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PS5: Sony dans la continuité
Notre avis et analyse sur les premières infos sur la PlayStation 5 de Sony. Le Japonais se lance dans la Next-Gen avec de sérieux arguments.
Sony a donné de premières informations sur la PlayStation 5. Ce qu’il faut retenir? On ne change pas une équipe qui gagne.
Excusez-nous, mais ce que Sony appelle sa « console next-gen« , on le traduit directement par PlayStation 5. Peut-être que Sony n’optera pas pour ce nom, mais pour nous, c’est bien plus simple de faire ainsi. Et soyons honnête, il y a d’immenses chances pour que ce soit le nom final de cette console.
La PS5, une console surpuissante
Mais le nom ici ne nous intéresse pas. Comme lors de la présentation de la PS4 en février 2013, Sony ne veut pas encore montrer sa machine. Il souhaite simplement évoquer la philosophie derrière cette fameuse PS5. L’exclusivité revient à Wired qui a pu s’entretenir avec Mark Cerny. Un seul média a eu droit à cet honneur, et c’est ce mensuel américain dédié aux nouvelles technologies. Ce n’est pas si étonnant. Le vocabulaire employé est parfois un peu technique. Ça parle de CPU, GPU, Ryzen, RTX, SSD… Comme Microsoft l’avait fait autrefois pour sa Xbox One X via Digital Foundry, Sony souhaite s’adresser à un public d’initiés.
Il est néanmoins assez facile de résumer le tout: la PlayStation 5 sera une console surpuissante, capable de grandes prouesses visuelles. Est-ce que cela sera inférieur, supérieur ou égal à la prochaine console de Microsoft? Ça, personne ne le sait. Sony précise uniquement qu’il utilisera les dernières technologies mises au point par AMD ce qui devrait assurer, selon Eurogamer, un « véritable bond de génération. » Ce bond, on peut déjà l’imaginer via les différentes vidéos next-gen de NVidia et du Ray Tracing (RTX). Sony confirme en effet que sa PS5 sera capable de composer avec cette technologie.
Mais si on associe le RTX à un rendu visuel, le constructeur japonais évoque aussi des prouesses au niveau sonore. « Une nouvelle expérience« , dixit Mark Cerny. Architecte de la PS4 mais aussi de la regrettée PSVITA, le génie américain a été reconduit dans ses fonctions pour cette PS5. Le choix ne surprend guère. La PS4 est un immense succès. Avec plus de 90 millions de ventes, elle domine aisément le marché actuel. Mark Cerny est aussi quelqu’un qui, outre posséder une réelle vision du marché, sait parfaitement de quoi il parle. Il a un immense CV et est très respecté dans le milieu.
La PS5 n’a pas de temps à perdre
Selon Mark Cerny, au moment de faire le tour des studios, la demande la plus fréquente était l’intégration d’un SSD, ces supports de stockage hyper-rapides. La PS5 y aura droit, malgré le prix plutôt élevé de ces produits. Couplé à différentes magies —logiciel interne etc.— le résultat devrait être surprenant. Selon les dires de Jason Schreier, auteur de Blood, Sweat and Pixels, cette notion de faibles temps de chargement revenait souvent dans les couloirs de la Game Developers Conference ces derniers jours. Ce devrait même être l’un des arguments marketing de la PS5.

Après tout, c’est une notion extrêmement simple à comprendre. Quand on évoque de meilleurs graphismes, ça reste un peu abstrait. En revanche, des temps de chargement réduits, on saisit tout de suite. Cela va d’ailleurs avec notre époque actuelle où tout le monde ne semble jurer que par l’instantané. Lors de la présentation de Stadia, Google mettait aussi l’accent sur l’immense rapidité qu’avait sa technologie de Cloud Gaming à lancer un titre comme Assassin’s Creed Odyssey.
De manière plus ou moins discrète, Sony déclare aussi que la PS5 sera une console rétro-compatible, équipée d’un lecteur bluray, et que le PlayStation VR ne sera pas mis de côté. Enfin, la notion de 8K est également évoquée, même si on suppose que bon nombres de titres se contenteront de la 4K.
Pourquoi Sony communique maintenant sur sa PS5?
Comme chacun, Sony a besoin de montrer qu’il existe. Depuis quelques temps, on ne fait que parler du Cloud Gaming et de Google Stadia qui pourrait terrasser la concurrence. Microsoft est aussi plutôt bon. Le xCloud fait l’actualité, comme la possibilité de voir le Xbox Game Pass débarquer sur Nintendo Switch.
Sony, d’autant plus qu’il est leader, ne peut rester silencieux. Il ne sera pas à l’E3 —on suppose qu’un retour est prévu pour 2020 avec justement la PS5— mais il doit montrer qu’il existe dans ce monde où la concurrence est terrifiante. Par cette première intervention, Sony indique qu’il est toujours dans la course. En évoquant de faibles temps de chargement ou bien une meilleure qualité sonore, il veut mener la danse. Et ce n’est pas grave si la future Xbox possède les mêmes arguments; on associera tout directement à Sony car il a tiré en premier. C’est ce qui se passe avec le bouton Share alors que la Xbox One peut faire la même chose.
Ces infos sur la PlayStation 5 visent aussi à rassurer. Oui il y aura des changements —et notamment des options et services qui seront dévoilés plus tard—, mais on garde la même philosophie qu’avec la PS4. Il y aura du Cloud Gaming, mais également une console physique. Le démat’ sera de la partie, mais un lecteur bluray sera aussi inclus pour ceux qui ne jurent que par le marché physique. Il est d’ailleurs intéressant que cette info’ arrive au moment même où Microsoft annonce sa Xbox All Digital. Cela dit, la firme de Redmond ne fait que tâter le terrain et entend sans doute proposer plusieurs offres, pour convenir à tous les publics; la stratégie actuelle de Microsoft est assez brillante, loin des débuts compliqués de la Xbox One.
Quels jeux pour la PlayStation 5?
C’est désormais officiel, la PlayStation 5 sera rétro-compatible avec (au moins) tous les jeux PS4, chose que cette dernière ne faisait pas avec la PS3. Ce changement de situation est lié à l’architecture même de la PS5 et à la volonté de conserver les joueurs actuels. Dans les rapports financiers, de nombreuses compagnies s’expriment en MAU, ce nombre de joueurs mensuels actifs. C’est le cas pour Sony qui parle des utilisateurs du PSN, ces gens qui jouent en ligne, paient un abonnement au PS+ et achètent sur le PlayStation Store. A une époque où tout le monde est hyper connecté et où les Games As A Service cartonnent, Sony ne pouvait se mettre ces millions d’utilisateurs à dos.
Que ce soit Rocket League, Fortnite, Gran Turismo Sport, Uncharted 4 ou Rainbow Six Siege, tous ces jeux fonctionneront sur PS4. Il en va de même pour toute la ludothèque VR dont on sait que le casque —le PSVR— sera compatible avec la PS5. Cette machine accueillera sans doute un jour un périphérique plus évolué —sans fil, meilleur écran etc.— mais aux débuts de la PS5, tous les fans d’Astro Bot, Superhot VR et Beat Saber pourront se plonger à nouveau dans ces mondes virtuels.
Pour s’imposer, la PS5 aura néanmoins besoin de jeux inédits et de valeurs sûres. Assassin’s Creed Viking, même si multi-plateforme, sera sans doute largement mis en avant l’an prochain. Il en va de même pour le jeu vidéo Avengers de Square Enix, le prochain Rocksteady (Batman Arkham)… On suppose que de nombreux titres seront cross-gen, c’est-à-dire à la fois disponibles sur PS4 et PS5, le but étant de toucher un public très large. On se demande également si Death Stranding, The Last Of Us: Part II et Ghost Of Tsushima auront droit au même traitement, ou s’il ne s’agira que de simples remasters.

Une chose est sûre: tous les studios internes de Sony travaillent sur PS5, ou au moins sur quelques prototypes pour apprivoiser cette console next-gen. Il est évident que Santa Monica planche ainsi sur la suite de l’excellent God Of War. Ce dernier a été élu à plusieurs reprises ‘Jeu de l’année 2018‘ et se termine avec une fin ouverte. Sa suite sera sur PS5, sans doute aux alentours de 2022.
L’autre studio majeur de Sony au travail sur PS5 est Guerrilla Games. Le développement du très bon Horizon: Zero Dawn a pris fin en 2017. Depuis, ces équipes amstellodamoises planchent forcément sur une suite, là encore sur PS5. On aurait envie de miser sur 2021, pour donner un nouveau coup d’élan à la PS5, prévue pour 2020. Mais Guerrilla Games possède une autre cartouche. Il a mis sur pied une seconde équipe de développement et tout semble pointer vers un jeu de tir dirigé par l’une des têtes pensantes de Rainbow Six Siege. Est-ce un nouveau Killzone? Est-ce une nouvelle licence? Ce sera en tout cas un jeu en ligne, d’après des offres d’emploi apparues ces derniers jours.
Sans trop en dire, Sony se prépare à cette énième bataille de la next-gen. Une guerre nouvelle car de nouveaux acteurs vont faire leur apparition. Les affrontements se feront sur le cloud gaming mais aussi de manière plus traditionnelle avec des consoles physiques. La PS5 ne semble pas vouloir chambouler le marché. Elle reprend la philosophie de la PS4 —une machine surpuissante bâtie pour le jeu vidéo— tout en essayant d’améliorer l’expérience utilisateur de chacun. Il en faudra sans doute un peu plus pour se démarquer de la concurrence. Mais Sony a encore le temps. La PS5 n’arrivera pas avant 2020… ce qui devrait laisser beaucoup de temps à Microsoft et Google d’avancer leurs pions, notamment à l’E3 où le Japonais sera absent.
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Malgré le Cloud Gaming, le PlayStation Portal ne peut remplacer la PS5
Le PlayStation Portal a hérité d’une grosse mise à jour. Désormais, il permet de jouer à des milliers de jeux en cloud gaming. C’est une excellente nouvelle pour les possesseurs de cet accessoire qui reste malgré tout un complément à la PS5 et non un remplaçant.
Deux ans après son lancement et après une beta de plusieurs mois, le PlayStation Portal se met enfin au cloud gaming. Jusque-là, il s’agissait d’une console remote ; elle servait à se connecter à distance à sa PS5 pour jouer à des jeux PlayStation installés sur cette machine. Avec cette mise à jour gratuite, le PlayStation Portal s’émancipe et gagne en indépendance. Depuis n’importe où, avec une simple connexion internet, vous pouvez jouer à des milliers de jeux vidéo. C’est bien, mais ce n’est pas encore parfait.
Comment fonctionne le cloud gaming sur le PlayStation Portal ?
Après avoir fait la mise à jour, vous découvrirez un nouvel écran d’accueil. Le PlayStation Portal dispose alors de 3 onglets. Le premier est la lecture à distance (remote) afin de se connecter à votre PS5. Le deuxième onglet est dédié au cloud gaming avec un accès direct à un large catalogue de jeux. Et le dernier est un moteur de recherche.
Il suffit ensuite de cliquer sur l’un des jeux pour le lancer et y jouer normalement.
L’option Remote du PlayStation Portal est accessible à tous. En revanche, pour accéder aux jeux en cloud gaming, il est obligatoire de posséder un compte PlayStation Plus Premium. Il s’agit de l’abonnement le plus onéreux, celui qui coûte 151,99€ par an, soit 12,66€/mois. Il offre cette option de streaming, en plus d’un accès au catalogue de jeux dits classiques, de versions d’essai pour certains titres et la possibilité de regarder des dizaines de films Sony Pictures.
Quels sont les jeux compatibles sur le PlayStation Portal ?
Au total, plus de 2800 jeux sont jouables en cloud gaming sur le PlayStation Portal. Il s’agit à la fois de certains titres du catalogue PlayStation Plus Premium, et de certains titres de votre propre bibliothèque de jeux numériques.

Dans les faits, on retrouve des jeux PS1, PS2, PSP, PS4 et PS5. Clair Obscur : Expedition 33, Ghost Of Yotei, Helldivers 2 et Fortnite sont par exemple compatibles. En revanche, des titres comme EA FC 26, Stardew Valley ou Death Stranding 2 ne peuvent pas être joués en Cloud Gaming. Il faudra alors passer par l’option Remote.
Naturellement, les jeux en réalité virtuelle ne sont pas non plus compatibles avec le PlayStation Portal.
Pourquoi l’expérience Portal n’est pas encore optimale ? Que manque-t-il à cette console ?
Le PlayStation Portal est un excellent accessoire. La qualité de l’écran est bonne et la prise en main excellente —il s’agit en fait d’une DualSense avec un large écran au milieu. En revanche, le Portal n’est pas encore prêt à remplacer la PS5.
Comme dit plus haut, il manque encore pas mal de jeux, même si on suppose que la liste des titres compatibles augmentera avec le temps.
Autre souci, le PlayStation Store n’est pas intégré nativement au Portal. Si on souhaite acheter un jeu, il faut alors passer par son téléphone ou un ordinateur, ce qui est forcément moins pratique.
On regrette aussi l’absence de consultation de ses trophées. On peut toujours en gagner, mais impossible de voir de quoi il s’agit exactement. Dans le même genre, on ne peut regarder ceux qui nous manquent.
Enfin, la gestion des sauvegardes peut parfois nous jouer des tours. Il faudrait une option de synchronisation pour être sûr que le jeu charge notre dernière sauvegarde. Sur un titre que j’ai fini récemment, il m’a remis au début de l’aventure, et a écrasé ma sauvegarde dans le Cloud. En rallumant la PS5 et uploadant la sauvegarde présente sur la console, cela a tout corrigé. Mais cela montre qu’il est nécessaire d’avoir une PS5 à ses côtés.
Quel bilan pour le PlayStation Portal et l’option Cloud Gaming ?
Il y a des manques qui sont évidents. Mais il faut bien admettre que le PlayStation Portal est devenu encore plus intéressant. Il repose tout de même sur un joli catalogue, et jouer dessus est hyper agréable.
Si vous êtes souvent en déplacement et que vous avez un abonnement PlayStation Plus Premium, alors le Portal est un merveilleux accessoire.
En revanche, si vous n’avez jamais eu de console PlayStation, et que vous souhaitez vous y mettre à travers le Portal et un abonnement Premium, je serais moins enthousiaste, la faute notamment à pas mal de jeux récents manquants. Ce peut être une porte d’entrée intéressante, à condition de se laisser porter par la liste des jeux PlayStation Plus, et donc une sélection imposée. Elle reste toutefois alléchante avec pas mal d’exclusivités dans le lot. Mais pour jouer à des titres bien précis, vérifiez au préalable la liste des jeux compatibles avec le PlayStation Portal.
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PS Plus : les jeux gratuits de novembre 2025 à ne pas manquer
Le service d’abonnement PS Plus gâte à nouveau ses membres : pour le mois de novembre 2025, trois nouveaux jeux gratuits sont disponibles pour les formules Essential, Extra et Premium. Ces titres s’ajoutent à votre bibliothèque et restent accessibles tant que vous conservez votre abonnement.
Une sélection variée pour tous les profils
Stray : l’indé française qui charme
Le premier titre mis à l’honneur est Stray, un jeu indépendant français développé par BlueTwelve Studio et édité par Annapurna Interactive. Vous incarnez un chat séparé de sa portée, dans une cité futuriste peuplée de robots, et devez trouver votre chemin en résolvant des énigmes environnementales.
Ce jeu mêle exploration, ambiance soignée et originalité narrative : un excellent ajout à votre catalogue.
EA Sports WRC 24 : l’expérience rallye
Pour les amateurs de course, EA Sports WRC 24 est proposé gratuitement ce mois-ci. Cette simulation de rallye inclut plus de 200 spéciales à travers le monde, de la Monte-Carlo au Japon, en passant par le Kenya ou le Portugal.
Pilotez des modèles emblématiques comme la Ford Fiesta Rally3 Evo ou la Toyota Yaris Rally1 Hybrid ’24 – un titre idéal pour les fans de sensations et de conduite technique.
Totally Accurate Battle Simulator : fun multijoueur garanti
Enfin, Totally Accurate Battle Simulator (TABS) : un jeu délirant mêlant stratégie, humour et création de contenu. Prenez la tête d’armées loufoques, jouez en solo ou en multi, et même créez vos propres cartes pour prolonger l’expérience.
Un excellent titre pour des sessions relax entre amis ou en famille.
À noter avant de les récupérer
• Les jeux sont disponibles pour tous les abonnés PS Plus (Essential, Extra, Premium) ; 
• Il faut les ajouter à votre bibliothèque avant le début du mois suivant pour en profiter.
• Même si l’accès est actif tant que l’abonnement est maintenu, certains contenus ou extensions peuvent être payants en supplément.
Conclusion
En novembre 2025, PS Plus propose une belle fournée de jeux gratuits : Stray, EA Sports WRC 24 et Totally Accurate Battle Simulator. Trois titres très différents mais chacun pertinent à sa façon, que vous soyez amateur d’ambiance narrative, de course ou de fun multijoueur. Pensez à les récupérer rapidement pour ne pas les manquer.
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Biped 2 : le retour des petits robots dans une aventure coopérative aussi fun que maligne
Sorti le 5 novembre 2025 sur PC, PS5, Xbox Series et Nintendo Switch, Biped 2 signe le grand retour des robots Aku et Sila dans une nouvelle aventure pleine d’humour et de coopération. Développé par NEXT Studios et édité par META Publishing, ce second épisode pousse encore plus loin les mécaniques de plateforme et de puzzle qui avaient fait le succès du premier opus.
Un concept simple et efficace
Dans Biped 2, les joueurs incarnent deux robots bipèdes chargés d’explorer une planète inconnue après la réception d’un mystérieux signal. Le concept est identique à celui du premier jeu : progresser à travers des niveaux truffés d’énigmes, d’obstacles physiques et de passages coopératifs à résoudre en duo.
Chaque jambe du robot est contrôlée indépendamment via les sticks analogiques, une idée originale qui donne au jeu une identité unique et un vrai challenge d’adresse. Cette mécanique reste au cœur du gameplay, mais le studio y ajoute désormais des nouveautés : grappin, deltaplane, glissades et interactions environnementales inédites.
Coopération renforcée et gameplay évolutif
L’un des grands plaisirs de Biped 2, c’est sa dimension coopérative. Le titre a été conçu pour être joué à deux, mais il intègre désormais un mode à quatre joueurs, de quoi multiplier les fous rires et les situations imprévisibles.
Certaines énigmes reposent entièrement sur la synchronisation entre les partenaires. L’un actionne un levier pendant que l’autre maintient une plateforme, ou les deux doivent bouger leurs jambes en rythme pour franchir un gouffre. Le tout demande coordination, communication et un vrai sens du timing.
En solo, le jeu reste accessible : les deux robots sont contrôlables par le même joueur, mais l’expérience reste plus exigeante qu’à plusieurs.
Un univers coloré et apaisant
Biped 2 mise sur un ton léger et une direction artistique très colorée. Loin du réalisme, le jeu propose des environnements variés — forêts, montagnes, planètes de glace ou déserts lumineux — avec un rendu visuel simple mais chaleureux.
Chaque biome réserve ses propres mécaniques, de nouveaux obstacles et parfois même des mini-boss à résoudre par la logique ou la coopération. La bande-son, discrète mais bien intégrée, renforce cette sensation de voyage et d’exploration détendue.
Du contenu et de la rejouabilité
Le jeu propose une campagne principale jouable seul ou en coopération, mais aussi des défis chronométrés et un éditeur de niveaux. Ce dernier permet à la communauté de créer et partager ses propres puzzles, garantissant une excellente rejouabilité.
Avec la possibilité de jouer à quatre, Biped 2 s’inscrit dans la lignée des grands jeux coopératifs modernes : simple à prendre en main, mais exigeant à maîtriser.
Un jeu accessible à tous les profils
- En duo local ou en ligne : idéal pour les soirées entre amis ou en famille.
- En solo : plus technique, mais toujours amusant.
- En communauté : les niveaux créés par d’autres joueurs prolongent la durée de vie.
Le ton général reste bienveillant et accessible, ce qui en fait une porte d’entrée idéale vers les jeux de plateforme modernes.
Plateformes : PC, PS5, Xbox Series, Nintendo Switch
