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Test : FIFA 22 (PS5/Xbox Series X|S) – le football spectacle sur next-gen

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FIFA 22 entre confiant sur le terrain. Il sait très bien qu’en face, la concurrence a du mal. Lui, de son côté, il resplendit. Il impressionne, il fait le beau, surtout sur next-gen. Mais quand il s’agit de déployer son jeu, que vaut-il vraiment ?

FIFA 22 démarre par une longue introduction. Notre avatar côtoie alors David Beckham dans un hôtel de luxe ; il fait des passes avec Lisa Zimouche dans Paris ; il tape un sprint pour aller au métro. On le retrouve ensuite au Parc des Princes, afin de s’entrainer avec Thierry Henry. Et enfin, il assiste à un match aux côtés de DJ Snake et Lewis Hamilton.

Pendant une dizaine de minutes, FIFA 22 en met plein la vue. C’est surprenant et plutôt réussi, mis à part les doublages. Ne pas entendre les vraies voix de Thierry Henry ou Kylian Mbappé est assez déconcertant. Malgré tout, ces quelques instants proposent de bons moments et un petit tuto sympatique.

On arrive ensuite sur le menu principal où les choses sérieuses commencent. Les menus listent tous les modes de jeu et comme toujours, FIFA 22 est hyper complet. Ultimate Team est bien sûr largement mis en avant. Mais on retrouve aussi un mode carrière en tant que joueur ou manager ; des matchs avec les équipes féminines ; les licences UEFA dont la Ligue des Champions ; Volta pour du 3v3, 4v4 ou 5v5, ou des mini-jeux. Mais au final, le plus important, c’est ce qui se passe sur la pelouse.

Des animations affinées

La grande nouveauté de FIFA 22 est l’hyper-motion. Cette nouvelle technologie permet des mouvements plus aboutis. Pour arriver à un tel résultat, Electronic Arts a enregistré les faits et gestes de joueurs pendant plusieurs matchs. Le jeu va ensuite puiser parmi toutes ces informations pour sortir des animations toujours plus cohérentes avec la réalité.

L’Hyper-Motion est véritablement la tête d’affiche de ce FIFA 22. On le retrouve même sur la pochette du jeu. Cette technologie n’est pourtant pas si nouvelle. Elle existe depuis plusieurs années mais elle fait toujours son petit effet.

C’est fou le nombre de supporters du PSG que l’on peut retrouver en ligne.

FIFA 22 est donc un peu plus beau et ses animations plus précises. Dans le détail, on note toutefois certaines transitions curieuses et des mini-glissades pour ajuster la position des jambes. Ce n’est pas encore optimal, mais on est sur la bonne voie, notamment au niveau des collisions. En revanche, on a toujours cette impression que les joueurs flottent au dessus du terrain quand ils sprintent.

Les vraies stars de FIFA 22 : les gardiens

La notion d’Hyper-Motion est associée aux joueurs de champ. Les gardiens n’ont toutefois pas été oubliés. Ils ont même été largement revus. Ils disposent ainsi de nouveaux arrêts —et donc animations. Ce n’est pas simplement pour faire joli. Ces derniers remparts ont ainsi gagné en efficacité, notamment pour tout ce qui est face à face.

C’est clairement appréciable et on peut —dans la majorité des cas— avoir confiance en nos gardiens. Pour faire simple, ils arrêtent des frappes qu’il semble logique de pouvoir stopper.

Hélas, en face d’eux, on retrouve bien souvent des attaquants surpuissants. Et quand le but est inscrit, il est alors difficile d’en vouloir à notre ultime rempart.

Le lièvre plus rapide que la tortue

FIFA 22 est un titre qui favorise comme toujours la vitesse. Prenez Giroud par exemple. Que ce soit en accélération ou en vitesse, il est proche du tracteur. Il a néanmoins un physique imposant et un excellent jeu de tête. Il est alors utile pour les déviations ou le jeu dos au but. Mais cela demande de vrais efforts, une certaine maitrise. Alors que courir tout droit est plus simple et plus rapide.

C’est donc un jeu qui va à nouveau à 100 à l’heure. On pourra toujours débattre si c’est un poil plus lent ou rapide que le 21 mais le résultat est le même : ce gameplay mise sur la vitesse.

Faire monter son latéral amène un surnombre en attaque, mais apporte une mauvaise surprise en cas de contre.

C’est en courant à toute allure que l’on traverse le terrain ou on transperce les ailes ; s’échapper sur un côté est le moyen le plus sûr de remonter la balle en un clin d’oeil.

Les attaquants sont vifs et agiles. Comme souvent, ils peuvent se retourner, changer de direction en une fraction de seconde. Bref, ils sont imprévisibles. Et si cela ne suffisait pas, FIFA 22 revoit ses accélérations ; celles-ci sont désormais plus explosives.

Un FIFA 22 a mi-chemin entre arcade et simulation

La priorité est donc donnée à l’attaque dans FIFA 22. On peut même enclencher de sacrées frappes aux 20/25 mètres. Ces tirs font alors trembler les filets et les gardiens n’y peuvent rien : le geste est (trop) parfait.

Ce n’est guère une surprise. Depuis des années FIFA mise sur le spectacle. Que ce soit ce rythme frénétique, ces frappes puissantes ou ces dribbles impressionnants : il faut que ça brille.

FIFA, c’est aussi l’éloge des stars, quitte à surnoter pas mal de monde. Et alors ? Oui, ça manque de finesse. Oui, le côté arcade prend le pas sur la simulation. Mais c’est ainsi que FIFA a bâti sa renommée ces dernières années. C’est un jeu accessible, profond et intense.

Il n’y a pas de temps mort. C’est de l’attaque-défense pendant 90 minutes ; tout le monde joue sa vie le temps d’un match ; la performance individuelle l’emporte sur l’aspect tactique.

La Ligue des Champions est bien sûr dans FIFA 22. En revanche, plusieurs clubs italiens (Atalanta, Juv, Lazio et Roma) n’ont pas leur licence officielle.

Dans ces conditions, il est indispensable de bien défendre. Le mieux est alors de demander aux joueurs de ne pas trop monter. Car s’il y a une contre-attaque —et il est évident qu’il y en aura une— celle-ci sera mortelle.

On note aussi que les milieux et les défenseurs sont assez hargneux. Ils font leur maximum pour couper les passes ; le pressing est agressif ; ils n’hésitent pas à laisser trainer le pied pour tout récupérer.

Les centraux essayent aussi d’empêcher chaque frappe. Ou plutôt, ils essayent de les contrer. La balle a alors tendance à beaucoup rebondir et donc, à créer pas mal de contres favorables.

La force tranquille

Dès qu’on joue avec une équipe plutôt bien notée, FIFA 22 se transforme en football champagne. Tout devient alors plus facile, plus précis. On peut prendre l’exemple des transversales : celles-ci sont téléguidées dans les pieds des joueurs.

Ce n’est pas très réaliste mais c’est beau à voir.

Autre effet très visuel, les joueurs sont plus expressifs sur le terrain. Ils font plus de gestes pour réclamer la balle, ils exultent après certaines actions… Cela rend l’ensemble plus vivant et plus festif.

Lancer en profondeur son attaquant, l’arme ultime de FIFA.

En d’autres termes, FIFA 22 est dans la lignée des précédents épisodes. Il n’y a pas de révolution si ce n’est le nouvel apport des gardiens. Ça reste ce jeu hyper complet au gameplay très rapide. Et cela lui joue forcément des tours.

Il tend davantage vers l’arcade, ce qui appauvrit son jeu. C’est dommage car FIFA 22 propose un gameplay très riche. Il n’y a qu’à voir les différentes types de passes qui offrent de multiples solutions. C’en est brillant mais au final, on s’en sert à peine ; il est tellement plus simple de progresser à coup de une-deux.

Malgré l’arrivée de nouvelles consoles, FIFA 22 ne surprend pas. On en attend mieux ; on souhaiterait presque qu’il se réinvente. A la place, il mise sur ses valeurs sûres et cherche avant tout à être efficace.

C’est quelque chose que l’on comprend facilement. Depuis des années, FIFA écrase la concurrence. Il faut dire que celle-ci est maladroite et peine à réagir. Chez EA, c’est l’inverse. Il envoie à chaque fois l’artillerie lourde. L’éditeur américain a bien compris que ce qui comptait : taper fort et aller vite. Tout le programme de FIFA 22, en soit.

PS : Les versions PS4 et Xbox One n’ont pas l’hyper-motion ou les temps de chargement instantanés. En revanche, elles héritent bien des mêmes gardiens.

FIFA 22 est édité et développé par Electronic Arts. Jeu disponible le 1er octobre sur PC, PS4, PS5, Switch, Stadia, Xbox One et Xbox Series X|S. Ce test de FIFA 22 a été réalisé sur PS5. PEGI 3.

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La PS6 en approche, mais pour quoi faire ?

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Le temps passe et on parle de plus en plus de la PlayStation 6. De premiers détails fuitent, et chacun se pose cette même question : a-t-on besoin d’une console next-gen ?

Cet article est écrit en collaboration avec la newsletter substack « le Résumé Jeu Vidéo par Xavier ».

Yoshi P jette un pavé dans la mare

Dans une interview donnée à Feed4Gamers, Yoshi P s’est exprimé au sujet de la prochaine génération de consoles. « Quand j’observe les choses avec le regard d’un joueur, je me dis que nous n’avons pas besoin de nouvelles consoles. A l’heure actuelle, les gens sont pleinement satisfaits de leur Xbox Series X, PS5 ou Switch 2. Et il faut bien le dire : les consoles coûtent vraiment chères.« 

Les propos du producteur de Final Fantasy XIV et Final Fantasy XVI sont clairs. Et pourtant, chaque constructeur a en ligne de mire la next-gen. Au sujet de Sony, pas mal de rumeurs circulent ces derniers temps. On parle notamment d’une PlayStation 6 accompagnée d’une version portable, forcément moins puissante. Aucune date de sortie précise n’est partagée, mais on évoque souvent 2028. Ce ne serait pas illogique. Une génération de console dure généralement entre 6 et 8 ans. La PS5 est sortie en novembre 2020, le compte est bon.

Du côté de Sony, ces rumeurs n’ont jamais été commentées. Aucune console next-gen n’a été officialisée, aucun indice n’a été donné. Hideaki Nishino, PDG de PlayStation, a toutefois confirmé lors d’une réunion avec ses investisseurs que sa société réfléchissait activement à l’avenir de sa marque et de sa plateforme.

Quel héritage pour la PS5 ?

La PlayStation 5 est un immense succès pour Sony. Malgré un prix qui ne baisse pas —et qui au contraire augmente—, en dépit d’une pénurie de composants et du COVID, la PS5 suit les traces de la PS4 avec 80 millions de consoles en presque 5 ans. Plus fort encore, cette génération est celle qui a généré des bénéfices records pour le Japonais. La PS5 fait même mieux que toutes les précédentes consoles… additionnées.

Extrait des comptes de PlayStation.

La PS2 avait autrefois le lecteur DVD ; la PS3 le Bluray ; la PS4 ce gain de puissance supplémentaire… La PS5 est quant à elle la console du confort. Elle permet de jouer en 4K à une époque où la plupart des foyers est équipée d’un téléviseur UHD. Et surtout, elle réduit à peau de chagrin les temps de chargement. Ceux-ci ne durent désormais qu’une poignée de secondes, et sont même invisibles sur certains titres. Ces deux arguments peuvent paraître légers, mais il est difficile de retourner en arrière quand on a connu cela. Et surtout, les chiffres parlent pour eux-mêmes : la PS5 porte la marque PlayStation.

Une course à la puissance désuète

Une nouvelle génération de consoles est souvent marquée par de meilleurs graphismes. Ce sera évidemment le cas avec la PS6 où on s’approchera un peu plus du photo-réalisme. Le problème est que la course aux graphismes et à la puissance a de moins en moins d’intérêt.

Il faut désormais beaucoup de travails pour de simples détails ; cela demande beaucoup de temps pour un gain qui est plutôt faible. On reprend notre exemple avec les remakes de Final Fantasy VII. Entre le premier et le deuxième épisode, Cloud a doublé son nombre de polygones. Le jeu est-il pour autant deux fois plus beau ? La réponse est non.

A gauche, Cloud sur PS4. A droite, Cloud sur PS5.

Une console plus puissante signifie également une machine plutôt chère. Or, on vit à une époque où 5 ans après sa sortie, la PS5 coûte 550€ avec un lecteur de disque ; la PS5 Pro est quant à elle proposée à 800€… sans lecteur physique. A combien faudrait-il alors s’attendre si une PS6 devait sortir d’ici deux ou trois ans ? On ignore la réponse mais on se dit que ce serait forcément très élevé.

Cette génération est également marquée par deux phénomènes. Le premier est des temps de développement qui dure parfois 5 ou 7 ans. Par exemple, un studio comme Naughty Dog n’a toujours pas sorti de jeux originaux sur cette génération —uniquement des remasters ou remakes. Le deuxième phénomène est la popularité des jeux-services, souvent sous la forme de Free-To-Play. Environ 30% des joueurs console jouent à Fortnite, et le top 10 des jeux-service représente environ 50% du temps de jeu sur PlayStation et Xbox. Or, il s’agit souvent de jeux ayant un certain âge et donc un certain rendu : Apex, Minecraft, Fortnite, GTA…

Pour faire simple, les nouvelles générations se fichent des graphismes. Et c’est pour cela que la PlayStation 6 et la Xbox Next-Gen auront un sacré défi à relever à leur sortie.

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007 First Light : James Bond dévoile son premier gameplay, sortie prévue en mars 2026

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007 First Light, le nouveau jeu vidéo James Bond développé par IO Interactive (Hitman) en partenariat avec Amazon MGM Studios, a révélé sa première séquence de gameplay lors du PlayStation State of Play.

Le titre sortira le 27 mars 2026 sur PS5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch 2 et PC, et il est déjà disponible en précommande.

Une histoire originale qui explore les débuts de James Bond

Dans ce nouvel opus, James Bond n’est pas encore l’espion accompli que l’on connaît. Le jeu proposera une histoire inédite, centrée sur les origines du héros.

Le casting vocal et motion capture a été dévoilé :

  • Patrick Gibson (Dexter: Original Sin, The OA) incarnera James Bond.

  • M (Priyanga Burford), Q (Alastair Mackenzie) et Miss Moneypenny (Kiera Lester) feront partie de l’aventure.

  • De nouveaux personnages apparaîtront, dont John Greenway (Lennie James, Fear the Walking Dead) et Miss Roth (Noemie Nakai).

Un gameplay pensé pour l’espionnage et la créativité

IO Interactive met en avant son Approche Créative, une philosophie de design qui laisse une grande liberté au joueur.

Spycraft

L’observation, la discrétion et l’infiltration seront essentielles pour atteindre ses objectifs.

Instinct

Une mécanique qui permet à Bond d’improviser, de piéger ses ennemis, de bluffer lors d’une détection ou d’améliorer sa précision en combat.

Gadgets de Q

Crochetage, piratage, diversions… Les outils emblématiques évolueront au fil du jeu et offriront de nouvelles options stratégiques.

Combats fluides et cinématographiques

Le système alterne entre tirs précis, combats rapprochés dynamiques et mises en scène spectaculaires, pour retranscrire le style unique de l’agent 007.

Des missions variées

La présentation a montré deux environnements emblématiques :

  • Une mission d’infiltration lors d’un tournoi d’échecs en Slovaquie.

  • Une séquence prestigieuse dans un gala londonien à Kensington.

Le jeu inclura également des séquences cinématographiques intenses : courses-poursuites, fusillades, affrontements dans un avion piraté ou encore sauts dans le vide.

Prix et bonus de précommande

Toute précommande donne accès gratuitement à la mise à niveau vers l’édition Deluxe.

007 First Light, la nouvelle référence de James Bond ?

Avec ce projet, IO Interactive ambitionne de créer l’expérience James Bond ultime.
Si la promesse est tenue, 007 First Light pourrait devenir pour 007 ce que la saga Batman Arkham a été pour le Chevalier Noir : une référence incontournable du jeu vidéo d’action et d’espionnage.

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PlayStation Plus : les jeux de septembre 2025 disponibles aujourd’hui

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Voici la liste des jeux offerts sur le PlayStation Plus Essential en septembre 2025.

C’est la rentrée pour tout le monde, et le PlayStation Plus donne envie de rester chez soi pour jouer. On a souvent connu des mois décevants. Septembre 2025 est différent. Il y a du bon et même du très bon… à condition de ne pas y avoir déjà joué.

Jeux PS4 et PS5 offerts sur le PS Plus en septembre 2025

A compter de ce mardi 2 septembre, tous les abonnés au PlayStation Plus peuvent télécharger sans surcoût :

  • Psychonauts 2 (PS4)
  • Stardew Valley (PS4)
  • Viewfinder (PS4/PS5)

Ces trois titres succèdent à Lies Of P, DayZ et My Hero One’s Justice 2 qui avaient été offerts en août.

La sélection est intéressante. Psychonauts 2 est un excellent jeu de plateforme qui trône fièrement à 87/100 sur Metacritic. Ce jeu a été conçu par Double Fine, un studio dont la maison mère n’est autre que Microsoft.

Stardew Valley est quant à lui un classique, un titre qui date de 2016. Comme quoi, être patient paye par moment. C’est un jeu de rôle où on doit notamment gérer sa ferme. C’est également une belle histoire, celle d’un homme, Eric Barone, qui a développé seul ce jeu pendant 5 ans. Cela a été compliqué, il y a eu des hauts et des bas, mais grâce au soutien sans faille de sa compagne, il a réussi. Eric Barone a même eu droit à un chapitre entier dans Blood, Sweat & Pixels, un livre passionnant revenant sur les coulisses de nombreux jeux, dont Stardew Valley.

Beaucoup feront remarquer que Stardew Valley s’est vendu à 40 millions d’exemplaires. De ce fait, nombreux sont ceux qui possèdent déjà le jeu. Certes. Son inclusion sur le PlayStation Plus permettra toutefois de toucher un nouveau public —ceux qui pensent ne pas être intéressés par ce type de jeu— mais aussi les plus jeunes, ceux qui, en 2016, jouaient peu. On notera également que ce titre n’est offert que sur PS4 alors qu’autrefois, il était cross-buy PS Vita.

Enfin, le troisième et dernier jeu est Viewfinder. Il s’agit d’un jeu d’énigmes à la première personne dans lequel vous pouvez notamment vous balader dans les clichés pris à travers un appareil photos. C’est pour le moins original et ça dure environ 4 à 6h.

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