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Test: Days Gone — L’Apocalypse de Saint John
Test de Days Gone. Notre avis sur cette exclusivité PS4, un jeu d’action en monde ouvert bourré de zombies par les créateurs de Syphon Filter.
Pour Bend Studio, Days Gone représente le grand saut dans l’inconnu. Longtemps cantonné, avec un certain succès, à des jeux portables, le studio américain a enfin droit de repasser sur console de salon. La PSVita est morte, la PS4 est reine, mais quel rôle joue finalement Days Gone dans tout ça?
A première vue, Days Gone n’est autre qu’un énième jeu de zombies en monde ouvert avec une narration poussée, à l’instar des autres jeux Sony. Certains l’ont aussi comparé à un The Last Of Us version open-world. Ce n’est pas vrai. Days Gone n’est pas un jeu de zombies. C’est un jeu avec des zombies. La nuance est importante. Car au fond, Days Gone repose avant tout sur une histoire d’amour et d’amitié au milieu des mutants. Et oui, ici, on ne parle pas de zombies mais de mutants.
Days Gone met l’accent sur la narration
Deux ans se sont écoulés depuis le début de l’épidémie. Toujours dans son Oregon natal, Deacon St. John est devenu chasseur de primes. Sur sa moto, Deek sillonne les vallées boisées infestées de mutants. Il part à la recherche de nouveaux contrats. « Si t’es un meurtrier, ou pire, et qu’on me paie pour t’éliminer? T’es déjà un homme mort sans le savoir. » Dès le début, Deacon St. John met les choses au clair. Mais ce n’est pas ce job qui l’obsède. C’est cette question: qu’est-il arrivé à sa femme après l’avoir laissée autrefois dans un hélicoptère de secours? Cette recherche constitue le fil rouge de Days Gone dont l’élément déclencheur est la terrible blessure de Boozer, le meilleur ami de Deek.
La notion de survie est importante dans le monde très violent de Days Gone. Les ressources sont rares et il faut fouiller chaque voiture et bâtiment abandonné pour trouver des matériaux, munitions, bandages ou gadgets. Il faut pouvoir se défendre dans ce monde où quelques illuminés ont semble-t-il pris le pouvoir. Il y a les gangs, les sectes et ceux réunis dans des camps, ces lieux où Deacon récupère des missions et peut améliorer ses armes ou sa moto. On y croise alors un grand nombre d’hommes et femmes. Ce sont eux qui vont faire avancer une histoire bien rythmée et plutôt prenante. Il y a quelques maladresses, des situations prévisibles, mais on lui pardonne parce qu’on évite les longueurs inutiles. Les personnages sont également attachants et l’écriture sonne souvent juste. Mais malgré tout, il y a quelque chose qui cloche.

A une époque où un God Of War se déroule en un plan séquence et où les transitions gameplay/cinématique d’Uncharted 4 impressionnent, il est difficile de revenir à des temps de chargement. C’est pourtant le choix opéré par Bend Studio pour Days Gone. De manière très fréquente, il faut subir de courts loadings ou des fondus au noir entre chaque cinématique. Ça rappelle ironiquement les promesses de la future PS5, ça nuit au rythme général et ça crée même parfois quelques incohérences; se voir débarquer à moto alors qu’on avait justement abandonné celle-ci faute d’essence, ça fait sourire. On note aussi quelques ellipses temporelles aussi furtives que surprenantes, comme si certains passages avaient été coupés, faute de temps. Days Gone a pourtant été repoussé de plusieurs mois.
Quand Days Gone s’inspire de The Last Of Us
Au cours de toute la première moitié de Days Gone, c’est bien cette histoire qui pousse à rester sur le jeu. La progression est en effet un peu bancale. Le rythme est toujours assez élevé, mais l’ensemble met du temps à décoller. Pendant une grande partie de l’aventure, Days Gone prend la forme d’un jeu d’action à la troisième personne avec quelques mutants adultes et enfants ici et là. Certaines missions sont plus scénarisées que d’autres et font mouche. D’autres se la jouent un peu Far Cry avec un camp de bandits à nettoyer, de la manière que l’on souhaite. On peut choisir la discrétion ou la manière forte. Si l’IA est loin d’être fabuleuse —on peut à nouveau comparer ça à Far Cry—, les gunfights sont en revanche très bons. Ils rappellent un peu The Last Of Us avec une visée légèrement flottante, des munitions rares et des ennemis qui font mal. L’expérience reste néanmoins très classique: on reçoit une mission, on y va, on nettoie la zone et on récupère la prime. A de rares moments, on assiste néanmoins à des courses-poursuites à moto mais celles-ci ne laissent pas de grands souvenirs à cause d’une visée automatique peu intéressante, forcément.

A l’issue de chaque quête, Deacon reçoit des points d’XP, utiles pour acheter des compétences. De même, on peut améliorer les caractéristiques (santé, endurance et mini-bullet time) dans des camps spéciaux. Mais tout ceci n’est guère important pendant plusieurs heures. Après tout, quand l’essentiel des affrontements consiste à se cacher derrière un muret pour tirer sur des cibles peu mobiles, à quoi bon améliorer son endurance? La réponse est simple: pour mieux fuir quand les mutants arriveront plus tard par centaine. Les fameuses hordes de zombies sont bien présentes. Mais on note surtout qu’elles deviennent importantes dans la dernière ligne droite du jeu. C’est uniquement à ce moment là qu’on comprend pourquoi il fallait débloquer des compétences supplémentaires ou améliorer son équipement tout au long de l’aventure. Bref, l’impression de montée en puissance se fait d’un coup, ce qui n’est pas forcément bien vu.
Ce sentiment se retrouve aussi au niveau de l’arsenal de Deacon St. John. Une bonne vingtaine d’armes sont disponibles dans le jeu, allant du fusil à pompe au sniper, en passant par le pistolet mitrailleur ou l’AK 47 des plus classiques. On peut acheter différentes armes mais celles-ci ont un coût plutôt élevé. On préfère alors récupérer celles sur les cadavres de nos adversaires. Tous les ennemis utilisent néanmoins les mêmes armes, ou presque. De ce fait, cela manque un peu de variété, d’autant plus que vers la fin du jeu, il vaut mieux compter sur le même type de fusils: ceux à très gros chargeur.
La moto, un allié indispensable face aux hordes de mutants
Dès lors que les combats contre les mutants prennent le dessus, on tombe sur un gameplay un peu plus bourrin, mais aussi plus dynamique et nerveux. Days Gone essaye aussi d’apporter un peu de variété dans les affrontements en agrandissant son casting: animaux ayant muté, monstres plus puissants… Ils disparaissent hélas rapidement de l’aventure, donnant l’impression que le jeu ne va pas au bout des choses. L’élément le plus impressionnant de Days Gone restent au final ces hordes comptant plus de 300 mutants dans leurs rangs. Il est difficile de s’en défaire, il faut utiliser tous ses gadgets et mettre au point une réelle stratégie pour en venir à bout. C’est souvent très compliqué, d’où cette immense fierté quand on reste le seul en vie au milieu de cette centaine de cadavres.

Face à un trop grand nombre d’ennemis, il n’est pas ridicule de prendre sa moto et de fuir. La bécane de Deek se révèle rapidement être un indispensable allié. Au début, elle est aussi véloce qu’un tracteur. Après quelques passages chez le garagiste, elle gagne en vitesse de pointe et permet de transporter des munitions supplémentaires. C’est alors un délice de conduire sur une map qui compte des paysages très variés et une météo dynamique qui ne change pas grand chose si ce n’est l’ambiance. Days Gone possède une solide réalisation. Ce n’est pas ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle, mais c’est clairement dans le haut du panier. Certaines cinématiques se permettent même d’être photo-réalistes. Hélas, le bilan technique révèle pas mal de soucis au final. Malgré la diffusion de plusieurs patchs avant la sortie officielle du jeu, on a constaté à plusieurs reprises des bugs de textures ou des problèmes de framerate.
Un bilan technique délicat
L’Oregon de Days Gone alterne zones arides avec celles plus boisées. Mais surtout, il se veut dynamique et vivant. Sur les bords de routes ou chemins de terre, au milieu des véhicules laissés à l’abandon, on croise des mutants affamés ou des animaux sauvages, parfois très dangereux. Il y a aussi des mini-événements avec de courtes enquêtes à mener via une vision détective un peu cheatée. Parfois, cela mène à des ressources ou des brigands. Ces derniers gambadent aussi de manière libre. Ils tendent même des pièges à Deacon mais tout ça est vraiment très rare. Ce côté aléatoire des rencontres a un impact sur une difficulté qui peut, par moment, paraître mal calibrée. Tomber sur une dizaines de mutants car des coups de feu ont été tirés par des PNJ, c’est un peu agaçant. D’autant plus qu’en chargeant ensuite sa partie, rien de tout ça n’apparaitra car ces ennemis ne seront plus au programme.

Pour résumer Days Gone, on serait tenté de reprendre l’expression « classique mais efficace« . Ce n’est pas un titre qui va révolutionner le jeu d’action à la troisième personne. Il n’en a pas non plus l’ambition. Days Gone sait se mettre en avant avec sa narration réussie, ses nombreux mutants à l’écran ou son joli contenu; compter au moins 45 heures pour tout boucler —un peu moins de 30h pour la quête principale. Hélas, s’il a souvent de bonnes idées, Days Gone ne va pas toujours au bout des choses, à l’image des interactions avec l’environnement souvent limitées. Le jeu de Bend Studio se sabote surtout par une technique parfois hasardeuse: les transitions gameplay/cinématique sont coupées par des temps de chargement et certains passages rament. Cela sera peut-être corrigé à l’avenir avec d’autres patchs, mais au moment de faire ce test de Days Gone, les mises à jour n’ont pas réussi à supprimer toutes les fois où la fluidité du jeu était mise à mal.
Par rapport aux autres titres exclusifs à la PlayStation 4, Days Gone apparaît en retrait. Il faut garder en compte que Bend Studio est une petite équipe et qu’il s’agit là de son premier jeu sur console de salon depuis 2007. Pour son retour sur le devant de la scène, le studio américaine réussit à proposer une expérience très agréable non sans quelques défauts. Deacon St. John n’est pas au niveau d’un Kratos ou d’un Nathan Drake. Il a néanmoins de jolis arguments et pose d’excellentes bases pour une série qui, peut-être, arrivera plus tard à atteindre des sommets.
Days Gone est développé par Bend Studio et édité par Sony Interactive Entertainment. Jeu disponible le 26 avril 2019 en exclusivité sur PlayStation 4. Ce test de Days Gone a été réalisé sur une PS4 ‘normale’. PEGI 18.
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Architecture distribuée pour serveurs gaming performants
Vous le savez mieux que personne… quand un serveur de jeu commence à ramer en plein raid, la communauté ne pardonne rien. Entre les pics de connexion qui transforment votre infrastructure en passoire et les joueurs qui réclament une latence optimale, gérer des serveurs gaming ressemble à une partie d’échecs en accéléré. L’architecture distribuée change la donne. Plutôt que de miser sur un seul serveur mastodonte qui finira par flancher, nous parlons ici d’infrastructures multinœuds capables d’encaisser la charge et de garantir une expérience fluide. Mais encore faut-il choisir le bon hébergeur et maîtriser les bons outils.
Choisissez un hébergeur français pour vos serveurs gaming
Opter pour un hébergeur français va bien au-delà du simple patriotisme numérique. Comme le montre Nexus-Games, parmi d’autres acteurs hexagonaux, la proximité géographique réduit mécaniquement la latence : vos joueurs européens bénéficient de temps de réponse qui font la différence entre une victoire et un game over rageux. La conformité RGPD représente un autre atout majeur. Fini le casse-tête juridique des transferts de données vers des serveurs basés outre-Atlantique : vous hébergez en France, vous respectez les règles, point final.
Le support technique en français et dans le même fuseau horaire change aussi la vie. Quand votre infrastructure lâche à 3 h du matin, pouvoir joindre un technicien qui parle votre langue sans attendre le réveil de la côte ouest américaine, ça n’a pas de prix. Les datacenters français offrent également des garanties énergétiques et une traçabilité qui rassurent vos utilisateurs sur la souveraineté de leurs données. Pour des administrateurs qui jonglent entre performance et contraintes légales, l’hébergement hexagonal coche toutes les cases sans compromis.

Les avantages des architectures distribuées multinœuds
L’architecture distribuée, c’est un peu comme passer d’un gardien de but solitaire à une défense en bloc : la charge se répartit, les défaillances se compensent. Plutôt que de concentrer toute la puissance sur un seul serveur, vous déployez plusieurs nœuds qui travaillent de concert. Quand l’un d’eux tombe, les autres prennent le relais sans que vos joueurs ne voient la différence. Cette résilience transforme les architectures monolithiques en véritables forteresses capables d’absorber les pics de trafic les plus brutaux.
La scalabilité horizontale devient votre meilleur atout : besoin de plus de puissance ? Ajoutez des nœuds au lieu de remplacer toute votre infrastructure. Voici les bénéfices concrets que nous observons sur le terrain :
- Répartition intelligente de la charge entre les différents nœuds selon les zones géographiques ;
- Tolérance aux pannes grâce à la redondance des données et des services ;
- Optimisation des coûts en adaptant les ressources selon la demande réelle ;
- Amélioration des temps de réponse par le rapprochement des données des utilisateurs finaux.
Cette approche multinœud permet aussi de segmenter vos services : les bases de données sur certains nœuds, les serveurs applicatifs sur d’autres, le tout orchestré par des load balancers qui distribuent le trafic avec finesse. Vous créez un écosystème dans lequel chaque composant joue son rôle sans devenir un point de défaillance unique.
Configurez la supervision de vos infrastructures réseaux
Une architecture distribuée sans monitoring, c’est comme piloter un avion sans instruments : vous volez peut-être, mais l’atterrissage risque d’être brutal. La supervision réseau devient votre tableau de bord central, celui qui vous permet de détecter les anomalies avant qu’elles ne dégénèrent en catastrophe. Les outils modernes collectent des milliers de métriques en temps réel : latence, utilisation CPU, bande passante, santé des disques, taux d’erreur réseau.
Configurez des alertes intelligentes qui vous préviennent des vrais problèmes sans vous noyer sous les fausses alarmes. Définissez des seuils critiques pour chaque métrique : si la latence dépasse 50 ms sur trois nœuds simultanément, vous devez le savoir immédiatement. Les dashboards visuels vous donnent une vue d’ensemble de votre infrastructure en un coup d’œil. Vous repérez les tendances, anticipez les saturations et planifiez les montées en charge avant que vos joueurs ne subissent les conséquences.
Les logs centralisés complètent le dispositif en agrégeant toutes les traces de vos différents nœuds dans un référentiel unique. Quand un incident survient, vous reconstituez le fil des événements sans perdre de temps à fouiller dans des fichiers éparpillés. La supervision devient votre assurance-vie : elle ne garantit pas l’absence de problèmes, mais elle vous donne les moyens de réagir avant que le feu ne se propage.
L’architecture distribuée pour serveurs gaming n’est plus une option réservée aux géants du secteur. Vous disposez maintenant des outils et des hébergeurs pour déployer des infrastructures multinœuds performantes sans exploser votre budget. Le choix d’un hébergeur français simplifie la conformité tout en optimisant la latence pour vos utilisateurs européens. Couplé à une supervision rigoureuse, ce modèle distribué transforme votre infrastructure en système robuste capable d’encaisser les aléas sans faillir. La prochaine fois qu’un pic de connexion frappera vos serveurs, vous regarderez vos dashboards avec un sourire, car l’architecture distribuée fera son travail.
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Liste des jeux vidéo les plus vendus en 2025 sur Steam, PlayStation et Xbox
L’année 2025 touche à sa fin, et il est temps de faire le bilan et de découvrir quels ont été les jeux les plus vendus sur PC et consoles.
2025, une année marquée par les friendslops et la domination d’Electronic Arts
Clair Obscur a dominé les Game Awards. Ce RPG français a remporté 9 prix dont celui du jeu de l’année— c’est un record. Mais à l’image des Oscars et autres prestigieuses cérémonies, ce ne sont pas forcément les titres les plus populaires qui sont récompensés. Avec ses 5 millions de ventes, Clair Obscur a été un grand succès commercial. Mais d’autres titres ont fait bien mieux. Cela ne signifie pas qu’ils sont meilleurs, mais qu’ils ont su toucher un plus grand public. Les raisons sont souvent multiples : le genre, le prix, l’aspect communautaire… Et justement, cette année, les jeux coopératifs ont pas mal cartonné, surtout sur Steam.

Cet article est écrit en collaboration avec Le Résumé Jeu Vidéo, newsletter hebdomadaire gratuite sur l’actu’ jv. Toutes les données qui suivent proviennent de GameDiscover.co, une autre newsletter qui est elle aussi excellente et qu’on vous recommande.
Les meilleures ventes jeu vidéo 2025 sur Steam
Plus de 19 000 jeux vidéo ont été commercialisés sur Steam en 2025. Inutile de préciser que beaucoup sont passés inaperçus. A vrai dire, près de 50% ont recueilli moins de 10 avis, ce qui laisse entendre des ventes extrêmement faibles.
- R.E.P.O
- PEAK
- Battlefield 6
- Schedule I
- Monster Hunter Wilds
- ARC Raiders
- Hollow Knight : Silksong
- Escape From Duckov
- RV There Yet
- Clair Obscur : Expedition 33


Ce Top 10 est marqué par ce qu’on appelle les friendslops, ces jeux à petit prix —souvent moins de 10€— qui misent sur un concept simple, rigolo et à plusieurs. Le classement ci-dessus se fie au nombre de jeux vendus selon les estimations de GameDiscover. Ci-dessous, voici un tri par chiffre d’affaires ce qui chamboule tout.
- Battlefield 6
- Monster Hunter Wilds
- ARC Raiders
- Clair Obscur : Expedition 33
- Kingdom : Come Deliverance II
- Stellar Blade
- R.E.P.O.
- Schedule I
- Borderlands 4
- Elden Ring Nightreign


Les meilleures ventes jeu vidéo 2025 sur PlayStation
Le Top 10 qui suit est déterminé selon le nombre d’unités vendus (physique + numérique). Seuls les jeux payants sont recensés ; Free-To-Play et jeux offerts sur le PlayStation Plus ne sont pas inclus, ce qui semble logique.
- FC 26
- Battlefield 6
- NBA 2K26
- Forza Horizon 5
- Monster Hunter Wilds
- Ghost Of Yotei
- Call Of Duty Black Ops 7
- College Football 26
- Assassin’s Creed Shadows
- Madden NFL 26
De ce classement, on peut faire deux observations. La première est que Electronic Arts est omniprésent avec 4 jeux au total. La seconde est la belle performance de Battlefield qui aura réussi à détrôner Call Of Duty.



Les meilleures ventes jeu vidéo 2025 sur Xbox
Le cas Xbox est particulier. Il faut naturellement prendre en compte le Game Pass qui fausse le classement des ventes de jeux ; un utilisateur achètera rarement un jeu qui est inclus dans son abonnement. De ce fait, on a inclus deux tops. Voici celui lié au nombre de jeux vendus.
- Battlefield 6
- FC 26
- NBA 2K26
- College Football 26
- Madden NFL 26
- Ready Or Not
- Arc Raiders
- MBL The Show 25
- Helldivers 2
- Split Fiction


Ce classement est intéressant car il diffère de celui de PlayStation, notamment à travers la présence de plusieurs jeux de tir. Outre Battlefield 6, on retrouve Ready Or Not, Arc Raiders et Helldivers 2, ancienne exclusivité PlayStation.
Call Of Duty Black Ops 7 est en revanche absent. Ce n’est pas surprenant ; le jeu d’Activision est en effet inclus dans l’offre Game Pass. Voici donc le classement des jeux les plus joués à travers le Game Pass en 2025.
- Clair Obscur : Expedition 33
- Oblivion Remastered
- Rematch
- Grounded 2
- Call Of Duty : Black Ops 7
- DOOM : The Dark Ages
- Avowed
- Sniper Elite Resistance
- Slime Rancher 2
- Tony Hawk’s Pro Skater 3+4

Pour conclure, on aurait aimé publier le classement des jeux Switch les plus vendus en 2025, mais les données pour les jeux physiques ne sont pas disponibles. De ce fait, il faut uniquement se fier aux données eShop, ce qui est moins intéressant. Sachez simplement que le Top 5 est constitué de Mario Kart World, Légendes Pokémon Z-A, Donkey Kong Bananza, Hollow Knight Silksong et Hades 2.
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COD Black Ops 7 Campagne : Récapitulatif, Secrets, Fins et Stratégies
Vous avez enchaîné les missions remplies d’hallucinations, vous êtes fait abattre par des ennemis que vous n’avez pas vus venir, et la cinématique de fin vous a laissé plus de questions que de réponses. La campagne de Black Ops 7 vous envoie beaucoup d’informations, et manquer des secrets clés ou faire de mauvais choix tactiques peut signifier rejouer des sections entières. Détaillons tout ce dont vous avez besoin pour vaincre cette aventure qui fait perdre la tête.
Les 11 Missions de la Campagne en un Coup d’Œil
Black Ops 7 propose 11 missions narratives se déroulant en 2035, dix ans après Black Ops 2. Vous vous glissez dans la peau de David Mason alors qu’il dirige l’équipe d’élite JSOC Specter One contre La Guilde, une organisation technologique obscure dotée de terrifiantes capacités de bio-armes.
Les missions s’enchaînent sans écran de chargement, ce qui rend le suivi de votre progression difficile. Consultez le coin supérieur gauche du menu pause pour voir sur quelle mission vous êtes.
Voici ce qui vous attend :
Exposure (Exposition) lance les hostilités avec des tactiques d’infiltration et introduit les mécanismes de communication en coopération. Inside (À l’intérieur) déclenche votre première séquence d’hallucination majeure se déroulant dans une jungle déformée. Distortion (Distorsion) implique d’obtenir l’accès à un ordinateur quantique tout en naviguant dans une réalité de plus en plus instable. La partie centrale avec Blackheart, Fracture et Collapse intensifie l’action avec des scènes plus importantes et des rencontres ennemies plus difficiles.
Les missions finales, Convergence, Resonance, Threshold, Avalon et Containment (Convergence, Résonance, Seuil, Avalon et Confinement) poussent votre escouade à son point de rupture alors que vous découvrez le véritable plan de La Guilde et affrontez leur cheffe, Emma Kagan.
Renseignements Cachés et Objets de Collection Secrets
Chaque mission contient un objet de renseignement caché, soit 11 au total tout au long de la campagne. Récupérer tous ces objets déverrouille le succès Loremaster et fournit un contexte crucial sur les opérations de La Guilde.
Les objets de renseignement se cachent souvent dans des pièces secondaires, derrière des objets destructibles, ou dans des zones que vous auriez normalement traversées en vitesse pendant les échanges de tirs. Prenez votre temps pour explorer après avoir éliminé les vagues d’ennemis. Ces objets de collection sont liés à l’histoire plus large de Black Ops et révèlent des connexions à la technologie C-Link qui explique les hallucinations partagées vécues par votre escouade.
Certains joueurs préfèrent un chemin plus direct à travers la campagne principale. Pour les joueurs qui veulent se concentrer sur l’histoire sans se soucier des objets de collection ou des pics de difficulté, des services comme blackops boosting peuvent vous aider à débloquer des récompenses de campagne et à progresser plus rapidement afin que vous puissiez profiter du récit à votre propre rythme. Ces services terminent généralement les missions à la difficulté de votre choix tout en atteignant des objectifs de progression spécifiques.
La Fin Expliquée : Le Destin de Kagan et l’Ascension de Dorne
La conclusion de la campagne présente à David Mason un choix crucial qui fait écho à son passé. Après avoir combattu à travers Avalon et survécu à de multiples hallucinations au gaz Cradle, vous affrontez Emma Kagan au centre de l’installation de La Guilde.
Voici le rebondissement. David doit décider s’il doit tuer Kagan ou la capturer vivante. Dans Black Ops 2, tuer Menendez a causé un chaos généralisé, et cette fois, David choisit de capturer Kagan, ayant appris de ses erreurs passées. Kagan est mise en détention, et le complot de bio-armes de la Guilde semble être stoppé.
Mais restez après le générique.
Une figure mystérieuse nommée Alden Dorne apparaît entourée de robots et de technologie de la Guilde. Dorne s’est caché dans les cinématiques de fond tout au long de la campagne et est maintenant révélé comme la véritable puissance de la Guilde en coulisses. Avec Kagan capturée, Dorne prend le contrôle total, mettant en place le mode Endgame et le futur contenu saisonnier.
Le dispositif neural C-Link connectant les membres de votre escouade se connecte également directement à la technologie d’Interface Neurale Directe de Black Ops 3, tissant BO7 dans la chronologie plus large.
Transition vers le Mode Endgame
Terminer les onze missions débloque Endgame, une expérience d’extraction PvE à 32 joueurs se déroulant sur Avalon. Ce n’est pas seulement du contenu post-jeu. C’est là que l’histoire de Dorne continue à travers les mises à jour saisonnières.
Endgame fonctionne sur un système de risque-récompense : mourir signifie perdre votre équipement, survivre signifie conserver votre équipement et votre progression. Des escouades de quatre travaillent à travers des objectifs dynamiques, améliorent des Pistes de Compétences uniques et s’extraient avec du butin.
Votre expérience de campagne vous prépare directement aux défis d’Endgame. Les cartes, les types d’ennemis et les mécanismes que vous avez maîtrisés pendant le mode histoire sont entièrement transférés. Si vous êtes curieux de savoir comment Warzone a évolué jusqu’à ce qu’il est aujourd’hui, vous pouvez lire l’annonce originale de Warzone pour voir le chemin parcouru par la formule Battle Royale. Cela montre comment le jeu s’est amélioré au fil du temps.
Gardez à l’esprit qu’Avalon finira par devenir une carte majeure de Warzone, donc le temps que vous investissez à apprendre sa disposition maintenant sera rentable dans plusieurs modes.
Stratégies Coopération et Solo Efficaces
La campagne de Black Ops 7 a été conçue dès le départ pour la coopération à quatre joueurs. La page officielle de la campagne co-op confirme que la difficulté reste fixe quelle que soit la taille de l’escouade, mais plus de joueurs signifie plus d’options tactiques. Des joueurs supplémentaires rendent les missions plus rapides et plus amusantes.
Pour les Escouades en Coopération :
Attribuez des rôles clairs avant de vous lancer. Désignez un joueur comme pointeur avec des fusils d’assaut et des tâches de percée, un comme soutien utilisant des LMG et un positionnement défensif, un comme reconnaissance pour le marquage de cible et un comme spécialiste technique pour gérer l’équipement. Annoncez les positions ennemies constamment car les environnements changent rapidement, et ce que vous voyez pourrait ne pas correspondre à la perspective de votre coéquipier pendant les séquences d’hallucination.
Pour les Joueurs Solo :
La patience devient votre meilleure arme. Le jeu ne s’adapte pas au jeu solo, vous faites donc face seul à des rencontres de niveau escouade complète. Visez à l’avance les angles courants avant d’avancer. Utilisez l’amélioration de terrain Voile d’Éther pour les évasions d’urgence pendant les moments accablants. Pendant les séquences d’hallucination, concentrez-vous sur l’identification des points d’ancrage, qui sont des éléments visuels qui restent cohérents et indiquent le bon chemin à suivre.
Faites le plein de kits d’auto-réanimation aux établis d’artisanat. Les courses en solo à travers les missions ultérieures deviennent brutales sans ce filet de sécurité. Si vous êtes nouveau dans la franchise ou avez besoin d’un rappel des mécanismes, le guide d’entraînement COD 101 couvre les fondamentaux dans tous les modes de jeu. Il vous aide à apprendre les bases rapidement.
Pourquoi BO7 sur Game Pass Change Tout
Un changement majeur à noter : Black Ops 7 a été lancé dès le premier jour sur Xbox Game Pass. Cela signifie que plus de joueurs que jamais se lancent dans la campagne sans avoir à payer le prix fort d’emblée. L’intégration de Call of Duty dans le Game Pass de Microsoft a rendu l’expérience coopérative plus accessible, remplissant les lobbies plus rapidement et facilitant la recherche de coéquipiers pour ces missions plus difficiles. Plus de joueurs rendent également le matchmaking plus rapide pour les joueurs solo.
FAQ
Combien de temps faut-il pour terminer la campagne de Black Ops 7 ?
Attendez-vous à environ 5 heures en coopération avec une escouade complète. Les parties solo durent généralement 6 à 7 heures en raison de la difficulté accrue et du manque de soutien de réanimation. La chasse à tous les objets de renseignement ajoute une heure ou deux.
Puis-je jouer à la campagne en solo ?
Oui, chaque mission prend en charge le jeu en solo. Cependant, la difficulté ne diminue pas, rendant certaines rencontres nettement plus difficiles sans coéquipiers pour attirer le feu et fournir des réanimations.
Ma progression de campagne est-elle reportée en multijoueur ?
Absolument. Black Ops 7 utilise un système de progression global. L’XP de campagne, les déverrouillages d’armes et la progression de camouflage contribuent tous à votre profil global dans le mode Multijoueur, Zombies et Warzone.
Y a-t-il plus d’une fin ?
La fin principale reste cohérente, mais le choix de David avec Kagan se reflète sur son développement de personnage depuis BO2. La révélation de Dorne met en place un contenu narratif continu quelle que soit la façon dont vous abordez le finale.
Quel est le meilleur ordre pour aborder les missions ?
Les missions suivent une séquence linéaire sans chemins ramifiés. Cependant, rejouer des missions terminées à des difficultés plus élevées débloque des récompenses supplémentaires et vous aide à maîtriser les stratégies pour Endgame.
Points Clés à Retenir
- Black Ops 7 comporte 11 missions de campagne prenant 5 à 7 heures selon le style de jeu
- Chaque mission contient un objet de renseignement caché pour le succès Loremaster
- La fin présente Alden Dorne comme le nouvel antagoniste à la tête de La Guilde
- Les escouades en coopération doivent attribuer des rôles ; les joueurs solo ont besoin de patience et de kits d’auto-réanimation
- La progression de campagne est directement reportée en mode Multijoueur, Zombies et Endgame
- Terminer toutes les missions débloque l’expérience d’extraction Endgame à 32 joueurs
