€. Jeu disponible. PEGI 7.
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Bioshock 4 : Rod Fergusson à nouveau appelé en renfort pour finir le jeu

Après avoir quitté la direction de la franchise Diablo, Rod Fergusson est de retour aux commandes de Bioshock.
Parfois, la vie n’est qu’un éternel cycle. Rod Fergusson est de retour chez 2K Games pour sauver Bioshock 4. Au début des années 2010, il avait déjà été recruté par l’éditeur afin de sortir Bioshock Infinite. Et entre temps, il était parti chez The Coalition pour superviser Gears Of War, lui qui était déjà l’ancien producteur des premiers épisodes au sein d’Epic Games.
Rod Fergusson doit sauver Bioshock, comme autrefois
Il y a quelques jours, Rod Fergusson annonçait son départ de Blizzard où il dirigeait la franchise Diablo depuis 2020. Le CV du bonhomme parle pour lui : Epic Games, 2K Games, The Coalition et Blizzard. Rod Fergusson est l’un des producteurs les plus respectés du milieu. Il a notamment la réputation d’être un closer, quelqu’un qui sait terminer et sortir un jeu. Beaucoup de titres ont un développement à rallonge car les hauts gradés ne savent pas prendre de décisions. Rod Fergusson a alors pour boulot de raisonner ses collègues afin que le développement puisse enfin se boucler.
A l’époque, c’est exactement la raison pour laquelle il avait été embauché au sein de 2K Games / Irrational Games. Le développement de Bioshock Infinite n’en finissait plus ; il fallait mettre de l’ordre dans les équipes afin de sortir le jeu, ce qu’il a fait.
Il faut se rappeler dans quel état était Bioshock autrefois. Comme le rappelle la newsletter Le Résumé Jeu Vidéo par Xavier, tout a démarré en 2006. 2K Games rachète Irrationnal Games qui, un an plus tard, sort Bioshock. Le jeu est un carton et obtient notamment un metascore de 96/100. Le développement fut toutefois compliqué, avec une grosse phase de crunch —certains bossaient même le week-end.
Bioshock 2 est confié à un autre studio tandis que Ken Levine, Directeur Créatif du premier jeu, veut faire autre chose. Il planche sur XCOM, puis vers 2009/2010, il décide de retourner sur Bioshock avec Infinite. Le jeu va alors connaître un développement tumultueux, avec de nombreux reboots, du contenu sans cesse remanié ou supprimé, et un mode multi annulé.
En 2012, près de 200 développeurs planchent sur le jeu, des studios annexes prêtent main forte, et pourtant, Bioshock Infinite n’est toujours pas jouable. Rod Fergusson est alors engagé afin de revoir la production du jeu et d’épauler Ken Levine.
Bioshock Infinite sort finalement en 2013. Rod Fergusson décide ensuite de s’en aller et Ken Levine choisit de fermer Irrationnal Games, préférant travailler au sein d’une petite structure. Depuis 12 ans, Bioshock n’a pas toujours pas connu de suite et Ken Levine n’a sorti aucun jeu.
La nouvelle mission de Rod Fergusson avec Bioshock 4
Il y a quelques jours, on apprenait que Bioshock 4 filait un mauvais coton. Pour faire simple, la directrice du studio Cloud Chamber et son directeur créatif ont été évincés. En cause, un développement à rallonge pour une qualité qui laisse à désirer, notamment au niveau de la narration, dixit Bloomberg. Le média américain laissait entendre que Bioshock 4 était en développement depuis près de 10 ans, avait été remanié plusieurs fois, et avait même changé de studio.
Pour enrayer cette mauvaise spirale, 2K Games a pris la décision de réembaucher Rod Fergusson. Il ne vient pas en tant que producteur mais directeur de studio. Sa mission sera simple : remettre les choses en ordre pour que Bioshock 4 puisse enfin sortir. Et on suppose, superviser le développement de suites.
Hélas, cela a également entrainé une vague de licenciements au sein de Cloud Chamber. On ignore toutefois le nombre de personnes touchées. Cela laisse toutefois entendre que Bioshock 4 n’est vraiment pas prêt de sortir.
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Gamescom 2025 : le résumé avec toutes les annonces, toutes les vidéos

L’Opening Night Live de la Gamescom 2025 nous a réservé pas mal de surprises. Voici son résumé avec chaque annonce et chaque trailer.
« L’E3 n’est pas mort, il a simplement déménagé ici, en Allemagne. » C’est ainsi qu’a commencé le discours de Geoff Keighley, après quelques mots en allemand. La Gamescom est devenu par la force des choses le plus grand salon de jeu vidéo, visant à la fois le grand public et les professionnels. Il a démarré avec sa propre conférence, appelée ONL pour Opening Night Live. Elle était en direct, avec du public, avec une scène, avec des invités. Cela offre un rythme différent. Certains jeux bénéficient ainsi d’un plus long segment, avec de petites interviews. Et au final, tout s’enchaine quand même rapidement pendant plus de 2 heures. C’est pour cela que l’on vous a tout résumé.
Call Of Duty : Black Ops 7 met l’accent sur la campagne
Premier trailer de gameplay pour BO7, après le teaser à l’E3. C’est futuriste, c’est de la science fiction, c’est aérien, c’est explosif… Cet épisode entretiendra des liens avec Black Ops 2 et 6, et permettra notamment de faire toute la campagne seul ou à 4. Call Of Duty Black Ops 7 a également confirmé sa date de sortie : ce sera pour le 14 novembre.
Sekiro No Defeat : l’animé se montre
Sorti au printemps 2019, Sekiro aura droit à une adaptation sous la forme d’un animé. C’est Crunchyroll qui a raflé la mise et qui le diffusera.
LEGO Batman de retour
Batounet n’en a pas fini avec le jeu vidéo. Le voici de retour dans LEGO Batman : Legacy Of The Dark Knight, un titre qui rendra hommage aux différents films, dont la trilogie Nolan et The Batman de Matt Reeves.
Cet épisode sera un monde ouvert, dans lequel Batman pourra castagner la racaille de Gotham City, affronter de grands méchants, et rouler à toutes vitesses avec différentes Batmobiles. Le jeu est développé par TT Games (Lego Star Wars: The Skywalker Saga) et sortira en 2026 sur PC, PS5, Xbox Series et Switch 2.
Dawn Of War IV annoncé
Le jeu de stratégie en temps réel Dawn Of War IV a été révélé à la Gamescom. Cette suite permettra de jouer 4 factions différentes à travers 70 missions.
Onimusha se dévoile davantage
Onimusha Way Of The Sword fait partie des 3 gros jeux prévus par Capcom en 2026. On rappelle que selon son réalisateur, il ne s’agira ni d’un jeu en monde ouvert ni d’un Souls-Like.
Fallout : une bande-annonce pour la Saison 2 de la série Prime Video
La seconde saison de la série Fallout rendra hommage à New Vegas, le jeu vidéo de 2010, et l’un des plus appréciés de la saga. Un trailer est disponible, de quoi remarquer une très jolie production, et une date de sortie pour le premier épisode : ce sera le 17 décembre, en exclusivité sur Prime.
Toxic Commando tire dans le tas
Le nouveau World War Z est là ! Toxic Commando, inspiré de l’univers de John Carpenter, a eu droit à un premier trailer de gameplay. C’est sanglant à souhait face à des hordes de monstres. Ça promet beaucoup, et ça sortira en début d’année 2026.
Ninja Gaiden 4 tranche dans le tas
L’association Koei Tecmo / Platinum Games ne déçoit toujours pas dans cette nouvelle bande-annonce de Ninja Gaiden 4. En terme d’action, ça a l’air tout simplement excellent.
Silent Hill f continue d’intriguer
La série des Silent Hill est revenue en grâce à la suite de l’excellent remake du 2. Silent Hill f sera quant à lui un épisode original avec une proposition pour le moins singulière, tant dans son style et que sa réalisation.
Cronos The New Dawn a toujours l’air aussi intéressant
Le remake de Silent Hill 2 a également remis sous le feu des projecteurs le studio Bloober. Cette équipe polonaise a pris du galon et compte bien confirmer sa nouvelle réputation de studio majeur à travers Cronos The New Dawn, le tout premier jeu qu’il auto-éditera.
Vampire The Masquerade : Bloodlines 2 de retour
Avec son développement à rallonge et son changement de studio, Bloodlines 2 tient à nous rassurer avec cette nouvelle bande-annonce. On rappelle qu’aux commandes, il s’agit désormais de The Chinese Room, les auteurs de Amnesia et Everybody’s Gone To The Rapture. Le jeu sortira le 21 octobre 2025.
Project Spectrum fait le beau
Project Spectrum est le nouveau projet du studio derrière Delta Force. Ce sera un tactical shooter de type PvPvE. On y voit de belles choses, à voir quand ce sera vrai. L’absence de date de sortie laisse entendre que ce projet est loin d’être finalisé.
Ghost Of Yotei dans la lignée de Tsushima
Ghost Of Yotei est toujours aussi beau, et continue de ressembler comme deux gouttes d’eau à Tsushima. Et à l’instar de ce premier jeu, le mode multijoueur Legends sortira plus tard, gratuitement. Il s’agira alors de missions coopératives à 2 et d’un mode survie à 4.
Resident Evil Requiem, une histoire de famille
Toujours attendu pour le 27 février, Resident Evil Requiem s’est offert un trailer centré sur son histoire et notamment la famille Ashcroft. Rien à voir avec le chateur de The Verve, mais plutôt Grace, héroine de cet opus, et Alyssa, sa mère, journaliste aperçue dans Outbreak.
Black Myth voit double
En guise de conclusion, le studio chinois Game Science a offert un teaser de Black Myth : Zhong Kui, la suite de Wukong. Il s’agira à nouveau d’un action-rpg solo explorant le folklore chinois.
Mais aussi…
- Silksong, jeu le whislisté sur Steam, sortira bien cette année.
- Lords Of The Fallen 2, qui est en fait le 3ème épisode de la série, a été annoncé par un trailer en CGI. Sortie prévue en 2026. Du gameplay sera montré en fin d’année, sans doute aux Game Awards.
- Monster Hunter Wilds et Final Fantasy XIV vont mutuellement se rendre hommage à travers des skins et des événements fin septembre / début octobre.
- Nouvelle bande-annonce pour le gacha Arknights: Endfield
- Neverness To Everness est un autre gacha en développement.
- Le gacha Fate Trigger démarrera son accès anticipé au premier trimestre 2026
- Un teaser pour Europa Universalis V
- Daemon X Machina : Titanic Scion s’offre une bande-annonce avant sa sortie le 5 septembre, et une démo.
- Le DLC « The Order Of Giants » d’Indiana Jones et le Cercle Ancien sera disponible le 4 septembre sur PC, PS5 et Xbox Series. Un portage Switch 2 est prévu pour l’an prochain.
- Nouveau trailer pour Deadpool VR, une exclusivité Meta Quest qui vise le 18 novembre.
- Death By Scrolling est un rogue like au purgatoire par Ron Gilbert et les équipes de MicroPose.
- Teaser de Zero Parades, un CRPG par ZA/UM, le studio auteur de Disco Elyseum (dont beaucoup de développeurs sont partis, cela dit)
- Nouvelle bande-annonce pour Unbeatable, un jeu de rythme narratif.
- Un trailer de plus pour le RPG Multijoueur Honor Of Kings World.
- Anciennement connu sous le nom de Project LLL, le MMO Shooter Cinder City s’est offert un gros trailer qui rame pas mal par moments. Pas de date, donc ça ne sera pas avant de longues années.
- Outre Cinder City, NC Soft a également montré Time Takers, un Heros Shooter à la troisième personne.
- La Divina Comedia est le prochain projet de Jyamma, les auteurs du Souls-Like Enotria The Last Song.
- Une bande-annonce de plus pour The Outer Worlds 2, prévu pour le 29 octobre.
- La mise à jour Island Getaway pour Inzoi sortira le 20 août sur PC. Une version PS5 est prévue pour l’an prochain.
- Moonlighter 2 verra son accès anticipé commencer le 23 octobre sur PC.
- Portage de Age Of Empires IV sur PS5 le 4 novembre.
- Le DLC Legacy Of The Forge de Kingdom Come Deliverance 2 sortira le 9 septembre.
- L’extension Woolhaven de Cult Of The Lamb arrivera en début d’année 2026.
- Jolie cinématique (forcément) pour l’extension Midnight de World Of Warcraft.
- World Of Tank présente sa mise à jour 2.0 et son stand alone Heat pour des affrontements en 10 contre 10
- Un remaster pour Tales Of Xillia. Il n’y aura que le premier épisode, ce ne sera pas une compilation du 1 et du 2.