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Xbox Series X|S, Game Pass, xCloud: Microsoft peut-il tout révolutionner?

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Entre la Xbox Series S, la Xbox Series X, le xCloud et le Game Pass, la stratégie next-gen de Microsoft est surprenante. Le constructeur américain vise très large. Il ambitionne de plaire à tout le monde. Et pour ça, il est prêt à tout révolutionner. Et à ce petit jeu là, personne ne peut dire s’il a raison d’attaquer sur tous les fronts.

Xbox Series X, Xbox Series S: c’est une première

Jamais un constructeur n’a dans le passé proposer au lancement deux consoles next-gen très différentes. Généralement, c’est une machine unique, ou bien quelques variantes liées aux capacités de stockages. Avec la Xbox Series S et la Xbox Series X, Microsoft innove. Ce sont bien deux modèles n’ayant pas les mêmes caractéristiques.

La Xbox Series X, c’est le haut de gamme. Il s’agit de la console la plus puissante du marché, dépassant même la PlayStation 5. Comparée à la Xbox Series S, elle a plus de RAM et un meilleur GPU. Enfin, la Xbox Series X est plus chère: elle coûtera 499€ à sa sortie.

La Xbox Series X, la console la plus puissante jamais conçue. Ou du moins, en 2020.

La Xbox Series S est un modèle entrée voire moyen de gamme. Elle dispose d’une solide puissance mais reste en retrait de la Xbox Series X. C’est aussi une console ne disposant d’aucun lecteur optique. Tout se fera en dématérialisé, ce qui est étrange. La XSS dispose en effet d’un faible espace de stockage: environ 500Go alors que la XSX hérite de 1To. Quant au prix, la Xbox Series S sera mise en vente à 299€.

Dès le 10 novembre, date de sortie des Xbox Series X|S, les consommateurs auront donc le choix entre deux modèles. Quel choix feront-ils? On ne sait pas. Comprendront-ils bien la différence entre ces deux consoles? Là encore, c’est l’inconnu. Quand on se renseigne un peu, la Xbox Series X est bien sûr la plus intéressante grâce à sa puissance et son lecteur de disque. Mais elle est surtout 200€ plus chère. Et ça, ce n’est pas anodin.

Deux consoles pour une même expérience next-gen?

Trois cents euros pour de la next-gen, ce n’est vraiment pas cher. C’est grosso-modo le prix des consoles actuelles. S’acheter une Xbox Series S, c’est passer à la next-gen sans douleur. Certes, visuellement, ce ne sera pas ce qui se fera de mieux, mais ce sera l’assurance de jouer à tous les futurs jeux, en profitant par exemple d’un SSD. On rappelle que ce support de stockage offre notamment des temps de chargement très rapides.

Dans son tableau comparatif, Microsoft vise à expliquer la différence qu’il y aura entre la Xbox Series S et la Xbox Series X. La première citée vise le 1440p à 60FPS. La seconde essaiera de proposer de la 4K à 60FPS. En soi, chaque développeur est libre de viser les spec’ qu’il souhaite, que ce soit au niveau de la résolution ou de la framerate. Et si le 30FPS est si populaire sur console, pour faire simple, c’est parce qu’il permet de mettre le paquet sur les graphismes.

Le fait est que la Xbox Series X et la S seront vraiment différentes. Il n’existe encore aucun comparatif vidéo. Mais on sait d’ores et déjà que les jeux ne tourneront pas de la même manière. Gearbox a ainsi prévenu que la mise à jour de Borderlands 3 sur Xbox permettrait de jouer en 4K à 60FPS, uniquement sur la Series X. Sur la S, c’est l’inconnu.

Plusieurs développeurs ont réagi à la suite de l’annonce de la Xbox Series S. Et il y a de tout. Chez id Software, on confirme que cette machine fait mieux que les consoles actuelles, mais on aurait préféré plus de mémoire. Même son de cloche chez Remedy où il faudra faire des concessions, sans doute sur la résolution. Chez les créateurs de Trevor Saves The Universe, on ne comprend pas en revanche ce choix de proposer deux consoles distinctes.

Et n’oublions pas que les premiers jeux de la Xbox Series X|S seront aussi sur Xbox One, c’est-à-dire cross-gen. Ce doit être un vrai casse-tête d’optimisation.

Un lancement sans jeu marquant

Les Xbox Series X|S seront commercialisées le 10 novembre. C’est un lancement qui sera intéressant à suivre car auprès du grand public, il y aura sans doute une forme de confusion. Series X et Series S, ce n’est pas très parlant. Dire que l’une est plus puissante que l’autre, ça jette un froid sur la plus faible. Et on espère pour Microsoft que sur les étals, il n’y aura pas en plus des consoles Xbox One S et Xbox One X.

Le véritable souci que pourrait rencontrer Microsoft, c’est l’absence d’exclusivité forte. Gears Tactics, c’est sans doute un jeu très sympa’, mais ce n’est pas une killer-app. Même s’il n’a pas impressionné en juillet dernier, Halo: Infinite aurait fait beaucoup de bien à la Xbox Series X|S. Le fait est qu’il ne sera pas l’ambassadeur de cette machine. A la place, il va retourner en développement pendant plusieurs mois histoire de se faire beau.

En 2021, sur Xbox Series X|S, il y aura donc Halo et Forza MotorSport. C’est déjà un très joli line-up. Mais pour cette fin d’année 2020, il faudra se contenter des éditeurs tiers. C’est déjà pas mal puisque dans le tas, il y a Assassin’s Creed Valhalla, DIRT 5, Watch Dogs Legion ou Cyberpunk 2077. Ces jeux seront toutefois également disponibles sur PlayStation 5. Dès lors, la Xbox Series X|S risque de manquer de personnalité. A moins que la vérité soit ailleurs.

Le Game Pass reste le meilleur argument de la Xbox Series X|S

En fait, Microsoft n’a pas vraiment besoin d’exclusivité pour le lancement de la Xbox Series X|S. Bien sûr, ça aurait été mieux avec, mais en soi, le Xbox Game Pass suffit.

Le Xbox Game Pass, dans sa version Ultimate, c’est cet abonnement au prix de 12,99€ par mois. Ce service offre alors accès à un très large catalogue de (très bons) jeux sur PC et Xbox. Il inclut également l’abonnement au Xbox Live Gold —indispensable pour jouer en ligne— et du cloud gaming sur téléphones et tablettes Android.

Tous les jeux Xbox Game Studios arrivent Day 1 sur le Xbox Game Pass.

Mais ce n’est pas tout. Microsoft a aussi annoncé que le Xbox Game Pass intégrerait prochainement l’EA Play, sans surcoût. Le service d’Electronic Arts est une sorte de mini-concurrent au Game Pass, principalement constitué de jeux de l’éditeur américain. Ce ne sont pas les titres les plus récents, mais on retrouve les jeux de sport de l’an dernier, Battlefield V, Need For Speed Heat, Star Wars Battlefront II…

Cela signifie que pour le prix de deux jeux par an, chaque abonné aura accès à un immense catalogue de jeux Xbox, en provenance de différents éditeurs, dont EA. Et n’oublions pas que chaque exclusivité Microsoft arrive le jour même de sa sortie dans le Xbox Game Pass. Petit rappel: le constructeur américain possède une dizaine d’équipes.

Le Xbox Game Pass, c’est ce qui se rapproche le plus du Netflix du jeu vidéo. Il y a des productions un peu faible, mais il y a sans cesse des titres accrocheurs qui sont ajoutés. Sur Xbox, le Game Pass est presque devenu un indispensable… à condition de consommer énormément. Pour les joueurs très occasionnels, cet immense contenu peut effrayer.

A quoi joue Microsoft?

Game Pass, xCloud, Xbox Series X|S… Microsoft joue sur tous les tableaux. Dans ce genre de situation, il est alors normal que l’on assiste à des situations un peu étrange. Il y a ces deux consoles qui remettent en cause la notion même de next-gen. Cette volonté de miser davantage sur un catalogue de jeux plutôt que des titres précis. On peut aussi évoquer ces exclusivités qui sortent à la fois sur PC et consoles. Ou bien le xCloud qui permet de jouer à tout sur mobile. Dans cette situation, à quoi bon s’acheter une machine à 500€?

Microsoft veut en fait recruter des joueurs Xbox. Et qu’importe s’ils jouent sur PC, console ou mobile. Le constructeur américain vise ainsi très large. Il a les armes pour toucher le plus grand public possible. Son offre Xbox All Access va dans ce sens. Celle-ci permet de payer à crédit une console et le Game Pass. Pour la Xbox Series S, ce sera 25€/mois pendant deux ans.

En théorie, en mettant ses pions un peu partout, Microsoft a tout pour dominer, pour être le roi de la next-gen. Ce n’est pas si simple. Le marché du jeu vidéo est compliqué, étrange, curieux. Microsoft, Sony et Nintendo avancent à leur rythme. Ce sont des concurrents, mais comme le dit si bien GamesIndustry, nous sommes dans une situation où chacun pourrait finir gagnant.

Après tout, Nintendo continue de miser sur Mario et ça cartonne. La Switch va encore connaître un immense succès en cette fin d’année. Avec la PlayStation 5, Sony a une approche très traditionnelle des consoles, voire rassurante. L’expérience PlayStation, c’est notamment des exclusivités de choix. Dans la fenêtre de lancement de la PS5, on devrait retrouver Marvel’s Spider-Man Miles Morales et Ratchet & Clank Rift Apart, de quoi assurer de belles ventes.

Quand on fait le bilan, Microsoft mise tout sur le Xbox Game Pass. Pour ça, il est prêt à tout, quitte à accepter que ce service ne soit pas très rentable. Mais l’Américain vise le long terme. Tout ce qu’il a fait ces récentes années vont dans ce sens. La stratégie actuelle, aussi. Ces efforts paieront-ils? C’est la grande inconnue car le marché du jeu vidéo et ses consommateurs sont imprévisibles. On se rappelle qu’en 2013, beaucoup prévoyaient un échec des PS4 et Xbox One à cause du mobile. Et d’ici 2021, un nouvel acteur pourrait se lancer dans la bataille: Amazon. La guerre des consoles est un long feuilleton bourré de rebondissements qui ne prend jamais fin…

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Sony tease la PS6 : premières infos prometteuses sur les technologies à venir

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Sony vient d’ouvrir le bal autour de la prochaine génération PlayStation, sans pour autant prononcer le nom officiel « PS6 ». Une vidéo technique récemment publiée met en lumière de nouvelles technologies — Neural Arrays, Radiance Cores, Universal Compression — laissant entrevoir ce que pourrait être la console de demain.

Un teasing méthodique plutôt qu’une annonce officielle

Dans cette vidéo, Sony invite Mark Cerny (architecte PlayStation) à dialoguer avec un expert d’AMD. Ensemble, ils dévoilent les technologies censées être au cœur d’un Project Amethyst, supposée feuille de route pour une console future. Mais à aucun moment le terme PlayStation 6 n’est mentionné : le constructeur joue la carte du teasing bien dosé pour susciter l’intérêt sans s’engager définitivement.

https://dai.ly/x9s2xly

Les technologies qui font parler

  • Neural Arrays : unités de calcul dédiées à l’intelligence artificielle, probablement utilisées pour l’upscaling et des traitements visuels avancés.
  • Radiance Cores : cœurs logiques axés sur l’amélioration du ray tracing et de l’éclairage, voire du path tracing.
  • Universal Compression : technologie pour optimiser la bande passante, réduire les temps de chargement et transférer rapidement de grandes quantités de données.

Ces noms techniques pourraient sembler marketing à première vue, mais ils posent les jalons d’innovations visuelles et de performances qui pourraient placer la prochaine PlayStation dans une nouvelle dimension.

Ce que cela laisse entrevoir

  • Une rétrocompatibilité renforcée, notamment avec la série PS5, grâce à la continuité technique.
  • Une console qui pourrait pousser le graphisme en temps réel, avec des effets de lumière et d’ombre très poussés.
  • Une focalisation sur la fluidité, les temps de chargement réduits, et une meilleure circulation des données entre mémoire, disque et rendu.
  • Des interrogations restent : quel sera le prix ? Une version sans lecteur physique est-elle envisageable ? La compatibilité avec les supports physiques sera-t-elle sacrifiée à l’ère du dématérialisé ?

Pourquoi cette opération de teasing est stratégique

Sony prépare le terrain avant l’annonce officielle. En publiant un contenu technique mais non définitif, la marque capte l’attention des passionnés, alimente les discussions médias, et installe une attente sans prendre de risque. La PS5 fêtera bientôt ses 5 ans : c’est le bon moment pour commencer à esquisser ce que pourrait offrir la suite.

Mon ressenti : l’ombre d’une PS6 déjà palpable

On n’a pas encore de confirmation officielle, mais ce teaser met en lumière une ambition claire : pousser les limites techniques et visuelles. Je suis intrigué — ces technologies, si elles se concrétisent, pourraient transformer l’expérience PlayStation.

Pour l’instant, c’est un jeu de patience et d’observations. Mais le décor est posé, les promesses sont là.

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Pourquoi le Game Pass a grandement augmenté ses prix?

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Le prix du Game Pass a pris 50% en une annonce. C’est plus que l’inflation, non?

Mercredi dernier, coup de tonnerre pour tous les abonnés Game Pass : le prix de l’abonnement a augmenté. Ou plutôt explosé. Une hausse de 50%, ce n’est pas rien, et la barre des 20€/mois a largement été franchie. A quoi joue Microsoft ?

Quels sont désormais les avantages du Game Pass?

Oui, le prix du Game Pass a augmenté. Mais le service a avant tout évolué. Il se veut plus flexible —il introduit le Game Pass Premium— et il offre plus de choses dans son offre Ultimate.

Voici comment se décomposent désormais les offres :

  • Le Game Pass Essential à 8,99€/mois
    • jeu en ligne
    • accès une cinquantaine de jeux
  • Le Game Pass Premium à 12,99€/mois
    • accès à 200 jeux, mais les productions Xbox Game Studios / Bethesda / Activision ne sont disponibles que dans les 12 mois de leur sortie, et Call Of Duty n’est pas inclus
  • Le Game Pass Ultimate à 26,99€/mois
    • accès à 400 jeux dont tous les titres Xbox Game Studios / Bethesda / Activision en Day 1, dont Call Of Duty
    • Ajout de l’EA Play qui coûte séparément 5,99€/mois
    • Ajout de l’Ubisoft+ Classics qui coûte séparément 7,99€/mois
    • Ajout du Club Fortnite qui coûte séparément 11,99€/mois

A cela, il faut également ajouter le cloud gaming et des avantages sur les jeux Riot Games.

Sur le papier, l’offre Ultimate reste une affaire en or. Si on additionne l’EA Play, l’Ubisoft+ Classics et le Club Fortnite, on monte déjà à 26€. Les joueurs ne paieraient alors que 1€ pour accéder à 400 jeux dont Call Of Duty dès sa sortie dans le commerce.

Les choses sont toutefois plus compliquées. L’EA Play et désormais l’Ubisoft+ Classics et Club Fortnite doivent normalement agir comme des bonus. L’intérêt du Game Pass a toujours résidé dans son catalogue de jeux récents, dont les titres first party. Et désormais, pour profiter de cela, il faudra débourser 26,99€/mois contre 17,99€/mois auparavant. On passe la barre psychologique des 20€ et même des 25€.

Pourquoi une telle augmentation du Game Pass Ultimate ?

Selon Bloomberg, la branche Xbox est une nouvelle fois mise sous pression par Microsoft. A la suite de l’inclusion de Call Of Duty Black Ops 6 dans le Game Pass, les chiffres n’ont pas explosé —il n’y a pas eu une hausse significative des abonnés.

Au contraire, ce cadeau auprès des clients Game Pass aurait représenté un manque à gagner de près de 300 millions de dollars pour l’Américain ; les ventes de Black Ops 6 auraient chuté sur PC et Xbox, ne représentant que 18% du total. La direction de Microsoft aurait alors exigé à sa division Xbox de redresser la barre.

Et dans ces cas là, quand on ne réussit pas à attirer de nouveaux consommateurs, on fait davantage payer ceux existants. Comme le rappelle la newsletter Le Résumé Jeu Vidéo, cette stratégie est déjà appliquée par pas mal d’acteurs dont Sony. La manette DualSense Edge à 220€ et la PS5 Pro à 800€ s’adressent à une niche, mais une niche qui a des moyens pour sa passion et qui passe à la caisse.

Il en va de même pour le PlayStation Plus. Le nombre d’abonnés stagne autour des 40/45 millions, mais le chiffre d’affaires augmente. Comment ? A travers les nouvelles offres Extra et Premium qui confèrent différents avantages contre un prix bien plus élevé que celui du PS Plus Essential. Le Game Pass suit la même direction. Microsoft exige une meilleure rentabilité, Call Of Duty a échoué. Il faut alors trouver l’argent auprès des fans de la marque.

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Battlefield 6 : un trailer live action qui se moque de Call Of Duty

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Electronic Arts s’attaque à Call Of Duty à travers la bande-annonce live action de Battlefield 6.

Quelques jours avant sa sortie, Battlefield 6 accélère sa campagne marketing avec la diffusion d’une nouvelle bande-annonce. Pas d’images du jeu cette fois-ci. Il s’agit en effet d’un live-action, un trailer en prise de vue réelle avec de vrais acteurs . Et ce sacré casting n’a qu’un seul but : parodier Call Of Duty.

Battlefield 6 se moque de Call Of Duty

Battlefield 6 ne tire pas à balles réelles sur Call Of Duty, mais l’intention y est. Il reprend le même principe, à savoir un joli cast composé de Paddy Pimblett, Zac Efron, Morgan Wallen et Jimmy Butler. Chacun porte une arme au skin plus ou moins discret, et prend la pose avec une certaine arrogance. C’est Hollywood, c’est Call Of Duty ; ce n’est pas Battlefield.

Après une explosion, ce petit groupe est rapidement remplacé par de vrais soldats qui font face à la vraie guerre. C’est brutal et violent ; les explosions laissent place à des nuages de poussière. On voit aussi différents accessoires qui se veulent réalistes et bien sûr, des tanks.

A travers ce trailer live-action, Battlefield 6 montre sa différence et entend jouer la carte du pseudo-réalisme face à Call Of Duty.

Battlefield 6 fait-il le poids face à Call Of Duty Black Ops 7 ?

Dans ce duel, Battlefield 6 n’est clairement pas le favori. Call Of Duty est un mastodonte du jeu vidéo et chaque épisode continue de se vendre à plusieurs dizaines de millions d’exemplaires.

Battlefield revient en plus de loin. Il reste sur deux échecs successifs —BF V et BF 2042— et a vu son studio DICE perdre de sa superbe comme le rappelle la Newsletter le Résumé du Jeu Vidéo.

Electronic Arts place beaucoup d’espoirs dans cet épisode. Disponible à partir du 10 octobre, Battlefield 6 doit réellement relancer la série. Le but à moyen terme serait de rivaliser pleinement avec Call Of Duty avec des jeux annuels et un Battle Royale —ce dernier pourrait prochainement être révélé.

Pour arriver à ses ambitions, Electronic Arts a débauché l’ancien directeur de la franchise Call Of Duty et a établi Battlefield Studios, une unité composée de différentes équipes, dont DICE.

La beta de BF6 cet été laissait entrevoir un jeu plutôt solide qui ne prenait aucun risque; c’était dans la veine d’un Battlefield 3, un épisode datant de 2011.

Quant à l’aspect réaliste, il ne faut pas s’attendre à du ArmA. En revanche, il a d’ores et déjà été annoncé que chaque skin proposé devra respecter l’univers Battlefield. Même son de cloche d’ailleurs du côté de Black Ops 7 où Activision affirme avoir refusé des collaborations avec de grosses marques.

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