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Jeu vidéo: 2019 en 10 questions

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2019, une grande année pour le jeu vidéo?

D’ici quelques heures, nous serons en 2019. Cette année nous apportera son lot de satisfactions et de déceptions, à l’instar des précédentes. Mais avant de découvrir tout cela en détail, voici toutes les questions que l’on se pose actuellement. On en a sélectionné 10 et c’est déjà pas mal.

Y-aura-t-il des consoles next-gen? (aka nouvelle Xbox et PlayStation 5)

On se trompe peut-être, mais depuis le début, on mise sur l’arrivée de la PlayStation 5 pour 2020 , sans doute en même temps que la prochaine Xbox pour 2020. Mais l’officialisation de ces machines aura-t-elle lieu en 2019? C’est possible. Tout dépend de quand elles sortiront exactement en 2020. Souvent, il y a grosso-modo 6 mois entre l’annonce et la sortie. Si l’heureux événement arrive en mars, alors oui, en 2019, on devrait en entendre parler. Si c’est pour la fin d’année 2020, l’annonce devrait être au printemps de cette année-là.

Il n’y a pas de bonne date pour sortir une console. La PS4 a vu le jour en novembre, et elle cartonne. La Switch est quant à elle arrivée en mars, et elle cartonne aussi.

Ce qui est intéressant à l’heure actuelle, c’est que Sony et Microsoft adoptent chacun deux philosophies différentes. Microsoft joue la carte de la transparence et n’hésite pas à déjà évoquer sommairement ses machines —le nom de code Xbox Scarlett a été entendu à l’E3— tandis que Sony est plus discret. C’est sans doute parce que l’Américain prépare activement l’avenir alors qu’il a perdu cette génération; la Xbox One reste une console qui réalise de solides performances. Au contraire, Sony est le leader et n’a sans doute pas envie de parasiter les ventes de la PS4 en annonçant une PS5.

Mais y aura-t-il des nouvelles consoles en 2019?

La réponse est oui. D’après les rumeurs, Microsoft devrait sortir une Xbox One sans lecteur optique. A l’instar de la PSP Go autrefois, tout se fera donc uniquement en dématérialisé. Cela nous donne quelques indications sur la future Xbox qui devrait, en toute logique, hériter de plusieurs modèles.

Chez Nintendo, il se dit qu’une nouvelle Switch est en préparation. Ce ne serait pas la successeur de cette console portable de salon —elle est encore toute jeune— mais un modèle héritant notamment d’un meilleur écran. Ce ne serait guère étonnant: la DS et la 3DS ont connu de nombreuses versions différentes.

Quant à Sony, il n’y a aucune rumeur actuellement. Mais on se dit qu’il ne serait pas si étonnant de voir débarquer une révision de la PS4 Pro dans un format un peu plus compact.

L’E3 sera-t-il décevant?

Ah bah ça… Ça risque d’être assez spécial car on sera dans une période de transition. Beaucoup planchent déjà sur des jeux next-gen et on ne sait pas s’ils pourront être montrés. On a également la certitude que Sony n’y sera pas; on suppose qu’il ne veut pas remontrer à nouveau les mêmes jeux. Un constructeur en moins, c’est forcément dommage. Cela dit, ça devrait permettre à Microsoft de briller davantage. L’Américain a une occasion en or pour se relancer et on est très curieux de découvrir ce qu’il a préparé pour cet événement qui reste majeur.

Quelle année pour Electronic Arts?

On aurait pu choisir un autre éditeur (au hasard Bethesda) mais finalement, notre choix se porte sur Electronic Arts. En soi, l’entreprise américaine réalise chaque année de solides bénéfices mais son action en bourse a pas mal chuté ces derniers mois. La preuve que tout ne se déroule pas comme prévu. Fin 2017, EA avait été confronté au lancement polémique de Star Wars Battlefront 2 (fichus lootboxes) et la fermeture de Visceral Games (RIP Dead Space). En 2018, le gros jeu d’Electronic Arts était Battlefield V dont plusieurs indicateurs semblent indiquer que ce FPS n’a pas connu le succès espéré. On mettra ça sur le dos des couacs de communication, l’intérêt pour les anciennes guerres qui est passé et un contenu assez faible.

Et justement, en 2019, Battlefield V se devra de relever la tête. Après tout, c’est un jeu construit sur le modèle du Game As A Servicece qui plaît beaucoup à EA— et des mises à jour ne vont pas tarder à débarquer. Au printemps, c’est Firestorm qui aura pour tâche de relancer l’intérêt du jeu. Firestorm, c’est la vision du Battle Royale par DICE. Quand on voit la popularité actuelle de Blackout, on se dit qu’Activision a eu raison de rendre disponible ce mode dès la sortie de Black Ops 4

Le plus grand défi d’Electronic Arts en 2019, ce sera surtout de réussir à imposer Anthem. Repoussé de plusieurs mois, il est maintenant attendu pour le 22 février 2019, histoire de clore l’année fiscale en beauté. Enfin ça, en théorie. Anthem a un gros potentiel, on sent qu’il a été bâti comme le Destiny-Killer, mais peut-il vraiment être ce gros succès commercial? Des vidéos diffusées, Anthem a un petit côté générique. La future démo de fin janvier aura donc son rôle à jouer pour convaincre les foules. Ce sera aussi l’occasion de redorer le blason de Bioware qui, après Andromeda, ne peut se permettre de rester sur un échec. Au passage, Anthem est conçu par les équipes à l’origine de le Trilogie Mass Effect et non Andromeda.

On suppose qu’Electronic Arts sortira aussi du garage un nouveau Need For Speed —les précédents n’étaient pas exceptionnels— et, surtout, Star Wars: Jedi Fallen Order. Ce jeu d’action est développé par Respawn (Titanfall) sous la houlette de Stig Asmussen, le directeur de God Of War 3. Sur le papier, on y croit énormément. Le jeu devrait en plus avoir la bonne idée de sortir plus ou moins en même temps que Star Wars IX.

Bref, en 2019, EA est l’éditeur à surveiller de près.

Fortnite: stop ou encore?

Fortnite est un jeu de 2017, mais on en a surtout parlé en 2018. Et on en reparlera en 2019. Jusqu’à quand? Ça, personne ne le sait. Ce qu’il faut comprendre, c’est que Fortnite a sans doute déjà atteint son pic de popularité. Désormais, pour Epic Games, il lui faut conserver une solide base de joueurs afin de s’assurer des revenus réguliers. En 2018, ça a plutôt bien marché car la société américaine a engrangé 3 milliards de bénéfice. Pas mal.

En décembre, Fortnite a accueilli une grosse mise à jour ajoutant un mode création, transformant le jeu en mode bac-à-sable. La map continue également d’être modifiée et des défis sont ajoutés, afin de pousser les gens à sans cesse revenir. Mais un effet de lassitude interviendra forcément à un moment ou à un autre.

Il reste néanmoins à Epic Games une grosse carte à jouer: rendre gratuit le mode Sauver le Monde. Ce mode coopératif où des joueurs combattent des ennemis dirigés par l’IA devait passer en Free-To-Play en 2018. Ce sera finalement en 2019. On imagine qu’Epic Games a de grands projets pour ce mode qui pourrait, s’il se débrouille bien, parfaitement relancer la machine Fortnite.

Enfin, pour 2019, on pourrait carrément se demander quel est l’avenir du Battle Royale. PUBG est maintenant disponible sur PS4 (dans un sale état technique), Call Of Duty et Battlefield ont chacun (ou presque) leur propre mode… Le battle royale rentre dans le rang, il n’y a plus ce côté événementiel. Les nouveaux arrivants auront sans doute du mal à se faire une place, à moins de proposer quelque chose de vraiment nouveau.

Quelles exclus Nintendo, Microsoft et Sony en 2019?

Chez Microsoft, on sait qu’il n’y aura pas de Forza Motorsport en 2019. Pourtant, les années impaires, c’est toujours le jeu de Turn 10 qui démarre en trombe. Ça signifie peut-être que le jeu est décalé d’un an pour coïncider avec la future Xbox

Le 15 février 2019, on découvrira Crackdown 3, avec seulement 2 ans de retard. Gears 5 est également prévu pour Noël. Et après? C’est la grosse interrogation. Halo Infinite ne semble pas viser 2019 (et peut-être pas la Xbox One). On ignore sur quoi bossent les nouveaux studios acquis par Microsoft ces derniers mois… C’est le mystère et au petit jeu des pronostiques bien hasardeux, on a envie de miser sur un Age Of Empire 4 jouable à la souris et au clavier sur Xbox One.

Du côté de Sony, il semble certain que Dreams, Days Gone, MediEvil et Concrete Genie sortiront en 2019; quatre jeux dont la hype semble au plus bas, pour le moment. Puis il y a trois inconnus: The Last Of Us Part II, Death Stranding et Ghost Of Tsushima. Il n’y aura pas de la place pour tout le monde en 2019 et il y en aura au moins un qui sera poussé vers 2020. Reste à savoir lequel ce sera.

Il s’agit de la dernière grosse fournée de jeux PS4. Il semble sûr que tous les studios majeurs de Sony sont maintenant sur PlayStation 5. Mais on peut aussi imaginer que des productions moins ambitieuses (coûteuses) seront de la partie en 2019, un peu à l’image du remake de Shadow Of The Colossus, en février dernier.

Enfin, Nintendo est, comme toujours, imprévisible. En théorie, la Switch devrait à nouveau vivre une belle année avec Luigi’s Mansion 3, Fire Emblem: Three Houses, et de nouveaux jeux Bayonetta, Metroid et Pokémon. Là encore, s’il fallait faire des pronostiques, on miserait sur un retour de Mario (façon 3D Land ou Maker) et un Zelda en 2D. Mais bon, si la même année on avait Metroid, Mario, Zelda et Pokémon, ce ferait peut-être un peu trop.

Enfin l’année de la VR?

On l’espère. La VR a besoin de confirmer après avoir connu une jolie année: Astro Bot et Beat Saber sont des titres exceptionnels, WipEout et Firewall de très bonnes expériences… Souvent, les jeux VR sont annoncés au dernier moment. Pour 2019, on évoquera donc uniquement Blood & Truth (la version longue de The London Heist), le mode VR de Ace Combat 7, Wolfenstein: Cyber Pilot (parce que Doom VFR, c’était bien) et Vacation Simulator, par les créateurs de Job Simulator.

Quid du Cloud Gaming?

En 2019, le Cloud Gaming, il est certain qu’on en parlera, mais au final, peu s’y abonneront. Tous les acteurs ont cependant besoin de se positionner sur ce marché qui représente l’un des futurs du jeu vidéo. On devrait aussi beaucoup évoquer la notion même d’abonnement, à l’image du Xbox Game Pass qui propose, pour un petit prix, un immense catalogue de jeux.

Un nouvel acteur peut-il émerger?

Avec le Cloud Gaming, les cartes risquent d’être redistribuées. De nombreuses compagnies liées aux hautes-technologies vont probablement se pencher sur le sujet. Ça ne veut pas dire que ça fonctionnera. Par exemple, la plupart des boxes internet en France proposent du Cloud Gaming, mais qui s’en sert réellement? Peut-être que pour percer, il faut des exclusivités. Ou bien le meilleur service. Il sera intéressant d’observer Google dans ce domaine. Une rumeur évoque une console au nom de code Yeti et récemment, une démonstration de Cloud Gaming a été faite en partenariat avec Ubisoft sur Assassin’s Creed Odyssey.

Et puis n’oublions pas les fabricants de téléphones. Huawei a ainsi annoncé que ses téléphones Honor seront capables de streamer de gros jeux.

Les verra-t-on?
  • Ceux qu’on pensait découvrir aux Game Awards: Project Avengers, le nouveau jeu de Rocksteady…
  • Ça serait cool: Saints Row VI, Tekken X Street Fighter, F-Zero Switch, Splinter Cell, Max Payne
  • Le club des trois: Borderlands 3, Titanfall 3, Shenmue 3, Half-Life 3 et Left4Dead 3…
  • Annonce surprise mais pas trop: Harry Potter Next-Gen, Watch Dogs 3, Extension de Destiny 2…
  • Et d’autres qu’on oublie…

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Sony tease la PS6 : premières infos prometteuses sur les technologies à venir

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Sony vient d’ouvrir le bal autour de la prochaine génération PlayStation, sans pour autant prononcer le nom officiel « PS6 ». Une vidéo technique récemment publiée met en lumière de nouvelles technologies — Neural Arrays, Radiance Cores, Universal Compression — laissant entrevoir ce que pourrait être la console de demain.

Un teasing méthodique plutôt qu’une annonce officielle

Dans cette vidéo, Sony invite Mark Cerny (architecte PlayStation) à dialoguer avec un expert d’AMD. Ensemble, ils dévoilent les technologies censées être au cœur d’un Project Amethyst, supposée feuille de route pour une console future. Mais à aucun moment le terme PlayStation 6 n’est mentionné : le constructeur joue la carte du teasing bien dosé pour susciter l’intérêt sans s’engager définitivement.

Les technologies qui font parler

  • Neural Arrays : unités de calcul dédiées à l’intelligence artificielle, probablement utilisées pour l’upscaling et des traitements visuels avancés.
  • Radiance Cores : cœurs logiques axés sur l’amélioration du ray tracing et de l’éclairage, voire du path tracing.
  • Universal Compression : technologie pour optimiser la bande passante, réduire les temps de chargement et transférer rapidement de grandes quantités de données.

Ces noms techniques pourraient sembler marketing à première vue, mais ils posent les jalons d’innovations visuelles et de performances qui pourraient placer la prochaine PlayStation dans une nouvelle dimension.

Ce que cela laisse entrevoir

  • Une rétrocompatibilité renforcée, notamment avec la série PS5, grâce à la continuité technique.
  • Une console qui pourrait pousser le graphisme en temps réel, avec des effets de lumière et d’ombre très poussés.
  • Une focalisation sur la fluidité, les temps de chargement réduits, et une meilleure circulation des données entre mémoire, disque et rendu.
  • Des interrogations restent : quel sera le prix ? Une version sans lecteur physique est-elle envisageable ? La compatibilité avec les supports physiques sera-t-elle sacrifiée à l’ère du dématérialisé ?

Pourquoi cette opération de teasing est stratégique

Sony prépare le terrain avant l’annonce officielle. En publiant un contenu technique mais non définitif, la marque capte l’attention des passionnés, alimente les discussions médias, et installe une attente sans prendre de risque. La PS5 fêtera bientôt ses 5 ans : c’est le bon moment pour commencer à esquisser ce que pourrait offrir la suite.

Mon ressenti : l’ombre d’une PS6 déjà palpable

On n’a pas encore de confirmation officielle, mais ce teaser met en lumière une ambition claire : pousser les limites techniques et visuelles. Je suis intrigué — ces technologies, si elles se concrétisent, pourraient transformer l’expérience PlayStation.

Pour l’instant, c’est un jeu de patience et d’observations. Mais le décor est posé, les promesses sont là.

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Pourquoi le Game Pass a grandement augmenté ses prix?

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Le prix du Game Pass a pris 50% en une annonce. C’est plus que l’inflation, non?

Mercredi dernier, coup de tonnerre pour tous les abonnés Game Pass : le prix de l’abonnement a augmenté. Ou plutôt explosé. Une hausse de 50%, ce n’est pas rien, et la barre des 20€/mois a largement été franchie. A quoi joue Microsoft ?

Quels sont désormais les avantages du Game Pass?

Oui, le prix du Game Pass a augmenté. Mais le service a avant tout évolué. Il se veut plus flexible —il introduit le Game Pass Premium— et il offre plus de choses dans son offre Ultimate.

Voici comment se décomposent désormais les offres :

  • Le Game Pass Essential à 8,99€/mois
    • jeu en ligne
    • accès une cinquantaine de jeux
  • Le Game Pass Premium à 12,99€/mois
    • accès à 200 jeux, mais les productions Xbox Game Studios / Bethesda / Activision ne sont disponibles que dans les 12 mois de leur sortie, et Call Of Duty n’est pas inclus
  • Le Game Pass Ultimate à 26,99€/mois
    • accès à 400 jeux dont tous les titres Xbox Game Studios / Bethesda / Activision en Day 1, dont Call Of Duty
    • Ajout de l’EA Play qui coûte séparément 5,99€/mois
    • Ajout de l’Ubisoft+ Classics qui coûte séparément 7,99€/mois
    • Ajout du Club Fortnite qui coûte séparément 11,99€/mois

A cela, il faut également ajouter le cloud gaming et des avantages sur les jeux Riot Games.

Sur le papier, l’offre Ultimate reste une affaire en or. Si on additionne l’EA Play, l’Ubisoft+ Classics et le Club Fortnite, on monte déjà à 26€. Les joueurs ne paieraient alors que 1€ pour accéder à 400 jeux dont Call Of Duty dès sa sortie dans le commerce.

Les choses sont toutefois plus compliquées. L’EA Play et désormais l’Ubisoft+ Classics et Club Fortnite doivent normalement agir comme des bonus. L’intérêt du Game Pass a toujours résidé dans son catalogue de jeux récents, dont les titres first party. Et désormais, pour profiter de cela, il faudra débourser 26,99€/mois contre 17,99€/mois auparavant. On passe la barre psychologique des 20€ et même des 25€.

Pourquoi une telle augmentation du Game Pass Ultimate ?

Selon Bloomberg, la branche Xbox est une nouvelle fois mise sous pression par Microsoft. A la suite de l’inclusion de Call Of Duty Black Ops 6 dans le Game Pass, les chiffres n’ont pas explosé —il n’y a pas eu une hausse significative des abonnés.

Au contraire, ce cadeau auprès des clients Game Pass aurait représenté un manque à gagner de près de 300 millions de dollars pour l’Américain ; les ventes de Black Ops 6 auraient chuté sur PC et Xbox, ne représentant que 18% du total. La direction de Microsoft aurait alors exigé à sa division Xbox de redresser la barre.

Et dans ces cas là, quand on ne réussit pas à attirer de nouveaux consommateurs, on fait davantage payer ceux existants. Comme le rappelle la newsletter Le Résumé Jeu Vidéo, cette stratégie est déjà appliquée par pas mal d’acteurs dont Sony. La manette DualSense Edge à 220€ et la PS5 Pro à 800€ s’adressent à une niche, mais une niche qui a des moyens pour sa passion et qui passe à la caisse.

Il en va de même pour le PlayStation Plus. Le nombre d’abonnés stagne autour des 40/45 millions, mais le chiffre d’affaires augmente. Comment ? A travers les nouvelles offres Extra et Premium qui confèrent différents avantages contre un prix bien plus élevé que celui du PS Plus Essential. Le Game Pass suit la même direction. Microsoft exige une meilleure rentabilité, Call Of Duty a échoué. Il faut alors trouver l’argent auprès des fans de la marque.

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Battlefield 6 : un trailer live action qui se moque de Call Of Duty

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Electronic Arts s’attaque à Call Of Duty à travers la bande-annonce live action de Battlefield 6.

Quelques jours avant sa sortie, Battlefield 6 accélère sa campagne marketing avec la diffusion d’une nouvelle bande-annonce. Pas d’images du jeu cette fois-ci. Il s’agit en effet d’un live-action, un trailer en prise de vue réelle avec de vrais acteurs . Et ce sacré casting n’a qu’un seul but : parodier Call Of Duty.

Battlefield 6 se moque de Call Of Duty

Battlefield 6 ne tire pas à balles réelles sur Call Of Duty, mais l’intention y est. Il reprend le même principe, à savoir un joli cast composé de Paddy Pimblett, Zac Efron, Morgan Wallen et Jimmy Butler. Chacun porte une arme au skin plus ou moins discret, et prend la pose avec une certaine arrogance. C’est Hollywood, c’est Call Of Duty ; ce n’est pas Battlefield.

Après une explosion, ce petit groupe est rapidement remplacé par de vrais soldats qui font face à la vraie guerre. C’est brutal et violent ; les explosions laissent place à des nuages de poussière. On voit aussi différents accessoires qui se veulent réalistes et bien sûr, des tanks.

A travers ce trailer live-action, Battlefield 6 montre sa différence et entend jouer la carte du pseudo-réalisme face à Call Of Duty.

Battlefield 6 fait-il le poids face à Call Of Duty Black Ops 7 ?

Dans ce duel, Battlefield 6 n’est clairement pas le favori. Call Of Duty est un mastodonte du jeu vidéo et chaque épisode continue de se vendre à plusieurs dizaines de millions d’exemplaires.

Battlefield revient en plus de loin. Il reste sur deux échecs successifs —BF V et BF 2042— et a vu son studio DICE perdre de sa superbe comme le rappelle la Newsletter le Résumé du Jeu Vidéo.

Electronic Arts place beaucoup d’espoirs dans cet épisode. Disponible à partir du 10 octobre, Battlefield 6 doit réellement relancer la série. Le but à moyen terme serait de rivaliser pleinement avec Call Of Duty avec des jeux annuels et un Battle Royale —ce dernier pourrait prochainement être révélé.

Pour arriver à ses ambitions, Electronic Arts a débauché l’ancien directeur de la franchise Call Of Duty et a établi Battlefield Studios, une unité composée de différentes équipes, dont DICE.

La beta de BF6 cet été laissait entrevoir un jeu plutôt solide qui ne prenait aucun risque; c’était dans la veine d’un Battlefield 3, un épisode datant de 2011.

Quant à l’aspect réaliste, il ne faut pas s’attendre à du ArmA. En revanche, il a d’ores et déjà été annoncé que chaque skin proposé devra respecter l’univers Battlefield. Même son de cloche d’ailleurs du côté de Black Ops 7 où Activision affirme avoir refusé des collaborations avec de grosses marques.

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